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L’islam dans le mouvement national algérien, avant l’indépen

5 participants

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admin"SNP1975"

admin
Admin

L’islam dans le mouvement national algérien, avant l’indépendance



par Mohammed Harbi


(mai 2004)

L’islam, fait social majeur de l’histoire algérienne Si nous tentons d’évaluer la place de l’islam en Algérie, il nous faut le situer dans une perspective historique et lever l’hypothèque des grilles de lecture qui occultent ou masquent la composante religieuse des identités individuelles et collectives et leur place dans les mobilisations politiques. Deux d’entre elles ont particulièrement imprégné la démarche politique des « modernisateurs » algériens : a) celle qui place l’État-nation comme modèle d’organisation au centre de la réflexion politique et postule, comme en Europe, mais avec un décalage dans le temps, la séparation du public et du privé, la laïcisation et l’individuation. Dans cette perspective, la construction de l’État requiert la suprématie de l’identité nationale et, donc, le refus de prendre en compte les mouvements sociaux à fondement religieux, suspectés d’obscurantisme et d’incapacité à porter le changement ; b) celle qui voit dans la construction nationale un anti-impérialisme, une universalisation de la logique économiciste et de la structure de classe. On la retrouve dans les multiples versions du marxisme stalinien, chez les théoriciens de la dépendance et de l’« État périphérique » (Prebisch, Cardoso, etc.). Ces variantes de l’évolutionnisme ont produit une abondante littérature où les schémas dualistes « lumières/obscurantisme », « modernité/tradition », « secteur moderne/secteur traditionnel » ne permettent pas de restituer la complexité du réel. À l’opposé de ces grilles de lecture manichéennes, les analyses en termes culturels produites autant par les orientalistes que par les islamistes « affirment l’irréductibilité de la lutte des islamistes à une compétition d’intérêts et de forces sociales dans un espace étatique, et surtout la prétention permanente de l’islam à soumettre la sphère du politique » à des impératifs religieux. Nous considérons, ici, le fait religieux comme un produit social et qui, à ce titre, fait partie, comme les instances économiques et politiques, de la totalité sociale. En effet, l’histoire de l’Algérie fait apparaître l’islam comme un fait historique doté d’une large autonomie. Aussi, les questions objet de notre investigation portent-elles sur l’impact de l’islam dans le mouvement national. Religion de masse, vécue et sentie à sa façon par le peuple, l’islam a, du VIIe au XIXe siècle, travaillé la société algérienne, modelé ses mentalités et ses comportements. Tous les grands mouvements de contestation des pouvoirs établis l’ont pris pour porte-drapeau au nom de l’orthodoxie (sunnisme) ou des schismes (kharidjisme et chiisme). Soulignons un fait majeur : contrairement à une lecture de l’histoire que le fondamentalisme tente d’accréditer, la conception d’institutions étatiques entièrement fondées sur des principes religieux est une innovation contemporaine. Les théoriciens médiévaux, dont Ibn Khaldoun, ont souligné dans leurs travaux qu’il s’agit d’une utopie renvoyant à l’âge d’or des origines et expliqué que les institutions des sociétés musulmanes sont fondées sur des compromis avec l’héritage préislamique. Cela était vrai pour l’empire abbasside comme pour l’empire ottoman, dont l’Algérie était partie intégrante du XVIe au XIXe siècle. Mais laissons de côté les approches conceptuelles et attachons-nous à des repères historiques. Lors de la fondation de l’État algérien (XVIe siècle), la classe militaire allogène qui lui a donné ses fondements s’est imposée comme puissance détentrice des moyens de coercition et non comme autorité disposant préalablement d’une base de légitimité. Sa légitimation conférée a posteriori a eu pour contrepartie le respect de la mise en œuvre de la loi islamique, la charia. La continuité de la tradition musulmane s’est exprimée au cours de la résistance armée à l’invasion française, résistance menée par les confréries religieuses après la reddition de la classe militaire ottomane. L’un des leurs, l’émir Abdelkader (1807-1883), instaura un pouvoir dont il fut proclamé l’imam et bénéficia de l’investiture (allégeance) des fidèles dans des conditions qui rappellent la fondation de l’État de Médine. La cérémonie se déroula symboliquement sous un arbre, par un rapprochement significatif avec celle qui avait vu les musulmans prêter serment à Muhammad ; un verset du Coran dit (XLVIII, 18) : « Dieu aime les croyants qui te prêtent serment sous l’arbre. Il connaît leur cœur et leur donne la paix, et Il les récompense par des conquêtes. » Dès son investiture, Abdelkader proclame le djihad, proscrit l’alcool, les jeux, l’usage du tabac et la musique. La composante religieuse est une donnée fondamentale de son combat. Ces interdits dont Abdelkader s’est servi au XIXe siècle pour mobiliser derrière lui les Algériens seront repris au XXe siècle et, successivement, par l’Association des oulémas (1931-1956), le mouvement messaliste (1927-1962) et le FLN. Pour unir les musulmans et fonder un pouvoir, il fallait que l’unificateur le fasse au nom de Allah.

La résistance à la colonisation Les transformations opérées sous la colonisation ont-elles altéré cette vision ? D’une manière générale, les historiens de l’Algérie ont jusqu’à une période récente mis l’accent dans leurs travaux sur les ruptures avec le passé, sur les formes de vie et les idées nouvelles au détriment des continuités. Certes, les bouleversements sont immenses. Le capitalisme colonial a miné les structures sociales et introduit un nouveau mode d’organisation économique. Il a également laïcisé le pouvoir, diffusé le modèle de l’État moderne. L’école a été le lieu de production d’une nouvelle élite dont la culture politique ne s’investit pas dans la tradition islamique. C’est cette culture que les observateurs ont privilégiée pour analyser la dynamique politique, ignorant ainsi l’importance de la référence islamique dans l’imaginaire politique du peuple algérien. Or, les liens avec le passé étaient si forts dans la société et la culture - y compris la religion - que le modèle communautaire a survécu à la bourrasque coloniale. En 1830, l’Algérie offrait une carte culturelle et linguistique singulièrement dense et complexe. La culture islamique et son véhicule, la langue arabe, organisent une élite culturelle homogène. Ce tableau change avec la conquête. La sphère culturelle devient bipolaire. Le français devient la langue idéologique du pouvoir législateur. L’arabisation et l’islamisation étant liées : brider l’apprentissage de l’arabe revenait à limiter le pouvoir contestataire de l’islam. De dominants, les clercs lettrés passent à une position subalterne et la religion et ses ressources passent sous le contrôle direct du colonisateur, qui crée un clergé à son service. « Le plus grand méfait de toute colonisation, note l’historien marocain Abdallah Laroui, ce n’est pas d’entraver l’évolution historique, c’est d’obliger le colonisé à la refaire en sens inverse », c’est-à-dire à se crisper sur les valeurs ancestrales. C’est ce qui advient en Algérie, dont les populations réagissent à la déstructuration sociale et culturelle par une fidélité têtue à leur passé. La xénophobie des cultures populaires s’accroche désespérément à la tradition. La foi se durcit en interdits et en refus à l’encontre de toutes les innovations, même bénéfiques, comme l’école, la santé, etc. À travers l’énorme documentation recueillie par les Bureaux arabes, ancêtre des Sections administratives spéciales (SAS) des années 1954-1962, on peut suivre les cheminements qui conduisent les Algériens de la résistance armée aux affrontements culturels. Sous la forme orale, le monde colonial fait l’objet d’une critique incisive : défense des valeurs précapitalistes, réaction romantique à la ville, éloge des anciens statuts. Ce courant s’articule sur les notions de non-coopération et de séparation radicale avec le peuplement européen : « Ô gens sincères, [...] ne les fréquentez pas, car le fou vous dévorerait ; ne leur adressez pas la parole ; n’allez pas à leur rencontre, ne leur dites pas : “ Le salut soit sur vous ! ” Suivez la voie qui vous a été tracée par le Coran ; n’aimez plus vos pères et mères s’ils vont aux mécréants », recommande Sidi Tahar Ben Boutayeb, de la zaouïa tidjania de Tlemcen. Dans les campagnes, l’encadrement des confréries religieuses se replie sur la négation radicale du monde moderne et s’engage dans un mouvement de fuite hors du réel qui fait davantage ressortir la misère morale des colonisés. Alors que les signes de refus du corps étranger continuent à dominer les campagnes, les villes, où se forme un « tiers-état ethnoculturel » féru de culture française, commencent à bouger à la veille de la première guerre mondiale et s’y manifeste une volonté de changement. Chez ces élites nouvelles, s’affirme peu à peu la tendance à se déterminer selon un type de rationalité dégagée de toute considération religieuse. La foi devait, pour redevenir attractive, neutraliser l’effet de subversion du modèle occidental. À l’instar d’autres croyants dans le monde musulman, les clercs lettrés algériens devaient apprendre à se servir de la modernité s’ils voulaient sauver l’islam. Pouvaient-ils le régénérer et le sauver sans l’exprimer désormais dans le langage de la modernité ? Le renouveau de la sphère culturelle se fait sous la pression de plusieurs facteurs : la conscience de la sclérose des confréries religieuses devenues clientes de l’État colonial, la sécularisation des élites nouvelles candidates à représenter l’opinion musulmane, le réveil des pays arabes où un groupe de penseurs (Mohamed Abdou, Rachid Rhéda) rejette la gangue des traditions et interprétations douteuses, afin de pouvoir affronter le monde moderne.

L’Association des oulémas : la religion comme seule force unificatrice Dans l’entre-deux-guerres, ralliés autour d’Abdelhamid Ben Badis (1889-1940), les clercs lettrés organisés dans l’Association des oulémas vont entamer la restructuration défensive de l’islam algérien. Ils apparaissent à un moment de l’histoire où l’urbanisation et la modernisation des grands centres leur imposent une vision de l’Algérie moins archaïque que celle des confréries. Par ailleurs, l’éveil de l’opinion éclairée leur permet une distance politique à l’égard du pouvoir colonial plus grande que celle de clercs malléables (muftis, imams, adels, marabouts, etc.) et limités dans leurs mouvements par la mainmise de l’État colonial sur les institutions islamiques. Trois thèmes structurent la pensée de Ben Badis : a) une conception nationaliste de l’identité qui fixe le musulman algérien comme celui qui a hérité l’islam de ses ancêtres. La communauté ne saurait se référer qu’au passé de la civilisation arabe et musulmane avec laquelle elle s’identifie et qui constitue le caractère commun de ses habitants et, en conséquence, leur identité nationale ; b) la thèse de la mise en péril : « Nous sommes au bord de l’abîme. Si notre communauté ne se ressaisit pas d’urgence, il n’en restera plus dans une cinquantaine d’années qu’un souvenir » (Shihab, février 1930) ; c) la thèse de l’inanité, selon laquelle toute tentative d’assimiler l’Algérie à la France est vouée à l’échec : « Cette nation algérienne musulmane, ce n’est pas la France, il n’est pas possible qu’elle soit la France ; elle ne veut pas devenir la France ; et même si elle le voulait, elle ne le pourrait pas » (Shihab, avril 1936). La pensée politique et sociale des oulémas gagne à être restituée dans l’évolution de l’Algérie. Elle est naturellement marquée par la religion perçue comme étant la seule force capable d’unifier les différents éléments de la société. Trois idées fondamentales caractérisent leur programme : la séparation du culte et de l’État, l’officialisation de la langue arabe, la lutte contre le culte des saints. Quand on se réfère au contexte historique dans lequel les oulémas ont agi, leur apport au réveil de l’opinion est incontestable. La création de nouveaux lieux de vie, les travaux sur l’histoire de l’Algérie de Tewfik el-Madani et Moubarak el-Mili ont, malgré leurs limites, redonné confiance aux Algériens et incité les élites francophones à prendre en charge le passé de leur pays. Leurs efforts et la diffusion de la langue arabe ont fait école et ont poussé les populistes à agir dans le même sens et les confréries à moderniser leur système d’enseignement. Mais s’ils ont levé certaines hypothèques, ils en ont créé d’autres. Sur le plan linguistique, le choix de l’arabe comme seule langue nationale ne tenait pas compte de la diversité culturelle. Sur le plan de la pensée, l’évolution à venir est conçue comme une projection du passé. Dans le même ordre d’idée, la généralisation de l’anti-occidentalisme à tous les domaines, et non pas seulement à celui de la domination politique et économique, a compromis l’ouverture aux autres cultures. Toute pensée autonome à l’égard de la religion est frappée d’ostracisme et suspectée de collusion avec l’étranger. Dans ces conditions, les potentialités critiques de la réflexion sont désamorcées et l’intellectuel condamné à n’être qu’un fonctionnaire de la culture officielle. Dans le domaine social, les oulémas s’affirment, au nom de l’islam, comme les apôtres du conservatisme en voulant renforcer le pôle privé sur lequel règnent les valeurs et les habitudes résultant de l’imbrication entre l’islam et l’idéologie patriarcale. Un voile pudique est jeté sur le sort des femmes et des classes défavorisées, au nom des bonnes mœurs ou de l’harmonie sociale. La soumission de l’individu à la communauté le renvoie, du point de vue du niveau de conscience, à la somme des individus qui la composent. Elle est à la source de toutes les intolérances. Ce qui mobilise les oulémas, ce n’est pas seulement la domination coloniale, c’est aussi la virtualité d’un modernisme musulman dont les signes et les règles leur échappent. Pendant des siècles, on entre dans l’islam en venant au monde. La religion n’est pas affaire de conscience. La communauté et, à travers elle, le lignage, le clan ou la famille décident de tout. Leur religion est celle de tous.

La suite:

http://www.manifeste.org/article.php3?id_article=188

http://www.marocainsdalgerie.net

yacoub

yacoub

A l'aube de l'indépendance, les Algeriens croyaient qi'ils allaient faire une synthese heureuse entre l'islam et l'occident.

Le resultat c'est le chauvinisme et l'islamisme qui ont gagné.

Les athées et agnostiques ont été liquidés.

ALGERIE


1973 : En Algérie, assassinat par des islamistes, du poète Jean Sénac.
1993 : S’ouvre en Algérie une hécatombe des intellectuels et artistes : assassinatsdeDjilaliLiabès(sociologue),AhmedAsselah(directeurdesBeaux-Arts),M’hamedBoukhobza(sociologue),Salah Djebaïli (recteur de l’université Bab-Ezzouar à Alger), Youssef Sebti (poète et écrivain), Abdelkader Alloula (dramaturge et metteur en scène), Mahfoudh Boucebci (psychiatre), Salah Chouaki (inspecteur de l’Education nationale), Azzedine Medjoubi (dramaturge), Dilalli Belkhanchir (pédiatre), AbderahmaneFaredeheb(économiste),FerhatCherkit,YoussefFathallah,Lamine Lagoui, et Ziane Farrah (journalistes)... La liste est douloureusement longue.
26 mai 1993 : Tahar Djaout, écrivain, poète et rédacteur en chef du magasine « Ruptures », est assassiné.
31 juillet 1993 : Merzag Baghtache, journaliste et écrivain, est blessé dans un attentat.
3 août 1993 : Rabah Zenati, journaliste de télévision, est assassiné.
9 août 1993 : Abdelhamid Benmenni, journaliste à « Algérie-Actualités », est assassiné.
11 septembre 1993 : Saad Bakhtaoui, ancien journaliste d’« El-Minbar », est assassiné.
28 septembre 1993 Abderrahmane Chergou, écrivain et journaliste, un des animateurs du FAM (Front de l’Algérie moderne), est assassiné devant chez lui.
2000 : juin : Fatwa de mort contre le réalisateur algérienM.Zemmouri,auteur du film « 100 % Arabica » consacré au raï.

http://www.manifeste.org/article.php3?id_article=308

becharelkhir

becharelkhir

Tu ne peu etre qu'un de ces fins limiers(...) du mossad toi
Kafer Bi-Allah sioniste Yacoub ,puisque tu parais etre un spécialiste et franc égorgeur de bébés et vieillards, espèce de terroriste.
C'est cette sale besogne qui t'a rendu enragé,contre la religion de tout les temps,la religion de paix et d'amour qui
est L'ISLAM cet Islam qui est la seule et unique religion reconnue et acceptée par Le Bon Dieu.Et si tu dis le contraire prouve-le mécréant .

Sidhoum

Sidhoum

Pour moi l’équation est simple, très simple : il n'y a pas de démocratie sans laïcité et il est impossible de progresser sans démocratie. Alors quand il s’agit de gérer un pays, Dieu sur la touche et pour les autres qui veulent vivre une vie sur terre, qu'on leur donne la liberté de le faire, et qu'on arrête de nous les gonfler avec ces fascistes religieux de tous bords.

Pour rester d’actualité et frapper les esprits les plus sceptiques, je veux prendre les exemples de 2 pays voisins à qui l’empire Britannique a donné l’indépendance il y a 60 ans, LE MÊME JOUR: L’Inde et le Pakistan:

1. Le premier a pratiqué la démocratie et son taux de croissance avoisine les 2 chiffres, et son développement en informatique et en service fait peur a l’Europe.

2. Le second a gardé, comme partie intégrante de l état, et des tyrans (comme dans les pays Arabes) qui se relaient depuis 60 ans, cette religion du bédouin qui empoisonna nos vies durant 14 siècles. Cela la maintenu à l âge des grottes malgré une bombinette atomique qui ne sert à rien. Aujourd’hui le Pakistan (comme TOUS les pays Arabes) s’offre en spectacle affligent au monde.

Combien de preuves supplémentaires nous faut-il encore?

becharelkhir

becharelkhir

Puisque tout est simple pour toi Si Sidhoum,primo ote-toi de ce surnom pour te différencier de ces gens qui se veulent n'etre qu'Arabes et musulmans,prends pour toi un autre prestigieux pseudonyme,comme par exemple Moshé ou Dayan
ou les plus meilleurs celui de BenGourien,comme ça tu sera trés éloigné de tout ce casse tete de religieux... qui n'est pas a vos modes toi et cet autre hypocrite de Jacob !!
Secondo :Puisque l'empire Britanique a donné(...), l'ndépendance a l'Inde et au Pakistan,on doit aussi considirer
l'empire Française l'a donnée a votre Algérie, et si c'est bien le cas,pourquoi nous disait-on que 1million et demi d'algériens
ont sacrifié leur vie, pour ce qu'il leur a été donné,et pourquoi nous disait-on que Ghandi est un héro de l'indépendance de cet Inde qui enterre toujours vivant ses filles par faute de leur octroyer une dotte de mariage,et pourquoi ses citoyens voyagent toujours pele mele dans des trains déconfituré,et n'arrivent a leur destination que par miracle.
Tertio : Mon ami puisque la religion de l'islam,vous fais tout ce mal,pourquoi vous ne l'oublier pas difinitivement et nous laisser en paix, comme nous l'avions fais pour vous.Point c'est tout , et c'est la plus simple equation.D'accord?

yacoub

yacoub

Sidhoum a écrit:Pour moi l’équation est simple, très simple : il n'y a pas de démocratie sans laïcité et il est impossible de progresser sans démocratie. Alors quand il s’agit de gérer un pays, Dieu sur la touche et pour les autres qui veulent vivre une vie sur terre, qu'on leur donne la liberté de le faire, et qu'on arrête de nous les gonfler avec ces fascistes religieux de tous bords.

Pour rester d’actualité et frapper les esprits les plus sceptiques, je veux prendre les exemples de 2 pays voisins à qui l’empire Britannique a donné l’indépendance il y a 60 ans, LE MÊME JOUR: L’Inde et le Pakistan:

1. Le premier a pratiqué la démocratie et son taux de croissance avoisine les 2 chiffres, et son développement en informatique et en service fait peur a l’Europe.

2. Le second a gardé, comme partie intégrante de l état, et des tyrans (comme dans les pays Arabes) qui se relaient depuis 60 ans, cette religion du bédouin qui empoisonna nos vies durant 14 siècles. Cela la maintenu à l âge des grottes malgré une bombinette atomique qui ne sert à rien. Aujourd’hui le Pakistan (comme TOUS les pays Arabes) s’offre en spectacle affligent au monde.

Combien de preuves supplémentaires nous faut-il encore?

J'avais aussi cette idée.
Le Pakistan selon un intellectuel pakistanais se barbarise de plus en plus, il y a un parti qui veut retablir la jizya pour les non-musulmans, faire le djihad à l'Inde pour qu'elle devienne musulmane, interdire la photographie, obliger les femmes à vivre cloitrées...etc.
Pourquoi ni l'Algerie, ni le Maroc ni la Tunisie ni la Libye ne sont des pays de liberté.
Pourquoi ils stagnent ?

Sidhoum

Sidhoum

Si les propos de Yacoub te choquent, les miens risquent de bousculer tes convictions les plus profondes et te rendre plus « meuchant » envers moi. Sais-tu que Mahomet, Jésus & Moise n’étaient que les « Pat Robertson, Jim Jones et les Jerry Farewell » de leur époque ?

Pour s’en convaincre, il suffit tout simplement de lire l’étude superbe et récente sur nos civilisations « Guns, Germs, and Steel: The Fates of Human Societies by Jares Diamond », qui se sont forgées autour du…tenez-vous bien…du Blé! Oui..aussi simple que ça du Blé! C a d autour du miam-miam.

Il y eu un moment durant l’évolution (11,000BC seulement !) ou l’homme cessa de chasser parce qu’il trouva une nouvelle source de miam-miam pour remplir sa panse. Aussi incroyable que ça parait, a la source de nos différentes civilisations furent la trouvaille de nouvelles protéines tels que le Blé, le Riz et le Maïs et il n’y eu que trois civilisations dans le monde. Seulement deux d’entre elles ont survécu et l’une d’elle donna naissance aux monothéismes et l’autre au Bouddhisme.

Selon Jares Diamond, a partir du moment que l'être humain a pu maîtriser une source constante & impérissable de protéine (le blé, Riz et Maïs), il s’est formé en groupe de plus en plus large et commença à avoir beaucoup de temps libre (cultivant au lieu de chasser) et de divaguer en regardant le ciel, pendant qu’il nettoyait son nez avec son orteil.

Ce temps libre (entre récoltes) lui a permit de maîtriser le fer et autres outils et aussi de nous pondre des superstitions (pour mieux contrôler son bétail) des légendes débiles (plus tard devenu Thora, Bible, Coran, etc…) telles que la vie est née lorsque le dieu primordial s'est masturbé et a éjaculé ou celle d’un mec sur le point d’égorger son morveux qui fut....tambour siouplai... abracadabra sauvé par un lapin…euh pardon…un mouton sorti du chapeau d’un imam se baladant avec son pet/mouton dans le cosmos a la vitesse E=mc2.

C’est réellement à partir de ce moment la que kk toucha le ventilateur et Bambi a finit par être égorgé chaque année dans des baignoires de HLM.

Sidhoum

Sidhoum

yacoub a écrit:
Pourquoi ni l'Algerie, ni le Maroc ni la Tunisie ni la Libye ne sont des pays de liberté.
Pourquoi ils stagnent ?

Notre conditionnement a hélas commencé il y a 14 siècles. Même le musulman modéré d’aujourd’hui est élevé depuis son jeune age dans un environnement qui le conditionne à ne jamais questionner la divinité présumée du Coran. Ce livre (pour notre malheur) révélé chronologiquement après la Thora et la Bible qui, tous les deux traitent uniquement que le coté/machin spirituel de la question, est considéré par le musulman (même élevé en occident) comme l’autorité et le manifeste final et définitif de Dieu. Il est réellement un obstacle et une interférence a toute tentative de moderniser la société musulmane parce qu’il faut toujours se référer à ce livre omniprésent dans nos vies qui se veut recette de tchektchouka, livre de math, manuel de navigation interspatial, guide du sexe, table chimique et code civil et pénal. A la différence des autres sociétés, la société musulmane ne peut avoir réellement aucune constitution autre que le Coran/constitution momifiée depuis 14 siècles et rien ne pourra le remplacer. Toute loi proposée doit être d’abord soumise au test de « halal ou hram? » (c a d permit ou interdit par Allah). Voici qq exemples pour soutenir ce que j’avance :

1.Le roi du Maroc a voulu changer le code familial pour aider la femme musulmane a obtenir ses droits. Pour accomplir ceci, il est forcé d’invoquer le Coran (comme toujours) et dire à sa population abrutie par 14 siècles d’Islam et les slogans « roi = descendant du prophète = demi-dieu, etc… » que cette loi est digne de Mahomet qui approuve et qui a dit (il y a de cela 14 siècles?) dans ses hadiths « que le bon mec, c’est celui qui traite bien la femme ?!? ». (Imaginons pendant un instant Sarkozy en train de dire aux Français « la nouvelle loi sur les impôts proposée est digne de Jésus » ?!?).

2.En Afghanistan, une nouvelle constitution fut ratifiée avec fanfare. Au lieu de décrire sa substance, la première chose qui fut déclarée avec tapage par le président : « ci oune KOUstitissiou qui est basée sur l’Islam !! ». Ceci, bien sur pour apaiser les hordes de fanatiques d’Afghanistan abrutis par 14 siècles d’Islam.

3.En Irak, les USA veulent aider ce peuple écrasé pendant 30 ans par son chef sadique musulman (un hasard?) a ratifier une nouvelle constitution qui garantira enfin les droits et l’égalité entre tous ses habitants quelles que soient leurs dénominations religieuses. Immédiatement et avant même de débattre ce projet vital a la société, le peuple cri et exige « I fau que la KOUstitissiou soit basée sur l’Islam !! »

Le danger de ce conditionnement (de 14 siècles!) et de ce zèle (particulier au musulman) est le résultat suivant: même le musulman le plus ouvert, même le musulman le plus modéré d’entre nous, n’a aujourd’hui absolument aucune notion, aucune idée sur la façon correcte de débattre, comment questionner, protester ou pire encore, comment reformer et il suffit de jeter un coup d’œil sur nos Forums (de musulmans) pour s’en convaincre.

becharelkhir

becharelkhir

Toi tu dois te débusquer clairement,pour voir a qui on a affaire, tu te caméléonne trop pour te reconnaitre,ce Jacob a mis cette cagoule de Dayan...comme ça on sais a quoi on a affaire,mais toi je t'avais demander te démasquer de ce pseudonyme de Sidhoum aux moins si ce n'est pas que tu es Sayed hypocrites et mécréants ça c'est autre chose et tu ne veus pas obtempérer ...!

Sidhoum

Sidhoum

Quand vas-tu comprendre que qui je suis, comment je m'appelle, ou je suis né, combien je pèse, quelle est la couleur de mes cheveux, n'ont absolument aucune importance. Ce qui compte c'est notre opinion et notre opinion seulement. Tu dois apprendre à séparer l'opinion de l'auteur et te concentrer uniquement sur l'opinion. Tu es en train de prouver ce que j'ai dit « Le danger de ce conditionnement (de 14 siècles!) et de ce zèle (particulier au musulman) est le résultat suivant: même le musulman le plus ouvert, même le musulman le plus modéré d’entre nous, n’a aujourd’hui absolument aucune notion, aucune idée sur la façon correcte de débattre, comment questionner, protester ou pire encore, comment reformer et il suffit de jeter un coup d’œil sur nos Forums (de musulmans) pour s’en convaincre. »

yacoub

yacoub

En plus, persoone n'ose dire ce que certains ocidentaux pensent du prophète.


Par exeemple :

http://pagesperso-orange.fr/daruc/divers/islam2.htm

yaz



pr..yacoub et sidhoum..vous etes que deux charlatans qui veullent deverser leurs venins sur deux pays d afrique du nord et pour celà vous utilisez là religion pour nous diviser plus..peine perdut mr les charlatans car malgrer ce qui nous oposent Becharelkir et moi , notre religion de paix nous là defendrons jusqua là mort..allez vous amuser ailleurs avec vos copiers coller de sallisure et garder biens en tete que nul nous diviseras sur notre fois envers notre prophete (que le salut soit sur lui)..en ce qui me consernent , votre meskinerie me donne encore plus de force pour vous meprisez..vous etes les supots de satan qui est votre maitre et le mal sur cette terre....un algerien...... :arrow:

yacoub

yacoub

Tu as raison. Yaz, l'islam est parfait.

Seulement il y a des egarés musulmans qui font des attentats terroristes.

Tu ne connais pas ta religion.
Sinon, tu verras sa veritable nature.

Sidhoum

Sidhoum

Yaz

Heureusement que ce forum est virtuel sinon tu m’aurais déjà sorti ton couteau rouillé taché du sang de ton crime d’hier!

yaz



yacoub a écrit:Tu as raison. Yaz, l'islam est parfait.

Seulement il y a des egarés musulmans qui font des attentats terroristes.

Tu ne connais pas ta religion.
Sinon, tu verras sa veritable nature.
je ne connais pas ma religion mr yacoub!!!???..j en ais riens à foutre des egarés et ils ne m interessent pas..mais venir poster des commentaires copiers coller des antisemistes contre ma religion là je m interposent et je te fairais pas de cadeaux et pas en religions car ce n est pas mon fort ., je laisserais celà à d autres plus instruit que moi malgrer que je suis musulmant ..à chaque post que tu feras je serais derriere toi yacoub , pour faire voire ton vraie dessin sur ce blog..tu es là pour profiter des malheurs des uns et pour le compte des feseurs de malheurs du monde arabe musulmant et en ce qui te concernent ici (Marocains d Algerie)..vous etes sur plusieurs autres blogs mr yacoub , toi et ton comparse sidhoum et qui doit etre ton aprentie sorcier si je me trompent pas ?....un algerien...... :arrow:

yaz



Sidhoum a écrit:Yaz

Heureusement que ce forum est virtuel sinon tu m’aurais déjà sorti ton couteau rouillé taché du sang de ton crime d’hier!
mr le conplice de yacoub , tu n as pas trouver autre chose que de me traité de terroriste ?..ne joue pas avec les mots avec moi sidhoum , car tu est loin de là verité...je suis loin d etre un extremistes..musulmant je suis et celà va de soit et fier.....un vraie algerien..... :arrow:

becharelkhir

becharelkhir

Si Sidhoum,est ce qu'on peut comprendre que tu es un musulman modéré et ce qui compte pour toi c'est ton
opinion seuleument,et de là on doit t'écouter en bon élève
pour nous apprendre le danger de condionnement particuluier et le zèle qu'on a endoctriné au musulman tout au long de plus de 14 siècles... C'est ça ta logique et ta simple equation ?
Est ce que toi tu es de ces gens béants, ouverts et modérés,alors apprends-nous à connaitre tes notions et
tes idées sur la façon correcte de débattre ?
Mais avant,si tu es musulman modéré comme tu veus le prétendre,dis-nous est ce que tu accomplis les cinqs prières
de chaque jour ?
Combien de versets du Saint Coran que tu récites par coeur ?
Combien de Hadiths que tu connais ?
Parles-nous de la façon dont tu accomplis les ablutions ?
Si tu réponds positivement à ces quelques questions,on ne
doit qu'obtempérer et te laissons faire comme bon te semble,autrement comment oses-tu nous faire apprendre ce que toi meme ignore totalment ?.وبـــه قـــد تـــم

yacoub

yacoub

« il est dans la nature de l'Islam de dominer, d'imposer sa loi à toutes les nations et d'étendre son pouvoir dans le monde entier ».

Hassan Al-Banna

becharelkhir

becharelkhir

Il est dans la nature de l'islam <<certes les infidèles ne croient pas, cela leur est égal, que tu les avertisses ou non : ils ne croiront jamais.Allah a scellé leurs cœurs et leurs oreilles; et un voile épais leur couvre la vue; et pour eux il y aura un grand châtiment.>>صـــدق الله الــعـــظـــيـــم

yacoub

yacoub

Tu ne vois pas la contradiction c'est Allah qui sccele le coeur du mécréant et pourtant Allah en grand sadique le punit.


Benoit 16 a raison la raison est incompatible avec l'islam :lol:

becharelkhir

becharelkhir

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمنِ الرَّحِيمِ

Ils cherchent à tromper Allah et les croyants; mais ils ne trompent qu'eux-mêmes, et ils ne s'en rendent pas compte

Il y a dans leurs cœurs une maladie de doute et d'hypocrisie et Allah laisse croître leur maladie. Ils auront un châtiment douloureux, pour avoir menti.

quand on leur dit : “Ne semez pas la corruption sur la terre”, ils disent : “Au contraire nous ne sommes que des réformateurs ! ”

Certes, ce sont eux les véritables corrupteurs, mais ils ne s'en rendent pas compte.

Et quand on leur dit : “Croyez comme les gens ont cru”, ils disent : “Croirons-nous comme ont cru les faibles d'esprit ? ” Certes, ce sont eux les véritables faibles d'esprit, mais ils ne le savent pas.

C'est Allah qui Se moque d'eux et les endurcira dans leur révolte et prolongera sans fin leur égarement.

Ce sont eux qui ont troqué le droit chemin contre l'égarement. Eh bien, leur négoce n'a point profité. Et ils ne sont pas sur la bonne voie.

Ils ressemblent à quelqu'un qui a allumé un feu; puis quand le feu a illuminé tout à l'entour, Allah a fait disparaître leur lumière et les a abandonnés dans les ténèbres où ils ne voient plus rien.

Sourds, muets, aveugles, ils ne peuvent donc pas revenir de leur égarement.[size=12]ـصـــدق الله الـــعـــظـــيــــم[/size]

yacoub

yacoub

Tu fais le portrait des fanatiques islamistes.:lol: :lol:

Ils refusent les changementsqualifiéees de bida"a.

Renseigne-toi, les musulmans n'ont admis l'imprimerie qu' au 19 siecle.

Et l'esclavage ne veut pas disparaître de ces contrées.

becharelkhir

becharelkhir

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمنِ الرَّحِيمِ


Si vous avez un doute sur ce que Nous avons révélé à Notre Serviteur, tâchez donc de produire une sourate semblable et appelez vos témoins, les idoles que vous adorez en dehors d'Allah, si vous êtes véridiques

Si vous n'y parvenez pas et, à coup sûr, vous n'y parviendrez jamais, parez-vous donc contre le feu qu'alimenteront les hommes et les pierres, lequel est réservé aux infidèles

Certes, Allah ne se gêne point de citer en exemple n'importe quoi : un moustique ou quoi que ce soit au-dessus; quant aux croyants, ils savent bien qu'il s'agit de la vérité venant de la part de leur Seigneur; quant aux infidèles, ils se demandent “Qu'a voulu dire Allah par un tel exemple ? ”. Par cela, nombreux sont ceux qu'Il égare et nombreux sont ceux qu'Il guide; mais Il n'égare par cela que les pervers,
صـــــدق الله الــــعــــظــــيــــم.

yacoub

yacoub

Pentagone congédie un expert de l’extrémisme islamique après des plaintes de fonctionnaires pro-musulmans
dimanche 6 janvier 2008, par Annie Lessard, Marc Lebuis



Stephen Coughlin, le spécialiste de la loi islamique et de l’extrémisme islamisque au Pentagone, a été congédié de son poste à la Commission conjointe du personnel de l’armée. Cette action fait suite à un rapport révélant l’opposition de fonctionnaires pro-musulmans dans le bureau du secrétaire adjoint de la Défense, Gordon England, à ce que M. Coughlin travaille pour les militaires. M. Coughlin semble être devenu l’une des premières victimes de la guerre idéologique contre l’islamisme.

Traduction d’un article du Washington Times

M. Coughlin a été informé cette semaine que son contrat avec la Commission conjointe du personnel prendra fin en mars, stoppant effectivement la carrière de l’une des figures les plus importantes de l’administration américaine dans l’analyse de la nature de l’extrémisme et la préparation à lui mener une guerre idéologique.

Il suscitait la colère d’un aide clé de Gordon England, Hasham Islam, qui a confronté M. Coughlin au cours d’une réunion il y a quelques semaines lorsque M. Islam a cherché à adoucir le point de vue de M. Coughlin sur l’extrémisme islamiste.

Selon les fonctionnaires de la Défense, M. Coughlin a été accusé directement par M. Islam d’être un chrétien fanatique ou extrémiste « avec un stylo ». M. Coughlin semble être devenu l’une des premières victimes de la guerre idéologique contre l’islamisme.

Des officiels ont dit que M. Coughlin était congédié parce qu’il était devenu « too hot » ou controversé au sein du Pentagone.

Des responsables imprudents du Pentagone, dont M. Islam et M. England, ont lancé un ambitieux programme « de proximité » auprès de groupes de musulmans, programme que les critiques accusent d’ajouter de la crédibilité à ce qui a été identifié comme l’âme d’un réseau de soutien aux islamistes extrémistes, y compris des groupes qui servent de façade aux radicaux Frères musulmans.

M. Coughlin a écrit un mémoire il y a plusieurs mois sur la base des documents rendus publics dans un procès fédéral à Dallas qui a révélé un plan occulte par les Frères musulmans, un groupe islamiste extrémiste d’origine égyptienne, appelant à la subversion des États-Unis au moyen de groupes de façade. Les membres de l’un des groupes de façade identifiés, la Société islamique d’Amérique du Nord, ont été accueillis par M. England au Pentagone.

Après que l’affrontement entre M. Coughlin et M. Islam a été rendu public, le soutien à M. Coughlin a monté en flèche parmi ceux dans et hors du gouvernement qui craignaient le pire, à savoir que les pro-musulmans responsables du Pentagone voulaient la tête de M. Coughlin, et que son départ serait un revers majeur pour le Pentagone dans ses efforts pour développer une guerre des idées contre l’extrémisme. Les blogs se sont illuminés avec des centaines de messages, certains suggérant que le bureau de M. England est « infiltré » par l’ennemi dans la guerre contre le terrorisme.

(…)

Kevin Wensing, un porte-parole de M. England, a déclaré que « personne dans le bureau du député n’avait de renseignement quant à cette décision » de la Commission conjointe du personnel de mettre fin au contrat de M. Coughlin. Un porte-parole de la Commission n’avait pas de commentaire immédiat

Source : Inside the Ring, par Bill Gertz, Washington Times, le 4 janvier 2008 http://www.washingtontimes.com

À lire :

Un ministère des affaires islamiques à l’intérieur du ministère des affaires étrangères du Canada ?

becharelkhir

becharelkhir

بِسْمِ اللهِ الرَّحْمنِ الرَّحِيمِ
Par le Temps !
L'homme est certes, en perdition, sauf ceux qui croient et accomplissent les bonnes oeuvres, s'enjoignent mutuellement la vérité et s'enjoignent mutuellement l'endurance.صــدق الله الــعــظــيــم

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