"La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d'indifférence; encore faut-il que l'on désire passionnément écarter ces voiles" Amin Maalouf.
Si tu ne vois pas un arabe à quatre pattes devant toi . Tu le trouves derriére toi avec un couteau rouillé.
Derniérement le couteau de la traitrise a été actionné contre mon projet de mémoire et non contre ma personne.
Basta
Je ne suis pas le christ. Je prefere etre moise.
J'ai remarqué que la haine anti marokki en Algérie est une affaire d'une minorité d'Algérien .
Ils ont même applaudit le clan d'Oujda suite à sa décision de déporter une minorité nationale d'origine marocaine.
Les exemples de cette agressivité ne manquent pas . Je cite à titre d'exemple le témoignage de déporté 75 , je cite" en sortant du commissariat pour etre ejecter à la frontiére algéro-marocaine j'ai remarqué la présence d'une foule aux alentours des cars qui scandait CHAG ESSELK audela du fil barbelé qui symbolise Zoudj Bghal.
Comme il ya une autre minorité de nos fréres algériens qui ont refusé ce sort triste qui a été reservé à leurs voisins d'origines marocaines, je cite cet exemple de cette fraternité:"je suis une algérienne oranaise et je me rapelle trés bien de cette année 1975 ou j'ai pleuré ma copine et amie d'enfance SALIMA qui habitait au quartier Bel air je me rapelle il y'avait un bus et des policiers devant leur maison et quand je me suis approchée en demandant aprés de ma copine un arriviste policier d'oran m'a giflé et m'a même insulté"
Cette hargne contre tout ce qui est chérifien est bien ancrée dans la mémoire collective de nos fréres à tel point qu'ils en usent à outrance pour nous qualifier de Marokki. Il ya deux personnes(l'algérien et l'espagnol) qui utilisent ce nom péjoratif pour nous humilier .
Maintenant je comprends pourquoi le clan d'Oujda a été du côté espagnol dans l'affaire de l'ilot de persil.
Cette haine antimarokki structure l'imaginaire d'une partie du peuple algérien . Elle est fondatrice de l'Etat algérien . Je veux dire du clan d'Oujda qui a instrumentalisé l'epopée de l'Emir Abdeka dans sa partie haineuse du peuple marakchi.
La haine antimaroki en Algérie n'est pas enseigné à l'ecole. Elle est transmise oralement dans les foyers .
C'est un mythe qui structure la mentalité et les fondations d'un etat sans génealogie.
à suivre
Si tu ne vois pas un arabe à quatre pattes devant toi . Tu le trouves derriére toi avec un couteau rouillé.
Derniérement le couteau de la traitrise a été actionné contre mon projet de mémoire et non contre ma personne.
Basta
Je ne suis pas le christ. Je prefere etre moise.
J'ai remarqué que la haine anti marokki en Algérie est une affaire d'une minorité d'Algérien .
Ils ont même applaudit le clan d'Oujda suite à sa décision de déporter une minorité nationale d'origine marocaine.
Les exemples de cette agressivité ne manquent pas . Je cite à titre d'exemple le témoignage de déporté 75 , je cite" en sortant du commissariat pour etre ejecter à la frontiére algéro-marocaine j'ai remarqué la présence d'une foule aux alentours des cars qui scandait CHAG ESSELK audela du fil barbelé qui symbolise Zoudj Bghal.
Comme il ya une autre minorité de nos fréres algériens qui ont refusé ce sort triste qui a été reservé à leurs voisins d'origines marocaines, je cite cet exemple de cette fraternité:"je suis une algérienne oranaise et je me rapelle trés bien de cette année 1975 ou j'ai pleuré ma copine et amie d'enfance SALIMA qui habitait au quartier Bel air je me rapelle il y'avait un bus et des policiers devant leur maison et quand je me suis approchée en demandant aprés de ma copine un arriviste policier d'oran m'a giflé et m'a même insulté"
Cette hargne contre tout ce qui est chérifien est bien ancrée dans la mémoire collective de nos fréres à tel point qu'ils en usent à outrance pour nous qualifier de Marokki. Il ya deux personnes(l'algérien et l'espagnol) qui utilisent ce nom péjoratif pour nous humilier .
Maintenant je comprends pourquoi le clan d'Oujda a été du côté espagnol dans l'affaire de l'ilot de persil.
Cette haine antimarokki structure l'imaginaire d'une partie du peuple algérien . Elle est fondatrice de l'Etat algérien . Je veux dire du clan d'Oujda qui a instrumentalisé l'epopée de l'Emir Abdeka dans sa partie haineuse du peuple marakchi.
La haine antimaroki en Algérie n'est pas enseigné à l'ecole. Elle est transmise oralement dans les foyers .
C'est un mythe qui structure la mentalité et les fondations d'un etat sans génealogie.
à suivre
Dernière édition par Admin le Lun 24 Nov - 23:14, édité 14 fois