Le mari de ma cousine germaine un ressortissant marocain qui n'avait pas encore terminé ses études à la faculté des lettres d'Alger fait partie de ces 45.000 enfants, femmes, vieillards, hommes expulsés en décembre 1975, laissant son épouse... et ses deux enfants alors en très bas âge. Nous en avions ressenti non seulement une terrible injustice et un acte inhumain mille fois condamnable mais une atteinte au peuple algérien lui-même méprisé et écrasé par une dictature militaro-brureaucratique. Ce qui, en plus, nous paraissait très choquant est qu'aucune voix ne s'était levée pour dénoncer cet acte qui déshonore l'Algérie. En tout cas, je tiens à vous remercier et vous encourager à persévérer dans votre action d'information et de sensibilisation des Algériens. Croyez que je vous apporterai toute mon aide à ce sujet. Cordialement