mr le troue du cul de yacoub..chose promise chose dut......un algerien..
:evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil:
JALONS SUR LA ROUTE DE L'ISLAM
Jehad pour la cause de Divine.
Sheikh Sayyeb Qutb
L’Imam Ibn Qayyim a résumé dans un chapitre intitulé « Lutte menée par le Prophète contre les incroyants et les faux croyants » dans son livre Zad El-Maâden, évoquant ainsi la lutte pour implanter l’Islam, a écrit ce qui suit :
La première révélation de Dieu qui fut révélé au Prophète (saws) était Iqraa, « lis ». C'était le commencement de prophétie. Dieu a commandé au Prophète d'imposer ceci d’abord à son coeur. Le commandement de prêcher n'était pas encore révélé. Alors Dieu a revelé : « Oh ! Prophète, relève toi et mets les gens en garde ».
Ainsi, la révélation « Iqraa » était sa nomination à la Prophétie, alors que « relève toi et mets les gens en garde » était sa nomination en tant que Messager. Dieu a inspiré le Prophète d'avertir d’abord ses parents proches, puis sa tribu, puis les Arabes qui étaient de son entourage, puis de toute l'Arabie et finalement le monde entier. Ainsi pendant treize années après le commencement de la révélation, il a appelé les gens à Dieu par la prédication, sans combattre ou demandé de Jizyah [l’impôt prélevé par les Musulmans aux incroyants]. Alors lors de cette période il lui a été recommandé de se retenir et de pratiquer la patience et la mansuétude.
Allah lui a commandé alors d'émigrer et ainsi prendre le chemin de l’exile, puis la permission de combattre. Alors il lui a été enjoint de lutter contre ceux qui l'ont combattu, et de ne pas livrer bataille à ceux qui ne lui font pas fait la guerre. Puis plus tard il lui a été ordonné de combattre les polythéistes jusqu'à ce que la religion de Dieu ait été entièrement établie.
Après que le commandement du Jehad fut révélé, les non-croyants se divisèrent en trois catégories, ceux avec qui il était en paix, le peuple avec qui les musulmans étaient en guerre et pour finir les Dhimmis. [Littéralement cela signifie « responsabilité », Dhimmis se rapporte aux peuples non Musulmans résidant dans un état Islamique pour lequel la protection était donné suite à certains accords et dont le gouvernement Musulman était responsable].
On lui a commandé de respecter les non-croyants avec qui il avait un traité de paix et qui honoraient leurs engagements, il devait mettre en application les articles du traité. Mais si ils rompaient ce traité, alors il devait donner la notification du rejet de se pacte et devait les combattre. Quand la Sourate « BAAR’A » fut révélé c’était pour expliqué et décrire les détails du traitement qui devait être appliqué à ces trois catégories de non-croyants. On lui a également ordonné que la guerre devrait être déclarée contre les « gens du livre » [chrétiens et juifs] qui déclarent leur hostilité de manière ouverte, jusqu'à ce qu'ils acceptent de payer la Jizyah ou d'accepter l'Islam.
Pour ce qui concerne les polythéistes et les hypocrites, le Jehad devait être déclaré contre eux et ils devaient être traités de manière impitoyable. Le Prophète a combattus les infidèles par le sabre. Comme le Jehad fut portée contre les polythéistes par le combat, il fut porté contre les hypocrites par la prédication et l'argument.
Une autre classe avec qui un pacte temporaire fut signé. À cet égard, les personnes avec qui il y avait des traités ont été divisées en trois catégories, la première, sont ceux qui ont rompus les accords, il les a donc combattus et fut victorieux. La seconde était ceux avec qui le traité a été fait pour une limite de temps indiquée, ont respectés le traité et n’ont apportés aucunes aides à ceux qui combattaient le Prophète. Pour ce qui les concerne, Dieu a commandé que leur pacte soit accompli jusqu’à son terme.
La troisième et dernière catégorie fut celle de ceux avec qui le Prophète n'avait pas d’accords et avec qui il n’était pas en conflit [ou ceux avec qui aucune limite d'expiration de pacte n'a été annoncée]. Pour ce qui concerne ces derniers, on lui a commandé que leur soient données le préavis de quatre mois, à terme ils seraient considérées comme des ennemis et devaient être combattues.
Allah ordonna au Prophète d’honorer celui qui respecte l’alliance pendant la période prescrite. Les gens de cette classe sont qualifiés de « Dhimmis » ou de protégés de l’Islam. Dieu imposa la capitation « Jizyah » à tous ceux qui embrassaient l’Islam avant l’échéance du pacte.
Ainsi, après la révélation de la Sourate « BAAR’A », la situation avec les incroyants à l’égard de l’Islam était claire. Ils étaient divisés là aussi en trois catégories, les adversaires dans la guerre, les personnes avec traités et les Dhimmis.
Les personnes avec qui il y eu des traités sont par la suite devenues Musulmans et le Prophètes n’eu plus affaire qu’aux ennemis directe et à ses alliés. Le Prophète était très craint par ses ennemis. Les personnes soumises par le Jehad sont celles qui étaient le plus effrayés.
Donc (dans l’évolution des choses) les personnes qui se sont dressés contre le Prophète étaient de trois sortes:
-Les musulmans qui ont cru en lui et en sa mission (hypocrites).
-Ceux avec qui il y eu un pacte de paix et soumis par les armes.
-Les adversaires qui ont continué à le combattre.
En ce qui concerne les hypocrites, Allah a commandé le Prophète d’accepter leur conversion et de laisser la sincérité de leurs intentions à Allah, et de continuer le Jehad contre eux par arguments et persuasions. Il a été obligé au Prophète, d’autre part, de na pas prier sur leurs tombes et s’il lui arrive de demander pardon à Allah pour leurs péchés, Allah ne le fera pas, car leur affaire était avec Lui. Ainsi était la conduite, en quelque sorte, du Prophète à l’égard de ses ennemis parmi les « non-croyants et les hypocrites ».
Dans cette description nous trouvons un résumé des étapes concernant le Jehad présentées d'une excellente façon. Et nous y trouvons aussi toutes les caractéristiques distinctives et de grande ampleur du mouvement actif de la vraie religion. C’est une voie qui mérite une longue médiation, mais au sujet de laquelle nous ne pouvons faire ici que quelques remarques.
D'abord, la méthode de cette religion est très pratique et procède un sérieux réalisme. Ce mouvement fait face à la réalité humaine, et emploie les ressources qui sont conformes aux conditions de la réalité de l’existence.
Ce mouvement se dresse en conflit avec la Jahiliyyah et l’idolâtrie, sur laquelle se tient une réglementation réaliste et une pratique de l’autorité politique soutenue par le pouvoir des forces matérielles. Ce mouvement Islamique a dû produire des moyens adéquats pour affronter les obstacles de la Jahiliyyah. Tantôt par l’Appel à l’Islam et l’explication de la foi et des conceptions de cette croyance. Tantôt par l’emploi de la force physique, c'est-à-dire du Jehad pour supprimer les organismes et les autorités du système de la Jahiliyyah qui empêchent les personnes de se reformer dans leurs idées et leurs croyances, mais surtout afin d’abattre les régimes et détruire les forces qui les soutiennent en empêchant les gens de voir clair et de ne plus être soumis aux hommes mais à Allah Tout Puissant. L’Islam était un mouvement qui ne se contentait pas seulement de pratiquer le dialogue et la dialectique avec le pouvoir matérialiste et n’employait pas la force matérialiste pour conquérir les cœurs et les individus.
Ces deux principes sont également importants dans la méthode de cette religion. Son but est de libérer les gens qui souhaitaient être délivrés de l'asservissement aux hommes de sorte qu'ils puissent servir seulement Allah.
Le deuxième aspect de la religion Islamique est que c'est un mouvement pratique qui progresse petit à petit, et à chaque étape elle fournit des ressources selon les besoins pratiques de la situation et prépare le monde à sa prochaine progression. Elle ne fait pas face à des problèmes pratiques avec des théories abstraites, ni ne confronte ces diverses étapes par des moyens rigides.
Ceux qui exhibent les textes Coraniques comme des preuves contre le Jehad en Islam (l’Islam dans sa lutte) ne tiennent pas compte de ses aspects et ne distingue ni sont caractère, ni ne comprennent la nature des diverses étapes par lesquelles ce mouvement (l’Islam) se développe. Ainsi, quand ils parlent au sujet du Jehad, ils parlent maladroitement et se mélangent et s’induisent ainsi en erreur. Ils prêtent un sens erroné aux textes, aux principes et aux règles définitives du concept théorique du Jehad, déviant ainsi ces dits principes. C'est parce qu'ils considèrent chaque versets du Qur'an comme si c'étaient le principe final de cette religion. Ce groupe de penseurs (d’exégètes), qui ne sont qu’un produit de l'état corrompu d’une branche musulmane, n'ont rien de musulmans mais possèdent seulement l'étiquette de l'Islam et disent avec l’amer défaitisme dans l’âme et le cœur, aux jeunes générations, qui quant à elles aujourd’hui, ne conservent de cette religion que le titre : « L’Islam ne lutte que pour assurer sa défense ! ».
Ils croient lui rendre service en lui ôtant ainsi son propre rôle qui est l’abolition de toutes les dictatures de la surface de la terre. L'Islam ne force pas les personnes à accepter sa croyance, mais il veut fournir un environnement libre dans lequel elles auront le choix de croyances. Tout cela après l’abolition des régimes politiques ou après les avoir soumis à la rançon (Jizyah) et à l’engagement solennel de permettre à leurs propres citoyens de décider librement si ils accepteront l'Islam ou pas.
Le troisième aspect de cette religion est les nouvelles ressources ou méthodes qu'elle emploie dans son mouvement progressif. Dès le premier jour de sa révélation, cette religion qui s’adressait aux proches du Prophète, à la Tribu Quraish, à tout les Arabes ou au monde entier, tenait le même propos dans son appel. Elle les a appelés à la soumission à un Dieu Unique et au rejet de la domination (seigneurie) d'autres hommes. Selon ce principe il n'y a aucun compromis ni aucune flexibilité. Pour atteindre ce but, le Prophète procéda selon un plan bien déterminé suivant des étapes précises et chaque étape avait ses nouvelles méthodes, comme nous l’avons décrit dans le chapitre précédent.
:evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil:
JALONS SUR LA ROUTE DE L'ISLAM
Jehad pour la cause de Divine.
Sheikh Sayyeb Qutb
L’Imam Ibn Qayyim a résumé dans un chapitre intitulé « Lutte menée par le Prophète contre les incroyants et les faux croyants » dans son livre Zad El-Maâden, évoquant ainsi la lutte pour implanter l’Islam, a écrit ce qui suit :
La première révélation de Dieu qui fut révélé au Prophète (saws) était Iqraa, « lis ». C'était le commencement de prophétie. Dieu a commandé au Prophète d'imposer ceci d’abord à son coeur. Le commandement de prêcher n'était pas encore révélé. Alors Dieu a revelé : « Oh ! Prophète, relève toi et mets les gens en garde ».
Ainsi, la révélation « Iqraa » était sa nomination à la Prophétie, alors que « relève toi et mets les gens en garde » était sa nomination en tant que Messager. Dieu a inspiré le Prophète d'avertir d’abord ses parents proches, puis sa tribu, puis les Arabes qui étaient de son entourage, puis de toute l'Arabie et finalement le monde entier. Ainsi pendant treize années après le commencement de la révélation, il a appelé les gens à Dieu par la prédication, sans combattre ou demandé de Jizyah [l’impôt prélevé par les Musulmans aux incroyants]. Alors lors de cette période il lui a été recommandé de se retenir et de pratiquer la patience et la mansuétude.
Allah lui a commandé alors d'émigrer et ainsi prendre le chemin de l’exile, puis la permission de combattre. Alors il lui a été enjoint de lutter contre ceux qui l'ont combattu, et de ne pas livrer bataille à ceux qui ne lui font pas fait la guerre. Puis plus tard il lui a été ordonné de combattre les polythéistes jusqu'à ce que la religion de Dieu ait été entièrement établie.
Après que le commandement du Jehad fut révélé, les non-croyants se divisèrent en trois catégories, ceux avec qui il était en paix, le peuple avec qui les musulmans étaient en guerre et pour finir les Dhimmis. [Littéralement cela signifie « responsabilité », Dhimmis se rapporte aux peuples non Musulmans résidant dans un état Islamique pour lequel la protection était donné suite à certains accords et dont le gouvernement Musulman était responsable].
On lui a commandé de respecter les non-croyants avec qui il avait un traité de paix et qui honoraient leurs engagements, il devait mettre en application les articles du traité. Mais si ils rompaient ce traité, alors il devait donner la notification du rejet de se pacte et devait les combattre. Quand la Sourate « BAAR’A » fut révélé c’était pour expliqué et décrire les détails du traitement qui devait être appliqué à ces trois catégories de non-croyants. On lui a également ordonné que la guerre devrait être déclarée contre les « gens du livre » [chrétiens et juifs] qui déclarent leur hostilité de manière ouverte, jusqu'à ce qu'ils acceptent de payer la Jizyah ou d'accepter l'Islam.
Pour ce qui concerne les polythéistes et les hypocrites, le Jehad devait être déclaré contre eux et ils devaient être traités de manière impitoyable. Le Prophète a combattus les infidèles par le sabre. Comme le Jehad fut portée contre les polythéistes par le combat, il fut porté contre les hypocrites par la prédication et l'argument.
Une autre classe avec qui un pacte temporaire fut signé. À cet égard, les personnes avec qui il y avait des traités ont été divisées en trois catégories, la première, sont ceux qui ont rompus les accords, il les a donc combattus et fut victorieux. La seconde était ceux avec qui le traité a été fait pour une limite de temps indiquée, ont respectés le traité et n’ont apportés aucunes aides à ceux qui combattaient le Prophète. Pour ce qui les concerne, Dieu a commandé que leur pacte soit accompli jusqu’à son terme.
La troisième et dernière catégorie fut celle de ceux avec qui le Prophète n'avait pas d’accords et avec qui il n’était pas en conflit [ou ceux avec qui aucune limite d'expiration de pacte n'a été annoncée]. Pour ce qui concerne ces derniers, on lui a commandé que leur soient données le préavis de quatre mois, à terme ils seraient considérées comme des ennemis et devaient être combattues.
Allah ordonna au Prophète d’honorer celui qui respecte l’alliance pendant la période prescrite. Les gens de cette classe sont qualifiés de « Dhimmis » ou de protégés de l’Islam. Dieu imposa la capitation « Jizyah » à tous ceux qui embrassaient l’Islam avant l’échéance du pacte.
Ainsi, après la révélation de la Sourate « BAAR’A », la situation avec les incroyants à l’égard de l’Islam était claire. Ils étaient divisés là aussi en trois catégories, les adversaires dans la guerre, les personnes avec traités et les Dhimmis.
Les personnes avec qui il y eu des traités sont par la suite devenues Musulmans et le Prophètes n’eu plus affaire qu’aux ennemis directe et à ses alliés. Le Prophète était très craint par ses ennemis. Les personnes soumises par le Jehad sont celles qui étaient le plus effrayés.
Donc (dans l’évolution des choses) les personnes qui se sont dressés contre le Prophète étaient de trois sortes:
-Les musulmans qui ont cru en lui et en sa mission (hypocrites).
-Ceux avec qui il y eu un pacte de paix et soumis par les armes.
-Les adversaires qui ont continué à le combattre.
En ce qui concerne les hypocrites, Allah a commandé le Prophète d’accepter leur conversion et de laisser la sincérité de leurs intentions à Allah, et de continuer le Jehad contre eux par arguments et persuasions. Il a été obligé au Prophète, d’autre part, de na pas prier sur leurs tombes et s’il lui arrive de demander pardon à Allah pour leurs péchés, Allah ne le fera pas, car leur affaire était avec Lui. Ainsi était la conduite, en quelque sorte, du Prophète à l’égard de ses ennemis parmi les « non-croyants et les hypocrites ».
Dans cette description nous trouvons un résumé des étapes concernant le Jehad présentées d'une excellente façon. Et nous y trouvons aussi toutes les caractéristiques distinctives et de grande ampleur du mouvement actif de la vraie religion. C’est une voie qui mérite une longue médiation, mais au sujet de laquelle nous ne pouvons faire ici que quelques remarques.
D'abord, la méthode de cette religion est très pratique et procède un sérieux réalisme. Ce mouvement fait face à la réalité humaine, et emploie les ressources qui sont conformes aux conditions de la réalité de l’existence.
Ce mouvement se dresse en conflit avec la Jahiliyyah et l’idolâtrie, sur laquelle se tient une réglementation réaliste et une pratique de l’autorité politique soutenue par le pouvoir des forces matérielles. Ce mouvement Islamique a dû produire des moyens adéquats pour affronter les obstacles de la Jahiliyyah. Tantôt par l’Appel à l’Islam et l’explication de la foi et des conceptions de cette croyance. Tantôt par l’emploi de la force physique, c'est-à-dire du Jehad pour supprimer les organismes et les autorités du système de la Jahiliyyah qui empêchent les personnes de se reformer dans leurs idées et leurs croyances, mais surtout afin d’abattre les régimes et détruire les forces qui les soutiennent en empêchant les gens de voir clair et de ne plus être soumis aux hommes mais à Allah Tout Puissant. L’Islam était un mouvement qui ne se contentait pas seulement de pratiquer le dialogue et la dialectique avec le pouvoir matérialiste et n’employait pas la force matérialiste pour conquérir les cœurs et les individus.
Ces deux principes sont également importants dans la méthode de cette religion. Son but est de libérer les gens qui souhaitaient être délivrés de l'asservissement aux hommes de sorte qu'ils puissent servir seulement Allah.
Le deuxième aspect de la religion Islamique est que c'est un mouvement pratique qui progresse petit à petit, et à chaque étape elle fournit des ressources selon les besoins pratiques de la situation et prépare le monde à sa prochaine progression. Elle ne fait pas face à des problèmes pratiques avec des théories abstraites, ni ne confronte ces diverses étapes par des moyens rigides.
Ceux qui exhibent les textes Coraniques comme des preuves contre le Jehad en Islam (l’Islam dans sa lutte) ne tiennent pas compte de ses aspects et ne distingue ni sont caractère, ni ne comprennent la nature des diverses étapes par lesquelles ce mouvement (l’Islam) se développe. Ainsi, quand ils parlent au sujet du Jehad, ils parlent maladroitement et se mélangent et s’induisent ainsi en erreur. Ils prêtent un sens erroné aux textes, aux principes et aux règles définitives du concept théorique du Jehad, déviant ainsi ces dits principes. C'est parce qu'ils considèrent chaque versets du Qur'an comme si c'étaient le principe final de cette religion. Ce groupe de penseurs (d’exégètes), qui ne sont qu’un produit de l'état corrompu d’une branche musulmane, n'ont rien de musulmans mais possèdent seulement l'étiquette de l'Islam et disent avec l’amer défaitisme dans l’âme et le cœur, aux jeunes générations, qui quant à elles aujourd’hui, ne conservent de cette religion que le titre : « L’Islam ne lutte que pour assurer sa défense ! ».
Ils croient lui rendre service en lui ôtant ainsi son propre rôle qui est l’abolition de toutes les dictatures de la surface de la terre. L'Islam ne force pas les personnes à accepter sa croyance, mais il veut fournir un environnement libre dans lequel elles auront le choix de croyances. Tout cela après l’abolition des régimes politiques ou après les avoir soumis à la rançon (Jizyah) et à l’engagement solennel de permettre à leurs propres citoyens de décider librement si ils accepteront l'Islam ou pas.
Le troisième aspect de cette religion est les nouvelles ressources ou méthodes qu'elle emploie dans son mouvement progressif. Dès le premier jour de sa révélation, cette religion qui s’adressait aux proches du Prophète, à la Tribu Quraish, à tout les Arabes ou au monde entier, tenait le même propos dans son appel. Elle les a appelés à la soumission à un Dieu Unique et au rejet de la domination (seigneurie) d'autres hommes. Selon ce principe il n'y a aucun compromis ni aucune flexibilité. Pour atteindre ce but, le Prophète procéda selon un plan bien déterminé suivant des étapes précises et chaque étape avait ses nouvelles méthodes, comme nous l’avons décrit dans le chapitre précédent.