Ce matin dans le métro, je lisais un gratuit, il y avait une rubrique "HOMMAGE DE LA FRANCE AUX HARKIS", chose étrange j'ai pensé à ma mère non qu'elle soit harki mais j'ai pensée à l'hommage qu'on pouvait faire à nos mères "yema" "mama" , celle qui nous a donné la vie, puis porté, nourrit, chérit parfois même maltraité, celle qu'on a pas comprise, celle qui parfois est restée un mystère, celle qui n'a eu de cesse que le combat pour la liberté.Et celle qui à été, qui sera, qui restera ou celle qui n'est plus.
Au nom de la mienne Je vais vous parler de cette dernière, celle qui à combattu pour la liberté, l'indépendance.
Il était une fois non pas un récit d'aventures imaginaires destiné à vous distraire, à vous instruire en vous amusant,non ce n'est pas Shéhérazade dans les contes des mille et une nuits, non plus.
Il était une fois dans une contrée du nord du Maroc qui s'appelle Farjana, est née en 1938 le jour incognito mais il est sur que c'était Laïd, une enfant qui à eu comme prénom Bélaïda, ses parents sont parties du maroc alors qu'elle avait 5 ou 6 ans à Oran-Algérie pour une terre et mère nourricière. Mes grands-parents du côté de ma mère ont travaillé dur pour acquérir ce qui aujourd'hui appartient à autrui. A l'âge de 16 ans encore adolescente je l'imagine mettre fin à ses jeux la marelle, l'élastique, les ossselets ma mère fut marié à feu mon père. Mon père n'est autre que le fils de Hanasse (vous vous souvenez du figuier c'est elle). Bélaïda, belle, jeune, avec un brun (brin) de la kayna elle eu 2 enfants et mon père mourut. C'était la guerre d'algérie, mon oncle "Boudouche" était un jeune garçon curieux, guidé par l'envie de savoir, il se postait toujours sur la terrasse en dessous des branches de ce figuier millénaire, et ma mère allait le chercher, pour le faire rentrer dans notre maison familiale de peur des représailles.
Les français ne faisaient pas de distinction entre un algérien et un marocain pour eux nous étions des bougnoules.....
Au nom de la mienne Je vais vous parler de cette dernière, celle qui à combattu pour la liberté, l'indépendance.
Il était une fois non pas un récit d'aventures imaginaires destiné à vous distraire, à vous instruire en vous amusant,non ce n'est pas Shéhérazade dans les contes des mille et une nuits, non plus.
Il était une fois dans une contrée du nord du Maroc qui s'appelle Farjana, est née en 1938 le jour incognito mais il est sur que c'était Laïd, une enfant qui à eu comme prénom Bélaïda, ses parents sont parties du maroc alors qu'elle avait 5 ou 6 ans à Oran-Algérie pour une terre et mère nourricière. Mes grands-parents du côté de ma mère ont travaillé dur pour acquérir ce qui aujourd'hui appartient à autrui. A l'âge de 16 ans encore adolescente je l'imagine mettre fin à ses jeux la marelle, l'élastique, les ossselets ma mère fut marié à feu mon père. Mon père n'est autre que le fils de Hanasse (vous vous souvenez du figuier c'est elle). Bélaïda, belle, jeune, avec un brun (brin) de la kayna elle eu 2 enfants et mon père mourut. C'était la guerre d'algérie, mon oncle "Boudouche" était un jeune garçon curieux, guidé par l'envie de savoir, il se postait toujours sur la terrasse en dessous des branches de ce figuier millénaire, et ma mère allait le chercher, pour le faire rentrer dans notre maison familiale de peur des représailles.
Les français ne faisaient pas de distinction entre un algérien et un marocain pour eux nous étions des bougnoules.....