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[Société] 15 000 Arabes ou Kabyles qui ont choisi de se convertir.

+4
slaker
lurchar21
MOUSSA3ID
admin"SNP1975"
8 participants

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Invité


Invité

pfffffffffffffff

yacoub

yacoub

Talal a écrit:pfffffffffffffff

:lol: :lol: :lol:

Algérie - Jugés pour avoir choisi le christianisme


Crédit Photo : Reuters / Z. Bensemra

Une jeune musulmane parle à son grand-père à la basilique d'Alger


Jugés pour avoir choisi le christianisme




  • Interview - La situation des chrétiens en Algérie se détériore. Deux Algériens convertis ont comparu ce mercredi pour prosélytisme devant le tribunal de Tissemsilt.

  • En cause : une loi de 2006 encadrant l'exercice des cultes non musulmans. Eclairage avec Mustapha Krim, président de l'Eglise protestante d'Algérie, et Philippe Perrenoud, pasteur de l'ERF.


Propos recueillis par Franck LEFEBVRE-BILLIEZ - le 26/06/2008 - 15h29













Déjà reporté à deux reprises, le procès qui s'est tenu ce mercredi à Tissemsilt est emblématique de la crispation entre le pouvoir algérien et les chrétiens d'Algérie. C'est le quatrième intenté dans le pays contre des musulmans convertis au christianisme depuis la promulgation d'une loi de 2006 encadrant l'exercice des religions autres que l'islam.

Les accusés, condamnés le 20 novembre 2007 par défaut à deux ans de prison ferme et 5000 euros d'amende chacun pour exercice illégal d'un culte non musulman, avaient demandé à être rejugés en leur présence, comme le permet la loi algérienne. Le tribunal a mis sa décision en délibéré au 2 juillet. Trois autres convertis - dont un membre du conseil de l'Eglise protestante d'
Algérie - également condamnés par défaut en janvier, ont fait la même demande et attendent toujours la date de leur comparution.

Eclairage de la situation des
chrétiens en Algérie avec Mustapha Krim, président de l'Eglise protestante d'Algérie, et Philippe Perrenoud, pasteur de l'Eglise Réformée de France à Orange, qui a assuré pendant des années une mission d'accompagnement de l'Eglise protestante en Algérie, et qui se trouve aujourd'hui sans visa.



LCI.fr : Pourriez-vous revenir sur l'origine de cette crispation des autorités algériennes vis-à-vis des chrétiens d'Algérie, et vis-à-vis des conversions ?

Mustapha Krim : Cette situation vient sans doute d'une mauvaise évaluation de la réalité chrétienne en Algérie. En quoi est-elle dangereuse ? Les conversions dont il est question ne sont chiffrées par aucune statistique fiable. Nous ne comprenons pas que cet aspect soit porté sur le devant de la scène sans raison justifiée.

Philippe Perrenoud : Ceci révèle une crainte vis-à-vis de l'expansion du mouvement évangélique. En Algérie, cela s'est traduit par un net raidissement pour des raisons historiques. Dans un premier temps, la presse algérienne libre s'est inquiétée d'un mouvement présenté comme sectaire. Elle l'a fait d'autant plus facilement que certains missionnaires ont pu avoir une attitude parfois peu respectueuse du contexte local - je pense notamment à un missionnaire français qui, dans les années 90, en pleine période des attentats islamistes, avait repris la parole biblique disant que Jésus est venu apporter le feu sur la terre (1). Ce qui a été forcément mal vu... Les articles de presse qui se sont succédé pendant cinq ou six ans ont eu pour conséquence une image négative du christianisme. Ces craintes sont devenues en soi un sujet de société ; elles ont été récupérées par une partie du pouvoir pour trouver un bouc émissaire afin de s'allier avec sa frange la plus conservatrice.

LCI.fr : Quelles sont les conditions faites aux chrétiens d'Algérie pour exercer leur culte aujourd'hui ? Que dit notamment la loi de 2006 ?

M.K. : Nous existons depuis bien longtemps et nos activités sont tout simplement conformes à nos convictions pour la grande majorité des chrétiens protestants. On nous reproche sans doute de ne pas avoir de lieux de culte aux normes du jour, mais qu'attend-on pour nous restituer nos temples et locaux réquisitionnés en dépit des lois en vigueur ? Concernant cette loi de 2006, elle nous place d'emblée dans une position de citoyens de seconde zone, avec un arsenal de mesures répressives qui nous empêche de parler librement de notre foi.

P.P. : La liberté de conscience et de religion est officiellement reconnue dans la constitution, et jusque-là elle l'était aussi dans les faits. Mais les autorités algériennes ont voulu réagir contre des mouvements chrétiens présentés comme agressifs par la loi de 2006. Elle a introduit des peines de 2 à 5 ans de prison et de 5000 à 10.000 euros d'amende pour toute personne qui incite, contraint ou utilise des moyens de séduction tendant à convertir un musulman à une autre religion. Dans les faits, même l'exercice normal d'un culte devient risqué si un musulman y assiste, et une simple conversation peut être sanctionnée dès lors qu'elle aborde des sujets de foi. De même, il n'y a plus de distinction entre le fait de distribuer des documents censés propager la foi, et le fait d'en détenir - le fait même de posséder une Bible. Ce texte a donc rapidement "débordé" de son objet initial pour frapper protestants et catholiques d'Algérie. Des gens restés pour soutenir le pays pendant la période des attentats, au péril de leur vie, sont désormais visés. Ce qui révolte grandement les démocrates algériens.

LCI.fr : Quelles sont les relations au sein des chrétiens d'Algérie et avec le gouvernement algérien ?

M.K. : Nos relations avec le gouvernement sont à sens unique, nous avons multiplié les démarches auprès du ministère des Affaires religieuses qui est censé nous prendre en charge, mais à ce jour rien de concret n'a vu le jour.
P.P. : Entre Eglise protestante historique et Eglise catholique, les relations étaient d'une grande solidarité. Mais cette crise risque d'amener une coupure entre chrétiens. Vis-à-vis du pouvoir, il faut savoir que l'islam en Algérie a servi de refuge identitaire pendant la période de la colonisation, avant d'être instrumentalisé par la suite par le pouvoir politique et les extrémistes. Ce que résume ce mot du président Bouteflika à l'archevêque d'Alger, Monseigneur Henri Teissier : "Nous avons eu nos intégristes, nous n'avons pas besoin des vôtres".
(1) Luc 12:49
L'hebdomadaire protestant Réforme avait été l'un des premiers médias français à évoquer la crise ; retrouvez ici l'interview de Mustapha Krim

Ce que dit le Coran sur les autres religions
Le Coran reconnaît les juifs et les chrétiens comme ayant reçu "une partie de l'Ecriture" dont le Coran lui-même donne la version définitive. Mais en même temps il les accuse d'avoir "altéré ces Ecritures". Toute autre religion est exclue et relève du combat religieux (jihâd). Sur cette base et sur celle de diverses traditions prophétiques, le Fiqh a construit le statut de dhimmî que l'on traduit par "protection" : juifs et chrétiens peuvent vivre comme tels dans le cadre musulman, mais comme citoyens de seconde zone, soumis à des mesures vexatoires (impôt spécial, port de signes distinctifs, restrictions sur les manifestations publiques et sur les bâtiments de culte, etc.). La formule "pas de contrainte en religion" ne doit pas être isolée du contexte (Cor. II, 256-7) lequel rejette toute autre religion du côté de l'idolâtrie. Par ailleurs elle a le plus souvent été considérée comme "abrogée" par le "verset du sabre" (Cor. IX, 5). Enfin, sur la foi d'une tradition prophétique, celui qui quitte l'islam est passible de mort.
Par Marie-Thérèse Urvoy, professeur d'islamologie à l'université catholique de Toulouse, et Dominique Urvoy professeur de pensée et civilisation arabe à Toulouse II Le Mirail, auteurs de L'action psychologique dans le Coran, éditions du Cerf.

algerino51



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lurchar21

lurchar21

Souvent les Kabyles sont accuses d'avoir tourne le dos a l'Islam pour un visas et l'argent. Ce qui n'est pas vrai , et la preuve est la .

ACTUALITÉ

YACINE IAÂMRANE, CHEVALIER DU CORAN
«C’est ma réponse aux détracteurs de la Kabylie»
30 Septembre 2008 - Page : 24
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La Kabylie a toujours été la région du Coran, des zaouïas et de la science et elle n’est pas près de léguer ce patrimoine ancestral.

Il est blond, jeune, ses ambitions et ses défis sont grands. Et Yacine Iaâmrane a su les relever. «Cette consécration est pour moi une réponse à ceux qui veulent salir la Kabylie», a déclaré à L’Expression Yacine Iaâmrane, 18 ans, récent vinqueur du concours Forsan El Quoran El Karim 2008.
Ce récitant du Coran, de 18 ans, récent bachelier, a réussi à franchir avec brio les différentes étapes du concours, auquel ont pris part plus de 15.000 candidats issus de l’ensemble du territoire national, et recevoir comme récompense un appartement et une prise en charge pour un pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam.
Le jeune candidat de la wilaya de Tizi Ouzou a tenu à mettre en valeur sa réussite au concours Forsan El Quoran El Karim en faisant part de ses impressions: «J’ai répondu à ces détracteurs qui veulent porter atteinte à une région où la religion musulmane est ancrée depuis des siècles, en remportant le premier prix du concours Forsan El Quoran El Karim 2008 (chevaliers du Saint Coran)». Fier de sa région, il ajoute: «La Kabylie a enduré, les mois passés, une situation qui ne dit pas son nom, en la traitant de tous les noms, allant jusqu’à dire que la christianisation y fait des ravages.» A ce titre, ce récitant du Coran a affirmé que «c’est par devoir et par respect à mes parents que j’ai eu l’honneur de représenter dignement ma région d’origine, là où sont nés mes parents, cette région qui a adopté l’Islam depuis des siècles et qui a lui a tant donné et l’a protégée depuis toujours». Yacine Iaâmrane revient à ces détracteurs de la Kabylie et ajoute: «C’est aussi une façon de rendre la monnaie à ces trabendistes qui sèment la zizanie dans notre pays.» La Kabylie a toujours été une terre d’Islam, mais ces derniers temps, beaucoup de choses se disent et s’écrivent sur ce sujet. La question est d’autant plus diabolisée qu’il s’agit d’une région d’Algérie qui, de tout temps, a été pointée du doigt et accusée de vouloir s’occidentaliser et, ce faisant, renoncer au legs spirituel de nos aïeux. «La Kabylie a toujours été la région du Coran, des zaouïas et de la science et elle n’est pas près d’abandonner ce patrimoine ancestral.»
L’heureux élu est issu d’une famille modeste et conservatrice, originaire de Kabylie, mais résidant à Alger. Yacine Iaâmrane, Farès El Quoran El Karim, ne craint pas une telle responsabilité. A ce sujet, il déclare: «Au contraire, c’est une récompense qui m’honore et qui me stimule pour me consacrer et travailler davantage pour cette noble mission et représenter mon pays dans diverses occasions.». Yacine a reçu comme récompense, un appartement et une prise en charge pour un pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam. Un burnous (tissé à partir de poils de chameau), brodé de fils d’or, lui a été remis par le ministre d’Etat, représentant personnel du président de la République, Abdelaziz Belkhadem, et le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Bouabdellah Ghlamallah. Celui-ci lui demandant son avis sur cette récompense, Yacine n’a pas manqué de déclarer qu’ «aucune richesse au monde n’égalera ces moments de joie et ce privilège». Récent bachelier, Yacine Iaâmrane ne tient pas à poursuivre des études en charia, mais son objectif est les sciences juridiques, tout en étant fidèle à sa foi et à sa passion, a-t-il déclaré. Avant le concours, le jeune Yacine était anonyme. Or, en quelques semaines, son nom est sur toutes les lèvres. D’autant plus que la cérémonie de clôture qui correspond à Leïlat El Qadr, a été diffusée en direct du Palais de la culture (Alger), sur les chaînes de la Télévision nationale avec la remise des prix du concours des Chevaliers du Coran (Forsane el Qoran). «A ce sujet, je profite de cette occasion pour remercier toutes les personnes qui m’ont aidé de près ou de loin, surtout mes parents qui n’étaient même pas au courant de ma participation à ce concours. Ainsi, je lance un message de fraternité pour protéger et sauvegarder ce qui nous appartient depuis toujours et saha Aidkoum!».

Idir AMMOUR

yacoub

yacoub

Ibn Warraq, le résistant.

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Dédié à la mémoire du traducteur japonais des Versets Sataniques, poignardé par un fanatique en pleine université, Pourquoi je ne suis pas musulman (édité par l'Age d'Homme une première fois en 1999 et une seconde en 2003) se propose comme la première somme critique sur l'islam. Son auteur, "Ibn Warraq" (qui signifie "le fils du papetier" et laisse penser que c'est un pseudonyme) se présente lui-même non comme un universitaire ou un spécialiste qui apporterait quelques informations nouvelles sur le troisième monothéisme mais comme un iconoclaste qui se réfère à tout ce que les islamologues, Bernard Lewis et V.S. Naipaul en tête, ont pu justement publié. Son travail, qualifié par lui-même de "vaste bibliographie annotée" (celle-ci s'étendant en fin d'ouvrage sur une dizaine de pages) entend faire le tour de l'histoire arabo-musulmane à travers un déboulonnement méthodique de la "pensée" musulmane dans son intégralité. Il ne s'agit donc pas simplement critiquer ce qu'il y a de mal dans la religion de Mahomet mais aussi ce qu'il y a de bien. Lorsque Spinoza et Nietzsche s'en prenaient au christianisme, ils ne limitaient pas leurs critiques à "l'inquisition" ou à la "Saint Barthélemy" mais à la transcendance en tant que telle considérée comme une belle illusion et au message d'amour évangélique lu comme un appauvrissement de la force vitale. Etre anti-religieux, ce n'est pas s'en prendre à ce qu'il y a de morbide dans telle religion, c'est s'en prendre à ce qu'il y a de vivant en elle et dire que cette "vie" est profondément malade. Ce qui, vous en conviendrez, est légèrement plus grave qu'une petite caricature ou qu'un gentil blasphème. Entre dire "Mahomet trou du cul" et "Allah n'existe pas", il y a là la différence entre une intention critique un rien chahuteuse et une position athée qui n'a même pas besoin de recourir à l'injure pour nier le concept même de Dieu. D'autant que, comme chacun sait, injurier Dieu, c'est y croire.
*
L'excellence non arabe ni musulmane de la civilisation arabo-musulmane.
Mais la thèse de Ibn Warraq est encore plus provocante. Selon lui, il faut distinguer trois islams qu'il numérote un peu scolairement 1, 2 et 3. L'islam 1 est ce que le Prophète enseigna à travers le Coran ; l'islam 2 est la religion telle qu'elle est développée et vécue à travers les Hadiths (traditions) qui comprennent notamment la charia et le "droit" islamique ; l'islam 3 est ce que les musulmans réalisent, c'est-à-dire la civilisation islamique. Or, "si jamais une idée générale ressort de ce livre, c'est que la civilisation islamique, l'islam 3, est souvent parvenue au sommet de sa splendeur malgré l'islam 1 et l'islam 2, et non pas grâce à eux." Autrement dit, le meilleur de la culture arabo-musulmane n'est pas islamique.
Certes, il y eut bien un âge d'or de l'islam et Warraq ne le nie nullement. Oui, les Arabes furent les grands transmetteurs de la philosophie grecquo-latine et leurs premiers commentateurs (Averroès et Avicenne pour les plus connus), oui, ils furent de grands peintres, n'ayant pas peur de représenter le Prophète à travers les miniatures persanes justement célébrées (voir à ce propos le magnifique numéro de l'émission Palettes d'Alain Jaubert consacré à celles-ci), oui ils furent aussi de grands écrivains et de grands érotiques, les Mille et une nuits et Le Jardin Parfumé - seulement voilà, toutes ces merveilles de l'esprit et des sens (sans doute idéalisées par les occidentaux mais peu importe - quand une culture fait rêver, c'est qu'il y a de quoi rêver en elle) n'avaient rien à voir avec la parole du Prophète - ce dernier méprisant autant les poètes, "Quant aux poètes : ils sont suivis par ceux qui s'égarent." (XXVI-224), que les peintres, "celui qui fabrique des images, Dieu le punira en le condamnant à donner une âme à ses images, au jugement dernier" (dans la Sunna traduite de Bokhari) et il suffit de se rappeler la destruction récente des Bouddhas millénaires par les talibans pour avoir une preuve patente de la propension artistique des orthodoxes musulmans. En fait, comme le dit Warraq, "l'impulsion créative sous-jacente à l'art islamique, à la philosophie, aux sciences, à la littérature arabes tire sa source A l'EXTERIEUR DE L'ISLAM 1 ET 2, du contact avec des civilisations plus anciennes pourvues d'un héritage plus riche." Et de faire remarquer que l'art islamique n'aurait rien été sans l'art byzantin ou sassanide. Au fond, l'âge d'or de l'islam, si vanté par tout le monde, fut surtout le fait d'influences cosmopolites dues aux apports étrangers de l'Inde (qui leur ont donné les chiffres), de la Perse, de la Chine, de la Grèce et comme nous le verrons, o suprême horreur, du monde judéo-chrétien - et c'est pourquoi il apparaît précisément aux yeux des orthodoxes comme hérétique et anti-coranique. En outre, même à cette époque un peu trop bénie par les islamophiles (et qui va en gros du neuvième au douzième siècle) tous ces artistes et philosophes furent la plupart du temps pourchassés et ne purent écrire leurs oeuvres qu'entre deux emprisonnements, attendant que la loi coranique se fasse plus douce ou moins conséquente - c'est-à-dire moins coranique. Difficile en effet d'être libre à travers cette religion politique qu'est avant tout l'islam et qui n'est rien d'autre qu' "une construction de l'esprit abstraite et totalitaire, destinée à régenter tous les aspects de la vie privée, depuis la naissance jusqu'à la mort". L'une de ses principales nuisances fut de remettre l'impureté (de la nourriture, des gestes et des images), dont on pouvait croire que le Christ nous avait débarrassé à tout jamais, au centre de l'existence. Quant à "prétendre que l'islam est favorable à la sexualité, c'est insulter les femmes musulmanes, car le sexe n'y est considéré qu'à l'avantage de l'homme." En réalité, les versets du Coran allant dans le sens du plaisir (et dans lesquels des imbéciles occidentaux voient la preuve d'une plus grande liberté sexuelle par rapport au christianisme) vont surtout dans le sens du plaisir masculin. La femme reste cette créature impure dont il faut se défier. Le mythe d'un "Mahomet féministe" dont on nous rabat les oreilles tient dans les deux réformes dont celui-ci fut à l'origine : le droits à l'héritage des femmes et surtout l'abolition de la coutume d'enterrer vivantes les filles nouveaux-nées. Pour le reste, il n'est pas exagéré de dire qu'avec l'islam et son système totalitaire qui généralisa la polygamie, le voile, la violence conjugale légale, le mariage et sa consommation avec des fillettes n'ayant parfois pas atteint la puberté, et la non-abolition de l'excision dans les pays africains, la situation des femmes empira. De toutes façons, comme le dit Ali, cousin du Prophète et quatrième calife (600-661) : "Toute la femme est maléfique et le pire c'est que c'est un mal nécessaire."
Voilà donc la loi coranique telle qu'elle s'est imposée fragmentairement puis totalement à partir du douzième siècle dans les pays "arabes" - c'est-à-dire conquis par les Arabes, nous y reviendrons. Et ce qui fait dire à Inb Warraq, qu "h
eureusement, la loi n'a pas toujours été appliquée à la lettre ; autrement la civilisation islamique n'aurait guère pu se développer." Proclamer donc que nous devons Avicenne ou les grands soufi à l'islam serait, comme le disait Renan, aussi absurde que dire que nous devons Giordano Bruno ou Galilée à l'inquisition. En Orient comme en Occident, c'est toujours (souvent ?) contre le pouvoir officiel que poussent les philosophies de liberté, d'interprétation et de représentation - sauf que l'Occident n'a cessé d'évoluer, le devenir et le progrès étant au coeur de la pensée dialectique judéo-chrétienne. Sortir de sa culture, tenter de la nier, de la dépasser, et y revenir, c'est ce qui manque cruellement à l'islam, incapable de penser autre chose que lui-même. Nul Platon musulman qui ne soit sorti de la caverne, nul Socrate qui ne se soit sacrifié pour le bien de sa cité. Encore moins un Dieu qui se donne en pâture au monde pour le sauver. L'islam ne connaît que l'égorgement ou l'asservissement des autres. On ne trouve pas plus anti-paradoxale, soit pas plus inhumaine, que cette orthodoxie sûre d'elle même et dominatrice.
Aux yeux de Warraq, "l'existence d'une philosophie islamique est en soi une contradiction". Quant à l'existence d'une science islamique, elle relève au mieux d'un gag. Abdus Salam, prix Nobel de physique en 1979, affirmait lui-même que "de toutes les grandes civilisations de la planète, la communauté islamique est celle qui a fait à la science la part la plus restreinte." (cité par Anne-Marie Delcambre dans "L'islam des interdits") Le fameux verset où Mahomet exhorte à la recherche scientifique, "Cherche la connaissance en Chine si c'est nécessaire" (XXXIX-12 ?) ne saurait être lu comme une quête de savoir au sens "occidental". C'est l'optique religieuse qui est toujours à l'oeuvre et c'est la technique en tant qu'instrument de domination des peuples qui est recherchée. Rien à voir avec notre vision d'une science censée nous délivrer de nos illusions et nous faire mieux vivre. Le terroriste islamiste est un informaticien hors pair mais refuse que sa femme aille voir un gynécologue qui ne soit pas du sérail ou de la communauté. C'est la méthode au service du dogme. La technologie au service du Djhad. Et qui s'emprunte comme toujours à l'extérieur. Un extérieur plat évidemment, car comme le disait sans rire en 1995 le cheik Abd el Aziz el Baz, suprême autorité religieuse :
"La terre est plate, celui qui déclare qu'elle est sphérique est un athée méritant une punition." (International Herald Tribune, 13 février 1995)
*

yacoub

yacoub

D'un soufisme trop chrétien au goût des imam.
Le soufisme ! L'islam mystique ! Le lumière irradiante de la religion mahométane qui a fait que tant de savants occidentaux sont devenus ses premiers exégètes (Massignon, Guénon, Corbin) et qui, avouons-le, donne vraiment envie de se convertir même pour un chrétien. Pensez ! un rapport privilégié et intime avec Dieu qui fait que l'on devient Dieu soi-même, une immanence qui coïncide avec la transcendance, un abandon des lois et des liens communautaires, une abolition de l'enfer - l'extase totale ! Sauf que l'islam orthodoxe n'admet aucun rapport privilégié à Dieu. Interdit d'être musulman seul. L'on ne se recueille pas dans sa cellule face à Dieu qui ne parle qu'à vous. La piété personnelle est un blasphème. La mystique une hérésie. Et comme les Soufi furent le plus souvent des mystiques qui blasphémaient, on comprend qu'un certain nombre ait été passé au sabre ou au gibet, à commencer par le plus grand d'entre eux, al-Hallaj (vers 858-922) qui fut emprisonné, flagellé, mutilé, exposé au gibet, décapité et brûlé. Suivirent al-Shalamaghani (vers 934), Dhu'l Nun (860), al-Suhrawardi (1191), Badr al-Din (1416) et l'on pourrait continuer la liste. [En recopiant tous ces noms, je ne cherche pas à faire le pédant, mais à tenter de montrer comment l'islam traite depuis des siècles tous ceux qui auraient pu nous le rendre attrayant.]
Enfin, comme le fait remarquer l'inénarrable Malek Chebel dans son Dictionnaire amoureux de l'islam, si la mystique soufi plaît tant aux occidentaux, c'est parce qu'elle leur rappelle la mystique chrétienne et qu'ils peuvent y "projeter leur propre vision des choses". Comment être un "vrai" musulman ? en n'étant surtout pas soufi, bon pour les chiens d'occidentaux.
*
Al-Ma'arri, le Lucrèce oriental.
Comme nous plairait tout autant le poète et philosophe Al-Ma'arri (937-1057) auquel Ibn Warraq consacre un chapitre entier. Ce grand sceptique, qualifié de "Lucrèce de l'Orient", stigmatise dans ses vers les fadaises religieuses destinées à tromper les foules, les fables de la résurrection et du paradis, dénonce l'inconvénient d'être né enfin :
"Les musulmans trébuchent, les chrétiens sont égarés
Les juifs sont dévoyés, les mages sont dans l'erreur.
Nous les mortels nous répartissons en deux catégories
Les crapules initiées et les dévots stupides.
Qu'est-ce qu'une religion ? Une vierge que l'on dissimule.
Le prix des présents et le montant de la dot stupéfient le prétendant.
De l'avalanche des doctrines qui se déversent de la chaire
Mon coeur n'a jamais accepté un seul mot. (...)
Craindrais-je de reposer dans la terre notre mère ?
Est-il de plus doux berceau que le sein de ta mère ?
Quand mon esprit obtus m'aura quitté
Par les eaux stagnantes laissez pourrir mes os."
Et Al-Ma'arri de déplorer sa venue au monde :
"Par mon père ce tort me fut fait
Mais jamais à un autre par moi."
Inutile de dire que cette poésie ne fut guère prisée pour les récitations des petits musulmans (d'ailleurs autorisés seulement à apprendre par coeur le Coran). Encore moins sa parodie jalonienne du Coran. S'il ne fut que peu inquiété durant sa vie, la raison en est, précise Ibn Warraq, qu'il sut dissimuler son iconoclasme derrière d'autres poèmes plus orthodoxes destinés à leurrer les limiers de l'inquisition. Un peu comme Molière finit ses comédies par l'apologie du système monarchique et du roi ! L'iconoclaste contrebandier, voilà qui devrait faire la fierté de tous les musulmans libres.
*
Nos ancêtres les Arabes.
Ce dont les musulmans sont le plus fiers, plus que de leurs grands auteurs, c'est de leurs conquêtes et de leur impérialisme. "Ouvrez n'importe quel livre récent d'introduction à l'islam et vous verrez qu'il commence par chanter les louanges d'un peuple qui a envahi la moitié du monde civilisé dans un espace de temps incroyablement court, d'un peuple qui a fondé un empire qui s'étendait de l'Indus à l'Atlantique. Ce livre racontera en termes chaleureux les temps glorieux où les musulmans régnaient sur une vaste humanité formée de nations et de cultures différentes. (...) Alors qu'on culpabilise tous les Européens avec le colonialisme et l'impérialisme occidentaux (ces deux termes sont désormais considérés comme péjoratifs) et qu'on leur fait porter la responsabilité de tous les maux de la création, l'impérialisme arabe est au contraire présenté comme un objet de fierté pour les musulmans, quelque chose que l'on doit louer et admirer." Pas demain la veille qu'on entendra de la part des dirigeants musulmans une quelconque repentance concernant telles ou telles exactions, sans même parler du génocide arménien. Ce qu'il faut comprendre, c'est que toute l'histoire arabo-musulmane fut une conquête par les arabes (d'Arabie Saoudite) des territoires maghrébins, africains et indiens. Une conquête qui a fini par faire croire aux conquis qu'ils étaient les descendants des conquérants !
Ainsi en l'Algérie où l'enseignement de la langue française fut abandonnée après l'indépendance, sous prétexte qu'elle était la langue imposée par les colons français, au profit de l'arabe... alors que l'arabe fut lui-même une langue imposée - la langue maternelle des algériens étant le berbère. ["L'impérialisme arabe"] avait même convaincu ce peuple qu'ils étaient éthniquement des Arabes, ce qui n'était pas le cas et, encore plus fort, ils les avait convaincus d'embrasser une religion qui était totalement étrangère à leurs propres traditions religieuses. N'y a-t-il meilleur symbole de soumission à l'impérialisme musulman que l'image du peuple algérien qui se prosterne cinq fois par jour vers son conquérant situé en Arabie ?"
Et Warraq de citer l'écrivain algérien Kateb Yacine (1929-1989) qui fit scandale en déclarant son aversion pour l'islam et que "l'Algérie arabo-islamiste est une Algérie contre-nature, une Algérie qui est étrangère à elle-même. C'est une Algérie qui est imposée par les armes, car l'islam ne se développe pas avec des bonbons et des roses, il se développe avec des larmes et du sang. Il croît dans l'oppression, la violence, le mépris, par la haine et les pires humiliations que l'on puisse faire à l'homme. On peut voir le résultat !" et encore "L'Algérie française a duré pendant cent-quatre ans. L'Algérie arabo-islamique dure depuis treize siècles ! La pire forme d'aliénation n'est pas de penser que nous sommes Français, mais de croire que nous sommes des Arabes. Il n'y a pas de peuple arabe et il n'y a pas de nation arabe. C'est une langue sacrée, celle du Coran, que les dirigeants utilisent pour empêcher que les gens ne découvrent leur véritable identité." (interview au journal Awal en 1987 reprise par Le monde du 20 mai 1994). Après quoi, il fit le voeu pieux qu'un jour l'Algérie sera appelée par son vraie nom, Tamezgha.
En vérité, l'Islam ne s'est imposé que par la conquête militaire et a imposé partout où il est passé l'apartheid, l'esclavage (pratiqué encore largement par bien des pays musulmans et d'ailleurs recommandé par le Coran : "Dieu vous propose pour exemple un homme esclave qui ne dispose de rien et un autre homme à qui nous avons accordé une subsistance ample, et qui en distribue une partie en aumônes publiquement et secrètement ; ces deux hommes sont-ils égaux ? Non, grâce à Dieu ; mais la plupart d'entre eux n'entendent rien." XVI-78), et n'a récolté que la faillite économique, culturelle et sociale. C'est ainsi que tous les pays musulmans sont des dictatures ou des semi-dictatures.
Enfin, il ne faut jamais oublier que notre propre colonisation ne fut en grande partie qu'une réaction à celle que les pays arabes imposèrent pendant des siècles à une partie de l'Europe, et que comme le montre Bernard Lewis, c'est le combat contre l'envahisseur qui poussa les Européens au-delà de leurs frontières. On a trop oublié que des premières conquêtes mauresques en Espagne et en France (épisode Charles Martel) jusqu'au second siège de Vienne par les Turcs en 1683, l'Europe n'a cessé de se défendre contre la menace de l'islam.
On n'en finirait pas de citer Ibn Warraq. Sur l'affaire Rushdie qui commence le 14 février 1989 et qui est son 11 septembre moral, sur les sources de l'islam, sa nature totalitaire, son incompatibilité structurelle avec la démocratie et les droits de l'homme, sur le fait que l'intégrisme soit son accomplissement et non un dérapage (comme le goulag n'est pas une trahison du communisme mais son résultat nécessaire), sur les femmes, sur ses innombrables tabous, sur sa volonté régressive de progrès technique, sur son but jamais caché d'islamiser coûte que coûte le monde à coups de cimeterre, sur son prophète enfin qui avait si bien commencé à la Mecque à l'aune des spiritualités juives et chrétiennes et dégénéré aussi rapidement à partir de Médine (passant en effet de la sagesse au carnage, de la miséricorde à la domination), Pourquoi je ne suis pas musulman regorge d'informations vérifiables, d'analyses qui font froid dans le dos, de jugements toujours discutables mais que l'auteur revendique comme tels. "Ce livre est d'abord et avant tout la revendication de mon droit de critiquer tout et chaque chose dans l'islam, et même de blasphémer, de faire des erreurs et de me moquer."
*
Abud Said versus Mahomet.
Comme toute religion ou tout système de pensée, le christianisme a aussi ces victimes. Cependant, Ibn Warraq se refuse à placer Mahomet au même niveau que le Christ, comme d'ailleurs à ceux de Socrate, de Bouddha ou de Confucius. Ce qu'il ne lui pardonne pas est d'avoir institué le Coran comme LA parole de Dieu, vraie et ininterprétable à tout jamais, "faisant ainsi obstacle à tout progrès intellectuel et oblitérant tout espoir de liberté de pensée qui seuls permettraient à l'islam d'entrer dans le XXIème siècle." Il est encore aujourd'hui quasiment impossible pour un musulman de ne pas être coranique. Alors qu'il est naturel à un judéo-chrétien de ne pas croire en Dieu - mieux ou "pire", d'être démocrate, laïc, anticlérical, en un mot, moderne. Les droits de l'homme sont une invention chrétienne, tout comme le roman courtois (et pornographique), la psychanalyse ou la sécurité sociale. Nous avons malmené Galilée mais Galilée l'a emporté. Spinoza a failli être la cible d'un fanatique mais est enseigné dans nos universités depuis deux siècles (et d'ailleurs a réchappé à son attentat). Comme le dit Marcel Gauchet, "le christianisme est le religion de la sortie de la religion". Et c'est pourquoi l'on peut sans crainte considérer ce modèle comme supérieur aux autres.
Je finirai ce trop long post (mais trop succinct par rapport à l'ouvrage de Warraq) par un mot personnel qui pourra paraître peut-être incohérent par rapport à tout ce que j'ai dit jusqu'ici, voire déplacé, mais celui-ci me vient trop naturellement pour que j'y renonce.

En tant que croyant, je suis évidemment très sensible à toute forme de croyance, musulmane compris. Une mosquée peut m'émouvoir autant qu'une église. Et je peux trouver dans le Coran des versets qui peuvent me parler bien que ceux de la Bible. Sur bien des points, je me sens même plus proche d'un musulman que d'un athée - et d'ailleurs quand il m'arrive d'en rencontrer, c'est de Dieu dont nous parlons tout de suite. Il est certain que je ne commence pas par lui sortir que si j'étais une femme etc... Tout simplement parce qu'en pleine communion avec un autre croyant, je ne vais pas gâcher une rencontre. Mais que la conversation dévie sur la liberté de croire ou de ne pas croire, sur les relations difficiles entre les clercs et les laïcs, ou sur les valeurs qui nous rassemblent et nous séparent, j'expliquerais alors que pour moi la liberté est aussi sacrée sinon plus que mon Dieu - car c'est la liberté qui permet la foi (même si c'est la foi qui rend libre). Et c'est pourquoi je veux que ma foi se développe sur un terrain laïc, neutre, voire anticlérical. Je suis un catholique romain mais je suis aussi un moderne. Je récite le Pater Noster mais je sais que je viens du scepticisme et même du blasphème et que je n'ai rien à voir avec ces cathos légalistes à la Joseph de Maistre (relire mon excellent papier là-dessus). C'est tout seul que je suis revenu à l'église et que j'ai demandé à faire ma confirmation. Catholique mais sur fond de scepticisme et de révolte. Croyant mais libéral- croyant car libéral. Comme disait le génial Lustiger, c'est parce que la France s'est socialement et politiquement déchristianisée depuis cent ans qu'on peut vraiment choisir aujourd'hui d'être chrétien. C'est parce que la messe n'est plus une obligation sociale qu'on peut y aller de soi-même. La séparation de l'église et de l'état a séparé pour leur bien les croyants de coeur et les croyants d'habitude.

Nous parlions du soufisme. Qu’il me soit permis de citer cette belle phrase d’un de ses plus grands représentants, Abu Said (mort en 1049) qui résume ma position et qui devrait être le credo de tout croyant de toute confession :
"Tant que la foi et l'athéisme ne seront pas identiques, nul homme ne sera un vrai musulman [ou un vrai chrétien]"

yaz



Admin a écrit:Évangéliste : Des missionnaires parmi nous

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..Très intéressant ton lien Admin..Mais c'est quand même drôle , car quand mon gouvernement a sévis contre ces imposteurs et fauteurs de trouble en Algerie , certains pays ennemis de la paix Algerienne , ce sont empressé de nous traités d'intolérants..

becharelkhir

becharelkhir

yaz a écrit:
Admin a écrit:Évangéliste : Des missionnaires parmi nous

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..Très intéressant ton lien Admin..Mais c'est quand même drôle , car quand mon gouvernement a sévis contre ces imposteurs et fauteurs de trouble en Algerie , certains pays ennemis de la paix Algerienne , ce sont empressé de nous traités d'intolérants..
Comme il est le cas de yaz et compères d'ailleurs...!!? personne ne se doute de leur tolérance!!?, mais sans oublier aussi celle de sieur ja3lal leur autre co-tolérant(..). C'est drôle donc de leurs en vouloir...!!?

yaz



becharelkhir a écrit:
yaz a écrit:
Admin a écrit:Évangéliste : Des missionnaires parmi nous

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..Très intéressant ton lien Admin..Mais c'est quand même drôle , car quand mon gouvernement a sévis contre ces imposteurs et fauteurs de trouble en Algerie , certains pays ennemis de la paix Algerienne , ce sont empressé de nous traités d'intolérants..
Comme il est le cas de yaz et compères d'ailleurs...!!? personne ne se doute de leur tolérance!!?, mais sans oublier aussi celle de sieur ja3lal leur autre co-tolérant(..). C'est drôle donc de leurs en vouloir...!!?
..C'est quoi ce charabia !?.Il faut mettre les Conjonction de coordination dans tes posts SVP , sinon c'est du Javanais ton language!.. :arrow: :affraid: .(MDR)..Tahia blèdi El Djazair..

becharelkhir

becharelkhir

[quote="yaz]..C'est quoi ce charabia !?.Il faut mettre les Conjonction de coordination dans tes posts SVP , sinon c'est du Javanais ton language!.. Tahia blèdi El Djazair..[/quote]
On a pris note de tes suggestions...!!?,Tahia toi,tahia ton bel Djazair,et ton bakzilario également

yacoub

yacoub

yaz a écrit:..Très intéressant ton lien Admin..Mais c'est quand même drôle , car quand mon gouvernement a sévis contre ces imposteurs et fauteurs de trouble en Algerie , certains pays ennemis de la paix Algerienne , ce sont empressé de nous traités d'intolérants..

Vive Yaz le plus tolerant de tous
Yaz president

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