L'ENTERREMENT D'UNE SUPERCHERIE
Il ne faut pas s'y tromper, le Maroc vit l'une des étapes les plus cruciales de son existence, autant que celle que la Marche Verte avait inaugurée. Plus de trois décades s'estompent tout doucement dans le passé, le renouveau est enfin palpable, palpitant même, un saut qualitatif.
Ceux qui espéraient, et ont entretenu cet espoir déloyal, que le Maroc craquerait par la force ou la lassitude, savent désormais qu'il n'en sera jamais rien. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a définitivement ôté tout projet cohérent, même ténu, aux hommes perdus du Polisario.
Leurs gourous, ont échoué dans leurs tentatives de faire traîner le problème du Sahara, sinon jusqu'à la fin des temps, du moins jusqu'à ce qu'ils se sortent eux-mêmes de l'enfer pour nous agresser de nouveau.
Sa Majesté le Roi, avait rectifié la voie des aventures dans laquelle on voulait nous mener.Je cite "Je vais répondre franchement, même si je risque de provoquer la colère de certaines personnes. Il y a un problème entre le Maroc et l'Algérie. Il n'y a pas de problème entre le Maroc et le Polisario et ceux-là est la création de l'Algérie ". Pour sa première interview depuis son intronisation, Sa Majesté a tenu à parler clair et franc.
Il n'y a donc ni RASD ni problème du Sahara, il y a, par contre, un problème entre le Maroc et l'Algérie dont le Polisario est la créature.
Il n'y a plus un seul citoyen qui puisse encore avoir quelque doute et des craintes encore moins.
S'il faut aller au Sahara, on y sera plus de 30 millions. Le monde, grandes puissances en tête, a découvert la plus grande supercherie diplomatique du siècle. La résolution meurtrière pour le Polisario qui a été adoptée par le Conseil de sécurité est la clôture d'une parenthèse. Elle avait été présentée par les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France et la Russie.
Cette parenthèse de plus de 3 décennies, où nous avons parfois navigué au radar, mais où jamais le Maroc n'a chancelé, fut une période de luttes, de mesures parfois inopportunes, voire déphasées. Mais il ne faut pas oublier que dans cette lutte à mort, peu de gens donnaient cher de la peau du Maroc, au milieu des années 70.
Il ne faut pas s'y tromper, le Maroc vit l'une des étapes les plus cruciales de son existence, autant que celle que la Marche Verte avait inaugurée. Plus de trois décades s'estompent tout doucement dans le passé, le renouveau est enfin palpable, palpitant même, un saut qualitatif.
Ceux qui espéraient, et ont entretenu cet espoir déloyal, que le Maroc craquerait par la force ou la lassitude, savent désormais qu'il n'en sera jamais rien. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a définitivement ôté tout projet cohérent, même ténu, aux hommes perdus du Polisario.
Leurs gourous, ont échoué dans leurs tentatives de faire traîner le problème du Sahara, sinon jusqu'à la fin des temps, du moins jusqu'à ce qu'ils se sortent eux-mêmes de l'enfer pour nous agresser de nouveau.
Sa Majesté le Roi, avait rectifié la voie des aventures dans laquelle on voulait nous mener.Je cite "Je vais répondre franchement, même si je risque de provoquer la colère de certaines personnes. Il y a un problème entre le Maroc et l'Algérie. Il n'y a pas de problème entre le Maroc et le Polisario et ceux-là est la création de l'Algérie ". Pour sa première interview depuis son intronisation, Sa Majesté a tenu à parler clair et franc.
Il n'y a donc ni RASD ni problème du Sahara, il y a, par contre, un problème entre le Maroc et l'Algérie dont le Polisario est la créature.
Il n'y a plus un seul citoyen qui puisse encore avoir quelque doute et des craintes encore moins.
S'il faut aller au Sahara, on y sera plus de 30 millions. Le monde, grandes puissances en tête, a découvert la plus grande supercherie diplomatique du siècle. La résolution meurtrière pour le Polisario qui a été adoptée par le Conseil de sécurité est la clôture d'une parenthèse. Elle avait été présentée par les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France et la Russie.
Cette parenthèse de plus de 3 décennies, où nous avons parfois navigué au radar, mais où jamais le Maroc n'a chancelé, fut une période de luttes, de mesures parfois inopportunes, voire déphasées. Mais il ne faut pas oublier que dans cette lutte à mort, peu de gens donnaient cher de la peau du Maroc, au milieu des années 70.