On demande à l'algerie de reconnaitre cette tache noire dans les relations algero-marocaine.
Je parle de la deportation massive des marocains d'Algerie en 1975.
On demande au maroc de nous eriger une stèle commémorative concernant cet évènement la CHOUHA DE 1975 à la frontière akid lotfi ou zoudj bghal.
La devise de paix de mostaganem est déjà prête.
MOSTAGANEM 1975
Souvent, il m’arrive de rêvasser, de voir cet endroit autrement: une frontière invisible, une frontière sans traumatismes ni larmes, une frontière où l’on ne s’arrêterait que pour expliquer à nos enfants , pour leur dire: à cet endroit, à une triste époque, des hommes, des femmes, des enfants ont pleuré leur douleur, ont pleuré leur souffrance et leur déchirement, ont pleuré leur séparation avec des êtres chers, une frontière où, marocains et algériens viendraient commémorer ensemble cette triste épisode de l’histoire de deux pays frères. Ils viendraient pour se rappeler et pour se dire : plus jamais ça!
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Je parle de la deportation massive des marocains d'Algerie en 1975.
On demande au maroc de nous eriger une stèle commémorative concernant cet évènement la CHOUHA DE 1975 à la frontière akid lotfi ou zoudj bghal.
La devise de paix de mostaganem est déjà prête.
MOSTAGANEM 1975
Souvent, il m’arrive de rêvasser, de voir cet endroit autrement: une frontière invisible, une frontière sans traumatismes ni larmes, une frontière où l’on ne s’arrêterait que pour expliquer à nos enfants , pour leur dire: à cet endroit, à une triste époque, des hommes, des femmes, des enfants ont pleuré leur douleur, ont pleuré leur souffrance et leur déchirement, ont pleuré leur séparation avec des êtres chers, une frontière où, marocains et algériens viendraient commémorer ensemble cette triste épisode de l’histoire de deux pays frères. Ils viendraient pour se rappeler et pour se dire : plus jamais ça!
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Dernière édition par le Dim 16 Sep - 0:22, édité 4 fois