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Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale

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Slimani9002
MJB
Issam.MA-DZ
admin"SNP1975"
8 participants

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admin"SNP1975"

admin
Admin

IL POURRAIT BIENTÔT PASSER LE SEUIL DES 100 DOLLARS
[size=16]Le baril poursuit sa chute libre
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Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale TP080904-09

Les prix risquent de chuter encore, alors que la réunion de l’Opep, elle, est prévue pour le 9 septembre en cours.

Les cours du pétrole poursuivent leur chute. Hier, à Londres, le baril de brent pour livraison en octobre cédait 1,25 dollar à 107,09 dollars en milieu de journée alors qu’à New York le baril de «Light sweet crude» pour la même échéance perdait 1,42 dollar à 108,29 dollars par rapport à la clôture de la veille. Selon l’Organisation des pays exportateurs du pétrole (Opep), le prix du panier-Opep a enregistré une baisse de plus de 6 dollars, hier, par rapport à son cours de clôture lundi.
Le panier Opep a perdu 6,62 dollars, hier, pour s’établir à 103,40 dollars le baril contre 110,02 dollars lundi à la clôture des marchés, ajoute-t-on de même source. Avant-hier, les cours du pétrole ont plongé mardi sous 105 dollars, pour la première fois depuis avril, pâtissant de l’essoufflement de l’ouragan Gustav, de la vitalité du dollar et de la baisse de la demande, et ils pourraient bientôt passer le seuil des 100 dollars. A Londres, sur l’Intercontinental Exchange (ICE), le baril de pétrole Brent pour échéance en octobre a perdu 1,07 dollar, pour finir à 108,34 dollars. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «Light sweet crude» pour livraison en octobre a clôturé à 109,71 dollars, en baisse de 5,75 dollars sur son cours de vendredi, lundi étant férié aux Etats-Unis. Dans la matinée, les cours ont plongé jusqu’à 104,14 dollars à Londres et 105,46 à New York.
Selon le ministère de l’Intérieur américain, la totalité de la production pétrolière de la zone, qui compte pour un quart de la production américaine d’or noir, a été interrompue, ainsi que 95% de la production de gaz naturel. L’ouragan a également amputé de 15% la capacité de raffinage des Etats-Unis. C’est pour cette raison que le département américain à l’Energie a décidé, avant-hier, de sortir 250.000 barils de pétrole de leurs réserves stratégiques. Un procédé que les Etats-Unis jugent nécessaire pour faire face aux perturbations dans l’approvisionnement, causées par le passage de l’ouragan Gustav sur sa côte sud.
Le département américain à l’Energie a indiqué que cet effort était «nécessaire après la fermeture» du canal Calcasieu en Louisiane (sud) et les «perturbations dans l’approvisionnement du pétrole causées par l’ouragan Gustav».
Le président américain George W.Bush a déclaré hier, que les infrastructures pétrolières qui assurent la richesse de la région, presque toutes arrêtées, semblaient avoir été épargnées et les compagnies ont assuré vouloir reprendre au plus vite la production.
Les analystes qui s’appuient sur la donne actuelle, estiment que le cours du pétrole continuera, inéluctablement, à poursuivre sa chute, jusqu’en dessous des 100 dollars le baril.
Laquelle chute, faut-il le souligner, est due à plusieurs facteurs. Il s’agit, toujours selon les analystes, de la légère croissance de la production mondiale, parallèlement à la baisse de la demande en Europe et aux Etats-Unis.
Une baisse observée au moment où la Chine faisait des stocks en prévision des Jeux olympiques. Maintenant que les jeux sont finis, le «Empire du Milieu» peut recourir à ses stocks. Ayant une vision à long terme, d’autres analystes estiment que la situation du marché pétrolier ne va pas demeurer dans la situation actuelle.
Les choses peuvent changer et les cours peuvent repartir à la hausse, pour peu qu’il fasse froid. D’autres nouvelles risquent de sortir au grand jour, notamment après la réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole, prévue le 9 septembre en cours. Y aura-t-il une baisse de la production? Une option à ne pas écarter, puisque l’Arabie Saoudite a, sous la pression des USA, augmenté sa production de 100.000 baril/jour.

Hakim KATEB



Dernière édition par Admin le Mer 10 Sep - 23:12, édité 2 fois

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Je prie dieu qu'il fasse froid cetter hiver a déclaré un agent de l'ambassade d'Algerie à Paris en conversant avec un un ami.
Ce dernier lui a demandé pôur quelle raison?
L'agent réplique que s'il fait froid à ce moment là le prix du petrole grimpe comme une fléche.
Ils sont tous des prédateurs et rentiers ces diplomates khobzistes.

http://www.marocainsdalgerie.net

Issam.MA-DZ



Je ne sais pas pourquoi les marocains guettent le prix du petrole??....ils veulent tellement le mal a leur voisin algerien qu'ils se mordent les doigts quand le prix augmente.....ah la jalousie legendaire marocaine m'etonnera toujours

MJB



IssamDZ a écrit:Je ne sais pas pourquoi les marocains guettent le prix du petrole??....ils veulent tellement le mal a leur voisin algerien qu'ils se mordent les doigts quand le prix augmente.....ah la jalousie legendaire marocaine m'etonnera toujours
.
Le marocain vit sans petrole et mille fois mieux que toi.
- le marocain te demande de cesser de lui faire la guerre par polisario interposé.
- le maroc te demande de regler le probleme des deportés marocains d'algerie.

Slimani9002



Issam.MA-DZ a écrit:Je ne sais pas pourquoi les marocains guettent le prix du petrole??....ils veulent tellement le mal a leur voisin algerien qu'ils se mordent les doigts quand le prix augmente.....ah la jalousie legendaire marocaine m'etonnera toujours

c est ça, quand les europeens et le americains ont les yeux rivés sur le prix du baril, ils jalousent aussi l algerie !
alors ptite frappe leve la tete du guidon et regarde au loin ca t ouvrira un peu l esprit.
qund on importe la quasi totalité de ses besoins energetiques, il est normal qu'on ai un oeil sur les prix

Plus parano que ça tu meurs

clairefontaine1963

clairefontaine1963

ce qui est génial avec la crise du pétrole c'est qu'enfin on travaille sur l'énergie renouvelable et non polluante alors c'est normal qu'ils augmentent les prix, ils savent très bien que ça sera bientôt fini pour eux, et comme, après eux le déluge, ils se foutent complètement de ce que sera l'Algérie de leurs petits enfants, ils vont bouffer tous ce qui peut entrer dans leur ventre et rien d'autre ne les intéressent
que Dieu est pitié des petits enfants à naitre en Algérie, il ne leur restera plus que le sable du Sahara occidental qui pétera encore de ces quelque puits de gaz et de pétrole nauséabond que plus personne ne voudra,et pour ceux qui sont morts à cause de cela, qui les consolera?

L'intelligence du monde est en marche et celui qui n'avance pas recule!

Slimani9002



clairefontaine1963 a écrit:ce qui est génial avec la crise du pétrole c'est qu'enfin on travaille sur l'énergie renouvelable et non polluante alors c'est normal qu'ils augmentent les prix, ils savent très bien que ça sera bientôt fini pour eux, et comme, après eux le déluge, ils se foutent complètement de ce que sera l'Algérie de leurs petits enfants, ils vont bouffer tous ce qui peut entrer dans leur ventre et rien d'autre ne les intéressent
que Dieu est pitié des petits enfants à naitre en Algérie, il ne leur restera plus que le sable du Sahara occidental qui pétera encore de ces quelque puits de gaz et de pétrole nauséabond que plus personne ne voudra,et pour ceux qui sont morts à cause de cela, qui les consolera?

L'intelligence du monde est en marche et celui qui n'avance pas recule!



Petite operation de calcul:

Algerie - petrole = ?

clairefontaine1963

clairefontaine1963

WALLOUUUUU;
NADA,
NOTHING
لا شيء

NULLA
CERO

TheBest-karimDZ



Que serait le maroc sans les etrangers...sans les touristes et les investisseurs qui y viennet car le pays leurs baise les pieds pour ça, sans le soutien de l'arabie saoudite, des USA, d'Israel??

RIEN, NADA, WALLOU, NOTHING, La Chay'...que du Z'BEL!!!

Bientôt El Qaida va s'installer chez vous...les etrangers vont vous fuire...et vous verrez ce que c'est...vous qui applaudissez les attentas en Algerie...que DIEU vous maudisse pour ça ya qawm el char.....a la difference avec vous...la grande Algerie peut tenir une guerre de 100 ans contre ce fleau...par contre chez vous il suffira de 5 bombes pour que vous deveniez des sous-hommes.....Les gueux et misereux marocains se boufferaient entre eux comme des suterelles, ils mangeraient le sable et la caillase....rira bien qui rira le dernier!!!

clairefontaine1963

clairefontaine1963

thebest, tu fais parti d'El Quaida ou quoi, ca te fais mousser la biroute ou quoi, est-ce que tu sais que chaque marocain est flic?tu reviens quand au maroc,déjà?,ah, j'oubliai, le desert chez nous, il fleuri, et ses fruits sont juteux et délicieux.et nous il est bordé par l'océan.

admin"SNP1975"

admin
Admin

L'Algérie ne peut pas «se permettre d'avoir des prix du pétrole sous 100 dollars», selon des analystes
Par sonia lyes , le 10/09/2008 | réactions : 5

L'Algérie ne peut pas se permettre d'avoir «des prix du pétrole sous 100 dollars pour des raisons budgétaires et de politique intérieure», selon un analyste anonyme cité aujourd'hui par l'Agence France Presse (AFP). Un avis partagé par David Kirsch, analyste du cabinet PFC Energy, également cité par l’AFP. Comprendre : à moins de 100 dollars le baril, le gouvernement algérien aurait des difficultés à financer les projets d’infrastructures initiés dans le cadre du plan de relance économique et pourrait difficilement poursuivre sa politique de subvention des prix, garante de la paix sociale dans le pays.

Les déclarations des deux analystes confirment les informations révélées, mardi 9 septembre, par TSA (toutsurlalgerie.com) concernant les risques que représenterait un baril de pétrole à moins de 80 dollars pour l’économie et la paix sociale dans le pays (lire notre article). TSA s’est basé sur des projections non officielles obtenues auprès de source gouvernementale algérienne. Selon la même source, les 133 milliards de réserves de change annoncées par le gouvernement dimanche dernier ont déjà été virtuellement engagées dans les projets en cours et le fonds de régulation des recettes vient d'être sollicité pour combler le déficit à hauteur de 40 milliards de dollars, né des surcoûts engendrés par les retards dans les différents projets.

Par ailleurs, le gouvernement subventionne massivement les prix des produits alimentaires pour maintenir artificiellement l’inflation à un niveau raisonnable et éviter des tensions sociales. Le montant réservé aux subventions dépasserait largement les 2,5 milliards d’euros pour 2008 annoncés par le gouvernement. « En réalité, tous les produits sont subventionnés », affirme la même source.

Cette situation a poussé l’Algérie à se joindre à l’Iran, le Venezuela et la Libye au sein de l’Opep pour obtenir une baisse de la production afin d’endiguer la chute des prix. Mardi, les cours étaient tombés sous la barre psychologique des 100 dollars avant de se ressaisir mercredi, aidés par la décision du cartel pétrolier. Les prix du brut ont chuté de 30% depuis leur record de 147,50 dollars le baril, le 11 juillet.


TSA

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

La chute du prix du brent est un danger pour les pays producteurs .
Rappellez vous les chutes du cours en 1986.

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Pétrole : pourquoi un baril à moins de 80 dollars serait catastrophique pour l’Algérie


Par ali idir , le 16/09/2008 | réactions : 29

La chute des prix du pétrole qui se poursuit depuis quelques semaines fausse les calculs du gouvernement et inquiète fortement les milieux d'affaires. Un baril de brut à moins de 80 dollars va créer une situation difficile à gérer pour l'Algérie. Le pays a entrepris en 2005 un vaste programme de construction et de modernisation de ses infrastructures de base, en s’appuyant sur l'argent du pétrole. Le gouvernement, dans ses prévisions, s’est également montré trop optimiste. Un peu trop même : au début de l’été, le ministre de l’Energie Chakib Khelil voyait le pétrole à 200 dollars avant la fin de l’année. Moins de trois mois plus tard, hier, le baril clôturait légèrement au-dessus des 90 dollars.

Le gouvernement dépense en moyenne 15 milliards de dollars par an pour maintenir la paix sociale en subventionnant les produits alimentaires de base (blé, lait…) et en distribuant des aides aux plus démunis comme la prime de scolarité portée cette année à 3000 dinars. «Si le pétrole descend à moins de 80 dollars, l'Algérie aura de gros problèmes pour financer seule ses projets et continuer à subventionner massivement les produits alimentaires de grande consommation», avertit un économiste.

La raison ? Un simple calcul montre en effet que l'économie algérienne est dangereusement exposée à un pétrole faible. «L'Algérie exporte 1,4 millions de barils par jour. Autrement dit, elle gagne 140 millions de dollars par jour sur la base d’un baril à 100 dollars, soit 50 milliards de dollars par an. Or, nos importations vont atteindre 35 milliards de dollars en 2008», explique le même économiste. La chute des prix du pétrole de 20%, à 80 dollars le baril, va ramener nos recettes en devises constituées à 98% d'hydrocarbures à moins de 40 milliards de dollars. Soit un écart de seulement 5 milliards avec notre volume d’importations», explique t-il.

Plus inquiétant, le recul des prix du brut intervient au moment où les importations de l'Algérie augmentent d'une façon vertigineuse. Plus de 32% en 2008 (35 milliards de dollars prévues) par rapport à 2007 (28 milliards de dollars). Et ce n'est pas fini. Les importations algériennes constituées en partie de produits alimentaires et de médicaments devraient atteindre la somme colossale de 47 milliards de dollars en 2012, selon des prévisions du Fonds monétaire international (FMI), rendues publiques début 2008.

Selon le FMI, l'économie algérienne demeurera dépendante des hydrocarbures au moins jusqu'à 2012. L'Algérie va devoir trouver l'argent nécessaire pour financer ses importations et ses grands projets d'infrastructures. «La perspective d'un baril de pétrole à moins de 80 dollars fait froid dans le dos. C'est très inquiétant. Le gouvernement n'a pas su utiliser les recettes pétrolières pour réformer l'économie et réduire sa dépendance vis-à-vis des hydrocarbures», regrette autre chef d'entreprise.

Dans le cas d’une chute brutal des prix du baril, le scénario catastrophique vécu par le pays durant les années 1980 (crise alimentaire, pénuries, émeutes populaires) n'est pas à écarter. Du coup, la nouvelle donne pétrolière réduirait la marge de manoeuvre du gouvernement sur les plans économique et social. L'Algérie risque de recourir à des crédits extérieurs pour financer son économie après avoir décidé de ne plus emprunter à l'étranger. Un retour à la case départ.

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Les cours du pétrole retombent à un plus bas d'un an

Vendredi 10 octobre 2008 / 6h38
Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale Espaceur






Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale 15603290151223617108-ptLe prix de l'or noir est garant de la paix sociale Espaceur
Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale Espaceur
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SINGAPOUR (Reuters) - Les cours du brut sont retombés à un plus bas d'un an, passant en séance sous les 82 dollars pour un baril, les investisseurs craignant que la crise financière n'entraîne une chute de la demande.
A 05h30 GMT, le contrat novembre sur le brut léger américain perdait 3,94 dollars, soit 4,55%, à 82,65 dollars le baril et le Brent cédait 3,47 dollars (4,2%) à 79,19 dollars.
Les investisseurs qui privilégiaient en début d'année les contrats sur le pétrole afin de se prémunir contre l'inflation et contre la faiblesse du dollar se reportent désormais sur des valeurs jugées plus sûres.
L'Opep se réunira le 18 novembre à Vienne pour tenter d'enrayer la glissade des prix et pour évaluer l'impact de la crise sur le marché pétrolier. "L'Opep tente de fixer un nouveau seuil à 80 dollars", estime Jonathan Kornafel d'Hudson Capital Energy.
"Le marché risque toutefois de continuer sa glissade, les flux financiers continuant à fuir les marchés des matières premières."
L'Agence internationale de l'Energie (AIE) publiera à 9h00 GMT son rapport mensuel sur l'état du marché et les investisseurs s'attendent à ce qu'il montre, une fois de plus, une chute de la demande pour 2008, mais également pour 2009.
Annika Breidthardt, version française Nicolas Delame
Vendredi 10 octobre 2008 / 6h38Provided by: Reuters
Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale Espaceur



Attention à un 2éme Octobre 88 en Algérie qui peut mener à une Irakisation de ce pays à la recherche d'un Etat.
Rappelez vous que les evenements d'Oct 88 avaient pour detonateur la chute du prix de l'or noir. Le prix de ce produit à chuter de plus de 60 dollars depuis le mois de juillet 2008.
Il est actuelement en desous de 85 dollars.
Rabi Yastour


La raison ? Un simple calcul montre en effet que l'économie algérienne est dangereusement exposée à un pétrole faible. «L'Algérie exporte 1,4 millions de barils par jour. Autrement dit, elle gagne 140 millions de dollars par jour sur la base d’un baril à 100 dollars, soit 50 milliards de dollars par an. Or, nos importations vont atteindre 35 milliards de dollars en 2008», explique le même économiste. La chute des prix du pétrole de 20%, à 80 dollars le baril, va ramener nos recettes en devises constituées à 98% d'hydrocarbures à moins de 40 milliards de dollars. Soit un écart de seulement 5 milliards avec notre volume d’importations», explique t-il.

http://www.marocainsdalgerie.net

yaz



..On vois bien que vous ne connaissez riens à l'économie Algérienne , nos hydrocarbures sont calculer sur la base de 37 dollars le baril avec une marge de 10 dollars pour amortir en cas de choc pétrolier..Votre autre ignorance ,c' est que l'Algerie sa plus grande rente pétrolifères est sur le GAZ , mais ça aussi c'est une affaire intérieur à l'Algerie et ces concitoyens.. :arrow: :affraid: :cheers: ..Nous somme riche pour très longtemps grâce à dieu et ne vous en déplaise!!..

Sidhoum

Sidhoum

yaz a écrit:..On vois bien que vous ne connaissez riens à l'économie Algérienne , nos hydrocarbures sont calculer sur la base de 37 dollars le baril avec une marge de 10 dollars pour amortir en cas de choc pétrolier..Votre autre ignorance ,c' est que l'Algerie sa plus grande rente pétrolifères est sur le GAZ , mais ça aussi c'est une affaire intérieur à l'Algerie et ces concitoyens.. :arrow: :affraid: :cheers: ..Nous somme riche pour très longtemps grâce à dieu et ne vous en déplaise!!..
….la plîs robiste icounoumie djî MONde….

Economie 101.

....a moul ess’fenj....

Voici par quel mécanisme, la crise financière mondiale affecte les tiers-mondistes et le sfenji :

1) Le riche déclare faillite et cache son argent (ce qui lui reste) sous son matelas.
2) Il n’achète plus de produits (c a d ton sfenj) + il devient aussi radin, n’investit plus ou annule ses grands projets/investissements tiers-mondistes et n’a plus aucun désire d’aider le pauvre.
3) Le tiers mondiste yen a pas le flouss pour continuer à produire et payer le khammass = le chômage.
4) Le Khammass yen a pas le flouss pour acheter made in Taiwan ou made in Tati.
5) Le riche s’arrête de produire Made in Tati parce que le Khammass n’achète plus rien.
6) le riche s’appauvri encore plus et cache son argent (ce qui lui reste).
7) Le cercle infernal se referme et c’est une spirale vers le bas. Le tiers mondiste le ressent plus parce que plus de 50% de ses revenus vont vers la bouffe ( + Adieu l’allocation de chômage pour toi fi França, le riche contribuable en faillite ne peut plus payer ses impôts)
= Yen a pas le flouss = les émeutes + l’instabilité + bouleversement social + grands désordres humains +... :affraid: :cheers: Yaz est dans le hab'ssiss :arrow: :joker: .


….allez, vas préparer mon thé, maintenant….

admin"SNP1975"

admin
Admin

Les cours du brent toujours à la baisse.
Il est à 75 dollars le baril actuellement.

La raison ? Un simple calcul montre en effet que l'économie algérienne est dangereusement exposée à un pétrole faible. «L'Algérie exporte 1,4 millions de barils par jour. Autrement dit, elle gagne 140 millions de dollars par jour sur la base d’un baril à 100 dollars, soit 50 milliards de dollars par an. Or, nos importations vont atteindre 35 milliards de dollars en 2008», explique le même économiste. La chute des prix du pétrole de 20%, à 80 dollars le baril, va ramener nos recettes en devises constituées à 98% d'hydrocarbures à moins de 40 milliards de dollars. Soit un écart de seulement 5 milliards avec notre volume d’importations», explique t-il.

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admin"SNP1975"

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Miracle financier à Alger
par Abed Charef
Le prix de l'or noir est garant de la paix sociale Spacer La crise qui ébranle le système financier mondial ne touche que modérément l'Algérie. Faut-il pour autant s'en féliciter?
Rien n'est moins sûr, au vu de ce que cela peut signifier pour le pays.

C'est un véritable «tsunami» qui menace la finance internationale. Les entreprises concernées sont des géants de la finance, les sommes en jeu sont colossales et les mesures prises sont à la mesure de l'enjeu: elles ne tiennent plus compte des préjugés politiques et idéologiques. Ainsi, les gouvernements prennent des mesures contraires à leurs choix politiques. Des exécutifs de droite sont amenés à nationaliser des banques pour éviter la banqueroute, alors que des équipes de gauche soutiennent des banques privées, pour ne pas sombrer avec leur économie.

Cette déferlante n'aura, pourtant, qu'un impact modéré sur l'Algérie. Les effets de la crise se feront sentir essentiellement sous deux aspects. En premier lieu, évidemment, sur le prix du pétrole.

La crise risque, en effet, d'avoir un effet durable sur le prix de ce produit qui constitue la quasi-totalité des recettes du pays en devises. La récession, déjà en place, a déjà fait perdre au pétrole plus de 50 dollars, soit plus de la moitié de son prix actuel.

Dans les années qui viennent, une récession durable aux Etats-Unis entraînerait l'ensemble de l'économie mondiale vers le bas. Les pays émergents ne pourront compenser la dégringolade américaine, d'autant plus qu'eux-mêmes en subiront, de plein fouet, les effets, car une Amérique en crise ne peut maintenir le flux des importations en provenance de la Chine, par exemple, ce qui risque de porter un sérieux coup à la croissance chinoise.

Qui dit récession, dit baisse de la consommation d'énergie, avec un recul ou, au mieux, une stagnation des prix du pétrole.

A cette menace, s'ajoute une autre, liée à la valeur du dollar: que vaudra la monnaie américaine si le monde s'installe dans une récession durable? On a déjà vu le dollar perdre le tiers de sa valeur, en quelques mois, dans des conditions normales.

En période de crise, le rythme peut s'accélérer, particulièrement si les autorités américaines font le choix d'un dollar faible, pour relancer leur propre économie. Et même si le pire n'est pas forcément à venir, il n'empêche qu'il s'agit d'un scénario à ne pas écarter: avec un euro à deux dollars, conjugué à un pétrole entre soixante et soixante-dix dollars, l'Algérie aura à peine de quoi payer ses importations.

L'Algérie fait ainsi face à deux facteurs: prix du pétrole et cours du dollar, sur lesquels elle n'a, absolument, aucune prise. Elle est condamnée à subir et à se contenter d'atténuer les effets de la crise. La marge est très réduite, parfois nulle. D'autant plus que le pays, contrairement à ce qu'affirment les officiels, ne sait ni imaginer des solutions, ni les mettre en place.

Pour l'heure, les dirigeants algériens affirment qu'ils ont mené deux actions parallèles, qui auraient évité à l'Algérie de sombrer dans la crise. La première concerne le remboursement par anticipation de la dette extérieure. Ce n'est pourtant pas un exploit. C'est même le minimum que puisse faire un gouvernement endetté, disposant de beaucoup d'argent, et incapable d'investir. La seconde mesure concerne le placement des surplus financiers en bons du trésor américains et dans d'autres banques centrales. C'est une solution peu rentable, mais qui a l'avantage d'offrir des garanties solides. Et contrairement à certaines idées répandues, en période de crise, le placement en bons de trésor américains est l'un des plus recommandés, car la garantie de l'Etat américain reste la plus sûre.

Ce choix repose sur un postulat: l'Algérie est définitivement incapable de faire fructifier son argent. Ce qui semble être le cas. Il ne reste, dès lors, plus qu'à trouver la meilleure formule, non pour rentabiliser ces réserves en devises, mais pour ne pas les dilapider. Dans ce cas de figure, le gouvernement a raison de recourir aux bons du trésor américains, qui offrent de solides garanties, malgré leur rentabilité faible, voire négative.

De là, utiliser la crise pour justifier la méfiance envers l'idée de créer un fonds souverain, il y a un pas que M. Karim Djoudi a trop rapidement franchi. En effet, le ministre a affirmé que la crise actuelle constitue une preuve à postériori que les fonds souverains comportent trop de risques. Dans son raisonnement, le ministre des Finances se base sur trois postulats. Il prend la situation actuelle de crise comme repère. Or, les fonds souverains doivent s'installer dans la durée. Même s'ils perdent de l'argent dans un créneau, à un moment de crise, leurs pertes sont largement compensées grâce à ce qu'ils gagneraient ailleurs. En outre, le ministre des Finances suppose qu'un fonds souverain algérien aurait investi toutes les réserves du pays en devises dans des entreprises non viables. Or, l'idée même de fonds souverain procède d'une logique inverse: gagner de l'argent en minimisant les risques, et non jouer au poker en misant toutes les réserves sur un seul créneau. Il s'agit donc de diversifier les investissements, en diversifiant les secteurs d'activités et les pays d'accueil, de multiplier les placements à petites doses, et de n'utiliser que les excédents qui ne sont pas susceptibles d'être investis.

En fait, M. Djoudi justifie l'immobilisme algérien face à la crise. Ce qui est de bonne guerre. A sa décharge, il faut tout de même souligner que la situation le dépasse en fait, le système algérien étant totalement incapable de créer, de gérer et de rentabiliser un fonds souverain. Sans oublier que personne ne possède, en Algérie, la légitimité nécessaire pour prendre des risques ou, au moins, innover.

Mais on peut imaginer le cas inverse: c'est le moment ou jamais de faire d'excellentes affaires, d'acheter pour une bouchée de pain des banques prestigieuses qui se trouvent en difficulté. BNP Paribas vient de mettre près de quinze milliards d'euros pour racheter Fortis, alors que de grandes banques américaines ont été rachetées pour un dixième de leur valeur. C'est le moment de faire les courses. Les réserves de change de l'Algérie lui permettraient d'acquérir des entreprises qui rapporteraient autant que les hydrocarbures. Mais l'Algérie est hors jeu. Elle ne peut le faire. Elle s'est condamnée depuis longtemps à l'inaction.

Et si la crise a, aujourd' hui, peu d'impact sur l'Algérie, cela n'est pas dû à des initiatives du gouvernement, mais précisément au manque d'initiatives. L'Algérie sortira indemne de la crise parce qu'elle est déconnectée du monde. Son économie est hors temps.

Lundi soir, pendant que les bourses mondiales plongeaient, celle d'Alger affichait une sérénité extraordinaire: aucune variation sur l'ensemble des valeurs proposées. Signe de force? Non, de déconnexion totale. Car dans le monde d'aujourd'hui, il est préférable de subir la crise plutôt que d'être out. Ce n'est pas du masochisme. Subir les effets de la crise, cela suppose qu'on est un acteur de l'économie mondiale, qu'on est en plein dans la mondialisation. La Corée du Sud a subi une grave crise en 1997. Cela ne l'a pas empêchée de rebondir et de devenir un acteur central de la nouvelle donne économique. C'est la preuve que c'est un pays qui avance, qui acquiert de la maturité et de l'expérience, et qui a fait une partie du chemin. Quand à l'Algérie, elle n'a pas encore démarré.

La sagesse populaire partage les commerçants en trois catégories: ceux qui vont au marché pour faire des affaires et gagnent de l'argent, ceux qui vont au marché et perdent de l'argent, et enfin, ceux qui ne sont pas, du tout, allés au marché. L'argent n'est pas touché par la crise parce qu'elle n'est pas allée au marché.


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