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LES PRISONNIERS DE GUERRE MAROCAINS AUX MAINS DU FRONT POLIS

4 participants

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admin"SNP1975"

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admin"SNP1975"

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En lisant le rapport je me suis reconforté dans mon attitude.
Il s'agit d'une haine.

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admin"SNP1975"

admin
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Les victimes du polisario en colère

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]En l'absence de bonne volonté de la part des autorités, les anciens détenus civils dans les camps de Tindouf ont décidé de manifester leur déception et leur colère face au ministère de l'Intérieur et le Parlement.


Plus d'une quarantaine d'anciens prisonniers marocains dans les geôles du polisario, tous des civils, se sont retrouvés mardi matin à Rabat devant le ministère de l'Intérieur. Venus des quatre coins du Maroc, ces rescapés des camps de la mort ont voulu protester contre "le traitement inhumain qui leur a été réservé par l'Etat à la suite de leur libération".
Pourquoi le ministère de l'Intérieur? La raison est bien simple. Dès leur libération, les prisonniers militaires ont été mis sous la responsabilité de leurs corps respectifs (FAR, Forces auxiliaires…). Quant aux civils, et ils sont nombreux, c'est le ministère de l'Intérieur qui est, en principe, chargé de les épauler.
Quarante-deux anciens prisonniers, tous âgés et fatigués par des années de souffrance dans le désert algérien, se sont présentés à l'entrée principale du ministère de l'Intérieur. "Nous voulons rencontrer un responsable du ministère", ont-il demandé aux vigiles postés à l'entrée. Quelques minutes plus tard, un fonctionnaire est venu leur proposer de choisir, entre eux, deux ou trois personnes qui les représenteraient devant un haut cadre du ministère. Ils ont donc fait leur choix et trois personnes ont été autorisées à pénétrer au sein du département de l’Intérieur. La réunion a eu lieu avec un gouverneur. Elle a duré 45 minutes. A cette occasion, les anciens prisonniers civils ont présenté leurs revendications.
"Nous voulons un logement décent et un dédommagement pour les années de souffrances que nous avons vécues pour la simple raison que nous étions des citoyens marocains". "La réponse du gouverneur a été claire", explique l'un des anciens prisonniers. "Il nous a expliqué que le ministère de l'Intérieur pourrait leur procurer trois choses: des agréments de taxis, un revenu mensuel symbolique (800 DH à 1.000 DH) et donnerait des instructions aux différents gouverneurs du Maroc pour nous procurer des soins de santé", a-t-il ajouté. Pour ce qui est des agréments de taxis, certains ne les ont jamais reçues. A titre d'exemple, dans des villes comme Tata, la location de l'agrément ne dépasse guère les 300 DH par mois. En outre, le revenu symbolique dont a parlé le gouverneur ne concerne pas tous les anciens détenus. A Casablanca, la wilaya a versé les 1.000 DH aux anciens détenus inscrits sous sa responsabilité, pendant trois mois. Et puis, plus rien. "A Tiznit, jamais aucun centime n'a été déboursé pour les anciens détenus civils". En revanche, à Agadir, les 1.000 DH ont été régulièrement versés.
"Concernant les logements et les dédommagements, le gouverneur nous a clairement affirmé que ce n'était pas du ressort du ministère de l'Intérieur", assure Abdellah Lamani, un des rescapés civils des camps de Tindouf. Et d'ajouter: "Nous nous sommes dirigés vers le Parlement pour faire entendre nos voix aux élus du peuple et au gouvernement". Devant le Parlement, les manifestants ont été rapidement encerclés par les policiers (civils et CMI) ainsi que les forces anti-émeutes des forces auxiliaires. Les matraques à la main, les forces de l’ordre étaient sur les dents.
Quelques minutes plus tard, un haut cadre de la wilaya de Rabat, s'est rendu sur place. Il a proposé aux manifestants de se rendre avec lui au deuxième arrondissement situé dans le quartier Hassan, pour entamer des discussions. Les manifestants ont obtempéré. Huit d'entre eux se sont dirigés vers le quartier Hassan et les autres sont restés devant le Parlement.
En pleine guerre, le polisario a essayé d'enrôler les civils et de les utiliser comme "argument" dans sa propagande contre le Maroc. Mais jamais les civils n'ont accepté de jouer le jeu des polisariens. “Certains de nos compagnons d’infortune sont morts sous la torture des chefs de guerre séparatistes (qui ont rallié le Maroc au cours de ces dernières années) et enterrés dans le désert par leurs propres camarades”, lâche un rescapé en colère.
Malgré cela, les anciens prisonniers marocains civils (beaucoup plus que leurs co-détenus militaires) sombrent depuis leur retour au Maroc dans une affreuse misère. Certains d'entre eux sont morts comme de vulgaires clochards dans la rue. D'autres ont succombé à leurs maladies et leurs corps, en complète décomposition, n'ont été découverts qu'après plusieurs jours.
Comme pour les militaires, ces civils sont restés des années en détention, ont subi les pires exactions dans les camps de Tindouf et y ont laissé leur moral, leur santé et parfois même leur vie. Les entreprises qui les employaient, avant leur captivité (travaux publics, transport…), refusent aujourd'hui de leur venir en aide. Le pouvoir publics, responsable de l'intégrité physique de tout citoyen, a le devoir de ne pas les laisser tomber.


Le 27-4-2005
Par : Abdelmohsin EL HASSOUNI


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admin"SNP1975"

admin
Admin

Les soldats maudits du Sahara
MAROC - 24 juillet 2005 - par SAMY GHORBAL, ENVOYÉ SPÉCIAL

Après avoir passé, pour certains, plus de vingt-cinq ans en captivité dans des conditions effroyables, les anciens prisonniers du Polisario tentent de recoller les morceaux de leur existence brisée. Témoignages.


Driss el-Yazami était aux commandes de son mirage F1 quand il a été touché par un missile pendant la bataille de Guelta Zemmour, le 13 octobre 1981. Capturé à l'âge de 28 ans, ce pilote marocain est resté vingt-deux ans, quatre mois et onze jours séquestré dans les camps de Rabouni et Tindouf, situés en territoire algérien mais tenus par les indépendantistes sahraouis du Front Polisario. Comme lui, 2 200 soldats marocains ont été faits prisonniers entre février 1976 et septembre 1991, date de l'arrêt officiel des hostilités.



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Et tous auraient dû, en vertu des conventions de Genève, être libérés dès l'acceptation du cessez-le-feu. Le Polisario, pour qui les Marocains constituaient à la fois une main-d'oeuvre servile et un moyen de pression, en a décidé autrement.
Longtemps, les indépendantistes sahraouis ont essayé de lier leur sort à la tenue du référendum d'autodétermination prévu par le plan de règlement des Nations unies. Avant, à partir de 1999, de commencer à céder à la pression internationale en libérant, au compte-gouttes, par tranches de 100 ou de 200, les plus âgés et les plus malades. À ce jour, 1 600 soldats des Forces armées royales (FAR) ont fini par être élargis, après avoir, pour certains, passé vingt-huit ans dans les camps, dans des conditions effroyables, au coeur d'un des déserts les plus inhospitaliers du monde. Deux cents environ sont morts en captivité.
Le drame des prisonniers maudits du Sahara a rarement fait la une des journaux. Même au Maroc, ce n'est qu'après la fin des années de plomb et l'avènement d'un nouveau roi que leur sort a enfin été évoqué sur la place publique. Et que la détresse de leurs familles a acquis, timidement, droit de cité dans les médias. Le 6 mars dernier, 20 000 personnes ont manifesté, dans les rues de Rabat, à l'appel d'une organisation progouvernementale, le collectif Watanouna (« Notre patrie »), pour exiger la libération des 404 soldats encore détenus par le Polisario. Un début de mobilisation qui ne doit pas occulter le fait que ce dossier reste, malgré tout, lointain et confidentiel. Les séquestrés de Tindouf suscitent moins de passions que la Palestine. Marqués par leur détention, privés de repères et devenus des étrangers dans leur propre pays, les anciens détenus vivent amèrement cette forme d'indifférence polie de la société marocaine. « Nous avons développé une sorte de complexe du vétéran, explique Driss el-Yazami. Pendant notre captivité, nous avons idéalisé le retour, nous pensions revenir en héros, être fêtés, reconnus. Il est très difficile d'admettre que la plupart des gens ignorent presque tout de ce que nous avons enduré... »
Les camps de Tindouf et de Rabouni, dont un rapport de France Libertés, la fondation de Danielle Mitterrand, pourtant très proche du Polisario, a donné, en septembre 2003, une description juste et saisissante, n'ont, au cours de leurs dix premières années d'existence, pas eu grand-chose à envier aux camps de concentration. Traités comme des bêtes de somme, obligés de dormir en plein air, dans les tranchées qu'ils avaient eux-mêmes creusées, nourris de quelques bols de soupe de lentilles ou de pois chiches, servis dans des brouettes sales, buvant de l'eau saumâtre distribuée dans des bidons rouillés, les prisonniers de guerre ont vécu un véritable calvaire. Sans chaussures, ni parfois vêtements, hormis un pantalon sale, ils travaillaient à des cadences infernales. Déplacés au gré des travaux à effectuer, ils sont à l'origine de l'essentiel des infrastructures civiles et militaires construites à Rabouni.
Les officiers, au nombre d'une quarantaine environ, en majorité des aviateurs, ont échappé au travail forcé et sont restés isolés des hommes de troupes. « Nous étions considérés comme des meneurs et étions les cibles privilégiées des humiliations, raconte le capitaine Ali Najab, pilote de chasse capturé en 1978, à l'âge de 34 ans, et détenu pendant vingt-cinq ans. On nous exhibait à la presse, généralement acquise à la cause sahraouie, aux dignitaires étrangers des régimes amis du Polisario, on nous demandait d'insulter la monarchie, on nous obligeait à lever le drapeau de la République arabe sahraouie démocratique [RASD, émanation du Front Polisario]. Je me souviens d'une visite du ministre iranien des affaires étrangères, Ali Akbar Velayati, juste après la Révolution de 1979. Il s'est arrêté devant moi, et s'est mis à insulter le roi Hassan II, la monarchie et le peuple marocain. Je lui ai répondu en l'insultant à mon tour. On m'a passé à tabac, torturé pendant des jours et jeté en cellule, avec un autre insoumis. Nous sommes restés onze mois à l'isolement. »
Hamid Lebène, un soldat fait prisonnier en juillet 1979 et libéré en février 2003, porte encore les stigmates des brutalités infligées par ses gardiens. Âgé d'une cinquantaine d'années, il en paraît dix de plus. Son histoire a fait le tour des camps de prisonniers : « C'était en juillet 1981, par une journée de canicule. À 7 heures du matin, le thermomètre dépassait déjà 50 degrés. Nous « recevions la visite » d'une délégation palestinienne. Georges Habache la conduisait. Il s'est répandu en injures sur la monarchie. Avec deux camarades, je l'ai traité de mercenaire. Les gardes se sont emparés de nous, nous ont attachés et battus jusqu'à ce qu'on perde connaissance. Ils nous ont laissés en plein soleil, toute la journée, pour l'exemple. Mes deux camarades sont morts déshydratés. J'ai perdu presque toutes mes dents, on m'a amputé de deux doigts de la main droite, qui avaient été garrottés par les liens. Après cela, on ne m'a plus jamais présenté à la presse. »
Vers la fin des années 1980, les conditions de détention se sont un peu humanisées. Comprenant que le conflit s'installait dans la durée et ne trouverait pas d'issue militaire, le Polisario s'est mis en quête de respectabilité internationale. Déplaçant le combat sur le terrain politique et diplomatique, en se dotant d'institutions et de structures étatiques, il a légèrement adouci le régime des prisonniers.
Capturé en août 1991, quelques semaines avant la signature du cessez-le-feu, le capitaine Rabea Erraghib, libéré en février 2004 après treize années de détention, se souvient de ses premières impressions : « On avait arrêté de fouetter les soldats pour imprimer la cadence. C'était toujours l'arbitraire le plus total, et les geôliers étaient sans pitié avec les évadés qu'ils rattrapaient et qui finissaient le plus souvent exécutés, quand ils ne mouraient pas sous la torture. Mais les mauvais traitements avaient perdu leur caractère systématique. Quand je suis arrivé, l'alimentation était sommaire, à base de mousse de lentilles et haricots blancs, mais les petits trafics étaient tolérés. L'argent circulait. On arrivait parfois à acheter au marché noir ou à voler une boîte de sauce tomate ou d'huile d'olive.
« Les officiers avaient réussi à se procurer des postes de radio, pour écouter en cachette les actualités sur RFI ou Medi 1, à la nuit tombée. Le manège n'échappait pas aux gardes, mais ils fermaient les yeux. On se raccrochait aux bribes d'informations qui nous parvenaient, on passait notre temps à échafauder toutes sortes de conjectures sur la politique internationale. À chaque fois qu'on entendait parler d'une visite bilatérale, d'un réchauffement entre l'Algérie et le Maroc, on se reprenait à espérer. Quand on a appris la nomination de James Baker, l'ancien secrétaire d'État américain, commede l'ONU pour le Sahara occidental, on a vraiment pensé que l'issue était proche. Ensuite, le découragement a gagné. Mais je n'en ai jamais voulu à mon pays, je n'ai jamais pensé qu'il nous avait abandonnés. Certains de mes camarades estimaient que le Maroc n'aurait pas dû relâcher les prisonniers algériens et sahraouis qu'il détenait. Moi, je pense qu'au contraire c'est tout à son honneur. Sauf à céder sur des points essentiels, non négociables politiquement, le Maroc n'avait aucun moyen de pression pour nous faire relâcher, pour peser sur le Conseil de sécurité, l'Algérie ou le Polisario. La responsabilité, il faut la chercher du côté de la communauté internationale, qui a été incapable de faire respecter les conventions de Genève. »
L'arrivée, en 1994, du Comité international de la Croix-Rouge (CICR), à qui l'accès aux camps avait été refusé pendant dix-neuf ans, a achevé de transformer l'ordinaire du régime carcéral des soldats marocains. Il a permis le recensement, l'enregistrement et, surtout, une relative rupture de l'isolement. « On avait parfois la chance de rencontrer des journalistes compatissants, surtout des Européens, qui contactaient nos familles à leur retour, pour les rassurer, raconte Ali Najab. Mais les nouvelles n'allaient que dans un sens. Je suis resté douze ans sans nouvelles des miens, de ma femme et de ma fille. Le CICR nous a permis de correspondre. Les premiers courriers ont été une soupape en même temps qu'un problème. Pour ceux qui sont restés sans nouvelles des leurs, parce qu'ils avaient été donnés pour morts ou disparus, et qu'on avait oubliés. Mais aussi pour les autres. Avant, le temps nous était indifférent. Il s'écoulait. Il passait en nous ignorant, et nous l'ignorions aussi. Mon horloge s'était arrêtée en 1978, à l'âge de 34 ans. Ma fille avait toujours 3 ans. Tout d'un coup, on s'est aperçus, brutalement, du temps, de ce temps qui nous avait vieillis, usés, rendus inaptes au travail et même à la vie. Notre séquestration nous est devenue insupportable... »
Beaucoup, délabrés physiquement et psychologiquement, ont fini par perdre la raison. Hamid Lebène a bien cru qu'il finirait ses jours à Rabouni. Il avoue avoir pensé plusieurs fois au suicide, avoir voulu imiter certains de ses camarades qui s'étaient laissés mourir à petit feu en cessant de s'alimenter ou en avalant de l'acide. « J'avais peur de devenir fou à ma sortie, de ne pas supporter le choc. Mes proches étaient restés sans nouvelles de moi pendant vingt ans, me croyaient décédé. Ma mère et mes frères sont venus à Agadir au moment de ma libération - mon père est mort pendant ma captivité. On ne s'est pas reconnu. Aujourd'hui, je vis seul, à Kénitra, j'ai quitté ma famille au bout de six mois, car on ne se supportait plus. On est terriblement isolés. Et on se sent coupables vis-à-vis de ceux qui sont restés prisonniers. » Mohamed Hadri, lieutenant et pilote de chasse, capturé en septembre 1982 et détenu pendant vingt et un ans, avait 28 ans lorsqu'il est tombé aux mains de l'ennemi. Marié et père d'une petite fille, il a retrouvé sa famille unie. Les choses n'ont pas été simples. « Les psychiatres de la Croix-Rouge avaient essayé de nous sensibiliser aux problèmes de réadaptation, mais on ne les avait pas vraiment écoutés. Ma fille avait 10 mois quand je l'ai laissée, elle a maintenant 23 ans. Je n'arrive pas à ressentir l'amour paternel que j'éprouvais pour mon bébé. Je savais qu'elle était devenue adulte, mais je n'ai compris qu'à mon retour ce que cela signifiait. On a du mal à communiquer. On communique rationnellement, mais pas encore affectivement. J'ai le sentiment d'être entré par effraction dans sa vie, je dois trouver ma place. Elle supporte très mal mes remarques. Je n'ai pourtant pas à me plaindre, il y a des histoires plus tragiques que la mienne. » Celle, par exemple, de ce soldat de la région de Séfrou, dont la mort avait été annoncée à sa famille. Son père, croyant bien faire, avait poussé le frère cadet à épouser sa femme. Il n'a découvert la vérité qu'à sa libération. Il est aujourd'hui décédé.
Ali Najab, lui, estime avoir eu beaucoup de chance, sur le plan personnel, mais s'indigne de l'absence de suivi psychologique des anciens prisonniers : « Par bonheur, ma femme, universitaire, est une personne exceptionnelle. Elle a remarquablement géré mon retour, malgré mes vingt-cinq ans d'absence, et a éduqué ma fille dans mon souvenir. Mais combien d'anciens prisonniers ont retrouvé des familles éclatées, décomposées ? Certains ont sombré dans la folie, d'autres sont en voie de clochardisation. On nous a laissés livrés à nous-mêmes ! »
Avec un groupe de camarades, Ali Najab est en train de mettre sur pied une association, l'Association marocaine des prisonniers de guerre de l'intégrité territoriale, à l'intitulé ronflant mais aux buts pratiques. Basée à Rabat, elle attend sa légalisation. Apolitique, elle veut offrir écoute et accueil aux anciens prisonniers, et sensibiliser les pouvoirs publics à leurs problèmes. « Pour les militaires, beaucoup a été fait, matériellement, les familles ont perçu des pensions, nos soldes ont été gonflées, on a essayé de nous offrir des facilités sur le plan administratif, les soins sont gratuits, concède Driss el-Yazami, cheville ouvrière de l'association dans la région de Marrakech. Mais il y a le cas de ces civils, une centaine, kidnappés par le Polisario et libérés avec nous. Ils n'ont aucun interlocuteur institutionnel et vivent dans le dénuement total. Nous avons aussi besoin, au-delà des aspects purement matériels, de davantage de reconnaissance morale. Quand nous avons été rapatriés sur Agadir, on a procédé au rappel de nos droits, puis on nous a froidement envoyés à la retraite. Au grade qui était le nôtre au moment de notre capture, alors que tous nos camarades restés libres ont gagné des galons, ne serait-ce que par le jeu de l'avancement automatique. C'est une injustice choquante. Cette décision ne nous a jamais été expliquée par aucun chef militaire. Elle est tombée comme un couperet. Comment l'accepter ? »
La moyenne d'âge des prisonniers marocains libérés oscille entre 55 et 60 ans. La plupart, simples soldats, épuisés, malades, inaptes, en accusent quinze ou vingt de plus, physiologiquement parlant. Pour eux, la question de la réinsertion professionnelle ne se pose évidemment pas. Il n'en va pas de même pour les officiers, davantage « préservés », car ayant échappé au travail forcé, et dont beaucoup espéraient reprendre leur carrière. Tous l'avouent sans détour : ils éprouvent un terrible sentiment de dévalorisation. Rabea Erraghib, le plus jeune du groupe, âgé de 46 ans, est l'un des rares à avoir réussi une reconversion. Réformé, comme ses camarades, il a pu faire valoir ses qualifications dans le civil, et travaille aujourd'hui comme pilote pour une société privée de Casablanca. Driss el-Yazami et Mohamed Hadri, qui vivent dans la région de Marrakech, se sont associés et ont monté une ferme. Hamid Lebène, lui, ne travaille plus : il n'en a ni l'envie ni la force. Ali Najab, le doyen, veut se consacrer entièrement à l'association. Pour continuer à être utile. Et aider ses centaines de camarades encore détenus à Tindouf, le jour où le Polisario se décidera enfin à mettre un terme à leur cauchemar...

http://www.marocainsdalgerie.net

yacoub

yacoub

C'est le moins que pouvait faire des musulmans envers d'autres musulmans .
Cela s'appele la sadaqua musulmane:lol:

becharelkhir

becharelkhir

merci admin. d'avoir répondu a mon vœu,par ta diffusion de ce topic,pour confirmer ce que je disais toujours, puisque l'atrocité de la déportation de 1975 des marocains d'algérie, n'est pas différente de celle qu'a enduré d'autres marocains,sans aucune autre raison que parce qu'ils étaient marocains qui entamaient leur droit pour etre rétabli dans leur légitimité,mais la junte militaire constituant le pouvoir algérien n'en voulait pas entendre parler,et le désastre est consumé pour les deux parties.



Mais je dois préciser que l'histoire de ce récit, ne concerne que les camps de concentration de Tidouf,ce qui arrivé a d'autres marocains a El-Mehbes

Gueltat Zemmour,Tifariti,Les monts Guerguer,Es-Smara,Tan-Tan,Bouckraà ,Dchira,

Tarfaya,Daoura,Boujdour,les alentours de Laàyoune,et j'en passe, est plus pire que ce

qui a été dis, dans son fond et sa forme des crimes commis a Rabouni et ses environs, puisque tout ce passait dans l'intimité (…) totale et selon les décisions individuelles de chaque mercenaire qui s'occupait de ce genre de sale besogne.Et pour exemple,nos frères de l'Est n'ésitaient pas à éventrer un marocain vivant,et lui font sortir ses tripes

pour lui ordonner ensuite de courir dans le desert, je m'arrete là,puisque je sais que ça va vous faire encore mal,si je continu d'avantage ainsi,mais…. c'est celle-là même

cette réalité que je vous demande de concevoir,quand je vous disais que les deux causes sont jumelles et indissociables ,elles vont de pair et elles doivent aboutir toutes ensembles.

Alors maintenant je vous invites tous, sans exception Messieurs les concernés des deux tragédies,à dire vos opinions après avoir clarifié attentivement ce qui a été dans cet aveu .Je vous attends avec impatience ! Bien a vous

becharelkhir

becharelkhir

Je n'est pas fait attention a ta présence avant satin mercenaire,a propos je ne sais pas si tu sais bien que meme parmis les satins dont tu fais parti il y en a des croyants,les nons croyants,les répudiés,les reniés,les infidèles,les mécréant,les ivrognes,les clochards et tous les échantillons de malsains comme toi; Tu peus nous dire quel échantillon es-tu toi dans tout ça sale sioniste ?أخزاك الله يــا لـــعـــيـــن

yacoub

yacoub

Tu crois en Allah tu crois au satan tu crois au djinn et tu crois au coran.

Moi, je crois que 1 et 1 font 2

yacoub

yacoub

Musulman 682
Le Prophète a dit : "Ne lapidez pas l'adultère qui est enceinte jusqu'à ce qu'elle ait accouché de son enfant." ...
Après la naissance, elle a été poussée dans un fossé, enterrée jusqu'à la hauteur de sa poitrine, et le prophète a commandé qu'ils la lapident. Khalid est venu avec un caillou qu'il a jeté à sa tête, et le sang a jailli, puis il l'a maudite. Le prophète doux a prié sur elle et elle a été enterrée.
(...) "Les cailloux ne doivent pas être trop petits ou la mort ne peut pas s'en suivre. Ni les cailloux ne doivent être trop grands ou la mort peut venir trop rapidement"

becharelkhir

becharelkhir

بــــاســـــم الله الــــرحــــمـــن الــــرحـــــيـــــم

Il en est parmi les Juifs qui détournent les mots de leur sens, et disent : “Nous avions entendu, mais nous avons désobéi”, “écoute sans qu'il te soit donné d'entendre”, et favorise nous “Raina”, tordant la langue et attaquant la religion. Si au contraire ils disaient : “Nous avons entendu et nous avons obéi”, “écoute”, et “Regarde-nous”, ce serait meilleur pour eux, et plus droit. Mais Allah les a maudits à cause de leur mécréance; leur foi est donc bien médiocre .

ô vous à qui on a donné le Livre, croyez à ce que Nous avons fait descendre, en confirmation de ce que vous aviez déjà, avant que Nous effacions des visages et les retournions sens devant derrière, ou que Nous les maudissions comme Nous avons maudit les gens du Sabbat . Car le commandement d'Allah est toujours exécuté.

Certes Allah ne pardonne pas qu'on Lui donne quelqu'associé. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Mais quiconque donne à Allah quelqu'associé commet un énorme péché.

N'as-tu pas vu ceux-là qui se déclarent purs ? Mais c'est Allah qui purifie qui Il veut; et ils ne seront point lésés, fût-ce d'un brin de noyau de datte

Regarde comme ils inventent le mensonge à l'encontre d'Allah. Et çà, c'est assez comme péché manifeste !

Envient-ils aux gens ce qu'Allah leur a donné de par Sa grâce ? Or, Nous avons donné à la famille d'Abraham le Livre et la Sagesse ; et Nous leur avons donné un immense royaume.
Certes, ceux qui ne croient pas à Nos Versets, (le Coran) Nous les brûlerons bientôt dans le Feu. Chaque fois que leurs peaux auront été consumées, Nous leur donnerons d'autres peaux en échange afin qu'ils goûtent au châtiment. Allah est certes Puissant et Sage
!صـــدق الله الــــعــــظــــيــــم
اللـــهـــم زلـــزل الأرض تـــحـــت أقـــدام عــدوك وعـــدو رســــولـــك مـــحـــمـــد صـلـعـم
يعفوب هــذا الـــصـــهـــيـــو نـــي الـــبــــغــــظ . آمــــــيــــن

deporté75

deporté75

عبد الله سميرظابط صف، الساكن في حي سي لخظر بوجدة، سجين سابق في مخيمات الخزي و العار بتندوف ،قضى أكثر من25 سنة حبسا، قام بنشر كتابا مشتركا بمعية سجين مغربي آخر...الكتاب موجود في الأكشاك:يقول عبد الله أن المخابرات طلبت منه حذف بعض الحقائق التي تخص عمر الحضرمي الذي قبل إغرائه و (شرائه) أشرف على تعذيب جل العسكريين المغاربة
ملاحظة:ها هو عمر الحضرمي يتمتع بالحصانة و الجاه و "لاكريمات" في عوض الزج به فيما لا عين رأت و لا أذن سمعت.... لكن

http://jamalelatmani@yahoo.fr

admin"SNP1975"

admin
Admin

Merci mon ami pour ces informations.Serait il possible de nous faire publier quelques extrait du calvaire de cet officier detenu par le polisario.

http://www.marocainsdalgerie.net

deporté75

deporté75

عيبي أنني أتابع و أقرأ و أعير الكتب إلا أنني لا أحتفظ و لا أدوّن المعلومات و هذا ما حصل لي مع عدد مواقف للدكتور الجابري (الصحراء من التفريط إلى الإنقاذ) و مع عدد مجلة وجهة نظر التي حاورت السيد القندوسي رئيس جمعية الصحراء الشرقية ، لكن أعدكم أنه لا يهنأ لي بال حتى أوافيكم بكل هذه الحقائق عندما يتوفر لي السبيل لذلك

http://jamalelatmani@yahoo.fr

yacoub

yacoub

Je deteste ces trois religions sanglantes.

Mais les juifs sont des êtres humains comme les autres.

Et donc arrêtons de les haîr.

deporté75

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Liste des 300 Marocains libérés de Tindouf
Voici la liste des prisonniers de guerre marocain libérés par les séparatistes le vendredi 6 novembre 2003 par médiation de la Libye, telle que fournie par l’Association Nationale et Sociale des Fils des Martyrs et des disparus du Sahara marocain





1. Hnini Omar Sahraoui 2. Bouhrara Ahmed Fadoul Ahmed 3. Mousadak Abdelkader Abdessalem 4. El Hadi Lahsen Mohamed Assou 5. El Bougmazi Abdessalam Lehbib El Haj 6. El kifli Mohamed El Haj Bouamer 7. Jimi Ali Youssef Taleb 8. El kassari Mohamed Ahmed 9. Amaroud Said Lahcen 10. El Gharbaoui Ahmed Mohamed 11. Abou Hass Hussein Mohamed Lahcen 12. Halaf Allal Ahmed Mohamed Kadour 13. Zghari Ahmed Moulay Ali 14. Chahmout Abdelmalik El Arbi 15. Eitbehert El Hussein Mouha Ali 16. Cheigar Hassan Kadour El Hasnaoui 17. El Khazani Ahmed Achir Amar 18. Bakir Lahcen Mohamed Ahmed 19. El Fasi Mohamed El Hachmi Mhamed 20. Yassin Ahmed Mouha Mohame 21. Chafik Mohamed Aziz 22. Hankach Abdallah Moulay Said 23. Darif Sadik Abderrahman 24. Hamouch Ahmed Bouchetta Mhamed 25. El Hantri Ahmed Hassan 26. Boubakar Issa Lahsen Mhamed 27. Boumehdi Abderrahman Assou 28. Seimi Hassan Mohamed Abdallah 29. Ben El Jilali Hamid Abdoulah 30. El Kheraoui Hamid Ben Mohamed 31. Enfissi Hassan Ali Ahmed 32. El Baali Boujema Alal Mouha 33. Enfetah Abdallah Ali Omar 34. Zouitni Abdelkader Issa 35. Hadou Mohamed Charif 36. El Ghouli Mohamed Abdelkader 37. El Bout Mohamed kadour Mohamed 38. Mikou Hassan Mahjoub Tahir 39. El Khiari Ahmed Ali Abdessalam 40. El Hajaji Moustapha Mohamed 41. El Omari El Hussein Moulay Ali 42. Masoudi Ali Mohamed El Khamar 43. El Bourj Abderrahman Abdelkrim 44. Maatou El Hussein Ahmed Mulei 45. Melahi Moustafa Mohamed Lahcen 46. Lachhab Mohamed Ali Ahmed 47. Zouhir Mohamed Abdalla Oulaaid 48. Karara Moustapha Jilali Arbi 49. El Kaihel Mohamed Abderrahman Brahim 50. Hanini El Aiachi El kassem Thami 51. Dergham Mohamed Ahmed 52. Mohamed El Mouhtar Abdessalam 53. Malouki Ali Braik Malouki 54. Mehdad Mohamed Bousmah 55. Haji Driss El Aiachi 56. Yahia Abderrahman Nasser 57. Nassiri Mohamed Ahmed 58. Bouchama Abdelkabir Ahmed Saleh 59. Lehlou Driss Alal jilali 60. Samir Ahmed Abderrahman Mouha 61. El Bou Khaldi Ahmed Hachimi 62. El Aouji Mohamed Belahcen 63. Akhsas Mimoun Mohamed 64. El Amari Moussa Bouaza Ali 65. Bou Naaj Hussein Mailoud Hadou 66. Zghari Ahmed Mohamed Lahcen 67. Tagoufist Lahcen Said Mouh 68. Bouali Mouha Adi Said 69. Khatib Mohamed Bel Hadj 70. El Ghazi Ali Mohamed Hussein 71. Bouhrour Brahim Ahmed Mbarek 72. El Maroufi Lahcen Hussein 73. Bel Achhab Moustapha Hussein 74. Ziani Ali Hamad Mohamed 75. Sayad Abdallah Ahmed Kadour 76. Ben Allal Amer Hamaida 77. Jibou Mohamed Teyeb Aissa 78. Hadour Abdelkarim Mohamed 79. Yekhlef Mohamed El Arbi Hamadi 80. Bel Lfkih Hassan Mohamed El Kabir 81. Chargui Mhamed Mohamed Jaloul 82. Ben Ghoulou Mohamed Issa 83. Kharbach Mbarek Mohamed 84. Atman Ahmed Stetou Ahmed 85. Eroueha Bouchta Abdessalam 86. Bouboul Saleh Mahjoub Blal 87. Benaachir Hassan Ali Nasser 88. Khaiam Hussein Brahim 89. Bakhtuch Brahim Moulay Lahcan 90. Chleihat Mohamed Saud Hussein 91. Agherbab Hassan Moulay Hachem 92. Bouhou Mouha Alal Mohamed 93. Mbark Mhamed Boujema Hussein 94. Akhchach Touhami Abdelkader 95. El Kailouni Brahim Mohamed 96. Maha Hassan Machrouh Bouaza 97. Fachati Fadil Ahmed Boujemaa 98. Boujghoul Mohamed Massoudi 99. Abderrahman Ali Hamou 100. El Assri Abdessalam Mohamed 101. Sadik Ahmed Hsain Zaid 102. Oughadi Lahcen Youssef Said 103. Lachhab Omar Alal Hama 104. Lemssalak Mohamed Arbi 105. Amzil Brahim Hadou Ali 106. Haytouch Taher Mohamed 107. Sghir Ahmed Mohamed 108. El Mekhfi Hussein Mohamed 109. El Semlali Abdelouahed Abdelkader 110. Ait Abdallah Ali Ahmed Amezian 111. El Karami Mohamed Echahti 112. Hadad Abderrahim Mohamed 113. El Harrar Maimoun Cheikh Alal 114. Taleb Mohamed Khouya Mouh 115. El Hajaji Etouhami Abdelkader 116. ELali Mohamed Lahce 117. Maach Brahim Bouzekri Lekbir 118. Lachhab Ahmed Mohamed Majid Braika 119. Choukri Mohamed Mouha Hamou 120. El Fensisse Mohamed Ali 121. Lebreiki Driss Bouchaib Abdallah 122. Bouhouda Rahmoun Boujema 123. Aoudaa Mouha Hamou Bassou 124. Kharkhach Ahmed abdelkarim 125. Barkouch Iddar Belkhair 126. Lachhab Mohamed 127. Bouchikhi Ali Chikh 128. Chaoui Hassan Mohamed Hamadi 129. Boujamaa Rahou Ali 130. Ayour Lahcen Mohamed Abdallah 131. El Hajaji Mohamed Abdelaziz 132. Aboulkacem Lhoucin Mohamed 133. Karoumi Ali Mohamed 134. Erradouani Mohamed Abdessalam 135. El Bassil Hussein Lahcen Hamou 136. Hajbane Abdoulah Mohamed 137. Lak-hal Jilali Ahmed 138. Hassan-Edine Abdelhamid Ahmed Maki 139. Ourahma Adi Mohamed Omar 140. Abdessalam Jaloul Lefguih 141. Boumcisse Mohamed Ali Driss 142. El Hamdaoui Lahcen Abdallah Madani 143. Amkran Mohamed Gadour Rahou Ali 144. Amekrif Mohamed Mhamed Ali 145. Baali Said Ouhmada Ahmed 146. Boukiout Hussein Boubacar Ali 147. Jab- Alah Mohamed Abdelazize 148. El Harrak Ahmed Mohamed 149. Ouachou Saleh Ahmed Mouha 150. Sleimani Mohamed Ahmed 151. El Aboudi Abdel-Aali Abdessalam Mohamed 152. El Khachouni Bassou Mohamed Mouha 153. Oubika Jamaa Brahim Assid 154. Kanouni Hamadi Mohamed 155. Ait Fraiha Mauloud Ahmed 156. Mellal Lahcen yousef 157. Abou-Elhou Mohamed Houceine 158. Ouaziz Saleh Mohamed Taleb 159. Hadri Said Oulaid Mouha 160. Hmeidouch Lahcen Ali 161. Soueba Abdelouahab Rahal Bel-hamdi 162. Agadi Alal Rayahi Hamadi 163. Lak-hal Mohamed Ayad Tahir 164. Mouhajane Hamou Mouha 165. Ramouch Mbarek Mohamed 166. Ourkia Mohamed Ahmed 167. Ezaki Moulay El Bachir Hachem 168. Zreigha Driss El Madani Amran 169. Bourja El Hussein 170. Chaouki Abdessalam Ali 171. Erguig Abdelhak Bouchaib Omar 172. Marih Mohamed Ahmed Mohamed 173. Oussri Said Lahcen Mouh 174. El Ghouzi Mohamed Amer 175. Boubaker Ahmed Mohamed 176. Ait Brahim Mohamed 177. Anouar Ahmed Issa Chrif 178. El Othmani Bouzeid Mohamed 179. Foulous Ahmed Brahim 180. Flous Said Mouha 181. El Alami Mehdi Mohamed Haj Ouafi 182. Ben El Arbi Hamid Maki 183. Sarjam Saleh Brahim Alal 184. Ejdeya Mohamed kadour Abdessalam 185. Ben Hayoun Abdessalam Ahmed 186. Sabiri Hassan Bassou Mouha 187. Afadjour Saleh Said Hamou 188. Khrcham Said Chrif Ait Mailoud 189. El Hadri Abdessalam Abdoulah Sallam 190. Bousalem Amer Ali 191. Boufous Mohamed Ali Ahmed 192. Alat Mohamed Ali Ahmed 193. El Makhloufi Ahmed Saleh Hadou 194. Darif Said Mouha Yakhlef 195. Chabki Ahmed Mohamed Najem 196. Britel Abdelaziz Mohamed 197. El Bougfaoui Mohamed Moussa Mati Ahmed 198. Kamal Abderrahman Mohamed Daoud 199. Lemsari Abdelaziz Mohamed Moukhtar 200. Outaghat Lahcen Nadjem 201. Haceni Abdessalam Ahmed El Khamar 202. El Kaihel Moukhtar Blail Abderrahman 203. Taj -Dine Mouloud Mohamed Bel Haj 204. Makhloufi Issa Driss Issa 205. Esseifi Ali Adi Mouha 206. Zaghari El Khamar Abdessalam Alal 207. Tahiri Moustapha El Haj Lahcen 208. Baji Abdallah Alal Hamou 209. Daghma Hanin Fadil Tahir 210. Nbegui Mohamed Abdessalam Ismail 211. Alwan Mohamed Adi Mouh 212. Jaaidar Ahmed Kabour Saleh 213. El Azouzi Abdelkarim Mohamed Issa 214. Alali Rahou Bouaicha Hamou 215. Boutrik Mohamed El Arbi Bouaza 216. Belkader Saleh Gadir Alal 217. Sbahou Mohamed Abderrahman 218. Aid Mohamed Mhamed Hsain 219. Alouane Bouzakri Ahmed Azize 220. Raouaz Abdelilah Mbarek El Hussein 221. El Kacimi Abdellah Mokhtar 222. Khadim Ahmed Jilali Mohamed 223. Azzedine Ahmed Hassan Sliman 224. Izdaouen Mohamed Lahcen Saleh 225. Azrar Ali Mohamed Hadou 226. Rakas Hassan Abdelkader Saleh 227. El Kanouni Said Abdessalam Lahcen 228. Aissa Moulay Ahmed Mohamed El Mehdi 229. Droussi Mohamed Bouaaza Ahmed 230. Afrau Mohamed Ahmed Mhamed Buih 231. Kharchach Hussein Mohamed 232. Saikouk Mailoud Mohamed 233. Bella Hassan Mehdi Omar Lefkir 234. Hadjbane Abdallah Mhamed Kadour 235. Zegaoui Abdoulah Ahmed 236. Ben Chakroun Mohamed Ahmed 237. Jonar Ahmed Mohamed Jaloul 238. Hafidi Mohamed Mhamed Ayad 239. Chater Mohamed Brahim Hussein 240. Rahmani Moustapha Mohamed 241. Mliani abderrahim Driss Ahmed 242. Frih Said Hamid Issa 243. Tanhirt Driss Mouha Said 244. Jawad Touhami Abbad Ahmed 245. Kamouni Mohamed Abdoulah 246. Belaid Mohamed Omar Esghier 247. Bouizrou Lahcen Mohamed 248. Channouri Mohamed Ahmed Achir 249. Kabbach Ali Abdallah Ali 250. Ouktlassen Mohamed Hmad 251. El Forrki Said Mbarek Mouh 252. Nachoua Abdessalam Mohamed 253. Abbouza Mouha Saida 254. Ouhamou Brahim Ramdan Ali 255. Abidi Mohamed Ahmed 256. Ghandouri Aiachi Ali Abdessalam 257. Arsine Mohamed Hamoud Jilali 258. El Bathaoui Mohamed Omar Ali 259. El Bakkouchi Ali Ahmed 260. Hanine El Khammar Jilali 261. Stati Mohamed Alal Channan 262. Bouchrit Lehbib Boujemaa Tahir 263. El Mezouari Laglaoui abdehakim 264. Abdessalam Mhamed Mohamed 265. Hizoun El Hussein Mohamed Abdoulah 266. Chargaoui Mohamed El Arbi Tayeb 267. Boutinsa Abdallah Mohamed Ali 268. Lakhdeiri Abderrahim Mailoud Saleh 269. Abdellaoui El Hussein Mohamed Mailoud 270. Ben Saoud Ali Said Ahmed Akka 271. Laajaj Mohamed Mbarek 272. Ratmi Nouredine Mohamed Ali 273. Tissiri Touhami Mohamed Hama 274. Talfah Lehbib Ali Brahim 275. Ezziani Mrabet Mhamed Ahmed 276. Madouani Brahim Hadou Bassou 277. Amenzi Ali Salem Ali 278. Aarib Youssef Mohamed 279. Bahassou Mohamed Abdelkader Ali 280. Zaazouaa Mohamed Ahmed 281. El Maghroudi El Hussein Mohamed Ahmed 282. El kaisy Mohamed Ali 283. Ben Hadj Ahmed Mohamed 284. Errami Abdallah Ahmed 285. Edraa El Mahdi Brahim Abdedaim 286. Mahmoudi Salem Ahmed abderrahman 287. El Hachmi Abdessalam Mohamed 288. Ait Lahcen Ali Mohamed 289. Bougueri Brahim Ali 290. El Attar Moustphfa Ahmed Omar 291. Fertit Ahmed Mhamed Hussein 292. Ait Massaa Ahmed Brahim Ali 293. Hannoune Abderrahman Mohamed 294. Ahcein Lahcen Mohamed Abdenabi 295. Samir Abdallah Mohamed Ali 296. Amezian Ahmed Hadou Chouaayb 297. Sahmoudi Abdelaziz Ali Abdallah 298. Lehbib Mohamed Lahcen El Aawad 299. El Fizazi Mohamed Abdessalam Moulay 300. Kouismi Achour Hassan Errayahi

Al Bayane



Samir Abdallah est le numéro 296

http://jamalelatmani@yahoo.fr

admin"SNP1975"

admin
Admin

Voici ci-dessous, la traduction d'un sujet de déporté, qu'admin.m'a demandé de faire





عبد الله سميرظابط صف، الساكن في حي سي لخظر بوجدة،سجين سابق في مخيمات الخزي و

العار بتندوف ،قضى أكثر من25 سنة حبسا، قام بنشر كتابامشتركا بمعية سجين مغربي آخر...الكتاب موجود في الأكشاك:يقول عبد الله أن المخابراتطلبت منه حذف بعض الحقائق التي تخص عمر الحضرمي الذي قبل إغرائه و (شرائه) أشرف علىتعذيب جل العسكريين المغاربةملاحظة:ها هو عمر الحضرمي يتمتع بالحصانة و الجاهو "لاكريمات" في عوض الزج به فيما لا عين رأت و لا أذن سمعت.... لكن

Abdellah Samir sous-officiers, demeurant a Hay Si Lakhdhar a Oujda,ex prisonnier dans les camps de ternissure et de la honte de Tindouf ,a passé plus


de 25 ans emprisonné, il a diffusé un transcrit en copération avec un autre prisonnier marocain… Le bouquin en question est actullement dans les kiosques.


Abdellah révèle que les services de sécurités, lui ont demandé de supprimer quelques passages,propre a Omar El-Hadhrami,qui a essayé de le soudoyer et le


corrompre ,parce qu'il avait supervisé toutes les tortures de la plupart des militaires marocains


Observation : Le voici ce Omar El-Hadhrami,qui bénificie de l'ummunité,et qui profite de tous les avantages et des "donnations",au lieu de l'interner là où ni vu ,ni entendu….Mais 'Bonne lecture
Traduction de Bacharelkhir

http://www.marocainsdalgerie.net

becharelkhir

becharelkhir

Traduction de la promesse de déporté.


Mon inconvénient c'est que je suis,je lis et je procure des bouquins,seuleument je ne garde pas et je ne note pas les renseignements,et ce que m'est passé avec le Dr. El-Jabiri (le sahara de l'aliénation a la rescousse),et avec le numéro de l'hebdomadaire point de vue,que j'avais interviewé Mr. El-Kandoussi président de l'association du
sahara
oriental.Mais je vous promets ,que je ferai tout pour vous pourvoyer toutes
les vérités, dés qu'il me sera possible . Bonne lecture


P.S: Je m'excuse d'avoir diffuser ailleur son autre article,qui
parlait de Omar El-Hadhrami : becharelkhir

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