Le Parlement panafricain demande l'exclusion du Maroc de la CAN et du Mondial 2010
Le parlement panafricain a demandé l'exclusion du Maroc de la CAN et du Mondial 2010 de football, pour les "graves violations" des droits de l'homme dans les territoires sahraouis occupés, indique hier le ministère sahraoui de l'Information, citant une résolution du Parlement panafricain. La résolution en question a été adoptée "à l'unanimité" des pays membres de cette institution panafricaine lors de sa session en cours qui se déroule à Midrand (Afrique du Sud), précise-t-on de même source.
Aussi, les élus panafricains condamnent-ils la décision du Maroc de traduire les 7 militants sahraouis des droits de l'homme devant un tribunal militaire et considèrent que cette décision aura de "graves conséquences" sur l'œuvre de décolonisation du Sahara Occidental menée conjointement par les Nations unies et l'Union africaine, ajoute-t-on. Par ailleurs, le Parlement panafricain qui a renouvelé sa "solidarité" avec la République arabe sahraouie démocratique (RASD), à la communauté internationale et à toutes les organisations de défenses des droits de l'homme pour "assumer leurs responsabilités" devant les violations des droits de l'homme commises par le Maroc contre les populations civiles dans les territoires occupés du Sahara Occidental et pour exiger le libre accès" à ces zones aux observateurs internationaux et à la presse, conclut-on.
Aussi, les élus panafricains condamnent-ils la décision du Maroc de traduire les 7 militants sahraouis des droits de l'homme devant un tribunal militaire et considèrent que cette décision aura de "graves conséquences" sur l'œuvre de décolonisation du Sahara Occidental menée conjointement par les Nations unies et l'Union africaine, ajoute-t-on. Par ailleurs, le Parlement panafricain qui a renouvelé sa "solidarité" avec la République arabe sahraouie démocratique (RASD), à la communauté internationale et à toutes les organisations de défenses des droits de l'homme pour "assumer leurs responsabilités" devant les violations des droits de l'homme commises par le Maroc contre les populations civiles dans les territoires occupés du Sahara Occidental et pour exiger le libre accès" à ces zones aux observateurs internationaux et à la presse, conclut-on.