Le président Sahraoui : Nous répondrons au Maroc avec une résistance "féroce "
Belkacem. A / V. F. Hakim Benyahia
Le président Sahraoui Mohamed Abdelaziz a annoncé que les forces du front du Polisario sont prêtes à répondre auMaroc en usant de la force en cas où les autorités marocaines venaient à mettre en exécution un plan pour frapper les sahraouis sur les terres libérées ou les poursuivre dans les camps de refugiés.
Le président Sahraoui a affirmé à « Echorouk » qu’il est tout à fait normal de parler d’une éventuelle guerre. Le président Sahraoui a affirmé que sa longue attente pour que les Nations Unies organisent un referendum démocratique, afin de faire passer le pouvoir du colon espagnol aux Sahraouis dans le cadre de l’éradication du colonialisme, grande fut la surprise de l’intervention des forces marocaines 06 jours avant la marche verte et cela a provoqué une pagaille totale.. »
Mohamed Abdelaziz a déclaré : « Si jamais l’armée sahraouie subit une attaque sur les terres libérées, et que les Nations Unies et la communauté internationale restent les bras croisés, alors on répondra par une résistance féroce comme celle de 75. »
Quant aux prévisions de l’appareil américain de renseignement « CIA » sur l’éventualité que le Maroc fasse une attaque « militaire » contre le front Polisario, le président Sahraoui a affirmé que le roi marocain l’a insinuée dans son dernier discours, en se focalisant sur trois axes, à savoir le camp de liberté d’El Ayoun, les terres libérées et les camps de refugiés à Tindouf. Il a ajouté que l’attaque du 08 novembre dernier avait ciblé 30 mille citoyens est une preuve de l’ « hystérie » du roi marocain.
Le Président sahraoui a qualifié les actions du pouvoir marocain de « névrose aveugle » dans la façon d’agir avec les problèmes politiques. Le président Abdelaziz Mohamed a déclaré que le Maroc a toujours fait dans l’armement de son peuple, indiquant qu’il est « tout à fait clair que le pouvoir marocain ait encourut le risque en attaquant les terres sahraouies, où il y a l’administration, les bureaux des Nations Unies, et même sur le sol algérien. »
Belkacem. A / V. F. Hakim Benyahia
Le président Sahraoui Mohamed Abdelaziz a annoncé que les forces du front du Polisario sont prêtes à répondre auMaroc en usant de la force en cas où les autorités marocaines venaient à mettre en exécution un plan pour frapper les sahraouis sur les terres libérées ou les poursuivre dans les camps de refugiés.
Le président Sahraoui a affirmé à « Echorouk » qu’il est tout à fait normal de parler d’une éventuelle guerre. Le président Sahraoui a affirmé que sa longue attente pour que les Nations Unies organisent un referendum démocratique, afin de faire passer le pouvoir du colon espagnol aux Sahraouis dans le cadre de l’éradication du colonialisme, grande fut la surprise de l’intervention des forces marocaines 06 jours avant la marche verte et cela a provoqué une pagaille totale.. »
Mohamed Abdelaziz a déclaré : « Si jamais l’armée sahraouie subit une attaque sur les terres libérées, et que les Nations Unies et la communauté internationale restent les bras croisés, alors on répondra par une résistance féroce comme celle de 75. »
Quant aux prévisions de l’appareil américain de renseignement « CIA » sur l’éventualité que le Maroc fasse une attaque « militaire » contre le front Polisario, le président Sahraoui a affirmé que le roi marocain l’a insinuée dans son dernier discours, en se focalisant sur trois axes, à savoir le camp de liberté d’El Ayoun, les terres libérées et les camps de refugiés à Tindouf. Il a ajouté que l’attaque du 08 novembre dernier avait ciblé 30 mille citoyens est une preuve de l’ « hystérie » du roi marocain.
Le Président sahraoui a qualifié les actions du pouvoir marocain de « névrose aveugle » dans la façon d’agir avec les problèmes politiques. Le président Abdelaziz Mohamed a déclaré que le Maroc a toujours fait dans l’armement de son peuple, indiquant qu’il est « tout à fait clair que le pouvoir marocain ait encourut le risque en attaquant les terres sahraouies, où il y a l’administration, les bureaux des Nations Unies, et même sur le sol algérien. »