L'affiche du film représente la frontière clandestine algéro-marocaine "Trig E l Whda "
En retard Pour l’enterrement de ma mère
Un film de Penny Allen
78’ – France - 2012 - documentaire - Inédit
Avec les frères et sœurs SNP Zouhri
Tourné dans 3 pays sur une durée de 3 ans, le film est le portrait intime d’une famille maghrébine à la dérive, suite au décès de leur mère Zineb, célèbre contrebandiére d’or et de bijoux. Au-delà de l’histoire familiale, le film met l’accent sur les identités transfrontalières, sur la figure tutélaire de la mère dans la famille arabo-musulmane, et sur l’influence des contextes politiques sur la vie des individus.
Biofilmographie
Penny Allen, franco-américaine vivant à Paris, débute comme réalisatrice avec Property, lauréat au festival de Sundance. Récemment elle sort The Soldier’s Tale, lauréat 2009 Visions du Réel – Nyon, film disponible sur MUBI. Ecrivaine, (A Geography of Saints), auteure de romans photos (La Guerre c’est l’enfer), elle s’est consacrée aux questions de l’environnement entre 1987 et 2002. Elle avait auparavant travaillé comme enseignante à l’université, journaliste, et organisatrice dans des associations consacrées au développement public de quartiers, aussi bien qu’auprès d’institutions de la protection sociale.
Le Maghreb des Films, 21 novembre, à L’Institut du Monde Arabe, 1, rue des Fossés St-Bernard, Paris 5e , séance à 19h30, « En retard pour l’enterrement de ma mère » à 20h30. Pour plus d’informations, voir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Un regard à la fois distancié et attentif, de cette patience qui fait naître la confiance chez ceux qui nous
sont lointains, mais qui, sans savoir pourquoi, se sentent proches de nous et nous ouvrent leur intimité profonde. Le
film exprime parfaitement le crève-cœur des déracinés, même si la vie leur a apporté l’aisance financière. Il raconte
d’une façon émouvante le drame de ne pouvoir vivre dans un « ici » incontestable et incontesté, tout en permettant
aux protagonistes de vider l’abcès des frustrations et des errances où les ont plongé la stupidité de l’espèce
humaine qui oublie trop souvent qu’elle est ‘une’. » Tewfik Farès , scénariste du film "les années de braises et les Hors la loi.
En retard Pour l’enterrement de ma mère
Un film de Penny Allen
78’ – France - 2012 - documentaire - Inédit
Avec les frères et sœurs SNP Zouhri
Tourné dans 3 pays sur une durée de 3 ans, le film est le portrait intime d’une famille maghrébine à la dérive, suite au décès de leur mère Zineb, célèbre contrebandiére d’or et de bijoux. Au-delà de l’histoire familiale, le film met l’accent sur les identités transfrontalières, sur la figure tutélaire de la mère dans la famille arabo-musulmane, et sur l’influence des contextes politiques sur la vie des individus.
Biofilmographie
Penny Allen, franco-américaine vivant à Paris, débute comme réalisatrice avec Property, lauréat au festival de Sundance. Récemment elle sort The Soldier’s Tale, lauréat 2009 Visions du Réel – Nyon, film disponible sur MUBI. Ecrivaine, (A Geography of Saints), auteure de romans photos (La Guerre c’est l’enfer), elle s’est consacrée aux questions de l’environnement entre 1987 et 2002. Elle avait auparavant travaillé comme enseignante à l’université, journaliste, et organisatrice dans des associations consacrées au développement public de quartiers, aussi bien qu’auprès d’institutions de la protection sociale.
Le Maghreb des Films, 21 novembre, à L’Institut du Monde Arabe, 1, rue des Fossés St-Bernard, Paris 5e , séance à 19h30, « En retard pour l’enterrement de ma mère » à 20h30. Pour plus d’informations, voir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Un regard à la fois distancié et attentif, de cette patience qui fait naître la confiance chez ceux qui nous
sont lointains, mais qui, sans savoir pourquoi, se sentent proches de nous et nous ouvrent leur intimité profonde. Le
film exprime parfaitement le crève-cœur des déracinés, même si la vie leur a apporté l’aisance financière. Il raconte
d’une façon émouvante le drame de ne pouvoir vivre dans un « ici » incontestable et incontesté, tout en permettant
aux protagonistes de vider l’abcès des frustrations et des errances où les ont plongé la stupidité de l’espèce
humaine qui oublie trop souvent qu’elle est ‘une’. » Tewfik Farès , scénariste du film "les années de braises et les Hors la loi.
Dernière édition par admin"SNP1975" le Mar 14 Jan - 12:24, édité 4 fois