Aucun echo positif de la part d'Alger en ce qui concerne les demandes d'ouvertures des frontiéres de la part de Rabat.
Le ministre marocain des Affaires étrangères Taieb Fassi Fihri a indiqué dimanche à Tripoli :
"Nous caressons tous l'espoir au Maroc que la possibilité d'une normalisation avec l'Algérie puisse se faire au plus tôt et dans les meilleurs délais", a déclaré M. Fihri en marge d'une réunion des chefs de diplomatie des cinq pays de l'Union du Maghreb arabe (UMA).
AFP
Abdelaziz Bouteflika a envoyé un message clair à Rabat. « Je n'ai pas besoin de réaffirmer nos positions dans le monde arabe, en Afrique et dans le Tiers-Monde et notre appui à toutes les causes justes et notamment à celles des peuples en lutte pour leur libération comme le peuple sahraoui et le peuple palestinien. », a-t-il dit dans son discours.
Le chef de l'Etat algérien met ainsi au même niveau les deux causes sahraouie et palestinienne. Un problème de colonialisme qui doit être résolu avec l'indépendance de ces deux territoires occupés. Or, comme le montre les dernières tergiversations marocaines dans les négociations avec le Front Polisario, Rabat ne semble pas prêt à accepter une solution juste dans ce conflit. Dans ce contexte, les appels du Maroc en faveur de la réouverture des frontières et d'une normalisation avec l'Algérie ont très peu de chances d'être entendus à Alger .
tsa
Le ministre marocain des Affaires étrangères Taieb Fassi Fihri a indiqué dimanche à Tripoli :
"Nous caressons tous l'espoir au Maroc que la possibilité d'une normalisation avec l'Algérie puisse se faire au plus tôt et dans les meilleurs délais", a déclaré M. Fihri en marge d'une réunion des chefs de diplomatie des cinq pays de l'Union du Maghreb arabe (UMA).
AFP
Abdelaziz Bouteflika a envoyé un message clair à Rabat. « Je n'ai pas besoin de réaffirmer nos positions dans le monde arabe, en Afrique et dans le Tiers-Monde et notre appui à toutes les causes justes et notamment à celles des peuples en lutte pour leur libération comme le peuple sahraoui et le peuple palestinien. », a-t-il dit dans son discours.
Le chef de l'Etat algérien met ainsi au même niveau les deux causes sahraouie et palestinienne. Un problème de colonialisme qui doit être résolu avec l'indépendance de ces deux territoires occupés. Or, comme le montre les dernières tergiversations marocaines dans les négociations avec le Front Polisario, Rabat ne semble pas prêt à accepter une solution juste dans ce conflit. Dans ce contexte, les appels du Maroc en faveur de la réouverture des frontières et d'une normalisation avec l'Algérie ont très peu de chances d'être entendus à Alger .
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