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Rites d'assassinats collectives à Alger!?

4 participants

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moi même

moi même


[b]Rites d'assassinats collectives sur la voie publique à Alger [/b]
Choquantes et traumatisantes sont les images vidéo diffusées ces derniers jours sur internet montrant les détails de l’assassinat d’une adolescente par un groupe de jeunes âgés entre 18 et 25 ans, à Alger. L’insoutenable scène a été filmée sur un fond de musique de film d’horreur par les auteurs en extase devant la douleur et les souffrances de la victime.

Cheveux noirs très longs, vêtue d’une veste de jogging et d’un pantalon noir, la jeune fille, recroquevillée par terre, la tête entre les mains, recevait une cascade de coups de pied au visage et à l’abdomen, marqués par plusieurs ecchymoses.

Le sang commence à gicler et couler de toutes parts, et les agresseurs redoublent de violence. Ils se bousculent pour battre, parfois collectivement, le corps frêle de la victime qui, après quelques minutes, semblait n’avoir plus de force. Ses vêtements se déchirent et ses bourreaux tentent de recouvrir ses parties intimes.

Quelques dizaines de minutes plus tard, l’un d’eux prend une grosse pierre en parpaing et la lance de toutes ses forces sur la tête de la jeune fille. Le sang gicle et un autre prend le relais pour lui asséner le coup mortel en plein visage.

La victime ne bouge plus. Elle baigne dans son sang sous les caméras des téléphones mobiles, tenus par ses bourreaux, visiblement heureux d’avoir accompli leur abominable crime. Selon toute vraisemblance. Cette vidéo a été diffusée par un des auteurs qui n’apparaît pas sur l’enregistrement. Est-ce que maintenant les assassins seront arrêtés et déférés à la justice ? Possède-t-on une piste ? Pour l’instant, aucune information sur l’identité de la victime.

Mais il est évident qu’il pourrait s’agir d’une jeune fille dont le corps a été trouvé sur la voie publique et qui est en attente d’identification. Selon des sources policières, cette victime portait de graves lésions sur le corps et semble avoir été tuée à l’aide d’un objet tranchant.

Cette affaire est d’une extrême gravité et interpelle toutes les consciences. Elle relance la lourde problématique des violences à l’égard des femmes, mais surtout ce nouveau phénomène qui consiste à filmer à l’aide de téléphones portables des scènes souvent à l’insu des concernés pour les utiliser comme objet de chantage ou de les diffuser sur internet. Des foyers entiers ont été brisés à cause des enregistrements, alors que de nombreuses victimes ont fini par se suicider.

Les services de police, tout comme les services de la gendarmerie ont eu ces dernières années à élucider des affaires de viols collectifs grâce à des images retrouvées sur des mobiles, saisis sur les personnes suspectes. Celles-ci avaient pris le soin de filmer la scène de l’agression dans le but de réduire au silence leurs victimes, souvent terrorisées à l’idée que l’enregistrement soit diffusé.

Aujourd’hui, les services de sécurité sont devant une nouvelle forme de criminalité qui consiste à « transformer un crime abominable » en un « fait d’armes à large publicité ». C’est la conséquence, diront les spécialistes, de la décennie de violence vécue par les Algériens, notamment les jeunes, comme ceux qui ont tabassé à mort l’adolescente.

L’après-terrorisme est une étape délicate que les spécialistes de la santé mentale sont appelés à affronter. La prolifération de la violence en milieu juvénile ne peut avoir des explications que dans les événements tragiques que l’Algérie a vécus durant toute une décennie.
Salima Tlemçani
El Watan :

MJB



moi même a écrit:
[b]Rites d'assassinats collectives sur la voie publique à Alger [/b]
Choquantes et traumatisantes sont les images vidéo diffusées ces derniers jours sur internet montrant les détails de l’assassinat d’une adolescente par un groupe de jeunes âgés entre 18 et 25 ans, à Alger. L’insoutenable scène a été filmée sur un fond de musique de film d’horreur par les auteurs en extase devant la douleur et les souffrances de la victime.

Cheveux noirs très longs, vêtue d’une veste de jogging et d’un pantalon noir, la jeune fille, recroquevillée par terre, la tête entre les mains, recevait une cascade de coups de pied au visage et à l’abdomen, marqués par plusieurs ecchymoses.

Le sang commence à gicler et couler de toutes parts, et les agresseurs redoublent de violence. Ils se bousculent pour battre, parfois collectivement, le corps frêle de la victime qui, après quelques minutes, semblait n’avoir plus de force. Ses vêtements se déchirent et ses bourreaux tentent de recouvrir ses parties intimes.

Quelques dizaines de minutes plus tard, l’un d’eux prend une grosse pierre en parpaing et la lance de toutes ses forces sur la tête de la jeune fille. Le sang gicle et un autre prend le relais pour lui asséner le coup mortel en plein visage.

La victime ne bouge plus. Elle baigne dans son sang sous les caméras des téléphones mobiles, tenus par ses bourreaux, visiblement heureux d’avoir accompli leur abominable crime. Selon toute vraisemblance. Cette vidéo a été diffusée par un des auteurs qui n’apparaît pas sur l’enregistrement. Est-ce que maintenant les assassins seront arrêtés et déférés à la justice ? Possède-t-on une piste ? Pour l’instant, aucune information sur l’identité de la victime.

Mais il est évident qu’il pourrait s’agir d’une jeune fille dont le corps a été trouvé sur la voie publique et qui est en attente d’identification. Selon des sources policières, cette victime portait de graves lésions sur le corps et semble avoir été tuée à l’aide d’un objet tranchant.

Cette affaire est d’une extrême gravité et interpelle toutes les consciences. Elle relance la lourde problématique des violences à l’égard des femmes, mais surtout ce nouveau phénomène qui consiste à filmer à l’aide de téléphones portables des scènes souvent à l’insu des concernés pour les utiliser comme objet de chantage ou de les diffuser sur internet. Des foyers entiers ont été brisés à cause des enregistrements, alors que de nombreuses victimes ont fini par se suicider.

Les services de police, tout comme les services de la gendarmerie ont eu ces dernières années à élucider des affaires de viols collectifs grâce à des images retrouvées sur des mobiles, saisis sur les personnes suspectes. Celles-ci avaient pris le soin de filmer la scène de l’agression dans le but de réduire au silence leurs victimes, souvent terrorisées à l’idée que l’enregistrement soit diffusé.

Aujourd’hui, les services de sécurité sont devant une nouvelle forme de criminalité qui consiste à « transformer un crime abominable » en un « fait d’armes à large publicité ». C’est la conséquence, diront les spécialistes, de la décennie de violence vécue par les Algériens, notamment les jeunes, comme ceux qui ont tabassé à mort l’adolescente.

L’après-terrorisme est une étape délicate que les spécialistes de la santé mentale sont appelés à affronter. La prolifération de la violence en milieu juvénile ne peut avoir des explications que dans les événements tragiques que l’Algérie a vécus durant toute une décennie.
Salima Tlemçani
El Watan :
.
Les consequences de la guerre civile et "qui tue qui?" n'ont ni debut ni fin, la vengeance des uns et des autres renait chaque fois qu'on voit ou on entend parler d'un malfaiteur qui a réalisé dans le passé son forfait sur les uns ou sur les autres .
C'EST LA LOIS DE LA NATURE.

slimane

slimane

L ' ARCHIVISTE VICIEUX AIME BIEN LA VIOLENCE DES AUTRES MAIS IL OUBLIE LES SIENNES :

11 morts et 700 bléssés : innocents Sahraouis qui demandent leurs droits ........!!!

çà ce n'est pas du banditisme qui existe même à CHICAGO CHEZ LE PAYS LE PLUS FORT DU MONDE....!
...................................................

QUI SONT TES ANCËTRES.......VIEUX SCHNOK ???

LIS et COMPRENDS QUI TU ES !!!!!!!!!!!!!

Les sultans alaouites sont des
descendants de leurs mères...

Les alaouites attribuent une grande importance à leur origine pour donner, à leur pouvoir usurpé et illégitime, une légitimité de l'héritage familiale du pouvoir.

Mais Hassan II, et tous les stupides menteurs de la propagande alaouite, ne pourront faire croire à personne que les sultans alaouites ont eu des grands-pères maternels marocains, arabes ou musulmans: brodeurs de babouches à Tétouan, fellahs dans le Moyen Atlas ou caravaniers...!

Puisque, avec les sultans alaouites, on ne peut jamais être sure de qui sont réellement les vrais pères, l'on peut - au moins - savoir avec une relative certitude qui en sont les mères.

Selon la tradition des juifs - auxquels les alaouites sont très liés - l'identité ethnique se transmet par la mère.

La mère de Moulay Yazid, ce sultan du 18ème siècle, qui a été bandit de grand chemin, avant de monter quelques mois sur le trône, était une irlandaise. L’esclandre même pauvre. Ce n’est pas exactement le prolétariat marocain ou de la famille du prophète.

Sidi Mohammed ben Abdallah avait une grand mère anglaise, décidément ! Et une de ses favorites était corse. On sait même son nom Francheschini, mais l’on ne saura jamais lequel des tyranneaux alaouites a du sang corse dans les veines.

Au reste, ce Sidi Mohammed Al Abdellah avait l’Europe dans le sang puisqu’il épousa une italienne « de grande beauté », raconte le docteur et chirurgien juif William Lemprière qui, débarqué à Tanger en septembre 1789, passa quelque temps à sa cour et avait soigné les yeux du fils du souverain ( voir, traduit de l’anglais, « Voyage dans l'empire de Maroc et le royaume de Fez, fait pendant les années 1790 et 1791 » ). La belle italienne avait été capturée très jeune à la suite d’un naufrage et offerte au sultan qui la fit élever dans son harem. Il l’épousa. Ce n’est toujours pas une fille de forgeron de Demnat ou de l'un des descendants du propète. Et ce n’est pas encore cette fois que le sang robuste d’un honnête travailleur marocain a pu se mêler au sang illustre d’"un descendant du prophète". Sidi Mohammed inflige le plus cinglant des démentis à son rejeton mégalomane Hassan II : une autre de ses femmes était espagnole, une autre fille d’un renégat irlandais. Si je compte bien, sur ces quatre femmes "légales", trois étaient européennes.

Moulay Abderrahman avait reçu en cadeaux une jeune fille française dont il eut deux fils qui ne régnèrent pas, pour l’unique raisin qu’ils furent tous les deux empoisonnés avec leur mère.
...................................................

C'EST BIEN DE COMPRENDRE TA PRéHISTOIRE !!!

moi même

moi même

Des bandes de délinquants font régner la terreur la nuit à Alger

Les gangs et les délinquants sèment la terreur la nuit au centre d'Alger. Et mardi soir, le centre-ville Algérois a été, encore une fois, le théâtre d’un accrochage violent entre des bandes rivales issues de différents quartiers de la capitale.

Mardi soir, à 21h30, une horde de voyous, munis d’armes blanches, et d’instruments pyrotechniques dangereux, ont fait irruption à "Meissonnet", rue Khelifa Boukhalfa, semant la terreur parmi les riverains et autres badauds. Dans leur furie, ces délinquants s’en prennent, sans distinction aucune, aux passants, répandant un effroi terrible et une panique indescriptible chez les malheureux spectateurs, malencontreusement présents à ce moment là dans les ruelles de ce quartier d’ordinaire tranquille.

Les voyous perpètrent une série d'agressions et dépouillent des résidants sans défense. Cette razzia, ponctuée par des accrochages et des bagarres très violentes, durera plusieurs minutes avant que les forces de l’ordre n'interviennent pour prendre les choses en main. Mais cela n'a guère empêché certains jeunes, premières cibles des assaillants, notamment prés de l’institut Cervantès, de se rassembler pour en découdre et riposter à leurs "ennemis".

Fort heureusement, le bilan de cette bataille de rue n'est nullement dramatique même si on déplore les blessures graves d'un jeune habitant du quartier. Selon plusieurs témoins oculaires, le pire a été évité de justesse car les bagarres auraient facilement pu dégénérer et laisser pour morts les "belligérants".

Ceci dit, les habitants de "Meissonnet" demeurent encore sous le choc et la peur noue désormais tous les ventres. Malheureusement, les descentes punitives orchestrées par des bandes de délinquants se multiplient la nuit dans les quartiers d'Alger centre. Pour preuve, la veille de cette bataille rangée, un autre accrochage avait opposé des jeunes du quartier dit Closel à d’autres voyous, issus du quartier d’El Harrach, selon les témoignages des riverains.

Aujourd'hui, très peu d'Algérois osent s'aventurer la nuit dans la rue car l'insécurité et la terreur que font régner des bandes mafieuses étouffent les habitants de plusieurs quartiers de la capitale dans leurs maisons.

Abderrahmane Semmar

kenadssa_marocaine

kenadssa_marocaine

60 % des jeunes scolarisés ont des perspectives floues
Un tiers des jeunes algériens souhaitent partir vivre à l’étranger


Les jeunes algériens sont plus que jamais tentés par l’immigration. Selon une étude réalisée par la DGSN ainsi que les résultats d’une enquête confiée au Centre national d’études et d’analyses pour la population et le développement (CENEAP), cités par la Commission Nationale Consultative pour la Promotion et la Protection des Droits de l'Homme dans son rapport 2009 sur les droits de l’homme remis au président de la République, « 33 % de jeunes Algériens rêvent de s’installer à l’étranger ».
En outre,« pas moins de 60 % de jeunes scolarisés ont des perspectives floues, 73 % sans aucun cadre de vie, 58 % sans aucune activité sportive et 90% n’adhérent à aucune association », relève le rapport.

Ce rapport dont un chapitre est consacré au phénomène des harragas relève également que les gardes-côtes algériens ont intercepté durant l’année 2009, 991 candidats à l’immigration clandestine dont 980 hommes et 11 femmes. La tranche d’âge des personnes interceptées varie de moins de 20 ans à 70 ans. Concernant les passagers clandestins à bord de bateaux, ils sont 78 à avoir été arrêtés.
Selon le rapport, les immigrants illégaux interceptés à bord d’embarcations diverses par les autorités étrangères et signalés au service national des gardes côtes, sont au nombre de 325, repartis sur deux pays, l’Espagne et l’Italie.

Citant l’agence européenne pour la gestion de la coopération internationale aux frontières extérieures des Etats membres de l’UE (frontex), la CNCPPDH note que 65 % des immigrants clandestins interceptés en 2009 en Espagne provenaient de l’Algérie. Si la CNCPPDH plaide pour la décriminalisation de l’acte de « harga », elle suggère toutefois que des peines plus dures soient prononcées contre les membres des réseaux de passeurs.
En vertu d’une disposition d’une loi de février 2009, tout immigrant clandestin est passible d’une peine d’emprisonnement allant de deux à six mois et d’une amende de 20.000 à 60.000 Da. « La question est de savoir comment lutter efficacement contre ce fléau, puisque même les mesures prises par la justice ne semblent pas les avoir découragés », note la CNCPPDH.
T.S.A
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Le conflit du Sahara est un écran de fumée et quand cette fumée se dissipe . On aura Lahmada et le Touat intelligemment.

Nous sommes fidèles à notre devise monarchique.


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