le Maroc et la Tunisie lâchent l’Algérie sur l’immigration et la libre circulation
le Maroc et la Tunisie lâchent l’Algérie sur l’immigration et la libre circulation des personnes
L’Algérie risque de voir sa position fragilisée face à la France et l’Union Européenne concernant le dossier l’immigration et la libre circulation des personnes. Alger a en effet fixé une condition préalable à son entrée pleine et entière dans l’Union pour la Méditerranée voulue par le président français Nicolas Sarkozy : la libre circulation des personnes avec l’Union européenne.
Mais selon des informations obtenues par TSA, Tunis et Rabat ont choisi de faire cavalier seul sur cette question. Dès aujourd’hui le président Sarkozy va se rendre en Tunisie. Au menu des discussions, un accord signé sur l’immigration dans le cadre de la politique d’immigration choisie et de la politique de quotas voulue par le président français. Rabat devrait emboîter le pas aux Tunisien et signer également un accord bilatéral avec Paris sur cette question, dans les prochaines semaines. Selon nos sources, les Marocains ont donné leur accord pour un tel compris.
Deux accords pour codifier et restreindre la circulation des personnes avec la France, à l’heure où l’Algérie ne cesse de faire de cette question son cheval de bataille avec la France. L’ambassadeur d’Algérie à Paris, l’avait d’ailleurs rappelé il y a quinze jours : « pas d’Union pour la Méditerranée sans un accord sur la libre circulation des personnes ». Dès lors l’Algérie se retrouve une fois encore isolée sur la question. Au risque de ne pas pouvoir faire entendre sa voix. Plutôt que de revendiquer un statut spécial n’aurait-il pas mieux valu choisir de décider d’une position commune entre pays du Maghreb par exemple dans le cadre des institutions existantes entre les trois États?
(c) TSA 28/04/2008
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le Maroc et la Tunisie lâchent l’Algérie sur l’immigration et la libre circulation des personnes
L’Algérie risque de voir sa position fragilisée face à la France et l’Union Européenne concernant le dossier l’immigration et la libre circulation des personnes. Alger a en effet fixé une condition préalable à son entrée pleine et entière dans l’Union pour la Méditerranée voulue par le président français Nicolas Sarkozy : la libre circulation des personnes avec l’Union européenne.
Mais selon des informations obtenues par TSA, Tunis et Rabat ont choisi de faire cavalier seul sur cette question. Dès aujourd’hui le président Sarkozy va se rendre en Tunisie. Au menu des discussions, un accord signé sur l’immigration dans le cadre de la politique d’immigration choisie et de la politique de quotas voulue par le président français. Rabat devrait emboîter le pas aux Tunisien et signer également un accord bilatéral avec Paris sur cette question, dans les prochaines semaines. Selon nos sources, les Marocains ont donné leur accord pour un tel compris.
Deux accords pour codifier et restreindre la circulation des personnes avec la France, à l’heure où l’Algérie ne cesse de faire de cette question son cheval de bataille avec la France. L’ambassadeur d’Algérie à Paris, l’avait d’ailleurs rappelé il y a quinze jours : « pas d’Union pour la Méditerranée sans un accord sur la libre circulation des personnes ». Dès lors l’Algérie se retrouve une fois encore isolée sur la question. Au risque de ne pas pouvoir faire entendre sa voix. Plutôt que de revendiquer un statut spécial n’aurait-il pas mieux valu choisir de décider d’une position commune entre pays du Maghreb par exemple dans le cadre des institutions existantes entre les trois États?
(c) TSA 28/04/2008
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