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Algérie au bord de l'implosion

5 participants

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bacharalkhir

bacharalkhir

َAidez-le à comprendre pourquoi les pontes de leur mamma frança ne veulent plus d'eux,malgré toutes les offrandes qu'ils leur présentent gracieusement...

bacharalkhir

bacharalkhir

Les initiatives se multiplient dans les milieux des journalistes et des intellectuels

La société civile se réveille et s’organise
L’initiative, louable, prise par la LADDH de convaincre les partis politiques, les syndicats et les ONG d’aller vers une démarche unitaire «pour provoquer le changement en Algérie», a eu pour effet de tirer la société de sa torpeur.[/b]

Depuis la tenue de la première réunion de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD) le 21 janvier dernier, la société civile a commencé à s’organiser à travers tout le pays pour intégrer la dynamique lancée par l’organisation dirigée par maître Mustapha Bouchachi.
C’est ainsi que mercredi dernier, un groupe de journalistes issus de plusieurs journaux et travaillant dans plusieurs grandes villes du pays a mis sur pied une association baptisée Collectif des journalistes algériens autonomes (COJAA). Ce collectif qui fédère déjà de nombreux professionnels des médias réclame, au même titre que la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, la levée de l’état d’urgence.
Dans un appel lancé durant la soirée de mercredi, les animateurs du COJAA exigent, en outre, l’ouverture des champs politique et médiatique, la consécration des libertés individuelles et collectives, et la dépénalisation du délit de presse. «Les journalistes algériens, qui ont toujours été à la pointe du combat pour la démocratie et la justice sociale et qui ont, en outre, payé un très lourd tribut pour défendre la liberté d’expression et de la presse en Algérie, ne peuvent pas rester aujourd’hui en marge de l’histoire et se contenter de se comporter en simples spectateurs devant le combat courageux mené par la société tout entière pour arracher le droit à la parole et à la liberté», soulignent les animateurs du COJAA dans leur communiqué n°1.
Le Collectif des journalistes algériens autonomes qui doit décider dans les tout prochains jours de la position à adopter concernant la marche nationale que compte organiser à Alger, le 12 février prochain, la Coordination nationale pour le changement et la démocratie, regroupe des noms connus de la presse nationale tels Mustapha Benfodil, Zoubir Khlaïfïa, Hassan Moali, Houari Barti, Ali Cherarak, Zouaimia El Hadj Larbi ou encore Amine Esseghir.
Une autre initiative allant dans le même sens a été initiée également mercredi dernier par un autre groupe de journalistes parmi lesquels on retrouve l’ancien secrétaire général du Syndicat national des journalistes (SNJ), Rabah Abdallah. Ces journalistes organisés autour du Comité national pour la liberté de la presse (CNLP), réclament, eux aussi, «la levée de l’état d’urgence et l’ouverture des champs politique et médiatique». Le CNLP, qui a pris la décision vendredi de rejoindre la CNCD, appelle ainsi «l’ensemble des journalistes convaincus de l’impératif de l’instauration d’un Etat de droit où les libertés et la citoyenneté sont consacrées à se mobiliser pour porter haut cette revendication démocratique en cette phase décisive de l’histoire de notre pays».
Des intellectuels s’impliquent
Durant le courant de la semaine dernière, des hommes politiques et des universitaires ont, pour leur part, publié un manifeste pour des droits et libertés dans lequel ils soulignent «la nécessité urgente de rétablir la perspective démocratique par la levée de l’état d’urgence comme condition première pour jouir pleinement des droits de l’homme et des libertés publiques garantis par la Constitution et les conventions internationales ratifiées par l’Algérie et l’ouverture des espaces politique, syndical, associatif et médiatique nécessaires à la promotion et au respect du pluralisme, indispensable à la vitalité du pays et à son développement».
Ce manifeste qui a requis le soutien de plusieurs centaines de personnes parmi lesquelles le professeur Issad, juriste de renom et ancien président de la défunte commission de réforme de la justice, réclame, par ailleurs, «la construction de l’Etat de droit, condition sine qua non à l’indépendance de la justice et à l’égalité de tous devant la loi (…) et la séparation des champs politique et religieux pour garantir l’autonomie individuelle, socle de la modernité politique».
Les initiateurs du Manifeste pour des droits et libertés déclarent «agir en faveur d’un mouvement d’opinion pour la concrétisation, par des moyens pacifiques (…)». A signaler, enfin, qu’un groupe de journalistes a appelé à la tenue, aujourd’hui, d’un rassemblement à la maison de la presse Tahar Djaout d’Alger pour «dénoncer le jeu auquel se livre une certaine presse pour dénigrer toute action allant dans le sens du changement démocratique en Algérie».
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oranaisfier

oranaisfier

bacharalkhir a écrit:َAidez-le à comprendre pourquoi les pontes de leur mamma frança ne veulent plus d'eux,malgré toutes les offrandes qu'ils leur présentent gracieusement...

Parce que le tourisme sexuel (une des tares) qu'adore les Français, n'existe pas en Algérie.

kenadssa-marocaine

kenadssa-marocaine


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Par Radjef Saïd
Alors que « la révolution des jasmins » et la colère de la rue égyptienne continuent de dominer largement les débats aux quatre coins du pays en provoquant tel un tsunami de violentes répliques à travers toutes les capitales du monde arabe, des sources généralement bien informées indiquent que de hauts dignitaires du régime d’Alger ont procédé depuis au moins une semaine au transfert de leurs fortunes colossales sur des banques européennes et des banques arabes à Dubai. Certains parmi ces dignitaires, ajoutent encore nos sources, ont vivement recommandé à leurs familles établies à l’étranger, le plus souvent dans les capitales européennes, de ne pas rejoindre leur pays d’origine, en l’occurrence l’Algérie. « Nous avons appris qu’à Alger le change parallèle a atteint des pics records et l’euro s’échange désormais depuis une semaine à 140 dinars, ce qui prouve si besoin est que certains dirigeants préparent déjà leur fuite », laisse entendre un opposant proche de la Coordination de l’Appel du 19 mars. Le régime d’Alger considèré par de nombreux observateurs avertis comme l’un des plus pervers et des plus pernicieux, n’écarte pas le scénario à la tunisienne. D’autant plus vrai aux slogans forts significatifs « Ni Karzai ni Chalabi » scandés par l’opposition depuis quelques jours contre toute tentative de brader la colere du peuple, des remous auraient secoué les instances dirigeantes de l’ANP, instance qui détient la totalité du pouvoir depuis plus d’un demi siècle. Toujours selon nos sources, de jeunes officiers auraient fait savoir à leur hiérarchie leur volonté de se joindre au mot d’ordre lancé par l’opposition et l’universitaire Addi Lahouari.
« Nous voulons un changement, un vrai changement et non un changement de façade concocté dans les laboratoires du DRS », explique cepenadant un dirigeant du FFS. Et d’ajouter : « Dissolution du DRS. Mediene (le général Toufik) et les généraux criminels devant la justice du peuple. Non aux affidés du DRS. Notre combat pour la démocratie doit garder son authenticité et refléter la volonté du peuple. La réhabilitation de l’école et du savoir, la séparation des pouvoirs, l’éradication de la violence et de la corruption, le respect du choix populaire et des libertés fondamentales, le retour de l’armée dans les casernes et un code de la famille à la hauteur des sacrifices consentis par la femme algérienne, constituent les priorités de notre combat pour la restauration d’un Etat de droit. »
Cette situation intervient alors que de hauts responsables militaires américains et français sont attendus à Alger les 4 et 5 février prochain pour finaliser selon toute vraisemblance des accords secrets et revoir de nouvelles bases américaines à Tamnarrasset. C’est la troisième visite du genre depuis au moins un mois. Ce qui fait lire a certains observateurs la vive inquiétude de la France et des USA au sujet de la situation incertaine que vit Alger depuis quelques semaines.
Quotidien d'Algérie

bacharalkhir

bacharalkhir

Algérie: plusieurs grèves annoncées avant une marche de l'opposition à Alger


ALGER (Algérie) - Une série de grèves doit débuter mardi en Algérie avec des mouvements du personnel paramédical et de l'éducation qui réclament des augmentations de salaires alors que l'opposition vient d'appeler à une marche à Alger pour demander "le départ du système".
Le Syndicat algérien des paramédicaux (SAP) a appelé lundi le personnel paramédical des hôpitaux et des polycliniques à observer dès mardi une grève de deux jours pour faire pression sur le ministère de la Santé.
Selon le président du SAP Lounès Ghachi, le ministère tarde à promulguer le statut particulier du personnel paramédical, qui prévoit notamment une revalorisation des salaires.
"Un service minimum sera assuré dans les principaux établissements hospitaliers. Quelque 90.000 salariés sont concernés par ce mouvement", a précisé à l'AFP le responsable du SNAP.
L'Algérie compte actuellement 300 hôpitaux généraux, quatorze centres hospitalo-universitaires (CHU) et 1.200 polycliniques.
Les personnels du corps commun du ministère l'éducation envisagent de leur côté de se rassembler le 14 février devant le siège de leur ministère à Alger pour exiger "plus d'attention de la part de la tutelle à cette catégorie marginalisée", selon le quotidien El-Khabar.
Ils réclament notamment une augmentation de salaire et une hausse de la prime de rendement.
Les chômeurs prévoient pour leur part le 6 février un mouvement de protestation devant le siège du ministère du Travail à Alger où ils comptent déposer une plate-forme de revendications, toujours selon El Khabar.
L'annonce de ces movvements intervient alors que la toute nouvelle Coordination nationale pour le changement et la démocratie, qui regroupe des mouvements d'opposition et organisations de la société civile, a appelé à une marche le 12 février à Alger.
Cette coordination, née le 21 janvier dans la foulée des émeutes du début janvier qui ont fait cinq morts et plus de 800 blessés, revendique la levée de l'état d'urgence, instaurée il y a 19 ans, mais surtout "le départ du système".
La Coordination, dont fait partie le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, opposition) s'attend à ce que l'autorisation des autorités pour leur marche du 12 février soit refusée.
Le ministre algérien de l'Intérieur Dahou Ould Kablia avait rappelé dimanche qu'aucune marche ne sera autorisée par les autorités à Alger, dans un entretien au quotidien francophone Liberté.
Le ministre a expliqué que l'interdiction des marches étaient justifiée par des raisons de sécurité.
Les manifestations de rue sont interdites à Alger depuis le 14 juin 2001 quand une marche en faveur de la Kabylie avait tourné à l'émeute faisant huit morts et des centaines de blessés.
(©AFP / 31 janvier 2011 18h44)

bacharalkhir

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LOUISA HANOUNE :
«Bouteflika doit autoriser l’organisation des marches dans la capitale»

La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) a lancé hier, lors d’un point de presse organisé au siège de son parti à El Harrach, un appel au président de la République et au ministre de l’Intérieur pour donner leur accord à l’organisation des marches dans la capitale, dont celle du 12 février prochain.
Abder Bettache - Alger (Le soir) - La présidente du Parti des travailleurs multiplie les sorties médiatiques. Hier, lors d’une énième rencontre avec la presse, elle a plaidé pour «l’organisation des manifestations publiques dans la capitale dont les marches populaires ». Pour elle, l’argument sécuritaire des pouvoirs publics pour interdire l’organisation des marches n’est pas justifié, tout en indiquant que la lutte antiterroriste ne peut s’opposer à l’exercice démocratique. Elle dira que son parti n’est pas concerné par la marche du 12 février prochain, «car aucun contact n’a été établi avec sa formation à ce propos». S’exprimant sur l’actualité nationale et internationale, Mme Hanoune a appelé à des «réformes politiques et la levée de toutes les contraintes contraires à la pratique démocratique en Algérie». Elle a également soutenu l’idée de la dissolution de l’Assemblée nationale, tout en appelant à «l’organisation d’élections législatives et municipales anticipées ». Pour elle, sans ces mesures, «le changement du gouvernement ne suffit pas». Dans son intervention, Louisa Hanoune a longuement commenté l’actualité nationale et internationale, et a fait part de son souhait de voir le président de la République intervenir et s’adresser au peuple mais aussi prendre des mesures importantes telles que l’ouverture des médias lourds, dont la télévision. La porte-parole du Parti des travailleurs informera que «son parti organisera le 5 février prochain un meeting populaire dans la capitale, à la salle de cinéma Sierra Maestra. Une rencontre lors de laquelle elle s’exprimera sur les sujets de l’heure. Saisissant cette occasion, Louisa Hanoune a exprimer son soutien et celui de son parti aux peuples tunisien et égyptien.
A. B.
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