Algérie-Maroc


Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Algérie-Maroc
Algérie-Maroc
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Algérie-Maroc

Forum de discussion entre Maghrébins, expulsés marocains d'algerie,algerie-maroc



Vous n'êtes pas connecté. Connectez-vous ou enregistrez-vous

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie)

3 participants

Aller en bas  Message [Page 1 sur 1]

admin"SNP1975"

admin
Admin

Je vous invite à cliquer sur ce lien :

https://www.youtube.com/watch?v=54pRJkJ6B6E

http://www.marocainsdalgerie.net

yacoub

yacoub

Le dialogue inter-religieux lancé par le Roi d’Arabie, par Raymond Ibrahim


mardi 28 octobre 2008, par Annie Lessard, Marc Lebuis


La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) RaymondIbrahim-610c0« Quand l’Arabie aura reconnu les droits fondamentaux des non musulmans, sans parler des droits des citoyens saoudiens qui souhaitent se convertir à une autre religion sans être exécutés, alors le dialogue pourra s’ensuivre. D’ici là, les Saoudiens n’ont aucune place à la table. En fait, ils devraient avoir honte de leur hypocrisie flagrante ».

Raymond Ibrahim est un historien et un auteur qui écrit sur le Moyen-Orient et l’Islam. Il est l’auteur de The Al-Qaida Reader (Doubleday, 2007). Né aux Etats-Unis de parents coptes égyptiens, il parle couramment l’arabe. Il a fait ses études à la California State University (histoire, anglais et philosophie), et des études supérieures au Center for Contemporary Arab Studies de l’Université de Georgetown. Ses chroniques et ses analyses ont été publiées dans de nombreux médias nationaux et internationaux.

Traduction de : Saudi calls for "interfaith dialogue" in context, par Raymond Ibrahim, sur jihadwatch, le 27 octobre 2008

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Abdallah-95dc1 Selon l’Associated Press, le roi Abdallah d’Arabie saoudite a récemment déclaré qu’il envisage de participer à une réunion qui aura lieu en novembre à l’ONU à New York, pour poursuivre son « initiative visant à promouvoir le dialogue interreligieux ». Pour le Roi, le fait que les musulmans « tendent la main aux non musulmans aidera à purifier la réputation de l’islam en cette époque où cette religion est critiquée dans le monde ».

Bien sûr, ce n’est rien de nouveau. Abdallah est engagé dans le « rapprochement » avec les infidèles depuis un certain temps maintenant. Avant la conférence interconfessionnelle tant vantée de Madrid, le monarque saoudien aurait livré un « plaidoyer passionné pour le dialogue entre musulmans, chrétiens et Juifs » - allant jusqu’à appeler les deux derniers « nos frères ». Le Jerusalem Post a écrit que ces dialogues seraient axés sur le développement du « respect entre les religions ».

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Drapeau_saoudien-8082fLe royaume d’Arabie est toutefois célèbre pour défendre avec ténacité, et pour exporter, le « wahhabisme/salafisme », cette version littéraliste de l’islam qui ne prêche absolument aucune tolérance, qui tue les apostats, et condamne tous les non musulmans comme infidèles. Il est également célèbre pour avoir fourni 15 des 19 pirates de l’air du 11/9, pour avoir « éduqué » des gens tels que Osama bin Laden, et pour exhiber une épée sur son drapeau national. On ne peut s’empêcher de s’interroger sur les motivations du vieux monarque. En outre, alors que le roi saoudien tente de séduire les infidèles avec ses appels au « dialogue », le fait que les manuels scolaires de son royaume exhortent la jeunesse de l’Arabie saoudite à haïr tous les non musulmans est une démonstration supplémentaire du manque de sincérité d’Abdallah.

Voici une anecdote révélatrice : plusieurs jours avant la conférence de Madrid, l’éminent cheikh saoudien Abdul Rahman Barack a émis une fatwa condamnant à mort deux écrivains saoudiens. Leur crime ? Ils ont écrit des articles dans le journal saoudien Al-Riyad remettant en question la position musulmane qui traite tous les non musulmans d’« infidèles », ceux que le roi saoudien appelle par ailleurs des « frères ». Selon la presse arabe, Barack a dit : « Toute personne qui prétend que les non musulmans ne sont pas des infidèles a renié l’islam, et doit être jugée pour qu’elle puisse se rétracter, sinon elle devra être tuée pour avoir apostasié l’islam ».

Est-ce à dire que le Roi Abdullah croit vraiment que les chrétiens et les Juifs ne sont pas des infidèles, auquel cas Barack devra-t-il émettre une fatwa contre lui pour apostasie ?

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Heads2-a754eLe roi saoudien est-il par ailleurs conscient qu’un « dialogue » est censé être mené par deux participants ou plus qui croient sincèrement avoir certains droits humains fondamentaux en commun, comme la liberté de pratiquer la religion de son choix sans être agressé ? Seuls les peuples civilisés qui s’entendent sur ces principes fondamentaux peuvent passer à des choses plus temporelles, comme les différends territoriaux (par exemple, Israël et la Palestine). Mais à quoi sert d’avoir un « dialogue » sur des questions secondaires lorsque les principales questions – les droits humains fondamentaux - ne font pas partagées par l’ensemble des parties ?

Voici la situation en Arabie saoudite : ceux qui osent apostasier doivent être tués. Aucune église, synagogue, ou autre symbole d’un culte non musulman (par exemple, des croix, des étoiles de David, des Bibles) n’est autorisé dans la péninsule. Il est interdit aux non musulmans d’aller à La Mecque ou à Médine.

Il ne s’agit que de la partie visible de l’intolérance pratiquée dans la patrie de l’islam et de son fondateur. Théoriquement - ou plutôt, théologiquement -, la vision juridique de l’islam n’est guère mieux : chaque fois que l’occasion se présente, le monde entier doit être assujetti au règne islamique, que ce soit volontairement ou par l’épée, selon le modèle établi par le prophète islamique et les premiers califes « justes ». Ce qui est encore plus troublant est que cette vision islamique de la conquête du monde n’est pas seulement le produit de certaines écoles de pensée islamiques obscurantistes, ni un « détournement » par Ben Laden et ses semblables. Au contraire, c’est la vision du monde codifiée par l’ensemble des quatre écoles de jurisprudence de l’islam sunnite. En fait, c’est un devoir (fard kifaya) imposé à l’ensemble des musulmans.

Ceci étant, d’où vient le culot que manifeste Abdallah en appelant au « dialogue » ? La sincérité d’une communauté et sa tolérance envers l’« Autre » se mesure à la manière dont elle traite les « Autres » qui sont sous son autorité.

Aux États-Unis, par exemple, les minorités musulmanes ont exactement les mêmes droits que les chrétiens, les Juifs et les autres : le droit de construire des lieux de culte (mosquées), le droit de porter publiquement leurs livres saints (Coran), le droit de manifester leur religion et de faire du prosélytisme, et aussi, le droit d’être musulman. C’est la preuve que l’Occident est prêt pour le dialogue sur les questions accessoires : il a déjà manifestement démontré sa ferme conviction que ces libertés fondamentale sont garanties à tous.

Des pays comme l’Arabie saoudite ne témoignent d’aucun respect pour les droits humains et les libertés fondamentales. Le contraste est amplement démontré par les récents commentaires d’un saoudien de haut rang qui a dit qu’« il ne sera pas possible d’entamer des négociations officielles sur la construction d’une église [notez le singulier] en Arabie saoudite avant que le Pape et toutes les églises chrétiennes ne reconnaissent le prophète Mahomet » - ce qui, bien sûr, ferait de tous les chrétiens, des musulmans.

En fait, les appels saoudiens au dialogue sont l’équivalent de l’hypothétique scénario suivant : Imaginez si aujourd’hui, les États-Unis enchâssaient et mettaient en application des lois constitutionnelles stipulant que les Noirs sont inférieurs aux Blancs, et que, au mieux, ils doivent être traités comme des citoyens de deuxième classe. Pour ensuite, malgré que le monde entier soit au courant de ces lois, et malgré que les Noirs vivant en dehors des États-Unis entendent constamment parler de la persécution des Noirs aux États-Unis, eh bien malgré tout cela, imaginez si les États-Unis tendaient aussi la main à de puissantes nations d’Afrique en insistant que le « dialogue » est nécessaire - histoire de « clarifier les choses » et démontrer (verbalement) que les Noirs sont considérés comme des « frères ».

Peut-être la meilleure preuve que le vieux roi n’est pas sincère réside-t-elle dans le fait que dans la plupart de ses discours soi-disant « multi-culti », les polythéistes sont manifestement laissés de côté. Ainsi avant Madrid, Abdallah a continuellement souligné que ce dialogue devait être limité à « nos frères des religions que j’ai mentionnées, la Torah [les Juifs] et les Évangiles [les chrétiens] ». Si le roi saoudien entendait honnêtement promouvoir la tolérance religieuse dans le monde entier, pourquoi les polythéistes n’étaient-ils pas invités au dialogue ? Plus précisément, pourquoi n’a-t-il pas invité les Hindous, qui ont également une histoire longue et souvent sanglante avec l’islam, y compris des différends territoriaux (par exemple, au Cachemire) qui se perpétuent à ce jour ?

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Indian-Muslims-praying--9fd72

La raison théologique est que les polythéistes (al-mushrikun) sont dans une situation pire encore que les chrétiens et les juifs (le Coran les appelle les « gens du Livre », sauf dans les derniers chapitres et versets, qui ont préséance conformément à la doctrine de l’abrogation, où ils sont considérés comme des « infidèles » qui doivent être combattus à perpétuité). Ainsi, alors que les « frères » chrétiens et Juifs de Abdullah peuvent préserver leurs croyances (une fois soumis et contraints à vivre selon le statut de 2e classe des « dhimmis »), les polythéistes, eux, doivent se convertir ou mourir.

Il est évident que ce n’est pas pour des raisons théologiques que le roi n’a pas tendu la main aux Hindous. En effet, au plan doctrinal, les Juifs et les chrétiens sont à peine mieux traités qu’eux. C’est plutôt que le roi voit un besoin de rapprochement avec le puissant monde occidental judéo-chrétien, et ne ressent pas un besoin pressant de se rapprocher des Hindous.

Pourtant, si le dialogue a pour but d’atténuer les conflits, les Indiens ne devraient-ils pas à tout le moins être invités à ces discussions ? En effet, l’Inde hindoue et le Pakistan musulman, qui ensemble ont une population de 1,5 milliard, sont parfois au bord d’un conflit nucléaire, quand ce n’est pas le Pakistan qui connaît des bouleversements internes. La réponse est évidente : les frères musulmans du Pakistan sont assez forts pour tenir les Hindous en respect, les deux pays ayant des armes égales. Il n’y a donc pas, à ce stade, un besoin de se « rapprocher » de ces infidèles-là.

Bien que le « plaidoyer passionné pour le dialogue » par Abdallah soit certainement digne de soutien, le point de départ de ce dialogue doit être le traitement que le monde musulman réserve aux non musulmans à l’intérieur de ses frontières. Une fois que l’Arabie saoudite aura reconnu les droits fondamentaux des non musulmans, sans parler ceux des citoyens saoudiens qui souhaitent tout simplement pouvoir se convertir sans être exécutés, alors le dialogue sur des questions secondaires pourra s’ensuivre. D’ici là, les Saoudiens n’ont absolument aucune place à la table de négociations. En fait, ils devraient plutôt avoir honte de ces continuelles manifestations publiques d’hypocrisie flagrante.

becharelkhir

becharelkhir

Et Toi c'est la classe...ya...pas la peine,puisque ce que tu endures te suffit.

becharelkhir

becharelkhir

"Quand l’Arabie aura reconnu les droits fondamentaux des non musulmans, sans parler des droits des citoyens saoudiens qui souhaitent se convertir à une autre religion sans être exécutés, alors le dialogue pourra s’ensuivre. D’ici là, les Saoudiens n’ont aucune place à la table. En fait, ils devraient avoir honte de leur hypocrisie flagrante ».
[size=18]La table de ja3cob et compères évidemment (...)!!?
[/size]

yacoub

yacoub

Il faut faire hihah hihan:lol: :lol: :lol: Bechar el hmir

yacoub

yacoub

Arabie saoudite - Non à la réciprocité dans l’interdiction de diffamer les religions


samedi 22 mars 2008


L’islam se présente comme religion de tolérance et de paix. Mais la tolérance de l’islam envers les autres religions a ses limites. C’est ainsi que le projet de Convention internationale contre la diffamation des religions promu par l’Organisation de la conférence islamique dans le but de lutter contre l’islamophobie (on vise en fait à créer un « délit de blasphème » poursuivable devant les tribunaux civils) a été jugé inacceptable par le Conseil consultatif de l’Arabie saoudite, vu que l’interdiction de diffamer les religions viserait l’ensemble des religions, ce qui obligerait les saoudiens à « respecter » des croyances comme l’hindouisme, le bouddhisme, la foi bahaï, etc. Le retrait du soutien de l’Arabie saoudite à ce projet de Convention sur le blasphème, quoique fondé sur des motifs odieux, est une excellente nouvelle !

*******************************

(CNSNews.com) - Une initiative islamique visant à créer une Convention internationale contre la « diffamation des religions » a rencontré un obstacle inattendu cette semaine en Arabie saoudite, où des membres d’un organe consultatif du gouvernement ont fait valoir que l’initiative pourrait obliger les musulmans à reconnaître les croyances païennes.

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Behead1-4L’initiative en vue de proscrire les insultes contre les religions et les figures religieuses est menée par les 57 membres de l’Organisation de la Conférence islamique (OCI) en réponse à des représentations occidentales de l’islam et de Mahomet de manière considérée offensante par les musulmans.

Bien que l’objectif soit la protection de l’islam, l’OCI fait campagne pour une convention contre les insultes envers toutes les confessions afin de gagner le soutien à l’ONU. En décembre dernier, une résolution sur la « diffamation des religions » parrainée par l’OCI a été adoptée en Assemblée Générale de l’ONU par un vote 108-51, avec près de la moitié du soutien venant d’États non musulmans. (Note de PdB : tous les pays occidentaux, y compris le Canada, ont voté contre cette résolution, ainsi que d’autres pays démocratiques, comme l’Australie, la Nouvelle-Zélande, etc.)

Comme acteur clé de l’OCI, l’Arabie saoudite joue un rôle prépondérant dans cette campagne.

Le Conseil de la shoura d’Arabie saoudite – un organe qui conseille le gouvernement non élu du royaume - a examiné cette semaine une recommandation à l’effet que le ministère des affaires étrangères coordonne son action avec les divers groupes à l’ONU « pour adopter une convention internationale qui interdit d’offenser les religions et les personnalités religieuses de quelque manière ».

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Holo La proposition a suscité de la dissidence. Des membres du Conseil ont fait valoir qu’une convention protégeant la diffamation de toutes les religions obligerait les musulmans à tolérer les autres croyances religieuses.

Le membre du Conseil Khaleel al-Khaleel a été cité par le Saudi Gazette comme mettant en garde contre un « piège », et disant que les concepts religieux diffèrent d’un pays à l’autre et d’une civilisation à l’autre. « Les musulmans devraient-ils s’engager à respecter et à ne pas critiquer toute croyance déviante que d’aucuns considèrent comme une religion ? » a-t-il demandé.

Un autre membre, Talal Bakri, a déclaré qu’une convention contre la « diffamation des religions » pourrait conduire à des demandes que les pays musulmans permettent des temples pour les religions païennes.

L’Arabie saoudite, qui est citée par le Département d’État américain comme l’un des plus flagrants violateurs de la liberté religieuse, ne permet pas les lieux de culte non musulmans, y compris les églises et les synagogues.

Le membre du Conseil qui a présenté la résolution, Mohammed al-Qowaihis, était d’accord de remplacer les mots « figures religieuses » par « les prophètes et les messagers de Dieu ». (Dans l’islam, le terme réfère à une série de figures bibliques, d’Adam à Jésus - qui sont tous considérés comme des prophètes de l’islam -, ainsi que Mahomet, le « dernier prophète ».) La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Boo-765026-3

Mais le Conseil a quand même rejeté la recommandation par un vote 77-33.

Le Conseil de la Shoura, dont les membres sont nommés par le Roi, est ce que l’Arabie saoudite a de plus proche d’un parlement. Ses positions peuvent se révéler inconfortables, compte tenu de la priorité accordée par l’OCI à la question de l’« islamophobie » et des affronts à l’islam, comme les caricatures de Mahomet.

Le royaume, berceau de l’islam et terre de ses sites les plus vénérés, accueille le secrétariat de l’OCI et est un important bailleur de fonds. Il a récemment accepté de financer la construction d’un nouveau grand quartier général de l’organisation à Djeddah, pour laquelle il a fait don de terres côtières de première classe.

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Behead2

Lors d’un sommet de l’OCI au Sénégal la semaine dernière, où l’« islamophobie » était en tête de l’ordre du jour, le ministre saoudien des Affaires étrangères, le Prince Saud Al-Faisal, a déclaré que la liberté d’expression ne doit pas être utilisée comme prétexte pour porter atteinte « aux droits et libertés des croyances religieuses des individus ».

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Hell002

« Nous demandons à la communauté internationale et à toutes ses institutions civiles et officielles, et à leurs médias de respecter l’islam en tant que religion divine et la plus répandue », a-t-il dit.

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) 911euro

Le sommet a exprimé son soutien à une proposition présentée par le roi Mohammed VI du Maroc, appelant à une convention internationale pour définir les « règles et contrôles adéquats » pour la pratique de la liberté d’expression parallèlement à l’obligation de respecter les croyances religieuses et les symboles religieux.

Voir aussi :

becharelkhir

becharelkhir

Tu cauchemardes et toi debout Nana ja3cob, c'est plus fort que toi puisque la lamentation t'a fait perdre la raison...!!?
Quelle vie d'un chien érrant...!!!,vraiment tu fais pitié même aux Nsaras ,mais seulement les Nsaras qui sont
comme toi...!?,c'est aberrant ton sort ...!!!

yacoub

yacoub

:lol: :lol:

:bounce: :bounce:

:twisted: :twisted:
pauvre clown coranisé

becharelkhir

becharelkhir

Qu'est ce que tu a !!?, t'a besoin de ton semblable..., ou les children ont besoin d'être allaité.
Tu es bien comme ça comme tu es ...!!?,ce n'est pas toi qui le disait,puisque ton monde civilisé te permet
tout...!!?,alors tu n'à te régaler comme ça !!?.

yacoub

yacoub

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) 060203mahomet

yacoub

yacoub

Vatican - Forum catholiques-islam. Déclaration commune. La liberté est "souhaitable". Les chrétiens sont appelés à renoncer au terrorisme au nom de leur religion


jeudi 6 novembre 2008


Selon ce qui est rapporté par La Croix, il semble que l’appel du Pape au respect absolu de la liberté de conscience, un droit consacré dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme mais nié par l’islam, n’a pas été entendu. Ni l’appel pressant de 144 chrétiens vivant comme minoritaires dans le monde islamique demandant l’abolition de la dhimmitude, le droit pour les musulmans de se convertir à une autre religion sans être exécutés, et la soustraction des non musulmans à l’application de la charia. À côté de mots tels que nous « affirmons », nous « proclamons », ou nous « professons », employés dans certaines parties de la déclaration commune, le terme « souhaitons », aux allures de voeux pieux, est utilisé pour ce qui concerne la liberté.

La déclaration commune indique que catholiques et musulmans ont souhaité « le respect de la personne et de ses choix en matière de conscience et de religion », ainsi que « le droit des individus et des communautés à pratiquer leur religion en privé et en public ». « Nous affirmons qu’aucune religion et aucun de ses fidèles ne devraient être exclus de la société », ont-ils aussi écrit. La déclaration poursuit en disant que les catholiques et les musulmans renoncent « aux actes terroristes, en particulier ceux commis au nom de la religion ».

L’une des personnalités musulmanes engagées dans le dialogue est H. E. Shaykh Prof. Dr. Mustafa Cerić, Grand Mufti et chef des oulémas de Bosnie-Herzégovine. Selon le site Notre Dame de Kabylie, ce mufti « ne cache pas son projet d’édifier une société bosniaque régie par la charia. Dans le passé bras droit d’Izetbegovic (ancien leader islamiste de la Bosnie), il a créé les groupes islamistes armés responsables en mars 1992 de l’épuration de milliers de civils serbes. C’est lui aussi qui s’est attaqué aux musulmans modérés de Fikret Abdic (1992-1995), quand ceux-ci ont refusé le projet de société totalitaire de la Déclaration islamique ».

Quant à la déclaration sur le terrorisme, nous attendons qu’on nous donne des exemples contemporains d’actes terroristes commis au nom de la religion chrétienne...

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Jihad-Koran

Extraits de : Musulmans et catholiques marquent une nouvelle étape dans leur dialogue

Un message commun signé par les membres du Forum islamo-catholique, rendu public jeudi 6 novembre au terme de trois journées de discussions, reconnaît la liberté de culte en privé et en public.

Le message commun tient en trois pages : une présentation de l’amour de Dieu et du prochain, pour les chrétiens et les musulmans, puis des affirmations sur un certain nombre d’engagements communs dans le monde, en matière de formation de la jeunesse, de développement social et économique, et surtout de liberté. Il comprend aussi, à la demande des musulmans, une affirmation sur le terrorisme, qui n’est pas le fait d’une seule religion, et aussi une condamnation de toute dérision de la religion et de ses symboles.

La situation de la femme aux pays des bedouins (l'arabie) Jordanie-2

« Cela ne fut pas évident, avoue cependant un des participants catholiques, plus mitigé après trois jours de discussion. D’abord, on a parfois le sentiment que les musulmans veulent profiter de l’Église pour se donner une image de respectabilité. Et puis, ils cherchent à nous embarquer sur des problèmes politiques, notamment la Palestine. Enfin, il a été difficile de se mettre d’accord sur la liberté religieuse. »

C’est en effet sur le point 5 du message final, sur la liberté de culte, discuté jusqu’à la dernière minute, que les discussions furent le plus tendues. Les musulmans étaient très réticents à introduire la reconnaissance de la liberté de culte en public. Grâce au mufti de Bosnie-Herzégovine, qui a expliqué qu’il fallait aussi le faire pour les musulmans qui vivent en Europe, les catholiques ont eu gain de cause sur ce point. « Nos interlocuteurs musulmans nous ont bien confié qu’ils savaient que ce geste serait très mal perçu par certains de leurs coreligionnaires. C’est de leur part un acte courageux et responsable », confiait, ému, un participant catholique en sortant du Vatican. Dans le message, les participants sont convenus de se retrouver dans deux ans.
**************

yacoub

yacoub

L' islam demande au pape d' arrêter les attetats terroristes
chretiens.:lol: :lol: :lol: :lol:

Le christianisme ne s'est répandu que par le seyf
et Jésus a violé une fillette de 9 ans. :lol: :lol: :lol: :lol:

Contenu sponsorisé



Revenir en haut  Message [Page 1 sur 1]

Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum