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La proposition marocaine d'autonomie est "un grand pas qui doit être
encouragé", a souligné Said Hadef, un intellectuel algérien, ajoutant
que les négociations de Manhasset étaient très importantes pour aller
vers une solution définitive pour ce conflit.
"Le Maroc est un pays qualifié pour bâtir une zone méditerranéenne de
paix. Sa proposition d’autonomie est un grand pas qui doit être
encouragé. Les rencontres de Manhasset étaient très importantes pour
aller vers une solution.
Nous devons dans le cadre de notre société
civile, à travers la presse et tous les autres moyens, convaincre les
dirigeants d’adopter les positions qui servent les intérêts des peuples
qui ne demandent qu’à être unifiés", a affirmé M. Hadef dans un
entretien publié jeudi par le quotidien +Libération+.
"Le conflit du Sahara est un faux problème qui ne doit pas cacher les
réalités de ce dont les peuples ont besoin, à savoir la concorde, la
paix, la compréhension et l’unité pour œuvrer ensemble au développement
de la région maghrébine", a dit M. Hadef qui a participé aux travaux du
Forum international des jeunes pour la paix tenu récemment à Laâyoune.
"Nous devons régler ce problème dans un climat d’entente, de fraternité
et de cordialité. Nous ne devons pas entraver la marche de l’Histoire",
a-t-il ajouté.
"Comme intellectuels, nous devons donner à nos dirigeants des idées
d’unité à l’exemple des Etats européens", a expliqué M. Hadef,
précisant que le devoir qui interpelle tous les jeunes maghrébins
consiste à "créer une unité qui soit rentable".
"Nous avons perdu beaucoup de temps que nous devons récupérer. Pour ce
faire, nous devons unifier nos efforts et créer un climat d’entente et
de compréhension", a-t-il insisté.
Acteur associatif, Said Hadef est également un poète, écrivain et
journaliste.
Il est aussi l’un des fondateurs de l’Association
Nationale des Créateurs en Algérie et membre de l’Union des Écrivains
algériens.
Il a à son actif plusieurs écrits et recueils de poésie édités dans nombre de revues littéraires dans le monde arabe.
Il a été notamment récompensé en octobre 1994 d’un Prix d’Honneur par
l’association culturelle "Al Jahidia", fondée par le romancier Tahar
Wattar.
encouragé", a souligné Said Hadef, un intellectuel algérien, ajoutant
que les négociations de Manhasset étaient très importantes pour aller
vers une solution définitive pour ce conflit.
"Le Maroc est un pays qualifié pour bâtir une zone méditerranéenne de
paix. Sa proposition d’autonomie est un grand pas qui doit être
encouragé. Les rencontres de Manhasset étaient très importantes pour
aller vers une solution.
Nous devons dans le cadre de notre société
civile, à travers la presse et tous les autres moyens, convaincre les
dirigeants d’adopter les positions qui servent les intérêts des peuples
qui ne demandent qu’à être unifiés", a affirmé M. Hadef dans un
entretien publié jeudi par le quotidien +Libération+.
"Le conflit du Sahara est un faux problème qui ne doit pas cacher les
réalités de ce dont les peuples ont besoin, à savoir la concorde, la
paix, la compréhension et l’unité pour œuvrer ensemble au développement
de la région maghrébine", a dit M. Hadef qui a participé aux travaux du
Forum international des jeunes pour la paix tenu récemment à Laâyoune.
"Nous devons régler ce problème dans un climat d’entente, de fraternité
et de cordialité. Nous ne devons pas entraver la marche de l’Histoire",
a-t-il ajouté.
"Comme intellectuels, nous devons donner à nos dirigeants des idées
d’unité à l’exemple des Etats européens", a expliqué M. Hadef,
précisant que le devoir qui interpelle tous les jeunes maghrébins
consiste à "créer une unité qui soit rentable".
"Nous avons perdu beaucoup de temps que nous devons récupérer. Pour ce
faire, nous devons unifier nos efforts et créer un climat d’entente et
de compréhension", a-t-il insisté.
Acteur associatif, Said Hadef est également un poète, écrivain et
journaliste.
Il est aussi l’un des fondateurs de l’Association
Nationale des Créateurs en Algérie et membre de l’Union des Écrivains
algériens.
Il a à son actif plusieurs écrits et recueils de poésie édités dans nombre de revues littéraires dans le monde arabe.
Il a été notamment récompensé en octobre 1994 d’un Prix d’Honneur par
l’association culturelle "Al Jahidia", fondée par le romancier Tahar
Wattar.