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Said Bouteflika sera notre candidat en 2014

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kenadssa_marocaine

kenadssa_marocaine

SID AHMED AL AYACHI, PRESIDENT DU RCN

« Said Bouteflika sera notre candidat en 2014 »





Sid Ahmed Al Ayachi, président du Rassemblement pour la concorde nationale (RCN), parti non agréé, a annoncé, dans une interview au quotidien Al Djazair News, parue mardi 21 décembre, que Said Bouteflika, frère du président de la République, envisage de se présenter à l’élection présidentielle de 2014 dans le cas où Abdelaziz Bouteflika renoncerait à se succéder à lui-même.

« Nous ne voyons que Saïd Bouteflika, qui a des qualifications scientifiques et a acquis une expérience politique, pour conduire la prochaine période. Si son frère Abdelaziz ne se présente pas, Said sera celui que nous soutiendrons et nous serons derrière sa candidature », a-t-il déclaré. Il a annoncé que le RCN prépare ses « hommes et ses cadres » pour mener la prochaine campagne et pour « s’imposer au scrutin présidentiel".

Sid Ahmed Al Ayachi a prévenu qu’il serait prématuré d’évoquer un assentiment de Said Bouteflika à sa participation à la prochaine course électorale au nom du RCN. « Nous sommes à trois années de ce rendez-vous. Pour le moment nous nous concentrons sur la concrétisation du programme quinquennal du chef de l’Etat et sur la tenue d’un congrès national pour un début fort. A cette occasion nous annoncerons que M. Saïd Bouteflika est président d’honneur du RCN, avec l’aval de tous les cadres », a-t-il souligné. Ce congrès aura lieu, selon lui, en janvier 2011 avec le slogan «Pour une Algérie nouvelle». « Je pars d’une conviction que cet homme voit la nuit ce que les autres ne voient pas le jour. Nous le soutiendrons s’il venait à se présenter lors de la prochaine présidentielle pour parachever ce que son frère a commencé », a ajouté le patron du RCN à propos de Saïd Bouteflika.

Il a indiqué qu’une opération de collecte de deux millions de signatures est lancée pour amener le frère d’Abdelaziz Bouteflika à se porter candidat. « Pour le moment nous avons déjà réuni quelque 800 000 signatures et ce, trois ans avant le scrutin. C’est ce qui nous conforte dans notre intention de le nommer comme président d’honneur de notre parti. Nous avons eu une réunion avec Saïd au mois d’août 2009 au cours de laquelle tous les coordinateurs de wilaya avaient cautionné Saïd comme président d’honneur de notre formation. Je pense que nous allons clôturer les 2 millions de signatures au mois de mars prochain », a-t-il précisé.

Selon lui, Saïd Bouteflka est soutenu par « toutes » les zaouia du pays, dont la Tidjania, et par d’anciens retraités de l’ANP. Le nombre de ces derniers serait de 250. Il a cité les noms des colonels Manouni Nouredine, Berkane Mohamed et Nadjib. « Saïd n’est pas le seul à cautionner notre action, mais ce sont plusieurs courants et personnalités politiques nationales. Quant à la coordination, elle se fait à travers des correspondances que nous adressons à la présidence de la République », a-t-il révélé. D’après ses dires, le RCN est présent dans les 48 wilayas et a ouvert des bureaux dans 1 300 communes. « Nous constatons que la plupart des partis sont basés sur des considérations familiales et n’ont rien à voir avec l’activité politique noble. Ces partis ne se manifestent que lors des campagnes électorales. Nous estimons pour ce qui nous concerne que l’année 2011 sera celle des agréments », a déclaré Sid Ahmed Al Ayachi.

merouane mokdad T-S-A
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kenadssa_marocaine

kenadssa_marocaine

Le président du RCN avoue que l’annonce de la candidature est une fiction
Saïd Bouteflika, victime d’un escroc politique ?

Hallucinantes ! C’est le moins qu’on puisse dire des deux sorties simultanées et foncièrement contradictoires, en l’espace de 48 heures, de celui qui se présente comme étant le président du Rassemblement pour la concorde nationale (RCN non agréé), Sid-Ahmed Ayachi en l’occurrence qui, dans un premier entretien à Djazaïr News, a placé son parti dans la proximité immédiate du frère du Président, Saïd Bouteflika, en prévision de la présidentielle de 2014 pour se rétracter le lendemain et dire qu’il a “tout inventé”.

Pour se déjuger, puisque c’est le cas, M. Ayachi a accordé un second entretien au journal où il déclare tout à fait le contraire évoquant “un acte isolé et personnel”, mais surtout, a-t-il précisé, “toute sa déclaration au sujet de Saïd Bouteflika” est le fruit de son imagination. Alors que dans le premier entretien, il a précisé jusqu’au détail les objectifs du parti, comment il l’a arrimé à Saïd Bouteflika avec ses perspectives de continuité. Cela d’autant que le concerné, qui serait intronisé président d’honneur du RCN, selon Ayachi, a déjà eu des rencontres avec ce mouvement et que le contact est maintenu par le biais de correspondances à la Présidence.
Idem pour les personnalités, les officiers supérieurs à la retraite ainsi que les zaouïas qui seraient tous derrière, non pas le parti, mais Saïd Bouteflika. Il y a mis pourtant, semble-t-il, toute sa conviction pour imprimer à ses propos une crédibilité certaine. Des propos qui ont eu l’effet d’une bombe dans les milieux politiques et médiatiques. Et ce fut la déroute le lendemain lorsqu’il avoua avoir inventé tout ce qu’il a dit.
Au-delà du comique, M. Ayachi, qui prétend avoir structuré le RCN au niveau national, appelle par son mouvement à une nouvelle pratique politique qui tranche avec ce que connaît la scène nationale, vient ainsi d’étaler sa conception de la pratique politique qui peut se résumer à un jeu. Un jeu où tout est permis. Y compris les scénarios les plus absurdes, fruit de son imagination.
Cela dénote par-delà la gravité de la situation qu’il vient de créer, de la déliquescence de la scène politique du pays avec des partis en proie à des mouvements de redressement, une alliance présidentielle qui gère sans partage l’Exécutif, un FLN en crise désormais inhérente à sa vie interne, une opposition recroquevillée sur elle-même, effacée et incapable de renouveler son discours quand elle ne verse pas dans la critique au ton “osé”, qui a perdu le sens de la mesure et surtout l’espoir de prendre le pouvoir. C’est dire qu’avec cet épisode, on a atteint le fond qui donne, malheureusement, l’image de la politique devenue l’apanage de tout parvenu.
Et faire son propre désaveu aussi rapidement relèverait du jeu qu’est devenue la politique dont les conséquences se mesureront au niveau de désaffection du citoyen vis-à-vis des élections et de la chose politique de manière générale.
Ce qui alourdit également cette situation inédite est le silence du concerné par les propos de
M. Ayachi. En effet, depuis sa création, le RCN a été catalogué parti de Saïd Bouteflika et ses initiateurs n’ont pas démenti l’idée de son soutien à sa création et leur soutien à sa candidature à la présidentielle pour succéder à son frère président.
Depuis et jusqu’à cette sortie, Saïd Bouteflika, dont le nom a commencé à circuler pendant la période de flottement avant l’annonce de la candidature de Abdelaziz pour un troisième mandat. Présent tout au long de la campagne de son frère, il restera cependant très discret avant de s’éclipser et se cantonner dans son rôle de conseiller. Posture qui encouragera les comités de soutien, les associations à s’afficher publiquement et leur position en faveur de Saïd Bouteflika.
L’hypothèse est revenue régulièrement dans la presse sans qu’il ne démente une seule fois les intentions qui lui sont prêtées. Et avec son silence encourageant, assimilé à son assentiment, une sortie comme celle de Ayachi devait fatalement arriver. Car, la précipitation de
M. Ayachi à battre “sa carte” dissimule mal une course de plusieurs acteurs “autour” de Saïd Bouteflika.
Malheureusement, quand il a dégainé plus vite que les autres, il s’est tiré une balle dans le pied. Et porté, par ricochet, atteinte à la personne du conseiller du Président et terni par la même occasion l’image de la classe politique algérienne.
Demeure la question de savoir quelles sont les véritables raisons qui ont poussé Ayachi à se rétracter aussi rapidement. Mystère ! À moins qu’il n’ait reçu instruction de revenir sur ses déclarations. Mais là, ce ne serait pas un jeu ou le fruit de son imagination !

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Le conflit du Sahara est un écran de fumée et quand cette fumée se dissipe . On aura Lahmada et le Touat intelligemment.

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