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Yasmina est une apatride d'origine marocaine en Algérie
Elle est devenue apatride dans son pays natale après son mariage en 1990. Elle s'appelle Yasmina . Elle est née à Tlemcen en 1971 et d'une mère qui est y née en 1932. Son père est d'origine marocaine. Elle s'est marié avec un algérien . Elle a deux enfants de 22 et 20 ans qui sont nés à Oran.
Actuellement , elle se trouve dans une situation irrégulière dans le pays de sa mère. Son dossier de carte de séjour d'étrangère marocaine a été égaré lors de son transfert du service étranger de la sureté de la wilaya de Tlemcem vers Oran après son mariage.
La sureté de la wilaya d'Oran pour lui renouveler son titre de séjour exige qu’elle lui présente une carte d'identité ou passeport. Quand elle se présente au consulat marocain à Oran pour établir un passeport . Ce service lui explique qu'il ne peut pas lui fournir cette pièce d'identité chérifienne sans qu'elle présente une carte de séjour comme étant une résidente marocaine en Algérie.
Elle en a marre de quémander des pièces d'identité dans des pays centralistes et racistes. Elle vit avec ce mal identitaire sans se victimiser. Elle voyage entre son pays natale et son pays d'origine en empruntant la route clandestine"Trig El Wahda.
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Elle est devenue apatride dans son pays natale après son mariage en 1990. Elle s'appelle Yasmina . Elle est née à Tlemcen en 1971 et d'une mère qui est y née en 1932. Son père est d'origine marocaine. Elle s'est marié avec un algérien . Elle a deux enfants de 22 et 20 ans qui sont nés à Oran.
Actuellement , elle se trouve dans une situation irrégulière dans le pays de sa mère. Son dossier de carte de séjour d'étrangère marocaine a été égaré lors de son transfert du service étranger de la sureté de la wilaya de Tlemcem vers Oran après son mariage.
La sureté de la wilaya d'Oran pour lui renouveler son titre de séjour exige qu’elle lui présente une carte d'identité ou passeport. Quand elle se présente au consulat marocain à Oran pour établir un passeport . Ce service lui explique qu'il ne peut pas lui fournir cette pièce d'identité chérifienne sans qu'elle présente une carte de séjour comme étant une résidente marocaine en Algérie.
Elle en a marre de quémander des pièces d'identité dans des pays centralistes et racistes. Elle vit avec ce mal identitaire sans se victimiser. Elle voyage entre son pays natale et son pays d'origine en empruntant la route clandestine"Trig El Wahda.
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