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Auteur Said Berkani
Je suis algérien d'origine marocaine. Je viens de découvrir ce site. Formidable !... Émouvant !... Et pas seulement un peu....
J'ai un tas de choses à dire. Mais pas maintenant. Because : très occupé en ce moment Mais je reviendrai, promis, juré !... Tout ce que je puis dire maintenant, c'est qu'il y a, dans le peu que je viens de lire, quelque chose qui correspond beaucoup à une opinion que j'ai toujours eue pour en avoir fait l'expérience, personnellement, dans ma chair et mon affectivité. Ceci : il n'y a pas plus de haine entre les peuples qu'entre... les régimes. Certes, il peut y en avoir entre deux personnes appartenant à deux nationalités différentes, en l'espèce : un Marocain et un Algérien, qui ne se connaissent même pas, et c'est, malheureusement, très courant. Comme elle existe entre Marocains et Algériens en tant que groupes. Dans les deux cas, rien n'explique cette haine sinon que les uns et les autres ont des nationalités de deux pays en conflit, ouvert ou chronique. Mais cette haine-là est tout ce qu'il y a de plus artificielle. Elle est le produit des régimes. Lesquels n'ont de cesse de développer, consciemment, et consciencieusement, une idéologie globale participant du nationalisme le plus étroit, pour, sinon justifier des carences multiples vécues dramatiquement au quotidien par les trimards que nous sommes, du moins s'en prévaloir comme prétexte, comme une carte sortie de sous la table, en cas de crise... Entre eux, les régimes s'entendent très bien. Leurs diplomates, dans les grands palaces du monde, trinquent ensemble. Leurs diplomates et leurs espions !... Les vacheries type expulsions des Marocains sont à mettre au compte des coups de tête qu'on peut avoir quand on a le dos au mur... et qu'on n'a pas l'intelligence de se dire que, l'histoire du monde étant encore à faire, aucune sorte d'urgence politique ne saurait justifier le moindre drame humain. Et là se trouvent la tare et le travers de tous les pays sous développés, dont les dirigeants gèrent les affaires de leurs pays et les leurs propres d'une façon si minable et si petite que les vies humaines et le sort des gens ordinaires présentent tellement peu dans leurs calculs qu'ils les font passer automatiquement, sans même y penser, par réflexe de truands vorace, en perte et profit...
Voilà.... je ne pensais pas m'attarder autant cette fois, mais il fallait bien que je finisse mon idée.
Salut à toutes et à tous et à bientôt.
Said
J'aurais le temps ulterieurement de repondre sur ces questionnements souligné en rouge.
En tout les cas , vous avez posez les bonnes questions.
Je suis algérien d'origine marocaine. Je viens de découvrir ce site. Formidable !... Émouvant !... Et pas seulement un peu....
J'ai un tas de choses à dire. Mais pas maintenant. Because : très occupé en ce moment Mais je reviendrai, promis, juré !... Tout ce que je puis dire maintenant, c'est qu'il y a, dans le peu que je viens de lire, quelque chose qui correspond beaucoup à une opinion que j'ai toujours eue pour en avoir fait l'expérience, personnellement, dans ma chair et mon affectivité. Ceci : il n'y a pas plus de haine entre les peuples qu'entre... les régimes. Certes, il peut y en avoir entre deux personnes appartenant à deux nationalités différentes, en l'espèce : un Marocain et un Algérien, qui ne se connaissent même pas, et c'est, malheureusement, très courant. Comme elle existe entre Marocains et Algériens en tant que groupes. Dans les deux cas, rien n'explique cette haine sinon que les uns et les autres ont des nationalités de deux pays en conflit, ouvert ou chronique. Mais cette haine-là est tout ce qu'il y a de plus artificielle. Elle est le produit des régimes. Lesquels n'ont de cesse de développer, consciemment, et consciencieusement, une idéologie globale participant du nationalisme le plus étroit, pour, sinon justifier des carences multiples vécues dramatiquement au quotidien par les trimards que nous sommes, du moins s'en prévaloir comme prétexte, comme une carte sortie de sous la table, en cas de crise... Entre eux, les régimes s'entendent très bien. Leurs diplomates, dans les grands palaces du monde, trinquent ensemble. Leurs diplomates et leurs espions !... Les vacheries type expulsions des Marocains sont à mettre au compte des coups de tête qu'on peut avoir quand on a le dos au mur... et qu'on n'a pas l'intelligence de se dire que, l'histoire du monde étant encore à faire, aucune sorte d'urgence politique ne saurait justifier le moindre drame humain. Et là se trouvent la tare et le travers de tous les pays sous développés, dont les dirigeants gèrent les affaires de leurs pays et les leurs propres d'une façon si minable et si petite que les vies humaines et le sort des gens ordinaires présentent tellement peu dans leurs calculs qu'ils les font passer automatiquement, sans même y penser, par réflexe de truands vorace, en perte et profit...
Voilà.... je ne pensais pas m'attarder autant cette fois, mais il fallait bien que je finisse mon idée.
Salut à toutes et à tous et à bientôt.
Said
J'aurais le temps ulterieurement de repondre sur ces questionnements souligné en rouge.
En tout les cas , vous avez posez les bonnes questions.
