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Aujourd'hui à Laayoune: Images de guerre civil et Drapeaux Saharaouis Hissés

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oranaisfier
IDRISSIDE
MJB
yaz
admin"SNP1975"
slimane
boumedienne
moi même
12 participants

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MJB



slimane a écrit:PROPAGANDE ................LE SITE DJEZAIR TIMES EST UN SITE MAROCAIN ............................!!!
IL A ETE DETOURNE PUIS ACQUIT PAR LES MAROCAINS SANS QU'ILS CHANGENT LE LOOK POUR MIEUX FAIRE CROIRE QUE CE SONT LES ALGERIENS QUI DIFFUSENT ........!!!
OUI, mais ca reste un feu avec sa fumée!!!!!!

moi même

moi même

Le Maroc a gagné la bataille médiatique:

journal jordanien





En réponse aux allégations mensongères du "polisario", de l'Algérie et des média espagnols visant à "tromper l'opinion publique internationale, le Maroc a choisi d'affaiblir ses adversaires en mettant à nu leurs mensonges", ajoute la publication.



"Addoustour" relève que la vidéo immortalisant les événements de Laâyoune a permis à "l'opinion publique internationale de découvrir pour la première fois la barbarie des séparatistes" au vu des scènes choquantes montrant "des mutilations de cadavres d'éléments de forces de l'ordre marocaines, outre les attaques contre les ambulances et les établissements publics, et les commandos munis d'armes blanches prêts à tuer le premier venu".



Avec la décision des forces de l'ordre marocaines d'intervenir, le 8 novembre courant, pour la protection de l'intégrité physique des personnes séquestrées dans le campement de Gdim Izik, la bataille médiatique a été déclenchée par le"polisario", l'Algérie et les média espagnols contre le Maroc, poursuit l'auteur de l'article.



Ainsi, les média espagnols se sont basés sur "les déclarations des séparatistes et des dirigeants du "polisario" ainsi que sur les dépêches de l'Agence de presse algérienne officielle", relève le journal jordanien qui ajoute que "les média espagnols (en général) ne se sont pas donnés la peine de vérifier la véracité des informations et des photos qu'ils ont publiées".



"Addoustour" revient aussi sur la publication par l'Agence de presse espagnole EFE de photos de bébés palestiniens blessés lors de l'offensive israélienne contre la bande de Gaza prétendant que ces photos ont été prises lors des événements de Laâyoune ainsi que sur la diffusion par la chaîne "Antena 3" d'une photo d'un meurtre commis en janvier dernier par un jeune contre des membres de sa famille au quartier Sidi Moumen à Casablanca, présentée également comme survenu à Laâyoune.





Des journaux espagnols "ont, dès les premières heures, fait état de répression dans le sang sans précédent au Sahara", puis "le "polisario" et l'Algérie ont lancé une campagne médiatique pressant l'ONU à intervenir dans la région, et ce en manipulant l'opinion publique mondiale tout en affirmant qu'il y a un grand nombre de morts", rapporte le journal jordanien.



Le journal jordanien ajoute que les média algériens et espagnols ont rapporté ces informations comme étant la réalité, relevant que le trio "polisario-Algérie-média espagnols" a parlé, dès le déclenchement des actes de vandalisme à Laâyoune, de morts, de désobéissance civile et d'intifada dans les villes des provinces du sud tout en insistant sur l'existence de morts parmi les enfants et les personnes âgées".



"Addoustour" souligne qu'avec le surgissement des vérités, "un grand nombre de journaux espagnols se sont pressés de présenter les excuses" alors que "le polisario et l'Algérie ont commencé à se rendre compte de leur pétrin pour avoir avancé des chiffres erronés".



Le journal jordanien à grand tirage a estimé que le Maroc a d'abord mené sa contre-offensive en Espagne en dépêchant à Madrid le ministre de l'Intérieur, M. Taieb Cherqaoui, puis le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taib Fassi Fihri, à Bruxelles, précisant qu'il a été procédé dans les deux capitales européennes à la projection de la vidéo sur les événements de Laâyoune. Ainsi le Parlement européen a renoncé d'examiner la question sur ces événements.



La démarche marocaine a également donné ses fruits à New York où le Conseil de sécurité de l'ONU s'est contenté de déplorer les violences sans condamner le Maroc comme le souhaitaient ses adversaires, souligne "Addoustour".



21/11/2010 16:24.

(MAP) Maghreb Arabe Presse

Atavisme

Atavisme

Rabat subit un sérieux camouflet : Washington nie l’existence de terrorisme au Sahara occidental

Le coordinateur de la lutte antiterroriste au département d’Etat américain a rejeté les accusations du gouvernement marocain présentant le Front Polisario comme une organisation terroriste. Déjà confronté à la pression exercée par l’opinion publique internationale, Rabat doit aujourd’hui faire face aux critiques venant de l’intérieur même du royaume.

Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Le gouvernement marocain tente depuis quelques années de présenter le Front Polisario comme une organisation terroriste affiliée à Al- Qaïda. Une théorie relancée avec force suite à l’assaut donné par les forces de l’ordre contre les populations sahraouies installées au sein du camp de l’Indépendance. Mais ces arguments ont été littéralement démentis par le coordinateur de la lutte antiterroriste au département d’Etat américain lors d’une conférence de presse animée mercredi dernier à Washington. «Nous n’avons aucune preuve, ni des raisons stratégiques pour soutenir les sous-entendus de Rabat pour justifier la violence et la répression à El-Ayoun, capitale occupée du Sahara occidental (…). Nous sommes toujours préoccupés par la possibilité d’extension des opérations d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), mais franchement je ne vois pas d’évolution dans ce domaine. Nous n'avons pas la preuve que cela puisse se passer», a déclaré l’ambassadeur spécial Daniel Benjamin en réponse à la question d’un journaliste espagnol sur la montée de la violence dans les territoires sahraouis occupés et une éventuelle relation avec le terrorisme.

La réponse est claire : la thèse marocaine faisant du Front Polisario un groupe terroriste est nulle est non avenue. En fait, cet acharnement est totalement illogique puisque le gouvernement marocain est engagé dans un processus de négociations avec le gouvernement sahraoui. Cela signifierait que le Maroc négocie avec une organisation terroriste en territoire américain (Manhasset) et sous l’égide de l’ONU ! Cette réaction dénote de l’incapacité du Makhzen à gérer la crise actuelle suite la vague de répression qui s’est abattue contre les populations civiles des territoires occupés.

Human Rights Watch, organisation non gouvernementale de protection des droits humains, a dénoncé mercredi les «tortures brutales » perpétrées par les forces de l’ordre marocaines. «Plusieurs Sahraouis arrêtés à El-Ayoun ont été torturés jusqu’à perdre conscience (…) nous parlons de cas graves de torture (…) nous étions obligés d’interviewer la majorité de ceux que nous avons visités dans leur maison, parce qu’ils ne peuvent pas bouger, ni marcher, pour cause de gravité des lésions», a déclaré Peter Bouckaert, l’envoyé spécial d’Human Rights Watch au Sahara occidental. «Les abus continuent actuellement», a insisté Peter Bouckaert.

Rabat tente de dissimuler les atrocités que continuent de subir les populations civiles sahraouies en maintenant l’interdiction d’entrer dans les territoires occupés imposée aux nombreux journalistes occidentaux. Mais voilà, des voix discordantes commencent à s’élever à l’intérieur même de ces territoires. C’est le cas précisément de la députée du PPS (Parti du progrès et du socialisme) Guejmoula Bent Abbi. Ancienne membre de la direction du Front Polisario, passée au Maroc depuis une vingtaine d’années, elle multiplie les déclarations dans les médias occidentaux. Selon elle, «les forces de l’ordre marocaines pénètrent dans les maisons des familles sahraouies et arrêtent tous les hommes de plus de 12 ans». Mettant en doute toutes les versions imposées par le Makhzen, Guejmoula Bent Abbi assure qu’il existe un grand nombre de disparus.

T. H.


Le Soir d'Algérie, 20/11/2010

Atavisme

Atavisme

Nicolas Sarkozy tourne le dos à la légalité internationale. Il affiche ouvertement son soutien au Conseil de sécurité à son ami le Roi Mohamed VI sur le Sahara occidental.


«La France déplore les heurts très graves qui ont eu lieu la semaine dernière à El Ayoune, suit avec une grande attention la situation au Sahara occidental et attend le résultat des investigations marocaines concernant notamment les victimes civiles, pour se prononcer», rétorque dans un point de presse Christine Fages, porte-parole adjointe du Quai d’Orsay à un journaliste qui lui a demandé pourquoi la France s’est opposée mardi dernier «vigoureusement» à l’envoi «rapide» d’une mission d’enquête internationale pour faire la lumière sur l’attaque du camp de Gdim Izik à El Ayoune, au Sahara occidental par les forces marocaines le 8 novembre dernier à l’aube et à l’élargissement du mandat de la Mission des Nations unies au Sahara occidental à la vérification du respect des droits de l’Homme, soutenu par la majorité du Conseil.

Deux «choses» auxquelles le Maroc qui a imposé un «black-out médiatique» sur le Sahara occidental, s’oppose. La France, patrie des Droits de l’homme qui déplore les heurts et l’empêchement par les Marocains du personnel des Nations unies sur place de suivre les évènements graves, attend donc les résultats de l’enquête promise par le Maroc qui fait état de 13 morts, dont 11 policiers et 70 blessés parmi… la police. Le Front Polisario et la presse espagnole (El Pais, ABC, El Mundo, Publico, TVE) parlent de dizaines, voire de centaines de morts, 4500 blessés, 2000 disparus.

La tentative de Sarkozy de sauver les apparences, après la volonté manifeste exprimée par les quatorze autres membres d’envoyer une commission internationale d’enquête à El Ayoune, ne peut tromper personne. Redoutant les foudres de ceux et celles qui croient aux droits de l’homme dans l’Hexagone, battent le pavé sur l’esplanade des Droits de l’Homme, place du Trocadéro, à Paris, pour exprimer leur soutien à une cause juste ou on pourrait demain l’accuser d’être l’homme qui a poussé le Front Polisario à adopter une mesure drastique, comme l’exigence de départ de l’ONU du Sahara occidental, Sarkozy dit attendre les résultats de l’enquête pour …mieux voir ce qui se passe au Sahara occidental, un territoire sur lequel la Cour de justice internationale, les Nations unies, n’ont jamais reconnu la souveraineté marocaine.

Ce soutien inconditionnel de Paris aux thèses de Rabat sur le Sahara occidental résistera-t-il longtemps ? Pas sûr. De plus en plus isolée sur la scène internationale, - dernier isolement en date, la décision de l’Otan d’adopter la proposition américaine de déployer un bouclier antimissile en Europe, premier pas vers une marginalisation de la force de frappe française - la France ne pourra résister longtemps aux appels des ONG, des partis politiques et des syndicats. Peter Bouckaert, l’envoyé de Human Rights Watch (HRW) au Sahara occidental, la seule organisation des droits humains autorisée par les Marocains à se rendre à El Ayoune, dénonce les «brutales tortures» des forces de sécurité marocaines contre les civils sahraouis dans les différents centres de détention de la ville. Il appelle à la mise en place d’un mécanisme onusien de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental. «Plusieurs Sahraouis arrêtés à El Ayoune ont été torturés jusqu’à perdre conscience » (…) «nous parlons de cas graves de tortures » (…) nous étions obligés d’interviewer la majorité de ceux que nous avons visités dans leur maison, parce qu’ils ne peuvent pas bouger, ni marcher, pour cause de la gravité des lésions», dit-il déplorant que la MINURSO soit «l’unique organisme onusien dépourvu de composante de droits humains pour cause de l’opposition de la France».

Un élargissement de mandat que demandent aussi le Haut commissariat aux droits de l’Homme et Amnesty International qui a déjà récolté plus de 66.000 soutiens à sa demande d’ouverture d’une enquête internationale «libre et transparente» sur les événements d’El Ayoune. Quant aux «éclaircissements» fournis par le Maroc au Parlement européen sur les évènements d’El Ayoune….


Djamel Boukrine, 20/11/2010


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Atavisme

Atavisme

Agressions marocaines contre les populations sahraouies : La communauté internationale plus que jamais solidaire



Quelques jours seulement, après le crime commis par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara Occidental, plusieurs ONG internationales et autres associations et syndicats se solidarisent, sans relâche, avec le peuple sahraoui. Amnesty International (AI) a exhorté, hier, le gouvernement espagnol à «s’impliquer activement» dans la défense des droits humains au Sahara Occidental, en raison de la «situation grave» qui prévaut dans la zone après le démantèlement du camp de Gdem- Izik et les émeutes d’El Ayoun. En effet, dans une lettre ouverte adressée par le directeur de AI en Espagne, Esteban Beltran, Amnesty a appelé la ministre des Affaires Etrangères espagnole, Trinidad Jiménez à saisir la tenue des réunions dans les prochains jours avec les représentants de l'Union Européenne, la Russie et les Etats-Unis, pour transformer la situation droits de l'homme au Sahara Occidental «en une priorité internationale.»

L'organisation a également appelé à prendre en considération les attestations des témoins oculaires sur place, pour une enquête internationale sur les faits, soulignant la nécessité d’un mécanisme onusien, pour la protection et la surveillance des droits de l’Homme au Sahara Occidental. Cette même organisation a exprimé ses préoccupations de la situation des droits de l’Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental, notamment: «l'arrestation des prisonniers d'opinion sahraouis, uniquement pour avoir exercé pacifiquement leur droit d'expression.» De son côté, l’Alliance pour la solidarité avec le peuple sahraoui en Europe centrale et orientale a «fermement» condamné, hier aussi, le récent massacre commis par les forces marocaines contre les civils sahraouis, au cours du démantèlement du camp de protestation de Gdim-Izik, près de la ville occupée d'El Ayoun, dans une lettre qu’elle a adressée au Secrétaire Général de l'ONU, Ban Ki-moon.

L'Alliance a joint sa voix à celles des organisations de la société civile partout dans le monde, réclamant une enquête internationale «immédiate et approfondie» sur l’assaut meurtrier et ses séquelles et la traduction en justice des responsables. Elle a également regretté que les affrontements se sont produits à la veille de la troisième réunion informelle entre le Front Polisario et le Maroc, qui ont lieu à Manhasset, les 8 et 9 novembre derniers. Le comité de la Sarthe des Amis de la RASD a demandé, quant à lui, l’envoi «en urgence» d’une mission d’enquête onusienne au Sahara Occidental, suite à l’assaut meurtrier donné par les forces marocaines contre un campement de civils sahraouis près d’El Ayoun occupée.

Tout en dénonçant la «complaisance» de la communauté internationale, «incapable de faire respecter ses propres résolutions, pour la mise en œuvre d’un référendum d’autodétermination», le comité suggère que cette mission soit initiée par le Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. Dans un communiqué, il déplore «très vivement que la France dans la dernière réunion que vient de convoquer le Conseil de sécurité, le 17 novembre, se soit opposée à ce qu’une mission d’enquête soit dépêchée sur place, afin que le Conseil "prenne connaissance au plus près de la situation.» Au niveau de la société civile britannique, plusieurs syndicats ont condamné, hier, à Londres l’attaque perpétrée le 08 novembre contre le «camp de la liberté», appelant le gouvernement à condamner avec la communauté internationale ce massacre.

Dans une déclaration publique, les responsables des syndicats des universités et collèges, de l’Union des sapeurs-pompiers et du syndicat de l’union des services publics et commerciaux, qui comptent parmi les plus importants en Grande-Bretagne, ont affirmé qu’«en tant que syndicalistes, nous ne pouvons pas simplement constater que les droits des gens ordinaires soient foulés aux pieds de cette manière» C’est dire que le désarroi et la condamnation face à l’agression marocaine contre les populations sahraouies est unanime. Que fera l’ONU face à cette levée de boucliers?



Hakim Aichiou

MJB



Atavisme a écrit:Agression marocaine contre les populations sahraouies : La communauté internationale plus que jamais solidaire







Quelques jours seulement, après le crime commis par le Maroc dans les territoires occupés du Sahara Occidental, plusieurs ONG internationales et autres associations et syndicats se solidarisent, sans relâche, avec le peuple sahraoui. Amnesty International (AI) a exhorté, hier, le gouvernement espagnol à «s’impliquer activement» dans la défense des droits humains au Sahara Occidental, en raison de la «situation grave» qui prévaut dans la zone après le démantèlement du camp de Gdem- Izik et les émeutes d’El Ayoun. En effet, dans une lettre ouverte adressée par le directeur de AI en Espagne, Esteban Beltran, Amnesty a appelé la ministre des Affaires Etrangères espagnole, Trinidad Jiménez à saisir la tenue des réunions dans les prochains jours avec les représentants de l'Union Européenne, la Russie et les Etats-Unis, pour transformer la situation droits de l'homme au Sahara Occidental «en une priorité internationale.»



L'organisation a également appelé à prendre en considération les attestations des témoins oculaires sur place, pour une enquête internationale sur les faits, soulignant la nécessité d’un mécanisme onusien, pour la protection et la surveillance des droits de l’Homme au Sahara Occidental. Cette même organisation a exprimé ses préoccupations de la situation des droits de l’Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental, notamment: «l'arrestation des prisonniers d'opinion sahraouis, uniquement pour avoir exercé pacifiquement leur droit d'expression.» De son côté, l’Alliance pour la solidarité avec le peuple sahraoui en Europe centrale et orientale a «fermement» condamné, hier aussi, le récent massacre commis par les forces marocaines contre les civils sahraouis, au cours du démantèlement du camp de protestation de Gdim-Izik, près de la ville occupée d'El Ayoun, dans une lettre qu’elle a adressée au Secrétaire Général de l'ONU, Ban Ki-moon.



L'Alliance a joint sa voix à celles des organisations de la société civile partout dans le monde, réclamant une enquête internationale «immédiate et approfondie» sur l’assaut meurtrier et ses séquelles et la traduction en justice des responsables. Elle a également regretté que les affrontements se sont produits à la veille de la troisième réunion informelle entre le Front Polisario et le Maroc, qui ont lieu à Manhasset, les 8 et 9 novembre derniers. Le comité de la Sarthe des Amis de la RASD a demandé, quant à lui, l’envoi «en urgence» d’une mission d’enquête onusienne au Sahara Occidental, suite à l’assaut meurtrier donné par les forces marocaines contre un campement de civils sahraouis près d’El Ayoun occupée.



Tout en dénonçant la «complaisance» de la communauté internationale, «incapable de faire respecter ses propres résolutions, pour la mise en œuvre d’un référendum d’autodétermination», le comité suggère que cette mission soit initiée par le Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme. Dans un communiqué, il déplore «très vivement que la France dans la dernière réunion que vient de convoquer le Conseil de sécurité, le 17 novembre, se soit opposée à ce qu’une mission d’enquête soit dépêchée sur place, afin que le Conseil "prenne connaissance au plus près de la situation.» Au niveau de la société civile britannique, plusieurs syndicats ont condamné, hier, à Londres l’attaque perpétrée le 08 novembre contre le «camp de la liberté», appelant le gouvernement à condamner avec la communauté internationale ce massacre.



Dans une déclaration publique, les responsables des syndicats des universités et collèges, de l’Union des sapeurs-pompiers et du syndicat de l’union des services publics et commerciaux, qui comptent parmi les plus importants en Grande-Bretagne, ont affirmé qu’«en tant que syndicalistes, nous ne pouvons pas simplement constater que les droits des gens ordinaires soient foulés aux pieds de cette manière» C’est dire que le désarroi et la condamnation face à l’agression marocaine contre les populations sahraouies est unanime. Que fera l’ONU face à cette levée de boucliers?



Hakim Aichiou

TON HAKIM AICHIOU ÉTAIT SUR PLACE POUR NOUS DIRE CA ??????
Ou bien il a été remonté comme un réveil par les espagnoles pour nous faire cette grande découverte qui laisse beaucoup à désirer!!!!!!!!

oranaisfier

oranaisfier

Plutôt de la fumée sans ... feu

MJB



oranaisfier a écrit:Plutôt de la fumée sans ... feu
.
OUI, ca dépend des info.: si elles sont crédibles ou erronées et de toutes les façons, il n'y a pas de fumée sans feu et non pas le contraire:la fumée sans feu.
SALAM.

MJB



Atavisme a écrit:Nicolas Sarkozy tourne le dos à la légalité internationale. Il affiche ouvertement son soutien au Conseil de sécurité à son ami le Roi Mohamed VI sur le Sahara occidental.


«La France déplore les heurts très graves qui ont eu lieu la semaine dernière à El Ayoune, suit avec une grande attention la situation au Sahara occidental et attend le résultat des investigations marocaines concernant notamment les victimes civiles, pour se prononcer», rétorque dans un point de presse Christine Fages, porte-parole adjointe du Quai d’Orsay à un journaliste qui lui a demandé pourquoi la France s’est opposée mardi dernier «vigoureusement» à l’envoi «rapide» d’une mission d’enquête internationale pour faire la lumière sur l’attaque du camp de Gdim Izik à El Ayoune, au Sahara occidental par les forces marocaines le 8 novembre dernier à l’aube et à l’élargissement du mandat de la Mission des Nations unies au Sahara occidental à la vérification du respect des droits de l’Homme, soutenu par la majorité du Conseil.

Deux «choses» auxquelles le Maroc qui a imposé un «black-out médiatique» sur le Sahara occidental, s’oppose. La France, patrie des Droits de l’homme qui déplore les heurts et l’empêchement par les Marocains du personnel des Nations unies sur place de suivre les évènements graves, attend donc les résultats de l’enquête promise par le Maroc qui fait état de 13 morts, dont 11 policiers et 70 blessés parmi… la police. Le Front Polisario et la presse espagnole (El Pais, ABC, El Mundo, Publico, TVE) parlent de dizaines, voire de centaines de morts, 4500 blessés, 2000 disparus.

La tentative de Sarkozy de sauver les apparences, après la volonté manifeste exprimée par les quatorze autres membres d’envoyer une commission internationale d’enquête à El Ayoune, ne peut tromper personne. Redoutant les foudres de ceux et celles qui croient aux droits de l’homme dans l’Hexagone, battent le pavé sur l’esplanade des Droits de l’Homme, place du Trocadéro, à Paris, pour exprimer leur soutien à une cause juste ou on pourrait demain l’accuser d’être l’homme qui a poussé le Front Polisario à adopter une mesure drastique, comme l’exigence de départ de l’ONU du Sahara occidental, Sarkozy dit attendre les résultats de l’enquête pour …mieux voir ce qui se passe au Sahara occidental, un territoire sur lequel la Cour de justice internationale, les Nations unies, n’ont jamais reconnu la souveraineté marocaine.

Ce soutien inconditionnel de Paris aux thèses de Rabat sur le Sahara occidental résistera-t-il longtemps ? Pas sûr. De plus en plus isolée sur la scène internationale, - dernier isolement en date, la décision de l’Otan d’adopter la proposition américaine de déployer un bouclier antimissile en Europe, premier pas vers une marginalisation de la force de frappe française - la France ne pourra résister longtemps aux appels des ONG, des partis politiques et des syndicats. Peter Bouckaert, l’envoyé de Human Rights Watch (HRW) au Sahara occidental, la seule organisation des droits humains autorisée par les Marocains à se rendre à El Ayoune, dénonce les «brutales tortures» des forces de sécurité marocaines contre les civils sahraouis dans les différents centres de détention de la ville. Il appelle à la mise en place d’un mécanisme onusien de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental. «Plusieurs Sahraouis arrêtés à El Ayoune ont été torturés jusqu’à perdre conscience » (…) «nous parlons de cas graves de tortures » (…) nous étions obligés d’interviewer la majorité de ceux que nous avons visités dans leur maison, parce qu’ils ne peuvent pas bouger, ni marcher, pour cause de la gravité des lésions», dit-il déplorant que la MINURSO soit «l’unique organisme onusien dépourvu de composante de droits humains pour cause de l’opposition de la France».

Un élargissement de mandat que demandent aussi le Haut commissariat aux droits de l’Homme et Amnesty International qui a déjà récolté plus de 66.000 soutiens à sa demande d’ouverture d’une enquête internationale «libre et transparente» sur les événements d’El Ayoune. Quant aux «éclaircissements» fournis par le Maroc au Parlement européen sur les évènements d’El Ayoune….


Djamel Boukrine, 20/11/2010


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.
Puisque tes gouvernants n'ont pas été capables de faire leur devoir envers leurs frères marocains comme ça a été le cas de leur large contribution à vos cotés pour vous libérer du joug du colonialisme, "SI" SARKO restant fidèle à l'amitié et à la coopération entre nos deux peuples, a pris et a préféré la défense du Maroc que de nous faire la guerre par polisario interposé.

justice

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Nations unies
L'Algérie et le polisario à la recherche d'un bouc émissaire à leur échec
L'Algérie et le polisario, après le «revers subi» lors du briefing sur le Sahara au sein du Conseil de sécurité de l'ONU, se cachent derrière des «faux fuyants en voulant faire porter leur échec cinglant à d'autres parties», a affirmé, vendredi à New York, le représentant permanent du Maroc auprès de l'ONU, Mohamed Loulichki.




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«La frustration et la déception de l'Algérie et du polisario à la suite du briefing du Conseil de sécurité sont à la mesure de la certitude qu'ils avaient de pouvoir, cette fois-ci, abuser de la bonne foi» de cet organe de l'ONU, a déclaré à la MAP l'ambassadeur.

«Avant le briefing, ces parties ont menacé l'ONU et le Conseil de sécurité de reprendre les armes ou de se retirer du processus de négociation. Après, elles se sont attaquées aux membres du Conseil de sécurité, et particulièrement à la France, pour les blâmer de ne pas avoir cautionné les dérives qu'elles voulaient faire subir au processus de négociation», a-t-il relevé.
Pour l'ambassadeur, «vouloir singulariser la France et en faire un bouc émissaire après leur échec est de la part de l'Algérie et du polisario, un expédient, un pur mensonge et une supercherie. C'est aussi un aveu d'impuissance».
Une «impuissance à faire passer contre-vérités et élucubrations aux membres du Conseil, sur les évènements des camps de Gdeim Izik et de Laâyoune, et à les faire céder au chantage», a dit le diplomate.
«Ne pouvant contenir leur frustration après l'échec de leurs manoeuvres, ils ont versé dans la divagation, faisant des comparaisons aussi honteuses que ridicules par rapport au Rwanda et à la Bosnie», a-t-il noté.

On a parlé de «séance spéciale» du Conseil de sécurité, s'est étonné l'ambassadeur, soulignant que «tous ceux qui sont au fait du fonctionnement du système des Nations unies savent pertinemment qu'il ne s'agissait pas d'une réunion officielle du Conseil et encore moins d'une séance spéciale, mais d'un simple briefing prévu par la résolution 1920 du CS, habituellement programmé après chaque réunion informelle ou une visite à la région» de l'envoyé personnel du secrétaire général.
Dès le départ et malgré les machinations du polisario et de l'Algérie, «il était clair, pour l'écrasante majorité des membres du Conseil, et à leur tête les cinq permanents, que la seule issue de ce double briefing était des éléments que le président du Conseil allait partager avec la presse comme cela est de coutume pour les consultations similaires», a expliqué M. Loulichki.

Sur la base des «éléments d'information précis partagés par le Maroc ou la Minurso au jour le jour, présentés aux membres du Conseil avant le briefing et étayés par des preuves tangibles sur la réalité de ce qui s'est passé à l'intérieur et autour du camps de Gdeim Izik et plus tard dans la ville de Laâyoune», le Conseil a pu «mesurer la portée des évènements et cerner les responsabilités après avoir visionné les faits et constaté le caractère odieux des actes ignobles commis par des repris de justice et des éléments de milice qui les encadraient, les orientaient et finalement commettaient de sang froid des assassinats au vu et au su de tout le monde», a poursuivi l'ambassadeur.

Lors du briefing, et à l'exception de l'Ouganda, qui était le porte-parole de l'Algérie et du polisario, aucun autre membre du Conseil n'a proposé une quelconque enquête sous aucune forme que ce soit, a insisté l'ambassadeur, ajoutant que les autres membres se sont eux déclarés en faveur d'»éléments à la presse», a-t-il clarifié. Il ne s'agit donc ni d'une résolution, pour laquelle on aurait pu parler d'un droit de veto, ni même d'une déclaration présidentielle, a précisé l'ambassadeur.
La position de «l'Ouganda a été contrebalancée par la déclaration argumentée et équilibrée de l'autre membre africain du Conseil qui a insisté sur la nécessité de sauvegarder le processus politique, ce sur quoi l'ensemble du Conseil avait mis l'accent», a-t-il conclu.


Le «polisario» n'a plus aucun soutien international


Un haut dirigeant du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE-au pouvoir) a affirmé que le «polisario» ne bénéfice plus d'aucun soutien international.
Alfonso Guerra, président de la Commission constitutionnelle au Congrès des députés espagnol, a souligné, en outre, que tous les pays concernés par la question du Sahara soutiennent l'initiative d'autonomie dans les provinces du Sud sous souveraineté marocaine.
Il s'agit là d'une «réalité», alors que «tout le reste, ne sont que des histoires et des spéculations», a ajouté Guerra, qui était vice-président du gouvernement espagnol à l'époque de l'ex-président Felipe Gonzalez.
Le haut dirigeant du PSOE a affirmé que l'initiative d'autonomie du Sahara proposée par le Maroc jouit d'un large soutien notamment auprès des grandes puissances.

«Les choses ont changé de façon radicale, puisque personne n'appuie désormais le polisario», a insisté Alfonso Guerra, qui a rappelé que les pays concernés ne sont pas chauds à l'idée de «création d'un Etat indépendant dans le Maghreb avec 150.000 habitants et pouvant avoir des liens avec Al Qaïda».

http://www.amazighworld.org/

Zoromoro77



Décidément tout le monde a droit a son lundi noir... Le notre c'était le lundi 08/11/2010.. Un spectacle apocalyptique à Laâyoune et aux environs avec cinq morts parmi les forces de l'ordre et une centaine de blessés parmi tout le monde... C'est pas la peine de revenir sur le saccage des bâtiments publics et la destruction des biens d'autrui car celà relève du détail dans une journée comme celle-là... Il paraît que c'est la crise la plus grave que nous avons connue depuis 1975... Il paraît surtout que rien ne sera plus comme avant...

Maintenant, qu'est ce qu'il faut retenir, en définitif, de ce triste spectacle? Trois choses:

1/ Le Polisario a dévoilé son plan d'actions pour le "peuple sahraoui": violence, anarchie et terrorisme collectif... Est-ce étonnant venant d'une organisation soutenue, encadrée, financée et armée par un régime militaire qui a orchestré l'exécution de 200.000 algériens? Non, ce n'est pas étonnant..

2/ Le laxisme avec lequel le Maroc a traité les "séparatistes de l'intérieur" a fini par apporter "ses fruits"... Maintenant tolérance zéro si on veut encore sauver quelque chose.. En applicant la loi, rien que la loi mais dans sa forme la plus sévère..

3/ Le plan d'autonomie sous souverainté marocaine doit être mis en application dès "hier"... Car en face il n'y a personne avec qui le négocier.. Le Polisario, le régime d'Alger et les autres ne veulent pas d'issue politique... Pourquoi? chacun doit avoir ses raisons et pour tout vous dire, on s'en fous "Royalement"!

Le camp de Laâyoune, à l'origine de cette crise et sur lequel il faudra revenir une fois que la fumée des pneus brûlés se serait dissipée (en particulier pour comprendre comment 20.000 personnes ont pu "migrer" "comme ça" avec femmes et enfants et toute la logistique qui va avec sans que personne ne branche!), ce camps-là, ressemble en presque tout à celui de Tindouf... des civiles pris en otage par une milice (celle d'ici est moins armée... pour le moment) et les deux camps sont partis de revendications sociales pour finir en mouvement para militaire...

La différence reste dans le dénouement.. Peut être qu'un jour il faudra envisager le même pour le camp de l'autre côté.. Les F.A.R doivent bien servir à quelque chose..

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kenadssa_marocaine

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Violences de Laâyoune : l’Algérie n’est pas innocente
Écrit par Katherine Junger Lundi, 22 Novembre 2010 17:05

Outre le Polisario, les services de renseignements algériens sont également soupçonnés par des observateurs et médias étrangers, d’avoir manipulé les auteurs des violents incidents ayant ensanglanté le 8 novembre, la ville marocaine de Laâyoune. L’hebdomadaire français «Valeurs actuelles» parle dans sa dernière livraison, d’une implication tout court de l’Algérie dans ces incidents meurtriers. Une implication qui traduit, selon le journal, la volonté du pouvoir algérien de vouloir torpiller les négociations autour de la proposition marocaine d’autonomie pour le Sahara Occidental.

Dans un article signé, estime que dans cette affaire, L’Algérie n’est pas sereine, affirme le journaliste Frédéric Pons, grand spécialiste des questions de défense. Dans son article intitulé «Manipulation saharienne», Frédéric Pons rejoint dans les grandes lignes de son analyse, celles de Hassan Alaoui, conseiller de la direction du quotidien marocain le Matin du Sahara et du Maghreb, auteur de l’ouvrage « Guerre secrète au Sahara occidental » et du juriste français, Charles Saint-Prot, directeur de l’Observatoire d’études géopolitiques (OEG), basé à Paris.

Après avoir constaté que la situation leur échappait l’Algérie et son protégé le Polisario, épaulés par de puissants relais au sein de l’internationale socialiste et communiste européenne, ont cherché par tous les moyens, à torpiller les efforts visant à aboutir à un règlement définitif du conflit du Sahara Occidental. Selon «Valeurs actuelles», les autorités d’Alger et la direction du Polisario ont commencé à paniquer dès lors qu’ils ont constaté que la communauté internationale devenait de plus en plus favorable à la proposition d’autonomie marocaine.

Parallèlement, le Polisario assistait impuissant à une hémorragie de ses militants, dont plusieurs figures historiques, sans parler des centaines de Sahraouis qui ont rallié le Maroc depuis le début de l’année 2010. Le dernier cas en date est celui de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud, un personnage important de la police du Polisario qui est incarcéré depuis son enlèvement il y a deux mois, pour s’être publiquement déclaré en faveur du projet d’autonomie marocain.

Le journal évoque par ailleurs, une «dérive narco-terroriste» du Polisario, précisant que des éléments armés et équipés de 4×4, s’adonnent aux trafics en tous genres, entre l’Afrique noire et le Maghreb, à travers le Sahara. Le Polisario et son parrain algérien souhaitaient par l’entremise des fauteurs de troubles à Laâyoune et au campement de Gdim Izik, créer la déstabilisation et saboter les négociations de l’ONU, tout en faisant porter le chapeau au Maroc. La question est de savoir jusqu’à quand les mercenaires du Polisario et leurs parrains algériens vont-ils continuer à bercer la communauté internationale ?

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kenadssa_marocaine

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Zoromoro77 a écrit:Décidément tout le monde a droit a son lundi noir... Le notre c'était le lundi 08/11/2010.. Un spectacle apocalyptique à Laâyoune et aux environs avec cinq morts parmi les forces de l'ordre et une centaine de blessés parmi tout le monde... C'est pas la peine de revenir sur le saccage des bâtiments publics et la destruction des biens d'autrui car celà relève du détail dans une journée comme celle-là... Il paraît que c'est la crise la plus grave que nous avons connue depuis 1975... Il paraît surtout que rien ne sera plus comme avant...

Maintenant, qu'est ce qu'il faut retenir, en définitif, de ce triste spectacle? Trois choses:

1/ Le Polisario a dévoilé son plan d'actions pour le "peuple sahraoui": violence, anarchie et terrorisme collectif... Est-ce étonnant venant d'une organisation soutenue, encadrée, financée et armée par un régime militaire qui a orchestré l'exécution de 200.000 algériens? Non, ce n'est pas étonnant..

2/ Le laxisme avec lequel le Maroc a traité les "séparatistes de l'intérieur" a fini par apporter "ses fruits"... Maintenant tolérance zéro si on veut encore sauver quelque chose.. En applicant la loi, rien que la loi mais dans sa forme la plus sévère..

3/ Le plan d'autonomie sous souverainté marocaine doit être mis en application dès "hier"... Car en face il n'y a personne avec qui le négocier.. Le Polisario, le régime d'Alger et les autres ne veulent pas d'issue politique... Pourquoi? chacun doit avoir ses raisons et pour tout vous dire, on s'en fous "Royalement"!

Le camp de Laâyoune, à l'origine de cette crise et sur lequel il faudra revenir une fois que la fumée des pneus brûlés se serait dissipée (en particulier pour comprendre comment 20.000 personnes ont pu "migrer" "comme ça" avec femmes et enfants et toute la logistique qui va avec sans que personne ne branche!), ce camps-là, ressemble en presque tout à celui de Tindouf... des civiles pris en otage par une milice (celle d'ici est moins armée... pour le moment) et les deux camps sont partis de revendications sociales pour finir en mouvement para militaire...

La différence reste dans le dénouement.. Peut être qu'un jour il faudra envisager le même pour le camp de l'autre côté.. Les F.A.R doivent bien servir à quelque chose..

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Je suis tout à fait d'accord avec cette réflexion . Nos services ont bien réussi le plan à long terme.
Finalement, Le coup de Laayoune va nous aider à travers les photos et les prises de vidéos qui sont des preuves indiscutables de la barbarie de nos adversaires et ce pour démontrer à l'opinion international que ce mouvement de paria" le Polisario" ne peut être un facteur de sécurité au Maghreb. A long terme le "polisario sera classé dans la case des mouvements terroristes.
Nous avons fait le serment de la Massira El Khadra qu'il n 'y aura jamais un état tampon entre le royaume et le fleuve du Sénégal.

Le Sahara occidental est un substrat et un soubassement culturel de nos origines afro-arabes.

Ces parias que je connais de très prés en Algérie. Il sont pires dans leur antimarocanisme que nos Khaouas de l'est.

Le conflit du Sahara est un écran de fumée et quand cette fumée se dissipe . On aura Lahmada et le Touat intelligemment.

Nous sommes fidèles à notre devise monarchique.


Allah El Watan El Malik

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kenadssa_marocaine a écrit:
Zoromoro77 a écrit:Décidément tout le monde a droit a son lundi noir... Le notre c'était le lundi 08/11/2010.. Un spectacle apocalyptique à Laâyoune et aux environs avec cinq morts parmi les forces de l'ordre et une centaine de blessés parmi tout le monde... C'est pas la peine de revenir sur le saccage des bâtiments publics et la destruction des biens d'autrui car celà relève du détail dans une journée comme celle-là... Il paraît que c'est la crise la plus grave que nous avons connue depuis 1975... Il paraît surtout que rien ne sera plus comme avant...

Maintenant, qu'est ce qu'il faut retenir, en définitif, de ce triste spectacle? Trois choses:

1/ Le Polisario a dévoilé son plan d'actions pour le "peuple sahraoui": violence, anarchie et terrorisme collectif... Est-ce étonnant venant d'une organisation soutenue, encadrée, financée et armée par un régime militaire qui a orchestré l'exécution de 200.000 algériens? Non, ce n'est pas étonnant..

2/ Le laxisme avec lequel le Maroc a traité les "séparatistes de l'intérieur" a fini par apporter "ses fruits"... Maintenant tolérance zéro si on veut encore sauver quelque chose.. En applicant la loi, rien que la loi mais dans sa forme la plus sévère..

3/ Le plan d'autonomie sous souverainté marocaine doit être mis en application dès "hier"... Car en face il n'y a personne avec qui le négocier.. Le Polisario, le régime d'Alger et les autres ne veulent pas d'issue politique... Pourquoi? chacun doit avoir ses raisons et pour tout vous dire, on s'en fous "Royalement"!

Le camp de Laâyoune, à l'origine de cette crise et sur lequel il faudra revenir une fois que la fumée des pneus brûlés se serait dissipée (en particulier pour comprendre comment 20.000 personnes ont pu "migrer" "comme ça" avec femmes et enfants et toute la logistique qui va avec sans que personne ne branche!), ce camps-là, ressemble en presque tout à celui de Tindouf... des civiles pris en otage par une milice (celle d'ici est moins armée... pour le moment) et les deux camps sont partis de revendications sociales pour finir en mouvement para militaire...

La différence reste dans le dénouement.. Peut être qu'un jour il faudra envisager le même pour le camp de l'autre côté.. Les F.A.R doivent bien servir à quelque chose..

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Je suis tout à fait d'accord avec cette réflexion . Nos services ont bien réussi le plan à long terme.
Finalement, Le coup de Laayoune va nous aider à travers les photos et les prises de vidéos qui sont des preuves indiscutables de la barbarie de nos adversaires et ce pour démontrer à l'opinion international que ce mouvement de paria" le Polisario" ne peut être un facteur de sécurité au Maghreb. A long terme le "polisario sera classé dans la case des mouvements terroristes.
Nous avons fait le serment de la Massira El Khadra qu'il n 'y aura jamais un état tampon entre le royaume et le fleuve du Sénégal.

Le Sahara occidental est un substrat et un soubassement culturel de nos origines afro-arabes.

Ces parias que je connais de très prés en Algérie. Il sont pires dans leur antimarocanisme que nos Khaouas de l'est.

Le conflit du Sahara est un écran de fumée et quand cette fumée se dissipe . On aura Lahmada et le Touat intelligemment.

Nous sommes fidèles à notre devise monarchique.


Allah El Watan El Malik