Selma
Je témoigne également qu'il y a eu en 1975 le jour de l'Aid el Kébir des expulsions de familles marocaines , qui étaient en Algérie depuis des lustres.C'était une honte; certaines familles ont laissé le mouton de l'aid accoché dans leur maison,celà se passait à Hennaya près de Tlemcen. Cependant, le mot de déportation est malvenu et par ailleurs le peuple de ce petit village pleurait sur ce qu'on faisait subir à leurs amis.L'auteur de ce récit peut le confirmer.Cette décision n'avait absolument pas l'approbation des Algériens..Les peuples algériens et marocains constituent un même peuple , il faudra bien que nos gouvernants respectifs l'admettent un jour.
Les Marocains , en tant que peuple nous a soutenu durant notre guerre de libération, il faut être malhonnête pour ne pas le reconnaitre.C'est vrai aussi que certains sont même morts au maquis et ont été toturés etc..Pour le colonialisme, il ne faisait pas de différence : nous étions tous des "bicots" qu'il fallait soumettre.
A l'auteur du texte, je présente toute ma sympathie, et mes excuse de ce qu'il a enduré par mon gouvernement, même si ce n'était pas en notre nom , nous peuple algérien.
Je témoigne également qu'il y a eu en 1975 le jour de l'Aid el Kébir des expulsions de familles marocaines , qui étaient en Algérie depuis des lustres.C'était une honte; certaines familles ont laissé le mouton de l'aid accoché dans leur maison,celà se passait à Hennaya près de Tlemcen. Cependant, le mot de déportation est malvenu et par ailleurs le peuple de ce petit village pleurait sur ce qu'on faisait subir à leurs amis.L'auteur de ce récit peut le confirmer.Cette décision n'avait absolument pas l'approbation des Algériens..Les peuples algériens et marocains constituent un même peuple , il faudra bien que nos gouvernants respectifs l'admettent un jour.
Les Marocains , en tant que peuple nous a soutenu durant notre guerre de libération, il faut être malhonnête pour ne pas le reconnaitre.C'est vrai aussi que certains sont même morts au maquis et ont été toturés etc..Pour le colonialisme, il ne faisait pas de différence : nous étions tous des "bicots" qu'il fallait soumettre.
A l'auteur du texte, je présente toute ma sympathie, et mes excuse de ce qu'il a enduré par mon gouvernement, même si ce n'était pas en notre nom , nous peuple algérien.