Voici ci-dessous la traduction intégrale d'un cauchemar vécu par déporté:qui m'a été demandé par Admin.
Puisse Dieu Le Tout Puissant Vient a ton aide mon ami déporté
العائلات تنتظر.كان المكان ضيقا و كان الزحام شديدا و كانت الساحة مختنقة و في ضائقة لا تكد تسع الجميع.لقد رايت فيما رايت بل اني ارى فيما ارى الان..من هنا بالظبط اذكر ان البعض من ذلك الصرب من الرجال و النساء و "البز"كان مفترشا الارض و البعض الاخر كان مسندا ظهره الى الجدار و كانت كل عائلة واضعة حوائجها امامها و بين رجليها تقارع الزمن و تترقب الاتي المجهول .كانت الوجوه واجمة و العقول شاردة و كان كل قلب لاه في همه.ضوء"اللامبولا" هو الاخر كان خافتا و شاحبا مما زاد و اضفى على المكان مسحة من الوحشة و الحزن.انزويت مع اسرتي و اخذنا لنا مكانا بين الناس و في يدي محفظتي لم ابارحها قط فيها دفاتري و كتبي و ادواتي المدرسية ...لازلت الى الان احتفظ بكتاب *المختار في قواعد اللغة العربية للسنة الثانية المتوسطة*باشراف المفتش العام عبد الرحمان شيبان المعهد التربوي الوطني الجزائر
Les familles attendent.Le lieu était étroit et la foule était très dense,le parvis était asphyxiant et dans l'incapacité d'accumuler tout le monde.J'ai vu ce que j'ai vu,et je vois toujours ce que j'ai
vu... D'ici au juste je me rappel que quelques- uns de cet ammassement d'hommes , de femmes et "momes" » étaient entassés à meme le sol ,D'autres endossaient le mur,et chaque famille déposait devant elle entre leurs pieds leurs effets, assignés a leur sort et supportaient l'endurance du temps en attendant la suite inconnue.
Les visages étaient crispés et les esprits dévoyés,et chaque cœur était occupé par son affligée.La lumière de "l"ampoule" lui également était pâle, qui a donné à l'endroit un air de désolation et de tristesse en trop. Je me suis enfui avec ma famille, et nous avions pris notre place au sein de la foule, et dans ma main mon cartable qui ne m'a quitté du tout,il comportait mes cahiers et mes livres et autres affaires scolaires me concernant... Je conserve toujours et jusqu'à présent un livre *intitulé le sélectionné dans les règles de la langue arabe 2° année moyenne*, sous la supervision de l'Inspecteur général Abdul Rahman Shaiban Institut pédagogique national d'Algérie. Fin
Puisse Dieu Le Tout Puissant Vient a ton aide mon ami déporté
العائلات تنتظر.كان المكان ضيقا و كان الزحام شديدا و كانت الساحة مختنقة و في ضائقة لا تكد تسع الجميع.لقد رايت فيما رايت بل اني ارى فيما ارى الان..من هنا بالظبط اذكر ان البعض من ذلك الصرب من الرجال و النساء و "البز"كان مفترشا الارض و البعض الاخر كان مسندا ظهره الى الجدار و كانت كل عائلة واضعة حوائجها امامها و بين رجليها تقارع الزمن و تترقب الاتي المجهول .كانت الوجوه واجمة و العقول شاردة و كان كل قلب لاه في همه.ضوء"اللامبولا" هو الاخر كان خافتا و شاحبا مما زاد و اضفى على المكان مسحة من الوحشة و الحزن.انزويت مع اسرتي و اخذنا لنا مكانا بين الناس و في يدي محفظتي لم ابارحها قط فيها دفاتري و كتبي و ادواتي المدرسية ...لازلت الى الان احتفظ بكتاب *المختار في قواعد اللغة العربية للسنة الثانية المتوسطة*باشراف المفتش العام عبد الرحمان شيبان المعهد التربوي الوطني الجزائر
Les familles attendent.Le lieu était étroit et la foule était très dense,le parvis était asphyxiant et dans l'incapacité d'accumuler tout le monde.J'ai vu ce que j'ai vu,et je vois toujours ce que j'ai
vu... D'ici au juste je me rappel que quelques- uns de cet ammassement d'hommes , de femmes et "momes" » étaient entassés à meme le sol ,D'autres endossaient le mur,et chaque famille déposait devant elle entre leurs pieds leurs effets, assignés a leur sort et supportaient l'endurance du temps en attendant la suite inconnue.
Les visages étaient crispés et les esprits dévoyés,et chaque cœur était occupé par son affligée.La lumière de "l"ampoule" lui également était pâle, qui a donné à l'endroit un air de désolation et de tristesse en trop. Je me suis enfui avec ma famille, et nous avions pris notre place au sein de la foule, et dans ma main mon cartable qui ne m'a quitté du tout,il comportait mes cahiers et mes livres et autres affaires scolaires me concernant... Je conserve toujours et jusqu'à présent un livre *intitulé le sélectionné dans les règles de la langue arabe 2° année moyenne*, sous la supervision de l'Inspecteur général Abdul Rahman Shaiban Institut pédagogique national d'Algérie. Fin