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UNE FILIERE ACTIVANT ENTRE LE MAROC ET L4ALGERIE DEMANTELLEE

3 participants

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lamine16



Agissant sur informations faisant état d’une filière de narcotrafiquants activant dans la région, la brigade territoriale de Honaine relevant du groupement de gendarmerie de la wilaya de Tlemcen a réussi, dans la nuit de jeudi à vendredi, à saisir plus de cinq quintaux de kif traité en provenance du Maroc.

memoire54



A qui la faute , c'est quand les frontières sont fermèes que le traffic se developpe .
Ne parlons même pas des tonnes de drogues mèdicamenteuses et de l'essence qui coule à flot en provenance de l'algerie et tout cela pour engraisser encore et encore les gènèraux.

lamine16



memoire54 a écrit:A qui la faute , c'est quand les frontières sont fermèes que le traffic se developpe .
Ne parlons même pas des tonnes de drogues mèdicamenteuses et de l'essence qui coule à flot en provenance de l'algerie et tout cela pour engraisser encore et encore les gènèraux.
Memoire, je suis désolé mais je ne partage pas votre point de vu.Les gènèraux ils ne s'abesse pas au trafique ils ont leur prope impore-expore ne millange pas les torchons et les serviettes .Pluto avec la complécité des responsables marocain que cette drogue entre en Algérie pour empoisonné les jeunes algérien . Alors imagine que les frantières ouverte? Le Maroc est connais pour la cultuvation de chera , des champ a ciel ouvert. j'appeler un chat un chat-et par son nom.

Slimani9002



lamine16 a écrit:
memoire54 a écrit:A qui la faute , c'est quand les frontières sont fermèes que le traffic se developpe .
Ne parlons même pas des tonnes de drogues mèdicamenteuses et de l'essence qui coule à flot en provenance de l'algerie et tout cela pour engraisser encore et encore les gènèraux.
Memoire, je suis désolé mais je ne partage pas votre point de vu.Les gènèraux ils ne s'abesse pas au trafique ils ont leur prope impore-expore ne millange pas les torchons et les serviettes .Pluto avec la complécité des responsables marocain que cette drogue entre en Algérie pour empoisonné les jeunes algérien . Alors imagine que les frantières ouverte? Le Maroc est connais pour la cultuvation de chera , des champ a ciel ouvert. j'appeler un chat un chat-et par son nom.

SI TU VEUX APPELER UN CHAT PAR SON NOM SOIT MAIS TOUS LES CHATS

Actualités : TRAFIC DE PSYCHOTROPES
Un important laboratoire pharmaceutique impliqué


Le Laboratoire pharmaceutique algérien LPA, à travers sa filiale Digropharm, est impliqué dans le trafic et la commercialisation de plus de 4 millions de comprimés de psychotropes. Une enquête, menée à partir de Constantine par les éléments de la Gendarmerie nationale, a mis en évidence la vente illicite et la circulation de ces tranquillisants. Le gérant du laboratoire et son frère sont d’ailleurs placés sous contrôle judiciaire en attendant l’achèvement de l’enquête.
Ilhem B. Tir - (Le Soir) - Le trafic des psychotropes, notamment le Rivotril et le Diazepam classés parmi les plus demandés, est de plus en plus florissant. Des lots importants de stocks sont acheminés de Constantine pour être puisés à l’ouest du pays par ce qu’on appelle la filière de l’Ouest. La bande frontalière ouest notamment dans les zones délimitées par la boucle reliant Maghnia, Marsat-Ben-M’hidi, Ghazaouet, Nedroma, Remchi et Sidi Djillali, se refermant à Maghnia avec des extensions vers Tlemcen et Sebdou, est de plus en plus active selon les sources douanières. Le Rivotril, par exemple, se vend à travers des officines pharmaceutiques à raison de 2500 DA la boîte de 40 comprimés. Ces officines s’approvisionnent chez des grossistes écoulent les stocks de Digropharm en contre-partie d’une marge bénéficiaire considérable et qui peut atteindre les 25% selon nos informations. De grandes quantités de ces psychotropes sont vendues par la filiale de LPA aux grossistes et parfois même aux officines directement sans ordonnancier pour échapper ainsi à tout contrôle. Cependant, le coup de filet effectué au mois d’avril 2007 par la brigade de recherche du groupement de la Gendarmerie nationale de Constantine a été derrière la découverte de l’existence d’un réseau de trafic spécialisé dans la commercialisation illégale de psychotropes. Il s’agit d’une grande société de distribution de médicaments, Sarl Word MAD, implantée à Constantine qui est parvenue à écouler en l’espace d’une année, pas moins de 4 046 120 comprimés de Rivotril. Le préjudice causé à l’administration fiscale par ce trafic a été évalué à hauteur de 1,3 milliard de centimes. C’est cette piste qui a permis de remonter vers le laboratoire LPA. L’ampleur du phénomène est due à l’existence de plus de 200 grossistes à travers tout le territoire national dont 79 à Constantine. Ces derniers agissent en toute impunité sans ordonnancier ni contrôle. L’est du pays est, en effet considéré comme un lieu de concentration de ce type d’activité et le manque considérable d’inspecteurs ne peut que faciliter la tâche aux trafiquants. Même si une partie non négligeable du trafic est produite dans les chaînes de fabrication de Saidal, il a été démontré que le trafic du LPA dépasse les chiffres avancés par le commandement général du corps d’élite de la Défense nationale dans son rapport publié en 2004 où il précise que l’opérateur public Saidal en l’occurrence, a été considéré comme étant impliqué indirectement dans le trafic car des dizaines de grossistes dont l’agrément est suspendu continuent de s’approvisionner normalement chez Saidal à Alger, Batna et Oran.
I. T.

Slimani9002



Saïdal mise à l’index


Une partie non négligeable du trafic de psychotropes est produite dans les chaînes de fabrication de Saïdal. L’opérateur public est ainsi montré du doigt comme étant « indirectement » impliqué dans ce trafic qui a pris des proportions alarmantes ces dernières années. Selon un rapport rendu public hier lors d’un point de presse tenu au siège du commandement général du corps d’élite de la défense nationale, le Diazépam, commercialisé par Saïdal sous le nom de Valzépam, est le plus prisé chez les jeunes. En d’autres termes, les trafiquants, qui s’approvisionnent auprès des grossistes en médicaments, ne jurent que par ce comprimé de couleur bleue, dont l’unité est cédée sur le « marché de détail » pour environ 50 DA.
Le prix de vente aux grossistes est fixé à 74,05 DA, alors que le prix « vignette » est évalué à 112,81 DA. Cette marge est partagée entre le grossiste et le gérant d’officine, du moins lorsqu’il s’agit d’obéir au circuit officiel et légal. Ces deux opérateurs, selon l’enquête, n’hésitent pas à « approvisionner » le marché parallèle, « donc le trafic de psychotropes », en proposant la boîte de Valzépam à pas moins de 600 DA, soit cinq fois son prix réel. Le prix peut atteindre les 1000 DA sur le marché de détail. « Lorsqu’il est en manque, le consommateur est prêt à faire n’importe quoi », affirme un expert en psychiatrie. Ces propos ont été d’ailleurs confirmés par l’étude faite par la Gendarmerie nationale. Vient ensuite le Rivotril, autre psychotrope tout aussi dangereux, suscitant immanquablement chez son consommateur, selon l’expert, une « toxicophilie » ou une dépendance inexorable. Les saisies effectuées durant les neuf mois de l’année en cours enregistrent une quantité de 100 928 comprimés. Une hausse de 100% par rapport à la même période de l’année 2003, où il est enregistré, selon le document de la gendarmerie, une quantité de 54 494 comprimés saisis. « Cela reste néanmoins la partie visible de l’iceberg », reconnaît le patron du bureau « Lutte contre le trafic de stupéfiants », le lieutenant-colonel Farid Djerboua. Selon lui, il existe plus de 200 grossistes à travers le pays, dont 79 installés à Constantine. L’est du pays est en effet qualifié de lieu où il y a une forte concentration de ce type d’activité. Une autre saisie, concernant le Rivotril, est à mettre aussi à l’actif de la gendarmerie. Le 7 septembre 2004, à Skikda, elle a mis la main sur 5000 unités de ce type de psychotrope. Six personnes ont été arrêtées dans les deux villes citées. Un indice révélant que la région est devenue une véritable plaque tournante de ce trafic, devançant ainsi Blida, qui, elle aussi, s’adonne à ce genre de trafic. Les grossistes « trafiquants » facturent à l’insu des pharmaciens pour détourner le produit du circuit licite par un simple jeu d’écriture, affirme-t-on encore auprès des services de sécurité. L’absence d’accusé de réception rend la tâche difficile aux enquêteurs pour recourir à la traçabilité de l’opération. A l’effet de contenir ce trafic, les services de sécurité préconisent une solution toute simple : « Identification de chaque client (grossiste) au lieu de la procédure actuelle qui fait que les numéros de lots correspondent à plusieurs clients. » Des dizaines de grossistes mêlés de près ou de loin à ce trafic et dont l’agrément est suspendu continuent à s’approvisionner normalement chez Saïdal. Ce « dysfonctionnement » est dû au fait que le ministère de la Santé, qui accorde les agréments, « omet » d’en informer Saïdal. « Les psychotropes faisant l’objet d’un vaste trafic, il est nécessaire de dissuader les trafiquants en mettant en place une réglementation plus sévère dans le domaine de la commercialisation et de régionaliser leur distribution », propose-t-on auprès des services de sécurité. Bien qu’il existe des centres de distribution Saïdal à Alger, Batna et Oran, des pharmaciens de l’Est et de l’Ouest viennent s’approvisionner à partir de l’unité commerciale, sise à El Harrach, « d’où des difficultés supplémentaires pour les agents de contrôle ».




Par Djamel Zerrouk

Slimani9002



ENQUETE:
Voyage dans le trafic des «cachiyate»
Publier le : 05-05-2008


Le trafic des médicaments psychotropes en Algérie a pris ces dernières années des proportions alarmantes. Les cachets, «l'cachiyat» comme on dit chez nous pour désigner ces comprimés médicamenteux qui proviennent de la pharmacie sont devenus quelques-unes des drogues les plus prisées dans notre société.

Le «cachet» est le cachet du groupe. Coïncidence ? Le « cachet magique» se distribue sous le manteau. Mais aussi au niveau de quelques places. Pour Alger, on nous a signalé le marché Clauzel, le marché Ali-Mellah, la Place du 1er mai, le Square Port-Saïd, le Jardin Sofia, le parking Béziers etc. Quand durant l'année 2006 la DGSN avait mis la main sur près de 300 000 comprimés, la panique s'empare alors des pharmaciens d'officine.

Le circuit de distribution:

Le circuit de distribution est organisé grosso modo sur 3 paliers importants : primo : le fabricant ou l'importateur, secundo : le grossiste, tertio : l'officine (vente au détail). Au niveau de l'importation, selon les chiffres communiqués par l'UNOP (Union nationale des opérateurs de pharmacie) 123 opérateurs se partagent le marché.

Dans la distribution de gros activent 470 opérateurs ; ce chiffre de l'UNOP diffère de celui du CNOT qui a avancé 400 grossistes. «Le ministère de la santé ne communique pas ses statistiques ; nous avons du mal à nous mettre à jour, il y a des grossistes qui ferment et d'autres qui ouvrent du jour au lendemain mais on ne nous tient pas informés» soutient le Dr Nabil Mellah, SG de l'UNOP.

En tous les cas, sur les 470 intervenants au niveau du gros, un opérateur seulement est public : Digromed (Entreprise nationale de distribution en gros et demi-gros de médicaments). Cet opérateur dispose de 47 points de vente à travers tout le territoire national.

Quant à la distribution au détail, elle est assurée par 6 000 pharmacies dont 2 169 étatiques gérées par l'opérateur public Endimed (Entreprise nationale de distribution détail des médicaments), selon les données publiées sur le site Internet de cette société. Celle-ci détient 15% du marché national du médicament. Un marché évalué à 500 millions de dollars.

Pilules du bonheur ?

Dans le marché parallèle, le comprimé de Rivotril (importé), appelé localement «Roche» est vendu à 100 DA , le même prix est appliqué au comprimé de Diazépam «Zerga (fabriqué par Saïdal) et à Temgesic, (ampoules injectables à base de morphine) Tranxène, Temesta, Valium, Nozino.

Les psychotropes ont aussi des faux. Totinal, un médicament antihistaminique (anti-allergie) présente des comprimés identiques à l'Artane «Sowel» ; les dealers trompent leur «clients» en leur vendant du faux. Selon le Dr Chakali, les surnoms qu'on applique à ces différents comprimés sont censés décrire des vertus que ces substances n'ont pas.

Les effets qu'on leur prête, a-t-il dit, sont plus fantasmatiques que réels ; et de donner cet exemple : Nozino est crédité d'être hallucinogène, alors qu'il n'en est rien en vérité.

Le haschich par exemple, qui est un psychotrope, est désigné souvent sous le terme de «stupéfiant» ou de «drogue». Il s'ensuit qu'aujourd'hui on entend par «psychotropes» les substances destinées à un usage médical. Tout le monde sait que les psychotropes dans la majeure partie des cas sont destinés aux personnes souffrant de troubles mentaux et psychiques.

Nous avons voulu compléter les données de cette enquête en nous rapprochant du ministère de la santé et de la Population ainsi que du laboratoire pharmaceutique algérien, mais nos tentatives n'ont eu aucun écho auprès de ces institutions.

Par : Larbi Graïne

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