ARSSAM WAHRAN
* LA VILLE D’ORAN : Oran (arabe : وهران, Ouahrân (Wahran), en Arabe signifiant « des deux lions », surnomée El Bahia (la radieuse ), est une ville portuaire du nord-ouest de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom sur le golfe d'Oran., une ville méditerranéenne qui se situe à 432 km à l’Ouest d’Alger. Elle est limitée au Nord par la France, l’Italie et l’Espagne,
A l’Ouest par Aïn Temouchent, au sud par la ville Sidi-Bel-Abbès et Mascara et enfin à l’Est par Mostaganem.
Oran contemporain, tel que le voyageur, arrivant par mer, peut en embrasser le panorama comme une immense cité dont on suit le développement ininterrompu depuis la pointe du Cap Falcon a droite, suivi du Djebel Santon au pied duquel il y a le Font de Mers El-Kébir, appelle la baie d’Oran.
Le site sur lequel ont été bâtis l’ancien Oran et sa ville satellite Mers El-Kébir, grossi de sa banlieue, est particulièrement accidenté et raviné. Le point culminant du massif de l’Aidour (Murdjadjo) – 407 mètres, est a vol d’oiseau a peine éloigné de 2kilométres de la mer. L’agglomération s’étale de part et d’autre du profond ravin de l’oued El R’hi.
La chute vers le Sud, le Sud-Est et le Nord-Est se fait par un éventail de croupes coupées de paliers et séparées par des ravins profonds.
* Dans l’histoiredu développement de cette grand cité, Oran, par sa situation sur la Méditerranée face à l'Espagne, proche de Carthagène (Espagne) et d'Almería, naît vers l'an 900 en pleine période des Idrisside vantait son commerce et ses artisans après ce petit village que fréquentent les marins andalous, émissaires des Omeyyades de Cordoue, il offre surtout un refuge aux contrebandiers et aux pirates.
* PÉRIODE PRÉHISTOIRE ET ANTIQUITÉ : Le site d'Oran a été une station préhistorique mise en évidence par des fouilles archéologiques entreprises aux XIX. Des traces datant d'au moins 100000 ans ont été relevées. Des grottes du paléolithique et du néolithique ont été mises en évidence. Les grottes du Cuartel, de Kouchet El Djir et celles des carrières d'Eckmühl, dites abri Alain, ont été les lieux où ont été effectués des fouilles entreprises par François Doumergue et Paul Pallary en 1892. De nombreuses pièces archéologiques ont été récoltées dont certaines sont déposées au musée Ahmed Zabana, comme un bloc stratigraphique et une multitude d'outils composés de lissoirs, haches polies, lamelles, couteaux… La plupart des sites, classés de surcroît, ont aujourd'hui disparus par l'extension des carrières et de l'habitat précaire. Plusieurs sites ont été recensés dans les environs d'Oran. Ils révèlent une présence punique et romaine notamment. La période punique Ier siècle av. J-C se matérialise par l'immense nécropole des Andalouses, et la fourniture de beaucoup d'objets d'artisanat, (vases, coupes, urnes…). Ces sites ont été révélés lors de l'agrandissement de la zone touristique de la Les Andalouses (station balnéaire algérienne) plage des Andalouses à 30 km à l'ouest d'Oran. Beaucoup d'autres objets sont récoltés régulièrement de nos jours dans les régions limitrophes de Bousfer et celle d'El Ançor.
Cette région a fourni beaucoup de mosaïques et statues comme celles qu'on peut apercevoir au musée Ahmed Zabana (Poséidon, Hercule, Bacchus, Apollon). L’histoire antique nous apprend que les tribus judéo-berberes installés depuis 20 siècles au Maghreb en provenance de Judée ont été chassées par l’armée de Titus. L’arrivée des juifs a bousculé complètement le destin de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie. Les habitants d’Oran (Azdadja).
* WAHRAN : Son nom arabe Ouahrân (Wahran) emprunté à l'arabe et signifiant « des deux lions » dérive du mot singulier Ouahr. Les Cinq noms de lion en Arabe, Ouahr – Assad – Laith – Fahd – Sabaâ. Note précédente. Le nom de Wahran a été donné par Sidi Maakoud Al Mahaji et Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji Anciens chasseurs de lions à Oran. Il existe devant la mairie d’Oran deux grandes statues représentant deux grands lions mâles, d’où vient l’appellation de Wahran. La légende dit qu’a l’époque, il y avait encore des lions dans la région, les deux derniers lions chassés se trouvaient sur la montagne prés d’Oran et qui d’ailleurs s’appelle la montagne des lions. Le tombeau de Sidi Maakoud Al Mahaji se trouve sur la montagne de l’Aidour (Murdjadjo). Et le tombeau de Sidi Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji se trouve à Djenane Djato a la limite territoriale des quartiers : Lamur, Médioni, Médina J’dida. Dont Oran est la transcription européenne, Le nom Oran apparaîtra pour la première fois dans un portulan génois en 1384. Oran portait avant également le nom Ifri qui signifie en berbère littéralement « la caverne ». Les récits concordants établissent en effet une certitude concernant l'histoire de la ville d'Oran au sujet de Sidi Maakoud Al Mahaji. Ce dernier possédait deux lions qu'il avait apprivoisés personnellement.
Dynastie IDRISSIDE : Ses ancêtres remontent à Idriss II (fondateur de la dynastie Idrisside 788-985 à la fin du 8 ème siècle) par son fils Mohammed Ibn Idris et le fils de ce dernier Ahmed ben al-Qasim Kannun. Aura naissance de la première dynastie musulmane, d’origine moyenne- oriental, Ce descendant s’est installé en Algérie et a fondé son arche d’ Al Mahaja dans un village qui s’appelle Sidi Ben Amer et Chaâbet Sidi Meflah prés de Tlemcen. Après des années c’est village a pris de l’ampleur et une partie de sa population a émigré vers autre nouveau village a l’Ouest de l’Algérie comme le village Oued Mebtouh, Boudjebha et M’Cid (école coranique) près de la ville Sfisef Wilaya de Sidi Bel Abbés. Zidoria près de Mascara, et une autre partie vers un village d’El Gaada prés d’Oran. Après avoir connu quelques vicissitudes l’époque ou Idrissi vantait son commerce et artisans.
Chorafas se sont décernés ou fait décerner des sajara ou abres généalogiques les rattachant a El Hassan fils de Ali et Fatima la fille du prophète Mohamed. Vivent en majeure partie au Nord du Maroc et à l’Ouest de l’Algérie. La famille est connue alors sous le nom de Al-Mahaja, comme le veut la tradition familiale.
Les premières banlieues Oranaises (El Gaada et le premier village a Oran situé a 39Km au sud-Est et s`étalent sur une superficie de 5000Ha.).
Les Douars ils paraissent être une des premières tribus constituées dans l’ Oranie occidentale, avant l’arrivée des Fatimides au Maghreb, ils constituaient les douars, Ain Affeurd, Chorfa, Souahia et El Aaraiba. Se sont installés dans cette région à cause de l’eau douce de la rivière appéllée Ain Chorfa (Source Aristocrate) en l’honneur d’Al Mahaja.
Exemple. Oran devient au-delà de tout, une capitale économique du Maghreb. La cité d'or va donc devenir, une fois de plus, une place enviée,
Les Douars des Al Mahajadevenu un relais obligé pour des caravanes venant des quatre coins du Maghreb pour le commerce au port d’Oran et ce village par la suite appelé El-Gaada qui signifie littéralement Caravansérail.
* PÉRIODE ISLAMIQUE : Entre 910 et 1082, Oran devient un perpétuel objet de conflit entre Omeyyades d'Espagne et Fatimide de Kairouan. La ville passe sous domination des Almoravides, dynastie berbères originaire de la Mauritanie du Sahara occidental (Saguya El Hamra), Jusqu’en 1145, lorsque le sultan Ibrahim Ben Tachfin y périt en luttant contre les troupes Almohades déjà victorieuses devant Tlemcen. La présence des Almohades est marquée dès 1147 par le début des persécutions contre les juifs d'Oran. L'empire qui domine le Maghreb depuis plusieurs décennies s'émiette peu à peu pour finalement donné naissance à des dynasties plus locales en 1238, les Zianides de Tlemcen puis des Mérinides de Fès jusqu'en 1509. En 1287, premier arrivée des juifs de Majorque à Oran. La protection de l'émir, le système douanier (tarifs), le commerce avec Marseille, et les républiques italiennes de Gênes et de Venise, avec lesquelles Oran signe en 1250 un traité de Commerce, pour une durée de quarante ans, font d'Oran une ville prospère, à tel point que vers la fin du XIV le célèbre historien musulman Ibn Khaldoun la décrivait ainsi : « Oran est supérieure à toutes les autres villes par son commerce. C'est le paradis des malheureux. Celui qui arrive pauvre dans ses murs en repart riche ». La ville excelle en effet dans l'exportation du plomb, de la laine, des peaux, des burnous fins, des tapis, des haïks, du cumin, des noix de Galle, mais aussi la traite des esclaves noirs. Notons que les Mérinides, qui règnent sur le royaume de Grenade (Espagne) et le Maroc, occupent une partie de l’Algérie guère plus loin d’Oran. Ils sont localisés prés de hammam bouhadjar appelés les zmalas. Et a fondé leur village Tamzoughra. Le règne de ces dynasties musulmanes se démantèle progressivement par les offensives espagnoles au début du XVI.
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* LA VILLE D’ORAN : Oran (arabe : وهران, Ouahrân (Wahran), en Arabe signifiant « des deux lions », surnomée El Bahia (la radieuse ), est une ville portuaire du nord-ouest de l'Algérie, chef-lieu de la wilaya du même nom sur le golfe d'Oran., une ville méditerranéenne qui se situe à 432 km à l’Ouest d’Alger. Elle est limitée au Nord par la France, l’Italie et l’Espagne,
A l’Ouest par Aïn Temouchent, au sud par la ville Sidi-Bel-Abbès et Mascara et enfin à l’Est par Mostaganem.
Oran contemporain, tel que le voyageur, arrivant par mer, peut en embrasser le panorama comme une immense cité dont on suit le développement ininterrompu depuis la pointe du Cap Falcon a droite, suivi du Djebel Santon au pied duquel il y a le Font de Mers El-Kébir, appelle la baie d’Oran.
Le site sur lequel ont été bâtis l’ancien Oran et sa ville satellite Mers El-Kébir, grossi de sa banlieue, est particulièrement accidenté et raviné. Le point culminant du massif de l’Aidour (Murdjadjo) – 407 mètres, est a vol d’oiseau a peine éloigné de 2kilométres de la mer. L’agglomération s’étale de part et d’autre du profond ravin de l’oued El R’hi.
La chute vers le Sud, le Sud-Est et le Nord-Est se fait par un éventail de croupes coupées de paliers et séparées par des ravins profonds.
* Dans l’histoiredu développement de cette grand cité, Oran, par sa situation sur la Méditerranée face à l'Espagne, proche de Carthagène (Espagne) et d'Almería, naît vers l'an 900 en pleine période des Idrisside vantait son commerce et ses artisans après ce petit village que fréquentent les marins andalous, émissaires des Omeyyades de Cordoue, il offre surtout un refuge aux contrebandiers et aux pirates.
* PÉRIODE PRÉHISTOIRE ET ANTIQUITÉ : Le site d'Oran a été une station préhistorique mise en évidence par des fouilles archéologiques entreprises aux XIX. Des traces datant d'au moins 100000 ans ont été relevées. Des grottes du paléolithique et du néolithique ont été mises en évidence. Les grottes du Cuartel, de Kouchet El Djir et celles des carrières d'Eckmühl, dites abri Alain, ont été les lieux où ont été effectués des fouilles entreprises par François Doumergue et Paul Pallary en 1892. De nombreuses pièces archéologiques ont été récoltées dont certaines sont déposées au musée Ahmed Zabana, comme un bloc stratigraphique et une multitude d'outils composés de lissoirs, haches polies, lamelles, couteaux… La plupart des sites, classés de surcroît, ont aujourd'hui disparus par l'extension des carrières et de l'habitat précaire. Plusieurs sites ont été recensés dans les environs d'Oran. Ils révèlent une présence punique et romaine notamment. La période punique Ier siècle av. J-C se matérialise par l'immense nécropole des Andalouses, et la fourniture de beaucoup d'objets d'artisanat, (vases, coupes, urnes…). Ces sites ont été révélés lors de l'agrandissement de la zone touristique de la Les Andalouses (station balnéaire algérienne) plage des Andalouses à 30 km à l'ouest d'Oran. Beaucoup d'autres objets sont récoltés régulièrement de nos jours dans les régions limitrophes de Bousfer et celle d'El Ançor.
Cette région a fourni beaucoup de mosaïques et statues comme celles qu'on peut apercevoir au musée Ahmed Zabana (Poséidon, Hercule, Bacchus, Apollon). L’histoire antique nous apprend que les tribus judéo-berberes installés depuis 20 siècles au Maghreb en provenance de Judée ont été chassées par l’armée de Titus. L’arrivée des juifs a bousculé complètement le destin de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie. Les habitants d’Oran (Azdadja).
* WAHRAN : Son nom arabe Ouahrân (Wahran) emprunté à l'arabe et signifiant « des deux lions » dérive du mot singulier Ouahr. Les Cinq noms de lion en Arabe, Ouahr – Assad – Laith – Fahd – Sabaâ. Note précédente. Le nom de Wahran a été donné par Sidi Maakoud Al Mahaji et Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji Anciens chasseurs de lions à Oran. Il existe devant la mairie d’Oran deux grandes statues représentant deux grands lions mâles, d’où vient l’appellation de Wahran. La légende dit qu’a l’époque, il y avait encore des lions dans la région, les deux derniers lions chassés se trouvaient sur la montagne prés d’Oran et qui d’ailleurs s’appelle la montagne des lions. Le tombeau de Sidi Maakoud Al Mahaji se trouve sur la montagne de l’Aidour (Murdjadjo). Et le tombeau de Sidi Khrouti Bel Mekssoud Al Mahaji se trouve à Djenane Djato a la limite territoriale des quartiers : Lamur, Médioni, Médina J’dida. Dont Oran est la transcription européenne, Le nom Oran apparaîtra pour la première fois dans un portulan génois en 1384. Oran portait avant également le nom Ifri qui signifie en berbère littéralement « la caverne ». Les récits concordants établissent en effet une certitude concernant l'histoire de la ville d'Oran au sujet de Sidi Maakoud Al Mahaji. Ce dernier possédait deux lions qu'il avait apprivoisés personnellement.
Dynastie IDRISSIDE : Ses ancêtres remontent à Idriss II (fondateur de la dynastie Idrisside 788-985 à la fin du 8 ème siècle) par son fils Mohammed Ibn Idris et le fils de ce dernier Ahmed ben al-Qasim Kannun. Aura naissance de la première dynastie musulmane, d’origine moyenne- oriental, Ce descendant s’est installé en Algérie et a fondé son arche d’ Al Mahaja dans un village qui s’appelle Sidi Ben Amer et Chaâbet Sidi Meflah prés de Tlemcen. Après des années c’est village a pris de l’ampleur et une partie de sa population a émigré vers autre nouveau village a l’Ouest de l’Algérie comme le village Oued Mebtouh, Boudjebha et M’Cid (école coranique) près de la ville Sfisef Wilaya de Sidi Bel Abbés. Zidoria près de Mascara, et une autre partie vers un village d’El Gaada prés d’Oran. Après avoir connu quelques vicissitudes l’époque ou Idrissi vantait son commerce et artisans.
Chorafas se sont décernés ou fait décerner des sajara ou abres généalogiques les rattachant a El Hassan fils de Ali et Fatima la fille du prophète Mohamed. Vivent en majeure partie au Nord du Maroc et à l’Ouest de l’Algérie. La famille est connue alors sous le nom de Al-Mahaja, comme le veut la tradition familiale.
Les premières banlieues Oranaises (El Gaada et le premier village a Oran situé a 39Km au sud-Est et s`étalent sur une superficie de 5000Ha.).
Les Douars ils paraissent être une des premières tribus constituées dans l’ Oranie occidentale, avant l’arrivée des Fatimides au Maghreb, ils constituaient les douars, Ain Affeurd, Chorfa, Souahia et El Aaraiba. Se sont installés dans cette région à cause de l’eau douce de la rivière appéllée Ain Chorfa (Source Aristocrate) en l’honneur d’Al Mahaja.
Exemple. Oran devient au-delà de tout, une capitale économique du Maghreb. La cité d'or va donc devenir, une fois de plus, une place enviée,
Les Douars des Al Mahajadevenu un relais obligé pour des caravanes venant des quatre coins du Maghreb pour le commerce au port d’Oran et ce village par la suite appelé El-Gaada qui signifie littéralement Caravansérail.
* PÉRIODE ISLAMIQUE : Entre 910 et 1082, Oran devient un perpétuel objet de conflit entre Omeyyades d'Espagne et Fatimide de Kairouan. La ville passe sous domination des Almoravides, dynastie berbères originaire de la Mauritanie du Sahara occidental (Saguya El Hamra), Jusqu’en 1145, lorsque le sultan Ibrahim Ben Tachfin y périt en luttant contre les troupes Almohades déjà victorieuses devant Tlemcen. La présence des Almohades est marquée dès 1147 par le début des persécutions contre les juifs d'Oran. L'empire qui domine le Maghreb depuis plusieurs décennies s'émiette peu à peu pour finalement donné naissance à des dynasties plus locales en 1238, les Zianides de Tlemcen puis des Mérinides de Fès jusqu'en 1509. En 1287, premier arrivée des juifs de Majorque à Oran. La protection de l'émir, le système douanier (tarifs), le commerce avec Marseille, et les républiques italiennes de Gênes et de Venise, avec lesquelles Oran signe en 1250 un traité de Commerce, pour une durée de quarante ans, font d'Oran une ville prospère, à tel point que vers la fin du XIV le célèbre historien musulman Ibn Khaldoun la décrivait ainsi : « Oran est supérieure à toutes les autres villes par son commerce. C'est le paradis des malheureux. Celui qui arrive pauvre dans ses murs en repart riche ». La ville excelle en effet dans l'exportation du plomb, de la laine, des peaux, des burnous fins, des tapis, des haïks, du cumin, des noix de Galle, mais aussi la traite des esclaves noirs. Notons que les Mérinides, qui règnent sur le royaume de Grenade (Espagne) et le Maroc, occupent une partie de l’Algérie guère plus loin d’Oran. Ils sont localisés prés de hammam bouhadjar appelés les zmalas. Et a fondé leur village Tamzoughra. Le règne de ces dynasties musulmanes se démantèle progressivement par les offensives espagnoles au début du XVI.
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