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le fils de l’ex-numéro 2 de l’ex FIS est au maquis

2 participants

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admin"SNP1975"

admin
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Terreur nocturne, racket et faux barrages
Le dernier souffle du GSPC en Kabylie


Par : Tarik Benouar

Tout porte à croire que le fils de l’ex-numéro 2 de l’ex-Front islamique du salut (FIS dissous), Ali Benhadj, est depuis quelque temps dans les maquis de Haute-Kabylie. Une chose est sûre, il n’y a pas de fumée sans feu.
Le fils d’Ali Benhadj a-t-il choisi les monts boisés de la Haute-Kabylie pour s’y réfugier, semer la terreur et dicter son diktat à une population qui a bravé le terrorisme pendant les années de braise et qui continue à le faire en toute dignité et patriotisme ? Le désormais terroriste, fils de l’ex-numéro 2 du Front islamique du salut (FIS dissous), ayant rejoint le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) par ailleurs affilié à la branche armée d’Al-Qaïda au Maghreb (Baqmi), a-t-il fui les monts de Boumerdès pour “élire domicile” dans les grottes datant des années coloniales ? Autant d’interrogations et bien d’autres aussi légitimes les unes que les autres restent sans réponses depuis que la “rumeur” fait le tour des villes et villages du Djurdjura où le climat sécuritaire s’est sérieusement dégradé depuis quelques mois. Une chose est sûre, il n’y a pas de fumée sans feu, et la peur qui pèse sur la Kabylie en cette période de canicule et de fêtes témoigne, on ne peut mieux, de la volonté des groupes armés de “signifier” leur existence et leur présence après les mesures draconiennes et éradicatrices prises à leur encontre par l’État. Mieux, de la volonté de ces irréductibles d’imposer une “démarche” à une population forte de ses convictions que le terrorisme ne vaincra jamais. Et si aucune source ne venait pas à confirmer ou à infirmer cette information, il n’en demeure pas moins que les groupes armés ont investi la Haute-Kabylie de façon manifeste. Faux barrages et tentatives avortées de kidnapping, attaques contre les casernes, campements militaires et commissariats de police, racket des commerçants et des clients… la recrudescence des actes de terrorisme dans plusieurs coins de la Haute-Kabylie intervient après une longue période d’accalmie.
Les groupes armés plus que jamais déstabilisés
Traqués dans la capitale et ses environs, les groupes armés, dont la grande majorité est constituée de repentis, tentent de se réorganiser en élisant domicile dans les maquis impénétrables de la Kabylie, comme ce fut le cas dans les années 2006 et 2007 à Yakouren. De Mekla à la mythique forêt d’Imoujène (que même les forces coloniales redoutaient), en passant par le fleuve d’Oussaka et des habitations abandonnées jusqu’à la dense forêt de Berekmouche, située à quelques encablures des villages des Ath Yenni, ces groupes armés se sont scindés en plusieurs sections. D’abord, par manque de recrues et absence de soutien logistique et de complicité, ensuite par manque de ressources et d’armements, les quelque 150 individus armés, actuellement encerclés, sont répartis en quatre ou cinq groupuscules. La dernière opération de ratissage a abouti à la destruction de deux grottes qui abritaient entre 30 et 35 terroristes. Au point que plus de 4 000 hommes, entre forces spéciales et troupes de l’Armée nationale populaire (ANP), ajoutés aux vives forces de la nation dont les infatigables et courageux Patriotes, sont quotidiennement déployés pour sécuriser les accès vers les localités d’Azzazga, Yakouren, Adekar, Mekla, Boubehir, Aït Yahia, Iferhounène, Aïn El Hammam, Ath Yenni, Takhoukht, Ath Ouacif, Larbâa Nath Irathen et autres villages et lieux-dits signalés pour être des points d’accès aux denses forêts de la Kabylie. Bien plus, des alertes, vraies ou fausses, ont lieu chaque jour au grand dam des populations locales. Au point que les citoyens se méfient de tout et de rien ! Une volonté de semer la zizanie parmi les services de sécurité, mais aussi, et c’est le plus important, de jeter l’anathème parmi les vigilants qui barrent la route aux forces du mal. Au demeurant, la tension est perceptible. Dans ce climat d’insécurité et d’inquiétude, les citoyens vaquent à leurs occupations quotidiennes malgré toutes ces menaces. Déstabilisés par la présence dissuasive et omniprésente des forces de sécurité, les groupes armés tentent alors de desserrer l’étau en opérant des actions de diversion et en s’attaquant à certaines cibles. Et c’est la raison pour laquelle, l’ANP maintient son vaste cordon de sécurité en bouclant toute la Haute-Kabylie. Absente depuis quelques années dans certaines localités de la région, la Gendarmerie nationale a également déployé plusieurs escadrons sur l’ensemble des routes. Car, en plus de la lutte antiterroriste, la gendarmerie s’occupe aussi du volet juridique et judiciaire tant que les réseaux de la contrebande profitent de cette situation pour écouler de la drogue, des véhicules volés et autres marchandises non déclarées.
Les attaques nocturnes, un état d’esprit
Pour gagner du terrain et se ressourcer, les groupes armés ciblent les débits de boissons alcoolisées et autres restaurants qui servent des vins et des liqueurs aux consommateurs. À Aïn El Hammam, les groupes armés se sont attaqués à deux reprises, en l’espace de deux mois, à des débits de boissons situés à la sortie ouest de la ville. Mais également à des bars situés à l’intérieur de la zone urbanistique pour racketter les clients et les délester de leurs objets personnels. Mais aussi les intimider en leur proférant des fetwas moralisatrices en… 2008 ! Comme si les citoyens de la région avaient besoin de leçons à recevoir pour assainir leur vie morale. Et toute la gravité est là puisque des gens tolérants ont récemment subi les affres de groupuscules armés dans les localités d’Aïn El-Hammam, Akkar et Ath Ouacif. Et si les ravisseurs n’obtiennent pas leur argent sur-le-champ, ils passent à la mort d’homme, donc à l’exécution de leurs proies. La méthode du kidnapping ayant défrayé la chronique sur la scène politique et médiatique, les terroristes recourent donc, pour alimenter leurs ressources financières, au racket des citoyens. C’est que, contrairement aux années de braise où ils avaient un soutien logistique par la force et le chantage, ces groupes armés ne jouissent d’aucun soutien des populations locales. Autrement dit, l’islamisme armé est non seulement et catégoriquement rejeté dans le fond et dans la forme, mais vomi car il constitue, comme dans le passé, une forme de violence armée soutenue depuis l’étranger. Et dans cette ambiance infestée, les hordes sauvages veulent imposer un “état d’esprit” aussi clair que l’eau de roche : s’attaquer aux débits de boissons et organiser des rackets dans les faux barrages à l’entame de la nuit. Et tout porte à croire que les terroristes veulent arriver à ce palliatif afin de se frayer un chemin et de circuler en toute liberté dans les zones commerçantes pour échapper aux troupes de l’ANP. Acquis aux populations locales qui en tirent des dividendes par la sueur et le labeur, car ils constituent les principales ressources vitales (huile, fruits et aliments pour le bétail), les maquis de Haute-Kabylie ont toujours été cette forteresse impossible à pénétrer.
Tarik Benouar

http://www.marocainsdalgerie.net

lurchar21

lurchar21

ces groupes armés ne jouissent d’aucun soutien des populations locales. Autrement dit, l’islamisme armé est non seulement et catégoriquement rejeté dans le fond et dans la forme, mais vomi car il constitue, comme dans le passé, une forme de violence armée soutenue depuis l’étranger (ainsi que par le regime). Et dans cette ambiance infestée, les hordes sauvages veulent imposer un “état d’esprit” aussi clair que l’eau de roche : s’attaquer aux débits de boissons et organiser des rackets dans les faux barrages à l’entame de la nuit. Et tout porte à croire que les terroristes veulent arriver à ce palliatif afin de se frayer un chemin et de circuler en toute liberté dans les zones commerçantes.

Lurcher.
Tant que cela se passe (terrorisme) dans la region Kabyle , il sera tolerable et beni par le regime . Le terrorisme fait bien le boulot du regime pour terrifier la communote kabyle chretienne.
Le regime encourage le terrorisme en kabylie ,pour ainsi donner raison aux gendarmes de retourner et s'installer laba. La conspiracie regime Boutef...et le mouvement terroriste a bien etait orchestree pour controler les mouvements Kabyles.
Si ce n'est pas la raison de controler le peuple kabyle . Alors pourquoi que que sur une surface de plus de (2) millions km2 ,c'est toujours la kabylie qui est la principale cible?
Un peuple kabyle entre le marteau et l'enclume .

Un autre attentat frappe la kabylie.
Un attentat kamikaze fait 25 blessés et d’importants dégâts matériels : Tizi Ouzou ébranlée à l’aube
Il est 5h 08 quand une très forte explosion déchire le silence au cœur de la ville de Tizi Ouzou. Des colonnes de fumée montent dans le ciel, tandis que le son des sirènes des ambulances et de la Protection civile retentit. Un attentat suicide a été perpétré. La cible : le siège de la direction des renseignements généraux de Tizi Ouzou, sis au boulevard des Chouhada, cité les Eucalyptus, face à la caserne militaire. L’attaque a fait 25 blessés, dont 8 policiers, 4 militaires et 13 civils, a-t-on appris de sources hospitalières. La foule s’est rapidement agglutinée derrière le cordon de sécurité mis en place juste après l’attentat. La police scientifique s’affaire dans la recherche d’indices sur ce qui (...)

admin"SNP1975"

admin
Admin

Madani Mezrag, ex Emir de l’AIS à El Khabar

Tags: AIS, Al Quaida, Bouteflika, GSPC, Madani Mezrag





le fils de l’ex-numéro 2 de l’ex FIS est au maquis MadMAD MAZ
Les partisans de Droukdel exécutent un plan des services de renseignement étrangers


Madani Mezrag, l’Emir de l’ex « Armée Islamique du Salut » refuse d’attribuer « le mérite » du projet de la réconciliation nationale au président Abdelaziz Bouteflika. Dans une interview accordée à El Khabar, il a déclaré que l’accord de trêve de 1997 n’a aucun rapport avec la concorde civile. Par ailleurs, il estime que les « partisans de l’émir d’Al Qaida adhèrent à un plan élaboré par les services de renseignements étrangers sans en être conscients ».
El Khabar : En tant qu’ex émir d’un groupe armé, est-ce que la dernière série d’attentats suicides représente un signe de force des groupes armés ?
Madani Mezrag : La chose dont je suis certain, c’est qu’il est dans la possibilité du régime en place de résoudre la crise. Pour ce qui est des groupes armés, nous devons savoir que dans le cas où il ne reste que cinq terroristes dans le maquis, avec la prédisposition de nuire à l’Etat algérien, ils le feront quand ils le voudront. Il n’y a pas de chose plus facile que de placer une bombe dans une rue ou de démolir un transformateur électrique, ou même de cibler un bâtiment de police.
Toutefois et malheureusement, les gens commentent des événements et ne cherchent pas à connaître leurs raisons. Ce qui se passe actuellement est un résultat d’une série d’événements qui sont connus par tout le monde et qui ont commencé le 5 Octobre 1988. Le pouvoir sait que le peuple refuse de continuer à vivre dans un pays caractérisé par les classes sociales et une politique de deux poids deux mesures.
El Khabar : Est-ce qu’à votre avis, l’initiateur du projet, le Président de la République M. Abdelaziz Bouteflika applique la vraie réconciliation nationale ?
Madani Mezrag : Le président de la République n’est pas l’initiateur du projet comme prétend Ouyahia, qui déclare toujours que c’est Bouteflika qui possède les droits d’auteurs de la réconciliation. Cela est faux et n’est qu’une surenchère.
Ouyahia sait parfaitement que l’application effective du projet sur le terrain a été en 1995 et que ce dernier a donné ses fruits en 1997, en aboutissant à une trêve. La réconciliation a commencé deux ans avant l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Il a trouvé prêt et la trêve et la réconciliation.
El Khabar : Vous parlez de la période de la concorde nationale et non pas de la réconciliation ?
Madani Mezrag : Non, l’accord qui a été conclu entre nous et le Commandement de l’Etat Major, représenté, alors, par le Général Ismail Lamari, portait le nom de concorde civile et non pas de réconciliation nationale.
Nous tenons à informer l’opinion publique que nous n’avions pas reconnu la concorde nationale étant donné qu’il s’agit de lois qui ont été destinées à des criminels sanguinaires qui ont perpétré des crimes dans ce pays.
Quand le président a pris les reines du pays, la trêve avait touché la majorité des régions de l’Algérie. Il ne manquait alors que la plateforme juridique et la couverture politique, qui devait être exécutées par Liamine Zeroual, qui a décidé de se retirer pour des raisons bien déterminées.
El Khabar : Ou en est le mouvement politique des protagonistes du FIS ?
Madani Mezrag : Le projet tient toujours et nous y travaillons en toute liberté. Les frères ont toujours les mêmes idées, et nous attendons la bonne occasion pour trancher. Contrairement à ce que pensent certains, nous ne sommes pas confrontés à un problème d’accréditation. Je vous affirme que nous pouvons organiser un congrès par n’importe quel moyen et à n’importe quel moment. Le ministre de l’Intérieur est libre de nous accorder ou pas son autorisation, comme il n’est pas nécessaire d’obtenir l’autorisation.
El Khabar : Croyez-vous donc que les partisans de Droukdel font partie d’un plan élaboré par des services de renseignements étrangers ?
Madani Mezrag : Oui, effectivement, ils y sont mais de manière inconsciente. Toutefois, je ne nie pas le fait que la plupart d’entre eux soit sincère dans sa prédisposition à mourir pour l’Islam.
05-08-2008
Par H. Yes/ Rubrique Traduction

T. bladi

http://www.marocainsdalgerie.net

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