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A. BOUTEFLIKA PASSIBLE D'UNE POURSUITE AU CPI

2 participants

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Si on emboite le pas et on se faufile à travers cette breche de Omar El Bachir pour faire la même chose contre un président en exercice.
Il s'agit de Abdelaziz Bouteflika.
On l'accuse de crime contre l'humanité en ce qui concerne la déportation d'une minorité du peuple algerien.
Je parle du déplacement de la communauté des algeriens d'origines marocaine en 1975.
Nous avons des elements à charge contre lui .Parmi ces faits criminels on peut citer des viols de mineurs déportés dans des commissariats.
Tout en sachant que Mr le président etait à l'epoque en 1975 ministre des affaires etrangeres et membre du conseil de la révolution qui avait prit la mesure de notre deracinement à caractére raciste.
L'Association des Marocains d'Algérie lance un appel à tous les democrate et surtout aux militants des droits de l'homme pour venir à son aide.
Afin de nous aider dans cette procedure.



Dernière édition par Admin le Lun 21 Juil - 17:10, édité 3 fois

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
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Admin a écrit:Si on emboite le pas et on se faufile à travers cette breche de Omar El Bachir pour faire la même chose contre un président en exercice.
Il s'agit de Abdelaziz Bouteflika.
On l'accuse de crime contre l'humanité en ce qui concerne la déportation d'une minorité du peuple algerien.
Je parle du déplacement de la communauté des algeriens d'origines marocaine en 1975.
Nous avons des elements à charge contre lui .Parmi ces faits criminels on peut citer des viols de mineurs déportés dans des commissariats.
Tout en sachant que Mr le président etait à l'epoque en 1975 ministre des affaires etrangeres et membre du conseil de la révolution qui avait prit la mesure de notre deracinement à caractére raciste.
L'Association des Marocains d'Algérie lance un appel à tous les democrate et surtout aux militants des droits de l'homme pour venir à son aide.
Afin de nous aider dans cette procedure.

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Quand on a de la paille dans le ventre . On a peur du feu.


Mandat d’arrêt contre le président soudanais : l’Algérie appelle à s’opposer à la Cour Pénale Internationale



Par hayet zitouni le 19/07/2008 à 19:09


L'Algérie a appelé aujourd’hui les pays arabes à saisir le Conseil de sécurité des

Nations Unies pour s'opposer à la Cour Pénale Internationale (CPI) qui a lancé un mandat d'arrêt contre le président soudanais Omar Hassan al-Bashir. Le procureur de la cour criminelle Luis Moreno-Ocampo a lancé la semaine dernière un mandat contre Bashir le soupçonnant d'être l'inspirateur de crimes contre l'humanité au Darfour.

« Ce que le procureur de la cour a fait est un dangereux précédent », a déclaré Mourad Medelci, le ministre des Affaires étrangères demandant à ses partenaires arabes de réunir une réunion d'urgence au Caire pour discuter de l'action de la Cour contre Bashir. « Nous devons prendre une position forte en solidarité avec nos frères au Soudan et réunir les organisations régionales et internationales ainsi que les Etats du Conseil de sécurité pour reconsidérer la position du procureur », a insisté le ministre des Affaires étrangères.

Il a souligné que la demande du procureur de la CPI avait un "caractère politique qui consacre la thèse de l'ingérence dans les affaires internes des Etats sous prétexte de la protection des droits de l'Homme, même si cela se fait au détriment d'un Etat souverain dirigé par un président légitime". La demande du procureur de la CPI "compliquera sans nul doute la situation et entravera les efforts en faveur de la paix au Darfour", province de l'ouest
du Soudan en proie à la guerre civile, a-t-il dit. Cette demande "nous interpelle sur ses motifs, ses dimensions et ses retombées sur l'intégrité, la sécurité et la souveraineté du Soudan", a-t-il ajouté.

Le Soudan a demandé à la Chine et à la Russie ainsi qu'à la Ligue arabe d'obtenir une résolution des Nations Unies pour suspendre le mandat contre Bashir pendant douze mois

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Quand on a de la paille dans le ventre . On a peur du feu.

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lurchar21

lurchar21

Qu'elle surprise.
Les Arabes rejetent la demande du procureur.
Comme si il y a un pays raton democrat. On s'attend a quoi de ces petits cons de Tyrants. Ils sont tous des dictateurs avec du sang dans leurs mains.




Mandat d'arrêt contre Omar El-Bachir: les pays arabes solidaires avec le Soudan


[Aps 20/7/08] LE CAIRE - Les ministres arabes des Affaires étrangères ont rejeté samedi au Caire la demande du procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), M. Luis Moreno-Ocampo de lancer un mandat d'arrêt contre le président soudanais la qualifiant de "déséquilibrée". Dans un communiqué final publié à l'issue de leur réunion extraordinaire consacrée à l'examen de la situation au Soudan et la décision du procureur du CPI, à laquelle a pris part le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci, les ministres arabes des AE ont exprimé leur solidarité avec le Soudan face aux plans visant la souveraineté, l'unité et la stabilité de ce pays, tout en rejetant la politisation des principes de la justice internationale et leur utilisation pour porter atteinte à la souveraineté, la sécurité, la stabilité et les symboles nationaux des Etats.


Les chefs de la diplomatie arabes qui ont décidé d'élaborer un plan d'action sur cette question, ont chargé le secrétaire général de la Ligue arabe, M. Amr Moussa, de le présenter au gouvernement soudanais, lors de sa visite, dimanche à Khartoum, et de poursuivre ses contacts avec le secrétaire général de l'ONU et le président de la commission de l'Union africaine (UA), en vue d'entreprendre une action commune pour le traitement de la relation entre le Soudan et la CPI.

Ils ont, par ailleurs, convenu dÆ£uvrer pour la réalisation de la réconciliation nationale au Soudan et permettre le retour de la paix sociale au Darfour.

Les ministres arabes ont, également, rappelé au Conseil de sécurité des Nations unies ses responsabilités dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.

Appelant le Conseil de sécurité à faire preuve de vigilance dans le traitement du dossier soudanais durant la prochaine étape, les chefs de la diplomatie arabes ont souligné la nécessité d'éviter tout ce qui risquerait de saper les efforts de règlement politique de la crise du Darfour et de semer le chaos au Soudan.

Ils ont, dans ce contexte, insisté sur le respect de la souveraineté, de l'indépendance et de l'intégrité territoriale du Soudan, appelant tous les

Etats à soutenir les démarches visant à réaliser la paix et l'entente nationale entre les enfants du Soudan.

Réitérant la nécessaire concrétisation du règlement politique, le Conseil des ministres arabes des AE a appelé à la tenue d'une réunion internationale à haut niveau pour impulser le processus politique au Darfour à la faveur d'une feuille de route et d'un calendrier de mise en oeuvre. Ils ont, ainsi, invité les Nations unies, l'Union africaine à s'associer à la Ligue arabe et entamer les démarches pour la tenue de cette rencontre.

Les ministres ont insisté dans leurs recommandations sur la compétence et l'indépendance de la justice soudanaise, mettant en garde contre les graves répercussions de la décision du procureur de la CPI sur le processus de paix au Soudan.

Ils ont ajouté que cette décision porte un "signal négatif" aux mouvements rebelles qui durciront leurs positions à l'égard de l'adhésion au processus politique.

Dans une déclaration de presse tenue conjointement avec le ministre djiboutien des Affaires étrangères, M. Mohamed Ali Youssef qui a présidé la réunion, le secrétaire général de la Ligue arabe, M. Amr Moussa a mis l'accent sur la nécessité de faire montre de sagesse dans le traitement de la question "à la faveur d'une positon étudiée de la part des pays arabes en coordination étroite avec l'UA".

"Nous resterons en contact avec le secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki Moon et autres responsables internationaux à l'effet d'échanger les propositions au sujet du traitement de cette situation grave", a-t-il déclaré.

Le SG de la Ligue arabe a annoncé qu'il se rendra, dimanche, au Soudan pour présenter le plan d'action arabe à la direction soudanaise, se refusant, toutefois, de donner plus de détails sur le plan avant de l'examiner avec le président Omar el-Bachir.



[Aps 20/7/08

lurchar21

lurchar21

Le baptise Cafard .



Décès du général Fodhil Cherif Brahim
Le cafard est mort






Un autre membre du cabinet noir s’en va à tout jamais


Je ne l’ai jamais croisé et je ne le connais pas personnellement. Mais, son appartenance au cabinet noir, cette structure qui a plongé l’Algérie dans l’épisode le plus affreux de son histoire, me suffit pour jubiler à l’annonce de sa mort en lançant un « bon débarras !» de soulagement.



J’aurai bien aimé que cet autre monstre du cabinet noir rende d’abord compte devant la justice des hommes avant de quitter ce monde qu’il a pollué de ses actes ignobles. Mais, la justice algérienne étant ce qu’elle est, les enfants sincères de l’Algérie s’en remettront à Dieu pour que ce criminel réponde de ses actes le jour du jugement dernier.


Si la lâcheté des hommes a permis au général major Fodhil Cherif Brahim de jouir de l’impunité jusqu’à la dernière minute de sa vie, Dieu le tout puissant vient de le rappeler pour qu’il rende compte de ses actes et de ses crimes commis contre le peuple algérien durant la décennie sanglante.


Si la justice n’a pas été rendue au nom du peuple contre ce criminel qui vient de disparaître, la justice divine est implacable et est au-dessus de nous tous. Ce ne sont pas les paroles occasionnelles d’un imam de service qui aideraient Fodhil Cherif à se faire pardonner devant le tout puissant lors du jugement dernier.


En ce jeudi 19 juin, après une longue souffrance méritée et alors que la mort se faisait désirer de plus en plus, le général Fodhil Cherif a fini par rendre son dernier souffle. Ni les soins prodigués en France au mois de mai dernier, ni la cure de 15 jours passée à hammam Righa ne lui ont été d’un grand secours. Depuis le lundi 16 juin, Fodhil Cherif Brahim est entré dans la phase finale d’une longue période de torture pire que celle connue par ses victimes durant la décennie sanglante.


Lui qui se croyait immortel, n’a cessé de souhaiter voir la mort l’emporter à tout jamais alors qu’il n’est âgé que de 65 ans. Finalement, il est s’en va à tout jamais celui que je ne saurai qualifier que de cafard.


Car, qualifier le général Fodhil Cherif Brahim de chien serait faire injure à la race canine connue pour sa fidélité et sa loyauté. Je n’oserai même pas le qualifier de rat d’égout tant la race des rongeurs n’a pas fait à la race humaine autant de mal que ce général qui a endeuillé des milliers de familles algériennes.


Oui, les lèche-bottes, les larbins en tous genres et les cireurs de rangers s’offusqueront à la lecture de ces lignes. Mais ceux qui ont perdu un père, un fils ou un frère ou mari par la faute de ce cabinet noir dont faisait partie Fodhil Cherif Brahim ne jugeront guère mon écrit d’excessif. Ceux et celles qui n’ont pas réussi à faire le deuil d’un fils, d’un frère, d’un époux ou d’un père disparu ne nourriront jamais le même sentiment que celui du général Metidji qui a prononcé l’oraison funèbre de la bête immonde.


Ancien de la SAS (Section Administrative Spécialisée) qui ont servi fidèlement l’armée coloniale, le général Fodhil a rallié l’Armée de Libération Nationale le 1er novembre 1962, soit quatre mois après la proclamation de l’indépendance.



Hichem ABOUD

21 JUIN 2008

admin"SNP1975"

admin
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Ce Dimance du 20/07/2008 vers 20h30,il a été annoncé officiellement et solennellement le départ du train des déportés de
l'Algérie vers son arivée finale,c'est au cours du journal télévisé du soir que la station de la télévision officielle marocaine chaine "Al-Oula",a rendue public la réunion des déportés marocains de l'algérie,qui s'est tenue aujourd'hui à Rabat.
Et par ce geste significatif et combien symbolique!,le Maroc se charge officiellement et publiquement de la cause des déportés de l'Algérie,qui n'est plus maintenant une cause d'une frange de marocains,mais elle deviendra une cause de tout le peuple marocain,suite à l'événement d'aujourd'hui.
La présentatrice du journal a donnée tous les détails de la réunion,et en plus elle avait présentée Mr.Houcine Bouâsria qui a parlé des circonstances et les mobiles de la déportations,ainsi que Mr.
Mohamed Al-Harwachi président de l'association qui a relaté les conditions exigées par son Association.
Yamouni Abdelaziz

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
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Etranger (Lundi 21 Juillet 2008)

Demande d’inculpation du président soudanais
Quand la CPI ne s’acharne que sur les dirigeants du Sud
Par :Abdelkamel K.


[size=12]Ne s’intéressant qu’aux agissements des régimes de la partie sud de la planète, la Cour pénale internationale n’est en fait qu’un instrument politique contrôlé par l’Occident pour tenir à sa merci cette partie du monde, sans qu’elle se soit jamais saisit des dépassements de Bush, de Sharon et autre Clinton, qui ont ordonné de tuer, de torturer et de bombarder des innocents. Les exemples de Guantanamo, d’Abou Ghraïb, de Sabra et Chatilla sont édifiants
à plus d’un titre.
Par la voix de Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, l’Algérie estime que la demande du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) constitue “un précédent grave et inacceptable”, tout en réitérant sa solidarité “totale” avec le peuple et les dirigeants soudanais face aux défis auxquels ils sont confrontés. “Nous avons été très surpris par la position du procureur de la CPI contre le président de la République du Soudan, Omar El-Bachir, que nous saluons pour son respect des décisions de la légalité internationale et ses efforts sincères pour parvenir à une entente et, partant, à une solution pacifique du conflit au Soudan”, ajoute le chef de la diplomatie algérienne.
En effet, la position du procureur de la CPI a de quoi surprendre, d’autant plus que le régime de Khartoum, écartelé entre les différentes crises internes, n’a à aucun moment cessé de collaborer avec les instances internationales, notamment sur la question du Darfour. Contraint d’étouffer la forte activité islamiste, de satisfaire les revendications de sa population sudiste et de trouver une solution à la crise du Darfour, le gouvernement d’Omar El-Bachir a tout tenté avec les Occidentaux pour éviter le bras de fer.
En dépit de cela, la CPI semble faire une fixation sur le Soudan en particulier. Actionnée par les capitales occidentales, surtout Washington, cette cour concentre son activité sur les pays du Sud uniquement, à l’exception de l’ex-Yougoslavie, où des crimes de guerre avaient défrayé la chronique durant la décennie 1990. Pourtant, ce ne sont pas les violations graves de la légalité internationale par les États-Unis et Israël qui manquent depuis le début de ce vingt et unième siècle. Guantanamo, où des êtres humains, considérés par l’administration Bush comme des “combattants ennemis”, sont parqués dans des cellules comme des bêtes et soumises à un traitement assimilé à de la torture par les spécialistes, n’a pas attiré l’attention de la CPI.
Les images insoutenables des actes de torture et d’humiliation des soldats américains sur des détenus irakiens n’ont pas non plus retenu l’attention du procureur de la CPI. Il y a eu pire encore avec les massacres du général Ariel Sharon dans les campements de Sabra et Chatilla à Beyrouth en 1982.
Là aussi, nul n’a jugé utile d’ouvrir une enquête pour châtier les coupables. Continuons avec l’État hébreu, qui a bombardé sans aucune raison pendant tout un mois, juillet 2006, le Liban, le réduisant à un tas de débris, sans que nul s’en émeuve. Pis, les chefs d’Etats occidentaux ont refusé de demander à Israël de cesser sa guerre unilatérale.
Si tout cela ne sont pas des crimes de guerre, il faudrait que la définition de ces actes abominables soit reconsidérée par les spécialistes en la matière. Pour revenir au chef de la diplomatie algérienne, il estime que la demande du procureur de la CPI qui “compliquera sans nul doute la situation et entravera les efforts en faveur de la paix au Darfour, nous interpelle sur ses motifs, ses dimensions et ses retombées sur l'intégrité, la sécurité et la souveraineté du Soudan”. Soulignant que “l'engagement inconditionnel de l'Algérie pour le respect et la préservation des droits de l'homme individuels et collectifs”, Medelci considère que la demande du procureur de la CPI “dénote un déni de tous les efforts déployés” pour le règlement de cette crise. Il n’a pas manqué d’ajouter que ceci confère à cette position un “caractère politique qui consacre, dans ce cas précis, la thèse de l'ingérence dans les affaires internes des États sous prétexte de la protection des droits de l'homme, même si cela se fait au détriment d'un État souverain dirigé par un président légitime”. Clair, net et précis, la Cour pénale international excelle dans l’ingérence dans les affaires internes d’États souverains, au lieu de remplir la mission qui lui est dévolue.
K. ABDELKAMEL



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Invité


Invité

BOUTEF DVANT LE TPI?? ça me fait rire....pourquoi pas
l'humanité saura ce qu'etait le maroc de Hassan, car dans un tribunal, on refera la vraie histoire.

L'infame Hassan II le fossoyeur mecreant est devant le bon dieu, il expie sa traîtrise ET SES CRIMES avec ses ancêtres coupeurs de têtes et esclavagistes....il a vendu el Qods aux juifs du maroc, il a sacrifié des milliers de familles palestiniennes arabes et musulmanes qu'il a donné en pâture aux juifs (qui le lui endent toujors bien ...à son son successeur) il a usurpé l'histoire, il a sacrifié son peuple; il a fait massacré, humilié, fait exécuter des opposants....fait nier l'histoire du maghreb a son peuple "el aziz".

Il a elevé son peuple dans la soumission, même pas capable de defendre ses terres contre des croisés espagnols!! il a fabriqué une nation lobotomisée et completement soumise a ses bas desirs et aux desirs des etrangers, des sionistes et des feodaux du makhzen....pauvre peuple
il a laissé un seul heritage au maghreb:
LA HAINE ET LE MEPRIS.
LE TP du bon dieu ne va pas l'epargner,

admin"SNP1975"

admin
Admin

En tous les cas Le seigneur Hassan II n'a pas expulsé les Algériens du Maroc en 1975.

C'est ce qui m'interesse concernant sa politique internationale

Je t'invite à lire ce témoignage qui illustre cette longueur de vue:

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