La revue Afrique Magazine interdite en Algérie
Le n° 302 du mois de novembre du mensuel Afrique Magazine a été interdit de distribution et de vente en Algérie. La raison, une enquête intitulée : « À quoi pensent les Algériens ? ».
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En effet, le numéro 302 du mensuel francophone édité à Paris a été censuré par les autorités algérienne à cause de l'enquête de 8 pages signée par le correspondant local du journal Malek Béchir et intitulée « A quoi pensent les Algériens? ». C'est la deuxième fois due ce mensuel fait l'objet de censure en l'espace de 20 mois.
L'article ne contient, à priori, aucune information touchant "les institutions de la république et les symboles de l’Etat" comme pourrait prendre prétexte le gouvernement algérien pour le censurer, selon la presse algérienne.
Cependant, le ministère de la communication, dirigé depuis mai 2010 par l’ancien journaliste et ex-directeur de l’agence APS, Nacer Mehal, n’a pas fourni d’explications pour justifier cette d’interdiction. Des sources affirment que le ministre en question se trouve actuellement en Arabie Saoudite pour accomplir le pèlerinage du hadj.
« Sur le principe, nous dénonçons toute forme de censure. Les lecteurs algériens ou d’ailleurs, devraient être libre de se faire leur propre opinion sur un article ou sur le contenu et l'orientation d’un magazine. La censure de la presse écrite apparaît comme une pratique « anachronique » à l’heure de l'information globale, des télévisions satellitaires, d’Internet et des réseaux sociaux.» proteste la direction du magazine, dirigé par Zyad Limam, dans un communiqué rapporté par la presse.
Une deuxième censure sans raisons avancées après celle du numéro 282 du même magazine suite à une enquête intitulée « Le Crépuscule des Généraux ».
Le n° 302 du mois de novembre du mensuel Afrique Magazine a été interdit de distribution et de vente en Algérie. La raison, une enquête intitulée : « À quoi pensent les Algériens ? ».
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En effet, le numéro 302 du mensuel francophone édité à Paris a été censuré par les autorités algérienne à cause de l'enquête de 8 pages signée par le correspondant local du journal Malek Béchir et intitulée « A quoi pensent les Algériens? ». C'est la deuxième fois due ce mensuel fait l'objet de censure en l'espace de 20 mois.
L'article ne contient, à priori, aucune information touchant "les institutions de la république et les symboles de l’Etat" comme pourrait prendre prétexte le gouvernement algérien pour le censurer, selon la presse algérienne.
Cependant, le ministère de la communication, dirigé depuis mai 2010 par l’ancien journaliste et ex-directeur de l’agence APS, Nacer Mehal, n’a pas fourni d’explications pour justifier cette d’interdiction. Des sources affirment que le ministre en question se trouve actuellement en Arabie Saoudite pour accomplir le pèlerinage du hadj.
« Sur le principe, nous dénonçons toute forme de censure. Les lecteurs algériens ou d’ailleurs, devraient être libre de se faire leur propre opinion sur un article ou sur le contenu et l'orientation d’un magazine. La censure de la presse écrite apparaît comme une pratique « anachronique » à l’heure de l'information globale, des télévisions satellitaires, d’Internet et des réseaux sociaux.» proteste la direction du magazine, dirigé par Zyad Limam, dans un communiqué rapporté par la presse.
Une deuxième censure sans raisons avancées après celle du numéro 282 du même magazine suite à une enquête intitulée « Le Crépuscule des Généraux ».