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Si Bouteflika s’empare du DRS…
le 15 Juin, 2009
Si les services de sécurité et en particulier le DRS tombe dans l'escarcelle du clan Bouteflika, cela augure de grands dangers pour ce pays. On peut reprocher souvent à nos "services" des tas de choses mais ils demeurent un élément essentiel de l'équilibre politique et économique dans le pays. Il est important pour le DRS de ne pas se laisser entrainer dans une aventure extrêmement périlleuse mettant en danger les acquis de 15 ans de lutte contre l'intégrisme. Il est important pour le DRS de mettre de l'ordre au sein de la famille MDN qui a travers certains de ses chefs (se revendiquant pour certains d'être très proches du président) s'entredéchirer au point de perdre tout le capital sympathie acquis auprès des Algériens et surtout de perdre (comme c'est déjà le cas malheureusement) toute forme de respect et de crédibilité auprès des étrangers (toutes les entreprises étrangères ayant des intérêts avec le MDN sont stupéfaites d'apprendre que ce ministère refuse de traiter avec des nationaux - chose inimaginable dans d'autres pays - voire même de les décrédibiliser) Le DRS organe essentiel (qui aux yeux de beaucoup de gens représente le dernier rempart) doit obligatoirement se mettre dans le mode de valorisation des énergies locales, régionales et nationales, il doit en autre s'affirmer de manière claire (il en a les moyens) redorer son image auprès des intellectuels, journalistes et operateurs économiques qui souvent l'accusent d'avoir soutenu Bouteflika moyennant l'impunité pour certains et d'avoir laisser nos potentialités humaines algériennes tomber sous l'escarcelle et structurés par toutes les formes d'entités, entreprises et services étrangers par dépit et désespoir. Tous les pays ont besoin d'un organe de renseignement puissant et cela est encore beaucoup plus valable en Algérie ou l’Etat reste passif devant un combat entre deux projets de société (intégriste et obscurantiste contre progressiste et moderne) l'exemple en est éloquent dans la rivalité Belkhadem vs Ouyahia. N'oublions jamais cette règle concernant les services de renseignements : LEURS SUCCES SONT INCONNUS MAIS LEURS ECHECS SONT RETENTISSANTS. J'ai de l’espoir, attendons, les choses vont s'éclaircir.
Draken
Le Matin
le 15 Juin, 2009
Si les services de sécurité et en particulier le DRS tombe dans l'escarcelle du clan Bouteflika, cela augure de grands dangers pour ce pays. On peut reprocher souvent à nos "services" des tas de choses mais ils demeurent un élément essentiel de l'équilibre politique et économique dans le pays. Il est important pour le DRS de ne pas se laisser entrainer dans une aventure extrêmement périlleuse mettant en danger les acquis de 15 ans de lutte contre l'intégrisme. Il est important pour le DRS de mettre de l'ordre au sein de la famille MDN qui a travers certains de ses chefs (se revendiquant pour certains d'être très proches du président) s'entredéchirer au point de perdre tout le capital sympathie acquis auprès des Algériens et surtout de perdre (comme c'est déjà le cas malheureusement) toute forme de respect et de crédibilité auprès des étrangers (toutes les entreprises étrangères ayant des intérêts avec le MDN sont stupéfaites d'apprendre que ce ministère refuse de traiter avec des nationaux - chose inimaginable dans d'autres pays - voire même de les décrédibiliser) Le DRS organe essentiel (qui aux yeux de beaucoup de gens représente le dernier rempart) doit obligatoirement se mettre dans le mode de valorisation des énergies locales, régionales et nationales, il doit en autre s'affirmer de manière claire (il en a les moyens) redorer son image auprès des intellectuels, journalistes et operateurs économiques qui souvent l'accusent d'avoir soutenu Bouteflika moyennant l'impunité pour certains et d'avoir laisser nos potentialités humaines algériennes tomber sous l'escarcelle et structurés par toutes les formes d'entités, entreprises et services étrangers par dépit et désespoir. Tous les pays ont besoin d'un organe de renseignement puissant et cela est encore beaucoup plus valable en Algérie ou l’Etat reste passif devant un combat entre deux projets de société (intégriste et obscurantiste contre progressiste et moderne) l'exemple en est éloquent dans la rivalité Belkhadem vs Ouyahia. N'oublions jamais cette règle concernant les services de renseignements : LEURS SUCCES SONT INCONNUS MAIS LEURS ECHECS SONT RETENTISSANTS. J'ai de l’espoir, attendons, les choses vont s'éclaircir.
Draken
Le Matin
