Algérie-Maroc


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Algérie-Maroc
Algérie-Maroc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Algérie-Maroc

Forum de discussion entre Maghrébins, expulsés marocains d'algerie,algerie-maroc

-14%
Le deal à ne pas rater :
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 – RAM 8Go/SSD 256Go
799 € 930 €
Voir le deal

Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

La face cachée de l'histoire de la famille Bouabdallah

3 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

admin"SNP1975"

admin
Admin

La face cachée de l'histoire de la famille Bouabdallah Malg10


Emir Khaled petit fils de l'Emir Abdelkader est le 1ér des 2éme franciss algériens au Maroc.

Ainsi , tous ses efforts ne lui ont pas servi ; ni sa conduite au maroc , ou il a guerroyé pour la civilisation , en héros , contre les fréres musulmans , ou il se déguisait en montagnard( Djellaba et Taguiya) pour s'introduire dans leurs ( les marocains ) milieux, au profit des conquérant , tout ce qu'il a pu faire pour la grandeur de la France et l'asservissement des ses compatriotes et coreligionnaires ne lui a pas été profitable. Peine inutile , espoir évéporé comme une promesse d'un fonctionnaire bourgeois.


Nous aurons l'occasion de parler ulterieurement de la partie occulte de l'histoire de cette famille algéro-marocaine de Berkane.

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Je vous raconte la face cachée de la famille Bouabdallah dite Belhadj selon les habitants de Berkane.

Ce récit m'a été raconté en 2007 par un vieux berkani à Nador propriétaire d'un café fréquenqué par Mr Belhadj.

Il m'a dit " à l'origine la famille Belhadj était des 2éme franciss* avant d'être nationaliste dans les années cinquante.

Le pére était un intermédiaire entre les Français et les indigénes marocains. C'était un semassar cupide.

Tu sais à l'époque les marocains refusaient de vendre leurs lopins de terre aux chrétiens( les Français) et pour contourner cet obstacle. Les colons avaient recours aux wastis algériens pour aboutir à la transaction de vente.

Nombreux sont les algériens qui ont acquis des terres fertiles et des fermes en procédant de cette maniére.

Aprés un long silence il me balance une confession qui est lourde de conséquence .

Tu sais mon fils que :"Certains ignorent le terme "deuxième françiss" que les marocains
appliquaient à ces algériens "français" qui faisaient la pluie et le beau temps à l'époque du protectorat.

Ils étaient beaucoup plus craints que les Français de souche ,car ils étaient plus que zélés envers leurs "frères" marocains".

Revenons à la famille Belhadj je vous confirme que le pére à rejoins le FLN au Maroc en jouant le rôle d'agent" de renseignement et de liaison puisqu'il était également un "homme" du colonialisme français et c'était pour eux un élément sûr et cette affaire de son arrestattion était vraie .

Mais c'était malgré lui
Suite à l'indépendance du Maroc beaucoup d'Algériens qui avaient le statuts de colons ont été expropriés de leurs fermes et de leurs terres fertiles.
On peut citer parmi eux la famille Kasdi Merbeh qui possedait 250 hectares de terre arable à Machraa Belkssiri et la famille de Cherif Belkacem à Kasbat Tadla.
La famille Bouabdallah a été spoliées en 1973 de ses biens immobilliers suite au dahir de 1973 sur la marocanisation des biens agricoles ...
En 1975 un des fils de Bouabdallah a été expulsé en Algérie suite à son refus d'accepter que ses camions soient perquisitioner pour le transport des marcheurs de la marche verte.
Lui et sa soeur ont été manipuler par le pourvoir en devenant des propagandistes pour le compte d'une emission radiophonique le Maghreb des peuples en Algérie.
Actuellement cette personne occupe le poste de PDG d'air Algérie.
Une partie de la progeniture de Bouabdallah a quitté le Maroc pour l algerie a l aube de l'independance de ce dernier et une autre partie est restée dans le sillage du grand patriarche et devenu marocaine par la naturalisation.
je te citerai Belahdj le dirigeant du parti -FORCE CITOYENNE- et grand producteur des agrumes à Berkane,beaucoup occupe de grands postes dans l'etat marocain, à titre d'exemple l'ancien préfet de police d ' Oujda Abouabdellah.



* Cette participation massive des Algériens dans l¹administration du Protectorat leur a donné, aux yeux des Marocains, l¹image de gens qui se rapprochaient des Français et s¹éloignaient de leurs frères musulmans. Ainsi ils sont traités de «shab nçara» c¹est-à-dire «les amis des Chrétiens ou 2éme franciss"

*
à suivre



Dernière édition par admin le Mar 10 Mar - 19:48, édité 10 fois

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Une partie de la progeniture de Bpouabdallah a quitté le Maroc pour l algerie a l aube de l'independance de ce dernier et une autre partie est restée dans le sillage du grand patriarche et devenu marocaine par la naturalisation.
je te citerai Belahdj le dirigeant du parti -FORCE CITOYENNE- et grand producteur des agrumes à Berkane,beaucoup occupe de grands postes dans l'etat marocain, à titre d'exemple l'ancien préfet de police d ' Oujda Abouabdellah.

http://www.marocainsdalgerie.net

oranaisfier

oranaisfier

Mon cher admin, un article a déjà paru sur le journal algérien "El Watan" du 5 mars 2009, avec la photo que tu as probablement du faire un copie coller. Pour lire l'article, je te donne le lien:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

un autre article paru sur le journal algérien "La tribune" a tiré un article, voilà le lien:http://www.latribune-online.com/histoire_08/12582.html


donc stp, il ne faut pas en faire un peu trop et à romancer sur cette famille.

admin"SNP1975"

admin
Admin

t'inquiétes rien ne m'echappe concernant les rapports algéro-marocains

Merci pour tes liens qui ont été déja publiés sur ce lien :

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

http://www.marocainsdalgerie.net

oranaisfier

oranaisfier

Encore un lien
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

du journal la tribune.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Je vois que tu es alerte en ce qui concerne les affaires algéro-marocaines.
Je te rends hommage pour ta cooperation.
Sinon ton lien ci-dessus il a été publié sur mon blog le 26/02/09 .

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Hommage à Hadj Mustapha Bouabdallah




Il y a quarante jours, un grand personnage de la révolution algérienne s’en est allé : El Hadj Mustapha Bouabdallah. A cette occasion, les amis de son fils, Abdelwahid Bouabdallah, veulent, ici, lui rendre hommage en évoquant le parcours de celui que les grands, comme les plus humbles personnages de la lutte de Libération nationale connaissent mieux sous le pseudonyme de « Si Belhadj ».



Abdelwahid, certains d’entre nous ont eu la chance de rencontrer ton père ; d’autres n’ont pas eu ce privilège. Mais nous tous estimons bien le connaître. Car, malgré ta grande réserve sur les affaires de ta famille, il t’arrive, au détour d’une circonstance particulière, de nous révéler tel aspect de la personnalité de ton père ; ou tel ou tel événement qui a marqué son parcours au service de la révolution algérienne. Qu’avons-nous conservé de ces confidences que nous avons recueillies de ta bouche au cours des années où nous t’avons côtoyé ? Beaucoup de choses, en fait. Et il y aurait matière à écrire plus d’un livre. Ce que nous avons voulu livrer aujourd’hui, ce sont des aspects plutôt personnels et peut-être aussi parmi les plus émouvants dans le parcours de ton père. Car nous pensons qu’après son départ, les Algériens ont le droit de mieux connaître ce personnage exceptionnel de la lutte de Libération nationale. Nous comprenons ce que cette initiative peut heurter la pudeur que tu as toujours voulu garder sur les événements intimes de ta famille. Mais nous prenons ce risque, car ton père appartient désormais à l’histoire ; aussi, nous espérons que tu nous pardonneras notre hardiesse.
Ce qui nous a frappés dès le départ chez ton père, c’est le fait que c’était un homme fortuné qui a particulièrement bien réussi son implantation au Maroc ; après que ton grand-père y avait émigré au début du siècle dernier, fuyant les manœuvres spoliatrices des colonisateurs français. Nous savons qu’assez tôt ton père est devenu propriétaire de près de 6000 hectares sur les bonnes de terres de la Moulouya à Berkane, entre Oujda et Nador. Et qu’en plus il possédait de nombreux lotissements dans ces différentes villes. C’est tout ce patrimoine et ces richesses que ton père et ses frères ont mis au service de la révolution algérienne. Et cela sans réserve aucune et sans subir la moindre contrainte pour le faire. Tu nous as parfois parlé de ces terres mises à la disposition totale des troupes de l’ALN pour les exploiter pour les besoins d’approvisionnement des djounoud. Tu as évoqué le premier l’hôpital de l’ALN situé dans la ferme familale Duroy où ont longtemps exercé, parmi d’autres, les docteurs Khati, Franz Fanon, Amir, Ouahrani, Saïd. Le grand Frantz Fanon, nul besoin de le présenter.
En revanche, le docteur Khati gagnerait à être mieux connu et honoré ; lui qui soignait aussi bien les officiers et djounoud de l’ALN que les populations locales marocaines des montagnes de Nador où sa maîtrise de l’amazigh lui permettait de sympathiser facilement avec les Chleuhs du Rif. C’est encore le centre d’instruction des forces spéciales à la Moulouya, près de Nador, dirigé par le sévère Abdallah Arbaoui (dit Nehru) et qui a accueilli les Khlalef (dit Merbah), Delleci, Maoui et tant d’autres. Nous nous souvenons aussi de l’évocation que tu faisais de l’école des cadres de l’ALN ou de l’école des transmissions dirigée par Abdehafidh Boussouf, qui a vu défiler tant de jeunes patriotes. C’est le centre d’instruction de Zghazen qui a accueilli les grands révolutionnaires africains comme Nelson Mandela et Amilcar Cabral qu’a côtoyés le futur général Lamari. Ce sont aussi ces endroits discrets que ton père mettait à la disposition des équipes de Messaoud Zeggar pour tester en toute quiétude les armes fabriquées dans les usines clandestines de l’ALN. Messaoud Zeggar, un homme pour lequel ton père éprouvait une grande estime et avec qui il a convoyé des quantités impressionnantes d’armes en provenance des filières clandestines à partir des ports marocains ou des bases américaines implantées dans ce pays. Il nous revient à l’esprit cet épisode cocasse où les gendarmes marocains demandaient à ton père un peu moins de désinvolture en évitant de donner le même numéro minéralogique à deux mêmes camions d’un convoi d’armement.
Ce à quoi Bakhti Nemiche, lalors convoyeur, répondait que ces camions étaient jumeaux ! Car il faut savoir que non seulement ton père mettait ses biens au service de la Révolution, mais n’hésitait pas à payer de sa personne. En raison de sa forte notoriété dans la région, il avait plus de facilité pour circuler, et donc la possibilité de faire passer dans ses véhicules hommes et armes, souvent à la barbe des policiers français avant l’indépendance du Maroc. Bien entendu, les autorités françaises ont fini par se rendre compte de son travail crucial pour la lutte de Libération nationale. En représailles, celui que les Français appelaient « le colon FLN » a vu votre ferme de Athamna bombardée par l’aviation française. Ton père a acquis une telle importance pour la révolution algérienne que les Français ont fini par l’arrêter. Ce qui a provoqué une riposte immédiate de l’ALN qui a kidnappé à Casablanca le colonel Mazurier. Et, fait unique dans les annales de la lutte de Libération nationale, ce colonel a fait l’objet d’un échange avec ton père. Ce qui a évité la fouille d’Oujda et la divulgation aux services français des renseignements clés sur le dispositif de soutien à l’ALN mis en place aux frontières algéro-marocaines. Il faut dire qu’en plus de la logistique impressionnante mise à la disposition de la Révolution, ton père avait accueilli les plus grandes personnalités de la lutte armée comme Larbi Ben M’hidi, Houari Boumediène, Abdelhafidh Boussouf et Lakhdar Bentobbal pour lesquels il éprouvait le plus grand respect. Les terres et propriétés de ton père étaient devenues en quelque sorte le berceau de l’Algérie souveraine en construction puisqu’elles accueillaient déjà les premières manifestations de l’Algérie libre comme ces défilés des Scouts Musulmans Algériens brandissant fièrement le drapeau national. Même les comédiens algériens venaient y interpréter leurs pièces, comme les regrettés Boubegra et l’Apprenti venus un jour à la ferme Madagh jouer Le Malade Imaginaire de Molière.
Mais nous savons qu’au-delà de la mise à la disposition de l’ALN de l’ensemble de ses biens et de son propre engagement dans l’action directe, ton père a donné à la Révolution ce qu’il avait de plus cher : son fils aîné Mohamed. Lieutenant dans les rangs de l’ALN, sous les ordres d’Omar Driss, lorsqu’il est tombé au champ d’honneur dans les monts de Mdjedel entre M’sila et Djelfa en 1958, ton frère Mohamed était monté au maquis dès l’année 1956. Tu nous as permis de jeter parfois le regard sur ces photos jaunies qui montraient un beau jeune homme, amoureux de la chasse et des belles voitures. Un jeune homme à qui tout souriait mais qui a préféré le combat libérateur à tout autre projet. Tu nous autoriseras de reproduire ici le fac-similé de cette lettre très personnelle où son ultime pensée allait à votre maman. Cette lettre, rédigée à l’encre verte “quelque part en Algérie”, semblait prémonitoire. Car c’était la dernière lettre de celui qui a choisi le pseudonyme de « Bouamama », écrite quelques semaines à peine avant sa mort. Comme la lettre de Zabana à sa famille avant de faire face à la sinistre guillotine, la lettre de ton frère Mohamed mériterait de figurer au programme de toutes les écoles algériennes ; pour inculquer le sens du sacrifice aux jeunes générations d’Algériens. Nous savons que la mort de Mohamed a profondément bouleversé ton père et qu’il l’a cachée à ta maman jusqu’à l’indépendance.
L’engagement total de ton père au service de la Révolution algérienne et les sacrifices qu’il a consentis pour son aboutissement se doublaient chez lui d’un combat inlassable pour l’avènement du Maghreb uni. Nous savons qu’il a beaucoup aidé les résistants marocains lors de leur insurrection pour l’indépendance au début des années 1950. Une contribution qui lui a valu la reconnaissance officielle des autorités marocaines et de la grande tribu des Bachiri qui l’ont honoré à Tafouralt en 2007. Comme il avait entretenu des relations de grande qualité et de respect avec le regretté roi Mohamed V. Ce dernier l’ayant reçu en 1960 au palais royal avec une délégation du notables algériens installés au Maroc et l’assurant de sa solidarité indéfectible pour la libération de notre pays. Malheureusement, les vicissitudes dans les relations algéro-marocaines après l’indépendance se sont traduites pour ton père par beaucoup d’amertume et de persécutions. Nous savons qu’il a dû subir des vexations et même des tortures de la part des autorités locales marocaines après l’épisode de la « guerre des sables » en 1963. Nous savons aussi qu’après la « marche verte » de 1975, et en violation des engagements du Traité d’Ifrane de 1969, le pouvoir marocain lui a non seulement confisqué l’ensemble de ses terres, mais l’a expulsé vers l’Algérie pendant cinq longues années.
Ce qui a encore meurtri ton père, c’est le fait que les autorités algériennes de l’époque n’avaient pas levé le moindre petit doigt pour dénoncer cette injustice à l’encontre d’un personnage qui a tant servi les deux pays. Mais ton père n’était pas homme qui pouvait aussi facilement se laisser abattre par la petitesse ou la myopie des gouvernants. Pendant son exil, il a poursuivi son action pour la construction du Maghreb uni. Nous savons que c’est pendant cette période d’exil qu’il a eu l’opportunité de mieux connaître Ferhat Abbes, un autre proscrit à ce moment-là ; et qu’il a eu le plaisir de découvrir toute la dimension d’homme d’Etat qu’incarnait cette grande figure du nationalisme algérien et maghrébin. Dans ce que nous venons de te rappeler, cher Wahid, nous avons surtout évoqué l’homme d’action que tu nous as fait découvrir chez ton père. Mais Si Belhadj avait aussi des qualités humaines qui ont profondément marqué ceux qui l’on côtoyé. Tous les témoins de l’époque de la Révolution se souviennent avec émotion de ses interventions continues pour dissiper les querelles et les différends qui éclataien t parfois entre les officiers et responsables de l’ALN. Et cela, grâce à ses qualités de modérateur et de conciliateur. Bien sûr, il n’a pas pu éviter tous les drames qui ont endeuillé la solidarité entre frères de combat. Il n’a pas pu arrêter le cycle tragique qui a conduit à la condamnation du jeune capitaine Zoubir qu’il appréciait particulièrement.
Comme il n’a fait qu’assister au passage d’Abane Ramdane à la frontière sans se douter du sort funeste qui l’attendait quelques jours plu tard. Mais combien d’autres drames il a pu éviter à la Révolution en usant de diplomatie et de son sens de la mesure.Alors qu’il se montrait tellement prodigue pour les affaires sacrées, comme la lutte de libération nationale, et envers les humbles, comme ce village marocain qu’il a électrifié de ses propres deniers sans en parler à quiconque, ton père montrait un grand sens de l’économie pour les affaires domestiques. Comme toi, nous avons été émus en découvrant ses papiers personnels où il notait consciencieusement le journal de ses dépenses et créances, de cette écriture serrée et cursive qui rappelle étonnemment la tienne, Wahid. Ce sens de l’économie juste, qui contraste avec sa générosité envers les causes nobles, c’est une qualité que vous, ses enfants, avaient certainement héritées de lui.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

El watan 05/04/09

http://www.marocainsdalgerie.net

becharelkhir

becharelkhir

Ces Nakarine El-Khir parlent du soutien inconditionnel que le Maroc leur a accordé , comme c'est du rien n'était(...)!!?, واذا عرف السبب غـاب العجب طبعا .

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum