Imaginons «La Kaddara Allah», l’Algérie dans vingt ans, plus assez de pétrole pour l’exportation, un Sahara désert, pas de devises car la rente n’est plus là. Une population de 45 à 50 millions d’âmes et des pénuries planétaires d’eau, d’énergie et d’alimentation agrémentées de changements climatiques avec des désastres de grandes amplitudes. Que restera- t-il du pays de 1 million de chahids maintenant que eux qui l’ont géré ne sont plus là pour vivre le désastre? Il va nous arriver ce qui arrive maintenant dans certains pays dits de la «zone grise» où toute possibilité d’un Etat organisé est exclue où c’est la loi de la jungle. Certains pays vivent cela et sont à vendre. Doan Bui écrit à ce propos: «Comment nourrir son peuple quand on a trop d’habitants et trop peu de terres cultivables? Il suffit d’aller les chercher où elles sont. C’est ainsi que la Chine, la Corée du Sud ou les Etats du Golfe se sont lancés dans une véritable course à la terre. Ce ne sont pas seulement des récoltes qu’ils achètent mais des régions entières, dans des pays qui ont déjà du mal à alimenter leur propre population.» Doan Bui raconte les premiers épisodes de ce qui sera une des grandes batailles du XXIe siècle: celle de la nourriture.
Pr Chems Eddine CHITOUR
Expression
Snp
Si je mets en relief la chute du prix de l'or noir et son rapport avec l'economie algérienne . C'est pour rappeler aux prédateurs et rentiers algériens que le petrole n'est pas une richesse mais une potentialité.
Hélas le régime volontariste algérien est coupable d'avoir cultiver des fausses attentes parmi les algériens en se basant sur une rente tarissable.
Je ne fais que montrer le talon d'achile de ce régime detesté par son peuple.
C'est honteux de baser sa loi de finance sur l'index du prix de cette malédiction.
Pr Chems Eddine CHITOUR
Expression
Snp
Si je mets en relief la chute du prix de l'or noir et son rapport avec l'economie algérienne . C'est pour rappeler aux prédateurs et rentiers algériens que le petrole n'est pas une richesse mais une potentialité.
Hélas le régime volontariste algérien est coupable d'avoir cultiver des fausses attentes parmi les algériens en se basant sur une rente tarissable.
Je ne fais que montrer le talon d'achile de ce régime detesté par son peuple.
C'est honteux de baser sa loi de finance sur l'index du prix de cette malédiction.