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Fondements Historiques et Juridiques de la Marocanité du Sahara

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moi même

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Fondements Historiques et Juridiques de la Marocanité du Sahara



Ces fondements reposent sur de très nombreux actes, aussi bien au niveau interne qu'au niveau international.



1° - Au niveau interne:



Il y a lieu, au préalable, de rappeler un fait majeur : Le Maroc est constitué en tant qu'Etat depuis le IXème siècle . Cette qualité d'Etat authentique est unique au Maghreb. Elle avait été sauvegardée même pendant la parenthèse du Protectorat (1912-1956).



Dans la structure de fonctionnement de cet Etat Marocain séculaire, le Sahara a toujours occupé une place privilégiée, et souvent déterminante. Ainsi, les fondateurs des dynasties au Maroc étaient souvent directement issus de l'une des tribus du Sahara Occidental. C'est notamment, le cas des Almoravides dont le fondateur, Youssef Ben Tachfine (XIème siècle), devait constituer le «Grand Maroc» qui s'étendait jusqu'aux frontières du Sénégal. Ces liens étroits avec le Sahara ne sont pas démentis avec l'avènement au pouvoir de la Dynastie Alaouite (XVII ème siècle), originaire du Tafilalet (Sahara), et qui n'a guère cessé de conforter l'unité nationale et de renforcer les liens immémoriaux entre toutes les régions du Maroc .



L'exercice de la souveraineté par l'Etat marocain au cours de son histoire est caractérisé par un certain nombre de spécificités dues à la structure particulière de cet Etat. Cette particularité a été reconnue par la Cour Internationale de Justice (C.I.J) (Avis consultatif du 16/10/75 sur le Sahara Occidental § 94, pp. 43-44).



Le pouvoir central est exercé par le Sultan «Commandeur des Croyants». A ce titre, il est Chef Religieux de la communauté des croyants dont il assure en même temps le gouvernement temporel. L'acceptation de la personne du Sultan par la communauté des croyants s'effectue par la «Beyâ» ou allégeance. L'acte d'allégeance engage ceux qui l'effectuent à une obéissance définitive et perpétuelle dès lors que le Sultan reste fidèle aux préceptes du Coran; obéissance qui, traduite en termes intertemporels, procède des rapports traditionnels liant un Etat à ses ressortissants. Le Sultan, représentant de l'autorité suprême sur le plan spirituel et politique, a, entre autres, la charge de la défense des populations et assure les relations avec les puissances étrangères.



Par conséquent, l'acte d'allégeance est synonyme de souveraineté. C'est d'ailleurs ce que confirme le juge AMMOUN, dans son opinion sur l'avis de la C.I.J relatif au Sahara: «...Aussi l'allégeance au Sultan, ou Souverain, équivalait-elle à l'allégeance à l'Etat. Et c'est reconnaître en conséquence que les liens juridiques du Maroc avec le Sahara Occidental reconnus par la Cour se traduisent par des liens politiques, voire des liens de souveraineté»



En ce qui concerne le Sahara, l'exercice de cette souveraineté apparaît à plusieurs niveaux, concernant aussi bien la nomination de responsables locaux (gouver neurs, juges et chefs militaires) que la définition de la mission qui leur était impartie. Lors de l'examen de l'affaire du Sahara Occidental par la C.I.J, le Maroc a présenté plusieurs dizaines de textes et documents à caractère interne qui témoignent d'un exercice effectif, permanent, continu et paisible de la souveraineté par le Sultan sur les territoires sahariens .



Pour ne prendre que l'occupation coloniale, on peut retenir un certain nombre d'exemples relatifs à la nomination de responsables locaux par le pouvoir central . En outre, des directives étaient données à ces responsables pour sauvegarder l'intégrité territoriale du Maroc . A cet égard, on doit rappeler la place privilégiée qu'a occupée le cheikh Ma El Aïnin (dès la fin du XIXème siècle) dans la résistance face aux incursions étrangères au Sahara Occidental. Il était le représentant spécial du Sultan dont il exécutait la politique sur le plan local .



Le pouvoir central, soucieux de raffermir son autorité sur les provinces méridionales, devait intervenir sur place en la personne du Sultan lui même. Ainsi, pour ne citer que la période précédant le protectorat, Hassan 1er avait effectué en 1882 et 1886 deux expéditions en vue de mettre fin aux visées étrangères sur ce territoire et d'installer officiellement différents caïds et cadis.



Par ailleurs, parmi les manifestations d'exercice de souveraineté, on peut relever la perception d'impôts .



2° - Au niveau international:

La souveraineté marocaine sur le Sahara Occidental a été consacrée par des dispositions expresses de multiples conventions passées par l'Empire Chérifien avec des Etats étrangers.

L'analyse de certaines conventions diplomatiques démontre que les puissances étrangères ont eu recours en permanence au Sultan pour protéger les activités de leurs nationaux au Sahara Occidental. Il s'agit de traités conclus respectivement avec l'Espagne en 1861, avec les Etats-Unis d'Amérique en 1786 et 1836, et avec la Grande Bretagne en 1856 .



D'autres instruments reconnaissent expressément la souveraineté du Maroc sur le Sahara. C'est, notamment, le cas du traité anglo-marocain du 13 Mars 1895 dont l'article 1er disposait que : «...Aucune Puissance ne pourra émettre des prétentions sur les territoires allant de l'Oued Draâ au Cap Bojador et appelés Tarfaya comme il est dit plus haut et à l'intérieur parce que ces territoires appartiennent au Maroc» .



Par ailleurs, la souveraineté du Maroc sur Rio de Oro était reconnue au niveau international comme en témoigne la lettre de l'Ambassadeur de France à Tanger, en date du 10 Novembre 1898. Selon cette correspondance : «La presse espagnole mène grand bruit autour de nouvelles récemment reçues de Rio de Oro et d'après lesquelles un nombre considérable de marocains -quatre ou cinq mille- s'approcheraient avec une attitude agressive de ladite factorie».



La C.I.J a eu à connaître de tous ces documents et elle n'a pas manqué de retenir que «les éléments et renseignements portés à la connaissance de la Cour montrent l'existence, au moment de la colonisation espagnole, de liens juridiques d'allégeance entre le Sultan du Maroc et certaines tribus vivant sur les territoires du Sahara Occidental» (§ 162 de l'avis de 1975).



Ces fondements historiques permettent de mieux appréhender les bases juridiques sur lesquelles repose le parachèvement de l'intégrité territoriale intervenue en 1975.



II - BASES JURIDIQUES DU PARACHEVEMENT DE L'INTEGRITE TERRITORIALE



C'est par la déclaration commune du 7 Avril 1956 que l'Espagne devait mettre fin à sa présence dans la partie Nord du Royaume du Maroc. Cette déclaration men tionne en particulier, en son paragraphe 2, que l'Espagne «réaffirme sa volonté de respecter l'unité territoriale de l'Empire que garantissent les traités internationaux.



En fait, la colonisation espagnole devait se poursuivre dans plusieurs parties du territoire marocain qui ne seront rétrocédées que par étapes : Tarfaya (195, Ifni (1969) et Sahara Occidental (1975). Les présides du Nord (Sebta et Mellilia) sont toujours l'objet du contentieux territorial maroco-espagnol.



S'agissant du Sahara, la demande marocaine de rétrocession a été permanente, depuis 1956. Parmi les manifestations de la volonté du Maroc de récupérer ses provinces du Sud dès le lendemain de son indépendance, on retiendra le discours historique fait par Feu Sa Majesté MOHAMED V à M'hamid El Ghizlane en 1958. S'adressant aux marocains du Sahara, Il leur avait rappelé la perpétuelle allégeance que leurs Ancêtres avaient présentée à Moulay Hassan 1er et leur avait promis une mobilisation permanente et totale du Maroc, jusqu'à la réintégration de tout le Sahara.



Dans le même sens, et dès son intronisation, Sa Majesté HASSAN II avait réitéré cette position. Ainsi, lors de la première conférence au Sommet des Non-Alignés (Belgrade, Septembre 1961). Il avait déclaré: «...Cette atteinte à l'intégrité territoriale de pays indépendants et membres des Nations-Unies crée un climat d'irritation et de provocation et constitue de la part des pays colonialistes une menace permanente pour la sécurité et la paix. Au Maroc, par exemple, l'Espagne continue d'occuper des régions entières au Sud de notre territoire : Saquia El Hamra, Ifni et Rio de Oro...».



Au moment de son adhésion à la Charte de l'OUA, en 1963 le Maroc a réaffirmé sa position en formulant des réserves dans les termes suivants : s'agissant de la réalisation de la souveraineté et de l'intégrité territoriale du Maroc dans le cadre de ses frontières authentiques, il est important que l'on sache que cette signature de la Charte de l'OUA, ne saurait aucunement être interprétée comme une reconnaissance explicite ou implicite des faits accomplis jusqu'ici, refusés comme tels par le Maroc, ni comme une renonciation à la poursuite de la réalisation de nos droits par les moyens légitimes à notre disposition».



Dans cette affaire, conformément à sa pratique, le Maroc a toujours cherché à aboutir à un règlement pacifique du différend en demandant à l'Espagne d'engager des négociations appropriées, et en saisissant les différentes Organisations Internationales de ce dossier. Répondant à cet appel, l'Assemblée Générale des Nations Unies, dans sa Résolution 2072 (XX) du 16 Décembre 1965, devait demander à l'Espagne en tant que puissance administrante «de prendre immédiatement les mesures nécessaires pour la libération de la domination coloniale des territoires d'Ifni et du Sahara Occidental et d'engager à cette fin des négociations sur les problèmes relatifs à la souveraineté que posent ces deux territoires». Il faut relever ici le fait pour l'Assemblée Générale de lier les deux questions concernant l'intégrité territoriale du Maroc.



Les manœuvres dilatoires de l'Espagne allaient conduire l'Assemblée Générale des Nations Unies, à l'instigation du Maroc, à demander un avis consultatif à la C.I.J (résolution 3292 (XXIX) du 13/12/1974) sur la situation juridique du territoire à la veille de la colonisation espagnole, et en particulier ses liens juridiques avec le Maroc et la Mauritanie.



Les questions étaient les suivantes:



1° - Le Sahara Occidental (Rio de Oro et Saquia El Hamra) était-il, au moment de la colonisation par l'Espagne, un territoire sans maître (Terra Nullius)? Si la réponse à la première question est négative,

2° - Quels étaient les liens juridiques de ce territoire avec le Royaume du Maroc et l'ensemble Mauritanien?



Répondant par la négative à la première question, la C.I.J a reconnu, comme il a été déjà mentionné, des liens d'allégeance entre le Sultan du Maroc et les tribus du Sahara Occidental. Cela attestait de la justesse des thèses juridiques marocaines et rendait nécessaire l'ouverture de négociations avec l'Espagne pour mettre un terme à la situation coloniale de ce territoire.



C'est dans ce sens que le Conseil de Sécurité allait rappeler, par sa Résolution 377 du 22 Octobre 1975, que les «parties concernées et intéressées» pouvaient engager des négociations pour régler pacifiquement ce différend, sur la base de l'article 33 de la Charte des Nations Unies.



En l'occurrence, les parties concernées sont le Maroc, la Mauritanie et l'Espagne ; la partie intéressée étant l'Algérie en sa qualité de pays limitrophe. Il y a lieu de relever le fait que le «Polisario» était ignoré aussi bien dans les résolutions de l'O.N.U., que dans les déclarations officielles des autorités algériennes.



De fait, l'Algérie déclarait n'avoir aucune prétention directe sur le Sahara Occidental. Bien plus, le Président Boumedienne laissait entendre qu'il encourageait et approuvait le partage du territoire entre le Maroc et la Mauritanie.



En effet, en Octobre 1974, lors du Sommet de la ligue des Etats Arabes, il avait déclaré devant les Chefs d'Etat que: «Le problème intéresse dorénavant la Mauritanie et le Maroc. Je dis que je suis d'accord et qu'il n'y a aucun problème... De nombreuses réunions ont eu lieu à Nouadhibou, à Rabat et à Agadir juste après l'accord Algéro-Marocain...



J'ai assisté à une réunion avec Sa Majesté le Roi et le Président mauritanien au cours de laquelle ils ont convenu de trouver une formule pour résoudre ce problème après la libération, formule qui prévoit la part qui revient à la Mauritanie et la part qui revient au Maroc. J'étais donc présent et j'ai donné mon aval de tout cœur et sans arrière-pensée...» (Archives de la Ligue des Etats Arabes; voir dans ce sens, le «Monde» du 9 Avril 1980).



Cependant, I'Espagne allait maintenir sa politique coloniale conduisant le Maroc à déclencher la «Marche Verte», celle-ci allait ouvrir la voie à l'accord de Madrid signé par l'Espagne, le Maroc et la Mauritanie, fixant les modalités de rétrocession de ce territoire (voir annexe n° 7 ; Accord de Madrid du 14 Novembre 1975).



On doit souligner ici que cet accord est en totale conformité avec les règles du Droit International et avec la charte des Nations Unies (voir article 5 de l'accord). L'Assemblée Générale n'a pas manqué de reconnaître la validité de ce traité puisqu'elle «prend acte de l'accord tripartite intervenu à Madrid entre les gouvernements espagnol, marocain et mauritanien, dont le texte a été transmis au Secrétaire Général de l'O.N.U. le 18 Novembre 1975» (résolution 3458 (XXX) E3. du 10/12/1975).



L'intégralité des dispositions de l'accord de Madrid ont été scrupuleusement respectées par le Maroc, en particulier celles afférentes à l'expression de la volonté des populations (article 3 de l'accord de Madrid) .



En effet, la Jemaâ (Assemblée), organe dont la représentativité et la compétence dans la conduite des affaires des populations, avaient été reconnues par la Mission de visite des Nations Unies sur place en 1975 (NU, DOC. 1/10023/Add.5, pp. 40 et ss), avait approuvé le dispositif de l'accord de Madrid. Ce mode de consultation des populations est conforme au droit international et à la pratique internationale en matière de décolonisation.



Par conséquent, l'autodétermination peut revêtir, d'après les règles du droit international, plusieurs formes. Ceci a été très largement souligné à l'occasion de l'examen par la C.I.J de l'affaire du Sahara.



De ce fait, la rétrocession du Sahara par l'Espagne au Maroc est conforme aux titres historiques et juridiques et satisfait à la légalité internationale par son respect des résolutions des Nations Unies, de l'Accord de Madrid et des vœux des populations. D'autant plus que la réintégration du Sahara à la Mère-Patrie a impulsé un développement sans précédent de cette partie du Royaume.

Archives du Royaume du Maroc.

slimane

slimane

Archives du royaume du maroc .......!!!

SENS UNIQUE ..............pas de contradictions ....Ne concerne que.....: eux-même

Pour nous c'est du BLA BLA BLA ...copier-coller de maroki propagandiste ........il dissuade les fantomes ....!

MJB



slimane a écrit:Archives du royaume du maroc .......!!!

SENS UNIQUE ..............pas de contradictions ....Ne concerne que.....: eux-même

Pour nous c'est du BLA BLA BLA ...copier-coller de maroki propagandiste ........il dissuade les fantomes ....!
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C'est bien dommage et malheureux de repondre à un tel message par une telle reponse: c'est la pire des façons de fuire en avant.
IL FAUT VRAIMANT AVOIR UN "nif" ET PAS UN "NIF", IL FAUT ETRE TRES FORT POUR LE FAIRE.
NB: un "maroki" n'est pas capable , ne sait pas et refuse de le faire parce qu'il tres different d'un "......gerien" avec son NIF et sa FIERTE.

Atavisme

Atavisme

moi même a écrit:



1° - Au niveau interne:


Il y a lieu, au préalable, de rappeler un fait majeur : Le Maroc est constitué en tant qu'Etat depuis le IXème siècle . Cette qualité d'Etat authentique est unique au Maghreb. Elle avait été sauvegardée même pendant la parenthèse du Protectorat (1912-1956).

.

Baratins et mensonges entretenus par la mythologie des faussaires et falsificateurs marocains. Il faut être un marokki makhzeni pour croire à ce baratin.

Le Maroc actuel n'a pas 12 siecles comme le pretend la propagande makhzenienne, mais 6 siecles, l'etat du Maroc actuel comme tous les etats du Magheb est né de la confrontation avec l'Espagne après la chute de l'Andalousie, comme l'Algerie et la Tunise.

Avant la chute de l'Andalousie, le Maghreb etait plus ou moins uni avec une series de royaumes....ET LE MAROC COMME ETAT N'EXISTAIT PAS ENCORE.

DIRE QUE LE MAROC A 12 SIECLES CELA REVIENT A DIRE QUE L'IDENTITE MAROCAINE EXISTE DEPUIS 12 SIECLES...CE QUI EST UN PUR MENSONGE ET UNE FALSIFICATION HONTEUSE ET PROPAGANDISTE DE L'HISTOIRE.

Le Maroc etat expansionniste colonialiste et imperialiste s'amuse à falsifier l'histoire pour se créer une legitimité pouur justifier son colonialisme.

Les faussaires marocains disent que le Maroc à 12 siecles car le 1er royaume musulman independant qui a vu le jour sur le sol marocain actuel a 12 siecles.

Dans la même logique l'Algerie est plus vielle que le Maroc car le 1er Royaume musulman independant qui a vu le jour au Maghreb fut en Algerie bien avant le 1er royaume independant du Maroc.

Sans parler du 1er royaume algerien dont se refèrent et se rattachent tous les algeriens et se sentent les descendants...qui est le royaume Numide et qui a plus 23 siecles.

J'AI DEJA EXPLIQUE POURQUOI LA MYTHOLOGIE MAROCAINE PRETEND QUE LE MAROC A 12 SIECLE...ET POURTQUOI LA MONARCHIE MAROCAINE ENTRETIENT CES DELIRES.

bientôt je vous parlerai d'un aurtre delire à dormir debout des faussasires de l'histoire maocains.

moi même

moi même

Chronologie et Principaux Faits :

1884: Début de la colonisation espagnole du Sahara Marocain

1957-1958: L'éclatement d'un soulèvement contre l'Espagne. il se solde par un échec et sera férocement réprimé lors de l'opération franco-espagnole dite "Ecouvillon".



16 décembre 1965: L'assemblée générale des Nations Unies adopte sa première résolution (2072 xx) le 16 décembre 1965 sur le Sahara Marocain appelant a la décolonisation du territoire.



1966: L'assemblée générale de l'ONU adopte la résolution (2229 XXI) sur le Sahara Marocain qui prévoit l'organisation d'un référendum.



20 août 1974: L'Espagne annonce son intention d'organiser un référendum au cours du premier semestre de 1975. Le royaume du Maroc s'oppose à ce que l'indépendance soit l'unique option.



13 décembre 1974: Saisi par le Maroc, l'assemblée générale des Nations Unies demande à la Cour Internationale de Justice (CIJ) de donner un avis consultatif sur certains aspects juridiques relatifs au statut du territoire au moment de sa colonisation par l'Espagne et invite instamment l'Espagne à surseoir au référendum.



8 mai - 2 juin 1975: Une mission de l'ONU est envoyée par "Le Comité Spécial des 24" au Sahara, au Maroc, en Espagne, en Algérie et en Mauritanie.



16 octobre 1975: La cour Internationale de Justice, à La Haye, donne l'avis consultatif demande par l'assemblée générale. Elle conclut en ces termes: "les éléments et renseignements portes à la connaissance de la cour montrent l'existence, au moment de la colonisation espagnole, des liens juridiques d'allégeance entre le Sultan du Maroc et des tribus vivant sur le territoire du Sahara".



16 octobre 1975: Sa Majesté le roi annonce, dans un discours télévisé, l'organisation de la Marche Verte.



6 - 9 novembre 1975: Les marcheurs de la Marche Verte au nombre de 350 000 personnes, pénètrent au Sahara Marocain.



14 novembre 1975: A Madrid, l'Espagne signe avec le Maroc et la Mauritanie, "l'accord de Madrid" visant à transférer ses pouvoirs administratifs sur le Sahara à une administration tripartite, à laquelle participent l'Espagne, le Maroc et la Mauritanie.



12 janvier 1976: Les derniers soldats espagnols quittent le Sahara Marocain.



26 février 1976: Fin de la présence espagnole au Sahara Marocain.



27 février 1976: La création de la prétendue "république arabe sahraouie démocratique" (rasd).



14 avril 1976: Le Maroc et la Mauritanie signent une convention sur le Sahara.



5 août 1979: La Mauritanie signe à Alger un accord de paix avec le front du Polisario.



14 août 1979: Retour de la Province de Oued Ed-Dahab à la mère patrie.



26 juin 1981: Sa Majesté le roi Hassan II annonce au sommet de l'OUA, à Nairobi, que le Maroc appelle à la tenue d'un référendum au Sahara Marocain.



11 juin 1983: Le 19ème sommet de l'OUA adopte à Addis Abeba la résolution ahg/res. 104 (XIX), exhortant "les parties au conflit, le royaume du Maroc et le front polisario, a entreprendre des négociations directes en vue de parvenir a un cessez-le feu visant à créer les conditions nécessaires pour un référendum pacifique et juste".



12 novembre 1984: Le Maroc se retire de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) pour protester contre l'admission de la prétendue "RASD".



19 - 21 juillet 1985: le Secrétaire général de l'ONU, Javier Perez Decuellar, se rend au Maroc pour s'entretenir avec Sa Majesté le roi Hassan II.



2 décembre 1985: L'assemblée générale des Nations Unies adopte la résolution 40/50 sur le Sahara, invitant le président en exercice de l'OUA et le Secrétaire général de l'ONU " a œuvrer en vue d'amener les deux parties, a négocier dans les meilleurs délais et conformément a la résolution ahg/res, 104 (xix) et a la présente résolution, les conditions d'un cessez-le-feu et les modalités d'organisation dudit référendum.



15-16juillet 1986: Le Secrétaire général poursuit l'execution de son mandat concernant le sahara en effectuant une visite de travail de deux jours au Maroc.



16-23 juin 1987: Une mission des Nations Unies, dirigée par m.abdulrahim a. farah, Secrétaire général adjoint aux questions politiques spéciales, se rend au Congo, au Maroc et en Algérie, pour s'entretenir de la question du sahara avec le president denis sassou nguesso du congo (alors president en exercice en l'OUA), le Sa Majesté le roi Hassan II, et Mohamed Abdelaziz "Secrétaire général" du "front polisario".



20 novembre - 9 décembre 1987: Une mission technique de l'ONU, comprenant également des fonctionnaires de l'OUA, et dirigée par M. Abdulrahim A. Farah, secrétaire général-adjoint aux questions politiques spéciales, se rend au Sahara Marocain, en Algérie, en Mauritanie et au Maroc.



13-15 avril 1988: Mr Abdulrahim A. Farah, Secrétaire général-adjoint aux questions politiques spéciales et M. Issa Diallo, assistant spécial du Secrétaire général, accompagnent le président Kenneth Kaunda de la zambie, président en exercice de l'OUA, qui se rend au Maroc et en Algérie.



2-4 mai 1988: La Secrétaire général de l'ONU se rend en visite de travail et rencontre Sa Majesté le roi Hassan II.



11 août 1988: A New York, le Secrétaire général de l'ONU présente une proposition de paix, prévoyant un cessez-le-feu et la tenue d'un référendum, au ministre des affaires etrangères du Maroc et a un représentant du "front polisario", en vertu du mandat conféré par l'assemblée générale dans sa résolution 40/50 du 2 décembre 1985. Les parties au conflit sont invitees a accepter le plan avant le 1er septembre.



30 août 1988: Accord des deux parties sur le plan de paix proposé par le Secrétaire général de l'ONU.



20 septembre 1988: Le conseil de securité adopte la résolution 621(198 par laquelle il décide d'autoriser le Secrétaire général à nommer un représentant special pour le sahara.



juin 1990: 1ère reunion des Chioukhs à Genève



18 juin 1990: Rapport du Secrétaire général (s/21360) comprenant le texte intégral des propositions du réglement tel qu'il a été accepté par les deux parties.



27 juin 1990: Le conseil de securité adopte la résolution 658 (1990), approuvant le texte intégral des propositions de réglement, ainsi qu'un plan du secrétaire général pour la mise en oeuvre de ces propositions.



19 avril 1991: Le Secrétaire général presente le rapport (s/ 22464 ) comprenant en outre le plan d'action conformement a la requete du conseil de securité contenue dans la résolution 621 (1988 )



29 avril 1991: Le conseil de securité adopte la résolution 690 (1991) approuvant la constitution, sous son autorite, de la Minurso. celle-ci comprend trois composantes: unite civile, unite de securité et unite militaire.



6 septembre 1991: entrée en vigueur du cessez-le-feu prevu par l'accord d'août 1988.



Fin 1991: Le Secrétaire général informe le conseil de securité que le calendrier qui etait prevu pour la mise en oeuvre du plan de reglement au sahara ne pourrait pas etre suivie en raison des divergences d'interpretation qui subsistaient sur les modalites d'application du plan.



19 décembre 1991: Le Secrétaire général presente son rapport (s/23299) concernant le developpement que connait la question du référendum au sahara. ce rapport elargit les criteres d'eligibilite du corps electoral appele a prendre part a ce référendum.



29 décembre 1991: Le conseil de securité vote la résolution 725 (1991) approuvant le rapport (23299).



15 janvier 1992: Le Secrétaire général presente un texte concernant les privileges et les immunites de la Minurso.



28 février 1992: Le Secrétaire général presente un nouveau rapport au conseil de securité sur la Minurso.



29 mai 1992: Le Secrétaire général presente un rapport au conseil de securité sur la situation au sahara.



21 août 1992: Le Secrétaire général presente un rapport factuel au conseil de securité.



Fin novembre 1992: Deuxieme reunion des chioukhs a Genève (échec).



20 janvier 1993: Le Secrétaire général presente un rapport (s/25170) au conseil de securité.



2 mars 1993: Le conseil de securité adopte la résolution 809, invitant le Secrétaire général et son représentant special a intensifier leurs efforts avec les parties pour resoudre les divergences et en particulier celles concernant l'interpretation et l'application des criteres d'admissibilite a voter.



27 mars 1993: consultations entre le représentant special du Secrétaire général et les parties sur les compromis possibles concernant l'interpretation des criteres.



5 mai 1993: Nommination d'erik jensen a la tite de la commission d'identification.



28 mai 1993: Le Secrétaire général presente un compromis aux parties concernant l'interpretation et l'application des criteres et modalites d'identification annexes au rapport du Secrétaire général du 19 décembre 1991 (s/23299).



30 mai 1993: Le Secrétaire général presente un rapport interimaire au conseil de securité (s/25818 )



31 mai au 4 juin 1993: tournee dans la region de mr. boutros ghali Secrétaire général de l'ONU.



7 juin 1993: L'installation des membres de la commission d'identification.



17-19 juillet 1993: Rencontre de laayoune sous les auspices du représentant special du Secrétaire général.



28 juillet 1993: Le Secrétaire général presente un rapport interimaire (s/26185) au conseil de securité.



27 septembre 1993: Le rssg adresse aux parties une note explicative (s/26185) sur le compromis propose par le Secrétaire général concernant l'interpretation et l'application des criteres d'admissibilite a voter.



7 octobre 1993: Le Secrétaire général presente un rapport interimaire a l'assemblée générale.



26 octobre 1993: Reunion a new-york entre les membres du conseil consultatif pour les affaires du sahara et des représentants du front polisario (echec).



24 novembre 1993: Rapport du Secrétaire général (s/26797) au conseil de securité sur la situation au sahara.



12 décembre 1993: La commission d'identification entame l'operation d'enregistrement des sahraouis habilites a voter.(ouverture de deux bureaux a laayoune).



10 mars 1994: Rapport du Secrétaire général au conseil de securité sur la situation au sahara occidental (rapport des trois options) et ses annexes ( s/1994 / 283).



29 mars 1994: Adoption par le conseil de securité de la résolution 907 retenant l'option b figurant dans le rapport de Secrétaire général du 10 mars 1994.



décembre 1995: Suspension de l'operation d'identification.



8 mai 1996: Le Secrétaire général presente son rapport au conseil de securité (s/1996/343) dans lequel il fait etat de la suspension du processus d'identification et propose la reduction de' 20 de l'effectif de la Minurso.



29 mai 1996: Le conseil de securité des Nations Unies adopte la résolution 1056 (1996).



4 juin 1996: La cinquieme commission de l'assemblée générale de l'ONU adopte un projet de résolution pour le financement de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).



5 juin 1996: Le burkina-faso retire sa reconnaissance de la prétendue "rasd".



28 juin 1996: M. Abdellatif Filali, premier ministre, ministre des affaires etrangeres et de la cooperation, adresse au president du conseil de securité de l'ONU une lettre, suite a la lettre adressee, le 10 juin, par le president du ghana, m. jerry john rawlings au president du conseil de securité de l'ONU, au "nom de la communaute economique des etats de l'afrique de l'ouest (cedeao)" dont il assure la presidence au sujet de la question du sahara.



23 août 96: Le Secrétaire général des Nations Unies, m.boutros boutros-ghali rend un rapport au conseil de securité sur la question du sahara.



12 septembre 1996: M. Ahmed Snoussi, représentant permanent du Maroc aupres de l'ONU, adresse une lettre au president du conseil de securité sur l'impasse qui caractérise le processus réferendaire.



13 septembre 1996:

- le gouvernement congolais décide de "ne plus reconnaitre +la republique arabe sahraouie democratique+", afin de "rétablir la legalité internationale".

- la 50ème session de la cinquième commission de l'assemblée générale (chargée des questions administratives et budgetaires) adopte un projet de décision présente par son président sur le financement de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).



16 septembre 1996: Le Secrétaire général des Nations Unies, m. boutros ghali, evoque le plan de reglement de l'ONU pour le sahara dans son rapport annuel a l'assemblée générale sur l'activite de l'organisation.



4 octobre 1996: Publication du rapport du Secrétaire général des Nations Unies, m. boutros ghali, soumis a l'assemblée générale de l'ONU sur la question du sahara, portant sur la periode du 5 octobre 1995 au 30 septembre 1996.



18 octobre 96: L'assemblée générale adopte une résolution par laquelle elle décide d'ouvrir pour inscription au compte special de la Minurso un credit d'un montant brut de 27.962.500 dollars.



23 octobre 96: Le gouvernement de la république démocratique de Sao Tomé et principe décide de retirer sa reconnaissance de la prétendue "RASD".



28 octobre 96: La 4-ème commission de l'assemblée générale des n.u. adopte telle qu'amendée oralement et sans vote, une résolution par laquelle elle exprime sa grave préoccupation face à la persistance d'obstacles à la mise en oeuvre du plan de réglement de l'ONU dans le sahara.



31 octobre 96: Le Maroc libére, pour des raisons humanitaires, 66 prisonniers en reponse a la requête émise par deux pays amis, les Etats-Unis d'Amérique et la République Fédérale d'Allemagne.



13 novembre 96: Le secrétaire des Nations Unies m. boutros ghali decide de nommer le général major, jorge barroso de moura (portugal) au poste de commandant de la Minurso a compter du 1-er décembre 1996 en remplacement du général de division jose leandro (portugal) dont la mission prendra fin le 30 novembre courant.



27 novembre 96: Le conseil de securité de l'ONU adopte a l'unanimite résolution 1084 (1996) par laquelle il decide de proroger le mandat de la Minurso jusqu'au 31 mai 1997.



13 décembre 96: L'assemblée générale de l'ONU adopte sans vote un projet de résolution par lequel elle exprime sa preoccupation face a la persistance d'obstacles a la mise en oeuvre du plan de reglement de la question du sahara.



30 janvier 97: Publication d'un rapport du Secrétaire général de l'ONU sur le financement de la Minurso. -le processus visant a l'organisation d'un référendum et au reglement de la question du sahara est "enlise" actuellement, parce que "nous n'avons pas la cooperation dont on a besoin" et "nous revoyons toute notre demarche sur le plan politique" affirme le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, lors d'une conference de presse organisee au palais des nations a geneve.



30-31 janvier 97: L'ambassadeur du Maroc aupres des Nations Unies a geneve, m. nacer benjelloun-touimi, demande au comite permanent du hcr des Nations Unies qui tient sa sixieme reunion, de clarifier et d'actualiser les chiffres qu'il avance pour la population sahraouie des camps de tindouf et qui sont restes figes depuis 1982.



2 mars 97: Kofi Annan Secrétaire général de l'ONU adresse un rapport au conseil de securité su la question du sahara.



17 mars 97: Le Secrétaire général des n.u, m. kofi annan, annonce la nomination de m. james baker, ancien secrétaire d'etat americain, en tant qu'envoye special pour le sahara.



20 mars 97: M.abdellatif filali, premier ministre et ministre des affaires etrangers, adresse des lettres au Secrétaire général et eu president du conseil de securité de l'ONU suite a la nomination de m.james baker comme envoye personnel du Secrétaire général de l'ONU pour la question du sahara.



21 mars 97: Le gouvernement beninois decide, dans un communique officiel d'un conseil extraordinaire des ministres, de ne plus reconnaitre la soi-disant "republique arabe sahraouie democratique" en tant qu'etat.



1-er avril 97: Le Secrétaire général des n.u., Kofi Annan, re?oit au siege de l'organisation, l'ambassadeur m.ahmed snoussi, représentant permanent du Maroc aupres des n.u.



2 avril 97: La guinee bissau vient de retirer sa reconnaissance a la fantomatique "rasd".



23 avril 97: M.james baker, représentant special du Secrétaire général des Nations Unies effectue une visite au Maroc au cours de laquelle il a eu un entretien avec sm le roi Hassan II et prend part a un diner offert par m.filali.



8 mai 97: Le Secrétaire général de l'ONU soumet un rapport au conseil de securité relatif a la question du sahara.



9 mai 97: Le premier ministre tchadien, m.djimasta koibla, en visite au Maroc, annonce que son pays ne reconnait plus la "rasd".



20 mai 97: La france introduit un projet de résolution demandant la prorogation du mandat de la Minurso de quatre mois, soit jusqu'au 30 septembre 97.



22 mai 97: Le conseil de securité de l'ONU adopte, a l'unanimite, la résolution 1108 (1997), par laquelle il decide de proroger jusqu'au 30 septembre 1997, le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).



11-12 juin 97: Le premier ministre, ministre des affaires etrangeres et de la cooperation, m.abdellatif filali, s'entretient a londres, avec m. james baker, envoye personnel du Secrétaire général des Nations Unies, des moyens de permettre au plan de reglement de l'ONU au sahara de sortir de l'impasse et de reprendre le processus de reglement tel que prevu par les résolutions du conseil de securité.



16 juin 97: Le togo decide de retirer sa reconnaissance a la soi-disant "republique arabe sahraouie democratique (rasd)".



23-24 juin 97: tenue, au fort de sao juliao da barra pres de lisbonne, d'une rencontre technique sur la question du sahara, a l'invitation du Secrétaire général des Nations Unies pour s'entretenir avec son représentant special, m. james baker. la delegation Marocaine est conduite par m.abdellatif filali, premier ministre, ministre des affaires etrangeres.



4 juillet 97: Le swaziland retire sa reconnaissance a la pseudo "republique arabe sahraouie democratique" (rasd).



19-20 juillet 97: M. abdellatif filali, premier ministre, ministre des affaires etrangeres et de la cooperation, participe a londres, sur invitation du secrétaire général des Nations Unies, aux contacts prives sur la mise en oeuvre du plan de reglement, menes sous les auspices de m.james baker, envoye personnel du Secrétaire général des n.u.



28 juillet 97: nomination du général de brigade autrichien bernd lubenik a la tete de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) et succedera au général de division portugais jorge barrosos de moura a partir du 1-er août.



29 août 97: tenue, au fort de sao juliao da barra pres de lisbonne, du 4-eme round des conversations "directes et privees" sur la question du sahara, menes sous les auspices de m.james baker, envoye personnel du Secrétaire général des n.u. avec la participation de m.abdellatif filali, premier ministere et ministre des affaires etrangeres.



5 septembre 97: Le liberia retire sa reconnaissance a la pseudo "republique arabe sahraouie democratique" (rasd).



14-16 septembre 97: La 4-eme session de contacts prives sur la mise en oeuvre de plan de reglement des Nations Unies pour le sahara, sous les auspices de m.james baker, envoye personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le sahara, tenue a houston, aux etats-unis, a ete sanctionnee par la conclusion d'un accord sur le code de conduite des parties concernees par la tenue du référendum au sahara, ainsi que de deux autres accords dont l'un concernant l'autorite de l'ONU durant la periode de transition, qui s'etend de la fin du processus d'identification des electeurs jusqu'au commencement de la campagne referendaire, et l'autre sur un document contenant certains principes qui doivent regir la reprise du processus d'identification des electeurs.



27 septembre 97: Le Secrétaire général de l'ONU Kofi Annan recommande, dans son rapport adresse au conseil de securité, la prorogation du mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 avril 1998.



29 septembre 97: Le conseil de securité de l'ONU proroge le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 octobre 1997, conformement a la recommandation du Secrétaire général contenue dans son rapport.



8-13 octobre 97: La mission technique de l'ONU chargee de reevaluer les besoins pour le deploiement complet de la Minurso effectue une tournee dans la region.



8 octobre 97: Un rapport du Secrétaire général de l'ONU est rendu public a l'occasion de l'ouverture du debat général de la commission des questions politiques speciales et de la decolonisation (4-eme commission).



9 octobre 97: Parution d'un ouvrage de tahar nouflani "le Sahara Marocain entre la legitimite de l'integration et le projet separatiste".



20 octobre 97: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite la résolution 1133 par laquelle, se declarent a nouveau satisfait de la fa?on dont les parties ont coopere avec l'envoye personnel du Secrétaire général, il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies, pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 avril 1998.



22 octobre 97: Le ministre d'etat a l'interieur, m.driss basri annonce la date du 6 décembre 1998 pour l'organisation du référendum confirmatif au sahara.



27 octobre 97: - l'ambassadeur du Maroc aupres des Nations Unies, m.ahmed snoussi fait une declaration devant la 4-eme commission de l'ONU. - la commission des questions politiques speciales et de decolonisation de l'assemblée générale de l'ONU (4-eme commission) adopte, sans vote, un projet de résolution par lequel elle exhorte les deux parties a poursuivre leur collaboration avec le Secrétaire général des Nations Unies et son envoye special et a eviter toute initiative qui pourrait compromettre l'execution du plan de reglement et les accords concernant sa mise en oeuvre.



10 novembre 97: La republique du salvador suspend ses relations avec la prétendue "rasd".



16 novembre 97: Le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, adresse au conseil de securité un rapport sur le Sahara Marocain, comprenant notamment un plan detaille, un calendrier et un etat des incidences financieres relatifs a l'organisation du référendum d'autodetermination. dans ce rapport, le sg fixe egalement la date d'organisation du référendum au 7 décembre 1998 et demande la prorogation du mandat de la Minurso.



19 novembre 97: M.driss basri, ministre d'etat a l'interieur preside a rabat une seance de travail groupant les chioukhs des provinces du sud du Maroc, membres des commission d'identification, les observateurs accredites aupres de la Minurso pour suivre, du cote Marocain, les operations d'identification des votants, ainsi que les gouverneurs de ces provinces.



3 décembre 97: Reprise du processus d'identification des personnes habilitees a participer au référendum projete au sahara.



29 décembre 97: Le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, decide de nommer m.charles f.dunbar (etats unis) au poste de représentant special du secrétaire général au sahara.



26 janvier 98: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite, la résolution 1148 par laquelle il approuve le deploiement au sahara de l'unite de genie pour les activites de deminage et du personnel administratif supplementaire necessaire pour appuyer le deploiement du personnel militaire prevu par le Secrétaire général.



2 février 98: Les chioukhs des provinces du sud adressent une lettre au Secrétaire général de l'ONU une lettre dans laquelle ils denoncent "fermement toutes les manoeuvres tendant a reduire de maniere drastique le nombre des postulants par le biais de programmation eminemment bureaucratique" et demandent "instamment au s/g de l'organisation des Nations Unies de prendre ses responsabilites face a cette situation".



15 février 98: M.driss basri, ministre d'etat a l'interieur, donne une interview publiee par le quotidien espagnol "abc", dans laquelle il a annonce que le Maroc "ne participera pas au référendum si nous constatons que le droit de sang (l'un des cinq criteres d'identification) est systematiquement viole" par le polisario.



16 février 98: visite a laayoune du représentant special du Secrétaire général de l'ONU, m.charles dunbar.



19 février 98: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan adresse au president du conseil de securité une lettre relative au processus d'identification au sahara.



25 février 98: Le conseil de securité encourage les parties a continuer a cooperer pleinement avec la Minurso, indique son president l'ambassadeur du gabon m.denis dangue rewaka.



11 mars 98: Reprise de l'operation d'identification, suspendue provisoirement depuis le 27 février 98.



1er avril 98: L'assemblée générale de l'ONU adopte, sur recommandation de sa 5-eme commission chargee des questions administratives et budgetaires, une résolution relative au financement de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).



6 avril 98: M.ahmed snoussi, représentant permanent du Maroc aupres de l'ONU, remet une lettre du dr. filali au Secrétaire général de l'ONU sur le deroulement du processus d'identification.



15 avril 98: Publication d'un rapport du Secrétaire général de l'ONU sur la situation concernant le sahara.



17 avril 98: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite, la résolution 1163 (1998 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 juillet 1998 afin que celle-ci puisse poursuivre sa tache d'identification en vue de l'achevement du processus.



19 mai 98: Le ministre de la communication, m.larbi messari, critique, dans une declaration publiee par le quotidien "asharq al awsat", la chaine de television par satellite "al-jazira" pour avoir heurte les sentiments du peuple Marocain, a travers sa diffusion d'une emission empreinte de partialite sur la question du Sahara Marocain, d'autant que des résolutions de la ligue arabe appellent a s'abstenir de toute immixtion dans les affaires interieures des etats membres.



20 mai 98: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, note dans un rapport interimaire adresse au conseil de securité sur la situation concernant le sahara, que 111 244 personnes ont ete identifiees jusqu'a pressent.



9 juin 98: - le 34-eme sommet de l'organisation de l'unite africaine (OUA), reuni a OUAgadougou en burkina faso, decide la saisine de la session ministerielle de l'OUA, prevue en février 1999 a addis abeba, pour debattre de la question de l'exclusion ou non de la "rasd" des rangs de l'organisation.

- ceremonie de signature a laayoune du nouvel ouvrage de tahar nouflali intitule "le Sahara Marocain entre la legitimite de l'integration et le projet de separatisme".



20 juin 98: Publication d'un nouveau rapport du Secrétaire général de l'ONU adresse au conseil de securité.



29 juin 98: L'assemblée générale de l'ONU adopte une résolution par laquelle elle a decide d'ouvrir pour inscription au compte special de la mission des nations unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) aux fins de fonctionnement de la mission du 1er juillet au 30 octobre 1998, un credit d'un montant brut de 22 749 540 dollars.



2 juillet 98: Le Secrétaire général de l'ONU a elabore un document de travail a l'intention du comite special charge d'etudier la situation en ce qui concerne l'application de la declaration sur l'octroi de l'independance aux pays et aux peuples coloniaux, appele egalement "comite des 24" ou "comite de la decolonisation".



13 juillet 98: dans un rapport au conseil de securité, le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, recommande que le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) soit prolonge pour une periode de deux mois soit jusqu'au 21 septembre 1998.



20 juillet 98: Le conseil de securité des Nations Unies adopte une résolution prorogeant jusqu'au 21 septembre 1998 le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).



20 août 98: Publication du rapport interimaire adresse par le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, au conseil de securité.



26 août 98: Le president du conseil de securité de l'ONU note avec satisfaction, dans une declaration a l'issue de la reunion d'information du conseil, les progres accomplis dans certains aspects du plan de reglement, notamment celui du processus d'identification des personnes habilitees a participer au référendum.



2 septembre 98: La commission d'identification complete le processus d'identification de 147.000 requerants desireux de participer au référendum organise par la Minurso au sahara, a l'exception d'un nombre de personnes appartenant aux groupements tribaux, h41, h61 et j51/52.



7 septembre 98: Le journaliste jordanien abdallah mohamed el-qaq publie un ouvrage en langue arabe sous le titre "le Sahara Marocain: verites et documents".



15 septembre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, adresse un rapport au conseil de securité sur la situation concernant le sahara dans lequel il recommande notamment la prorogation du mandat de la Minurso jusqu'au 31 octobre 98.



18 septembre 98: Le conseil de securité de l'ONU adopte a l'unanimite la résolution 1198 (199 8 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la Minurso jusqu'au 31 octobre 98.



27 octobre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, adresse un rapport au conseil de securité dans lequel il propose notamment de repousser d'un an le référendum au sahara.



30 octobre 98: Le conseil de securité adopte a l'unanimite la résolution 1204 (1998 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 17 décembre 1998.



7-12 novembre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, effectue une tournee dans la region du maghreb destinee a relancer le plan de reglement de l'ONU pour le sahara. au cours de sa visite au Maroc, m.annan a ete re?u, a deux reprises, par sm le roi Hassan II.



29 novembre 98: Le Secrétaire général des Nations Unies, m. kofi annan, reprend sa tournee aux pays du maghreb, relative au processus de reglement onusien au sahara Marocain, interrompue en novembre a cause de la crise avec l'irak. m.annan se rend dans les camps de tindouf, a Alger et a Tunis.



14 décembre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, recommande, dans un rapport au conseil de securité, la prorogation du mandat de la mission des nations unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 31 janvier 1999.



17 décembre 98: Le conseil de securité adopte a l'unanimite, la résolution 1215 (1998 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 31 janvier 1999, afin que les consultations puissent se poursuivre, et dans l'espoir qu'elles aboutiront a un accord sur les divers protocoles sans alterer l'essence de l'ensemble des mesures proposees par le Secrétaire général ni remettre en question ses principaux elements.



28 janvier 99: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite, la résolution 1224 (1999) par laquelle il a decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 11 février 1999.



29 janvier 99: Le Secrétaire général des Nations Unies recommande au conseil de securité, dans son rapport sur la situation concernant le sahara, que le conseil de securité proroge le mandat de la Minurso pour une periode de quatre semaines, jusqu'au 28 février 1999, en emettant l'espoir que les discussions en cours aboutiront a un accord d'ensemble sur l'identification, les recours, le rapatriement et les activites envisagees ainsi que l'execution du calendrier pour reactiver le processus referendaire.



11 février 99: -le Maroc et l'organisation des Nations Unies procedent, a new-york, a la signature de l'accord sur le statut des forces de la Minurso.

-le conseil de securité de l'ONU adopte la résolution 1228 (1999) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 31 mars 1999 afin que puissent se tenir des consultations permettant de s'attendre que l'accord se fasse quant aux protocoles sur les activites d'identification, de recours et de planification du rapatriement.



19 mars 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a "accepte avec regret" la demission de son représentant special pour le sahara occidental, m.charles f.dunbar, dont le mandat s'acheve le 31 mars 1999, indique le porte parole de l'ONU.



23 mars 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, recommande au conseil de securité la reconduction du mandat de la Minurso jusqu'au 30 avril 1999 et designe m.robin kinloch, president de la commission d'identification, son représentant special par interim, a la suite de la demission de m.charles dunbar, en attendant les decisions du conseil de securité sur le statut futur de la Minurso.



30 mars 99:

-le conseil de securité adopte a l'unanimite la résolution s/1232 (1999) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 30 avril 1999.

-le représentant permanent du Maroc aupres des Nations Unies, m.ahmed snoussi, commente la reconduction par le conseil de securité du mandat de la Minurso jusqu'au 30 avril 1999.



21 avril 99: Le salvador ne reconnait plus le "polisario" affirme le ministre salvadorien des relations exterieures, m.ramon ernesto gonzalez giner, en visite au Maroc.



29 avril 99: Le Secrétaire général de l'ONU recommande dans son rapport au conseil de securité la prorogation du mandat de la Minurso jusqu'au 30 octobre 1999 et propose un calendrier pour la tenue du référendum au sahara en juillet 2000.



30 avril 99: Le conseil de securité de l'ONU adopte, a l'unanimite, la résolution (s/1999/1235) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) pour deux semaine, soit jusqu'au 14 mai 1999.



11 mai 99: Le Maroc fait parvenir sa reponse officielle concernant les differents protocoles soumis aux parties pour accelerer la tenue du référendum.



12 mai 99: Le conseil de securité de l'ONU accueille avec satisfaction l'acceptation officielle par les deux parties de l'ensemble de mesures relatives aux protocoles d'identification et a la procedure de recours.



14 mai 99: Le conseil de securité adopte la résolution 1239 (1999) par laquelle il decide de proroger le mandat de Minurso jusqu'au 14 septembre 1999, afin de relancer l'operation d'identification, de mettre en train la procedure de recours et de conclure tous les accords en suspens qu'exige l'application du plan de reglement.



21 mai 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, designe m.william eagleton (etats-unis) en tant que son représentant special pour le sahara et nomme l'ancien president de la commission d'identification, m.robin kinloch, au poste de représentant special adjoint pour le sahara et sera remplace dans son ancien poste par m.eduardo vetere.



9 juin 99: L'assemblée générale de l'ONU adopte, sans vote, une résolution par laquelle elle decide d'ouvrir, pour inscription au compte special de la Minurso, aux fins de son fonctionnement pour la periode allant du 1er juillet 1999 au 30 juin 2000, un credit d'un montant brut de 52.124.911 dollars.



10 juin 99: M.eduardo vetere entame a laayoune sa mission en tant que nouveau president de la commission d'identification, en remplacement de m.robin kinloch.



15 juin 99: Reprise de l'operation d'identification des personnes habilitees a participer au référendum prevu au sahara.



28 juin 99: Le Secrétaire général des nations-unies adresse un raport sur la question du sahara au conseil de securité.



15 juillet 99: M.driss basri, ministre d'etat, ministre de l'interieur, tient a rabat, une rencontre avec des représentants de la presse nationale et etrangere accreditee a rabat, a la suite de la publication par la commission d'identification, relevant de la mission des Nations Unies pour l'organisation du référendum au sahara (Minurso), des listes provisoires des personnes identifiees et celles declarees eligibles. il ressort de ces listes que le nombre des personnes retenues comme etatnt hibilitees a voter et se trouvant au Maroc s'eleve a 46.255 alors qu'il est de de 33.786 dans les camps de tindouf et de 4.210 en Mauritanie.



21 juillet 99: M.driss basri, ministre d'etat, ministre de l'interieur, tient a laayoune une seance de travail consacree aux questions relatives a l'operation d'identification et a la procedure des recours.



13 août 99: Publication d'un rapport interimaire du Secrétaire général des Nations Unies sur la situation concernant le sahara.



19 août 99: Le premier ministre, m.abderrahmane youssoufi, recoit, a rabat, le représentant special du Secrétaire général des Nations Unies pour le sahara, m.william eagleton.



6 septembre 99: Reprise de l'operation d'identification.



7 septembre 99: M. Driss Basri, ministre d'etat, ministre de l'interieur, tient une séance de travail avec m.william eaglton, représentant special du secrétaire général des nations-unies pour le sahara, accompagne de m.eduardo vetere, president de la commission d'identification, avant leur depart pour les nations-unies.



9 septembre 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, recommande, dans son rapport adresse au conseil de securité, la prorogation du mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) pour une periode additionnelle de trois mois, soit jusqu'au 14 décembre 1999.



13 septembre 99: Le conseil de securité adopte a l'unanimite la résolution 1263 par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 14 décembre 1999, afin d'achever l'operation d'identification des electeurs, d'appliques des mesures de confiance, de conclure tous les accords en suspens qu'exige l'application du plan de reglement et de poursuivre la procedure de recours.



18 septembre 99: La commission d'identification de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) complete la première étape de la procédure de recours.



23 septembre 99: SM le roi Mohamed VI donne ses hautes instructions pour la creation d'une commission royale de suivi des affaires sahariennes comprenant des fils de la region, les représentants des populations et des personnalites civiles et militaires et qui sera chargée de se pencher sur les questions interessant les provinces du sud a tous les niveaux. 8 octobre 99: La commission des questions politiques speciales et de la decolonisation (4-eme commission) adopte sans vote un projet de résolution sur le sahara exhortant les deux parties a eviter toute initiative qui comprometterait l'execution du plan de reglement.





29 octobre 99: Le Secrétaire général de l'ONU nomme un officier belge, le général de brigade Claude Buze, au poste de commandant de la mission des nations-unies au sahara (Minurso), avec effet a partir du 1er novembre 99.



24 novembre 99: SM le roi Mohamed VI recoit en audience, a ifrane, un groupe de quatre dignitaires sahraouis, venus renouveler au souverain, le serment d'allegeance apres avoir rallie recemment le Maroc. il s'agit de mohamed abdelkader haibelti, 78 ans, juge predicateur et president du "conseil superieur de la majistrature" du polisario, de issalmou mohamed abdelkader ould haibelti, 44 ans, president de tribunal, de lafdal malainine ould m'rabih rabbou ould cheikh al OUAli, 44 ans, cheikh du "polisario" aupres de l'ONU lors de l'operation d'identification pour le référendum et de mme malainine lalla oum el-kheiro bent cheikh sidati, epouse de issalmou, 41 ans, membre influent de l'union des femmes du polisario chargee de l'education.



7 décembre 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, adresse un rapport au conseil de securité dans lequel in recommande la prorogation du mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) pour deux mois et demi, soit jusqu'au 29 février 2000 afin de mener a bien le processus d'identification, la publication de la deuxieme liste provisoire des personnes admises avoter et d'engager la procedure de recours pour les requerants appartenant aux groupements tribaux h41, h61 et j51/52.



14 décembre 99: Le conseil de securité de l'ONU proroge le mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 29 février

-Prochainement la suite des faits à partir de 2000...

MJB



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moi même a écrit:



1° - Au niveau interne:


Il y a lieu, au préalable, de rappeler un fait majeur : Le Maroc est constitué en tant qu'Etat depuis le IXème siècle . Cette qualité d'Etat authentique est unique au Maghreb. Elle avait été sauvegardée même pendant la parenthèse du Protectorat (1912-1956).
Baratins et mensonges entretenus par la mythologie des faussaires et falsificateurs marocains. Il faut être un marokki makhzeni pour croire à ce baratin.

Le Maroc actuel n'a pas 12 siecles comme le pretend la propagande makhzenienne, mais 6 siecles, l'etat du Maroc actuel comme tous les etats du Magheb est né de la confrontation avec l'Espagne après la chute de l'Andalousie, comme l'Algerie et la Tunise.

Avant la chute de l'Andalousie, le Maghreb etait plus ou moins uni avec une series de royaumes....ET LE MAROC COMME ETAT N'EXISTAIT PAS ENCORE.

DIRE QUE LE MAROC A 12 SIECLES CELA REVIENT A DIRE QUE L'IDENTITE MAROCAINE EXISTE DEPUIS 12 SIECLES...CE QUI EST UN PUR MENSONGE ET UNE FALSIFICATION HONTEUSE ET PROPAGANDISTE DE L'HISTOIRE.

Le Maroc etat expansionniste colonialiste et imperialiste s'amuse à falsifier l'histoire pour se créer une legitimité pouur justifier son colonialisme.

Les faussaires marocains disent que le Maroc à 12 siecles car le 1er royaume musulman independant qui a vu le jour sur le sol marocain actuel a 12 siecles.

Dans la même logique l'Algerie est plus vielle que le Maroc car le 1er Royaume musulman independant qui a vu le jour au Maghreb fut en Algerie bien avant le 1er royaume independant du Maroc.

Sans parler du 1er royaume algerien dont se refèrent et se rattachent tous les algeriens et se sentent les descendants...qui est le royaume Numide et qui a plus 23 siecles.

J'AI DEJA EXPLIQUE POURQUOI LA MYTHOLOGIE MAROCAINE PRETEND QUE LE MAROC A 12 SIECLE...ET POURTQUOI LA MONARCHIE MAROCAINE ENTRETIENT CES DELIRES.

bientôt je vous parlerai d'un aurtre delire à dormir debout des faussasires de l'histoire maocains.

.
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JE CROIS QUE C'EST M. ATAVISME QUI A CONSTRUIT FES ET LE MAROC PAR LA SUITE OU A EMBAUCHE LES CHINOIS POUR LE FAIRE PARCEQUE LUI NE SAIT QU'INSULTER .
Vraimant tu es un tout petit fort dans le melange des cartes et des grandes decouvrtes lorsque tu nous apprends que le maroc existe que depuis My ALI CHRIF fondateur de la dynastie alaouite, tu nous fait apprendre une grande decouverte en jouant sur les mots !!!!!!!!,
M. moimeme parle du maroc et de l'etat marocain qui était marocain, est et restera tjrs marocain avec son identité officielle, son existence et sa nationalité marocaine.
Tu n'as pas imaginé bien sur si tu le sais ou pas que:
le maroc, le marocain et l'etat marocain en bonne et due forme reconnu comme tel par le monde entier, date depuis IDRISS 1° et ou AKBAR depuis l'année 786 et ce dernier est fils d'Al-Hassan II fils de al-Hassan as-Sibth fils de l'imam Ali ibn Abi Talib et Fatima Zahra fille de sidna Mohamed et fondateur du royaume du Maroc.
ET QUE DEPUIS L'ANNEE 786 JUSQU'A NOS JOURS CA FAIT BIEN 1224 ANS c.a.d. plus de 12 siecles YA IBNOU ADAM bien sur si vraimant tu l'es.
NB: Au fait, tu as oublié de nous parler de la date de naissance de l'algerie de tes gouvernants ( je precise tes gouvernants ).

Atavisme

Atavisme

MJB a écrit:]JE CROIS QUE C'EST M. ATAVISME QUI A CONSTRUIT FES ET LE MAROC PAR LA SUITE OU A EMBAUCHE LES CHINOIS POUR LE FAIRE PARCEQUE LUI NE SAIT QU'INSULTER .
Vraimant tu es un tout petit fort dans le melange des cartes et des grandes decouvrtes lorsque tu nous apprends que le maroc existe que depuis My ALI CHRIF fondateur de la dynastie alaouite, tu nous fait apprendre une grande decouverte en jouant sur les mots !!!!!!!!,
M. moimeme parle du maroc et de l'etat marocain qui était marocain, est et restera tjrs marocain avec son identité officielle, son existence et sa nationalité marocaine.
Tu n'as pas imaginé bien sur si tu le sais ou pas que:
le maroc, le marocain et l'etat marocain en bonne et due forme reconnu comme tel par le monde entier, date depuis IDRISS 1° et ou AKBAR depuis l'année 786 et ce dernier est fils d'Al-Hassan II fils de al-Hassan as-Sibth fils de l'imam Ali ibn Abi Talib et Fatima Zahra fille de sidna Mohamed et fondateur du royaume du Maroc.
ET QUE DEPUIS L'ANNEE 786 JUSQU'A NOS JOURS CA FAIT BIEN 1224 ANS c.a.d. plus de 12 siecles YA IBNOU ADAM bien sur si vraimant tu l'es.
NB: Au fait, tu as oublié de nous parler de la date de naissance de l'algerie de tes gouvernants ( je precise tes gouvernants ).


Voilà ma reponse
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Mais je ne crois que les pauvres iganres et incultes marocains comme toi elevés à coup de mensonges et de propagandes puissent comprendre et saisir le sens de ce qui leur echappe du fait de leur condition de makhzenien.

slimane

slimane

MJB a écrit:
slimane a écrit:Archives du royaume du maroc .......!!!

SENS UNIQUE ..............pas de contradictions ....Ne concerne que.....: eux-même

Pour nous c'est du BLA BLA BLA ...copier-coller de maroki propagandiste ........il dissuade les fantomes ....!
.
C'est bien dommage et malheureux de repondre à un tel message par une telle reponse: c'est la pire des façons de fuire en avant.
IL FAUT VRAIMANT AVOIR UN "nif" ET PAS UN "NIF", IL FAUT ETRE TRES FORT POUR LE FAIRE.
NB: un "maroki" n'est pas capable , ne sait pas et refuse de le faire parce qu'il tres different d'un "......gerien" avec son NIF et sa FIERTE.


POURQUOI DEVRAIS-JE REPONDRE A DES ARCHIVES DU MAROC ???
C'EST RIDICULE ...........!!!
Le NIF , c'est pas marocain , alors de ce côté-là on est tranquille
Mr M J B est vexé ??? ....les Archives c'est vieux et plein de poussière et quand on radote depuis des siècles en faisant du sur-place côté idées , alors moi je ris sous cape ....Mais soyez un peu plus rafraichis messieurs les " archiviens " et plus modernes aussi dans vos idées ....!!!

moi même

moi même

Chronologie et Principaux Faits

1957-1958: L'éclatement d'un soulèvement contre l'Espagne. il se solde par un échec et sera férocement réprimé lors de l'opération franco-espagnole dite "Ecouvillon".

16 décembre 1965: L'assemblée générale des Nations Unies adopte sa première résolution (2072 xx) le 16 décembre 1965 sur le Sahara Marocain appelant a la décolonisation du territoire.

1966: L'assemblée générale de l'ONU adopte la résolution (2229 XXI) sur le Sahara Marocain qui prévoit l'organisation d'un référendum.

20 août 1974: L'Espagne annonce son intention d'organiser un référendum au cours du premier semestre de 1975. Le royaume du Maroc s'oppose à ce que l'indépendance soit l'unique option.

13 décembre 1974: Saisi par le Maroc, l'assemblée générale des Nations Unies demande à la Cour Internationale de Justice (CIJ) de donner un avis consultatif sur certains aspects juridiques relatifs au statut du territoire au moment de sa colonisation par l'Espagne et invite instamment l'Espagne à surseoir au référendum.

8 mai - 2 juin 1975: Une mission de l'ONU est envoyée par "Le Comité Spécial des 24" au Sahara, au Maroc, en Espagne, en Algérie et en Mauritanie.

16 octobre 1975: La cour Internationale de Justice, à La Haye, donne l'avis consultatif demande par l'assemblée générale. Elle conclut en ces termes: "les éléments et renseignements portes à la connaissance de la cour montrent l'existence, au moment de la colonisation espagnole, des liens juridiques d'allégeance entre le Sultan du Maroc et des tribus vivant sur le territoire du Sahara".

16 octobre 1975: Sa Majesté le roi annonce, dans un discours télévisé, l'organisation de la Marche Verte.

6 - 9 novembre 1975: Les marcheurs de la Marche Verte au nombre de 350 000 personnes, pénètrent au Sahara Marocain.

14 novembre 1975: A Madrid, l'Espagne signe avec le Maroc et la Mauritanie, "l'accord de Madrid" visant à transférer ses pouvoirs administratifs sur le Sahara à une administration tripartite, à laquelle participent l'Espagne, le Maroc et la Mauritanie.

12 janvier 1976: Les derniers soldats espagnols quittent le Sahara Marocain.

26 février 1976: Fin de la présence espagnole au Sahara Marocain.

27 février 1976: La création de la prétendue "république arabe sahraouie démocratique" (rasd).

14 avril 1976: Le Maroc et la Mauritanie signent une convention sur le Sahara.

5 août 1979: La Mauritanie signe à Alger un accord de paix avec le front du Polisario.

14 août 1979: Retour de la Province de Oued Ed-Dahab à la mère patrie.

26 juin 1981: Sa Majesté le roi Hassan II annonce au sommet de l'OUA, à Nairobi, que le Maroc appelle à la tenue d'un référendum au Sahara Marocain.

11 juin 1983: Le 19ème sommet de l'OUA adopte à Addis Abeba la résolution ahg/res. 104 (XIX), exhortant "les parties au conflit, le royaume du Maroc et le front polisario, a entreprendre des négociations directes en vue de parvenir a un cessez-le feu visant à créer les conditions nécessaires pour un référendum pacifique et juste".

12 novembre 1984: Le Maroc se retire de l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA) pour protester contre l'admission de la prétendue "RASD".

19 - 21 juillet 1985: le Secrétaire général de l'ONU, Javier Perez Decuellar, se rend au Maroc pour s'entretenir avec Sa Majesté le roi Hassan II.

2 décembre 1985: L'assemblée générale des Nations Unies adopte la résolution 40/50 sur le Sahara, invitant le président en exercice de l'OUA et le Secrétaire général de l'ONU " a œuvrer en vue d'amener les deux parties, a négocier dans les meilleurs délais et conformément a la résolution ahg/res, 104 (xix) et a la présente résolution, les conditions d'un cessez-le-feu et les modalités d'organisation dudit référendum.

15-16juillet 1986: Le Secrétaire général poursuit l'execution de son mandat concernant le sahara en effectuant une visite de travail de deux jours au Maroc.

16-23 juin 1987: Une mission des Nations Unies, dirigée par m.abdulrahim a. farah, Secrétaire général adjoint aux questions politiques spéciales, se rend au Congo, au Maroc et en Algérie, pour s'entretenir de la question du sahara avec le president denis sassou nguesso du congo (alors president en exercice en l'OUA), le Sa Majesté le roi Hassan II, et Mohamed Abdelaziz "Secrétaire général" du "front polisario".

20 novembre - 9 décembre 1987: Une mission technique de l'ONU, comprenant également des fonctionnaires de l'OUA, et dirigée par M. Abdulrahim A. Farah, secrétaire général-adjoint aux questions politiques spéciales, se rend au Sahara Marocain, en Algérie, en Mauritanie et au Maroc.

13-15 avril 1988: Mr Abdulrahim A. Farah, Secrétaire général-adjoint aux questions politiques spéciales et M. Issa Diallo, assistant spécial du Secrétaire général, accompagnent le président Kenneth Kaunda de la zambie, président en exercice de l'OUA, qui se rend au Maroc et en Algérie.

2-4 mai 1988: La Secrétaire général de l'ONU se rend en visite de travail et rencontre Sa Majesté le roi Hassan II.

11 août 1988: A New York, le Secrétaire général de l'ONU présente une proposition de paix, prévoyant un cessez-le-feu et la tenue d'un référendum, au ministre des affaires etrangères du Maroc et a un représentant du "front polisario", en vertu du mandat conféré par l'assemblée générale dans sa résolution 40/50 du 2 décembre 1985. Les parties au conflit sont invitees a accepter le plan avant le 1er septembre.

30 août 1988: Accord des deux parties sur le plan de paix proposé par le Secrétaire général de l'ONU.

20 septembre 1988: Le conseil de securité adopte la résolution 621(198 par laquelle il décide d'autoriser le Secrétaire général à nommer un représentant special pour le sahara.

juin 1990: 1ère reunion des Chioukhs à Genève

18 juin 1990: Rapport du Secrétaire général (s/21360) comprenant le texte intégral des propositions du réglement tel qu'il a été accepté par les deux parties.

27 juin 1990: Le conseil de securité adopte la résolution 658 (1990), approuvant le texte intégral des propositions de réglement, ainsi qu'un plan du secrétaire général pour la mise en oeuvre de ces propositions.

19 avril 1991: Le Secrétaire général presente le rapport (s/ 22464 ) comprenant en outre le plan d'action conformement a la requete du conseil de securité contenue dans la résolution 621 (1988 )

29 avril 1991: Le conseil de securité adopte la résolution 690 (1991) approuvant la constitution, sous son autorite, de la Minurso. celle-ci comprend trois composantes: unite civile, unite de securité et unite militaire.

6 septembre 1991: entrée en vigueur du cessez-le-feu prevu par l'accord d'août 1988.

Fin 1991: Le Secrétaire général informe le conseil de securité que le calendrier qui etait prevu pour la mise en oeuvre du plan de reglement au sahara ne pourrait pas etre suivie en raison des divergences d'interpretation qui subsistaient sur les modalites d'application du plan.

19 décembre 1991: Le Secrétaire général presente son rapport (s/23299) concernant le developpement que connait la question du référendum au sahara. ce rapport elargit les criteres d'eligibilite du corps electoral appele a prendre part a ce référendum.

29 décembre 1991: Le conseil de securité vote la résolution 725 (1991) approuvant le rapport (23299).

15 janvier 1992: Le Secrétaire général presente un texte concernant les privileges et les immunites de la Minurso.

28 février 1992: Le Secrétaire général presente un nouveau rapport au conseil de securité sur la Minurso.

29 mai 1992: Le Secrétaire général presente un rapport au conseil de securité sur la situation au sahara.

21 août 1992: Le Secrétaire général presente un rapport factuel au conseil de securité.

Fin novembre 1992: Deuxieme reunion des chioukhs a Genève (échec).

20 janvier 1993: Le Secrétaire général presente un rapport (s/25170) au conseil de securité.

2 mars 1993: Le conseil de securité adopte la résolution 809, invitant le Secrétaire général et son représentant special a intensifier leurs efforts avec les parties pour resoudre les divergences et en particulier celles concernant l'interpretation et l'application des criteres d'admissibilite a voter.

27 mars 1993: consultations entre le représentant special du Secrétaire général et les parties sur les compromis possibles concernant l'interpretation des criteres.

5 mai 1993: Nommination d'erik jensen a la tite de la commission d'identification.

28 mai 1993: Le Secrétaire général presente un compromis aux parties concernant l'interpretation et l'application des criteres et modalites d'identification annexes au rapport du Secrétaire général du 19 décembre 1991 (s/23299).

30 mai 1993: Le Secrétaire général presente un rapport interimaire au conseil de securité (s/25818 )

31 mai au 4 juin 1993: tournee dans la region de mr. boutros ghali Secrétaire général de l'ONU.

7 juin 1993: L'installation des membres de la commission d'identification.

17-19 juillet 1993: Rencontre de laayoune sous les auspices du représentant special du Secrétaire général.

28 juillet 1993: Le Secrétaire général presente un rapport interimaire (s/26185) au conseil de securité.

27 septembre 1993: Le rssg adresse aux parties une note explicative (s/26185) sur le compromis propose par le Secrétaire général concernant l'interpretation et l'application des criteres d'admissibilite a voter.

7 octobre 1993: Le Secrétaire général presente un rapport interimaire a l'assemblée générale.

26 octobre 1993: Reunion a new-york entre les membres du conseil consultatif pour les affaires du sahara et des représentants du front polisario (echec).

24 novembre 1993: Rapport du Secrétaire général (s/26797) au conseil de securité sur la situation au sahara.

12 décembre 1993: La commission d'identification entame l'operation d'enregistrement des sahraouis habilites a voter.(ouverture de deux bureaux a laayoune).

10 mars 1994: Rapport du Secrétaire général au conseil de securité sur la situation au sahara occidental (rapport des trois options) et ses annexes ( s/1994 / 283).

29 mars 1994: Adoption par le conseil de securité de la résolution 907 retenant l'option b figurant dans le rapport de Secrétaire général du 10 mars 1994.

décembre 1995: Suspension de l'operation d'identification.

8 mai 1996: Le Secrétaire général presente son rapport au conseil de securité (s/1996/343) dans lequel il fait etat de la suspension du processus d'identification et propose la reduction de' 20 de l'effectif de la Minurso.

29 mai 1996: Le conseil de securité des Nations Unies adopte la résolution 1056 (1996).

4 juin 1996: La cinquieme commission de l'assemblée générale de l'ONU adopte un projet de résolution pour le financement de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).

5 juin 1996: Le burkina-faso retire sa reconnaissance de la prétendue "rasd".

28 juin 1996: M. Abdellatif Filali, premier ministre, ministre des affaires etrangeres et de la cooperation, adresse au president du conseil de securité de l'ONU une lettre, suite a la lettre adressee, le 10 juin, par le president du ghana, m. jerry john rawlings au president du conseil de securité de l'ONU, au "nom de la communaute economique des etats de l'afrique de l'ouest (cedeao)" dont il assure la presidence au sujet de la question du sahara.

23 août 96: Le Secrétaire général des Nations Unies, m.boutros boutros-ghali rend un rapport au conseil de securité sur la question du sahara.

12 septembre 1996: M. Ahmed Snoussi, représentant permanent du Maroc aupres de l'ONU, adresse une lettre au president du conseil de securité sur l'impasse qui caractérise le processus réferendaire.

13 septembre 1996:
- le gouvernement congolais décide de "ne plus reconnaitre +la republique arabe sahraouie democratique+", afin de "rétablir la legalité internationale".
- la 50ème session de la cinquième commission de l'assemblée générale (chargée des questions administratives et budgetaires) adopte un projet de décision présente par son président sur le financement de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).

16 septembre 1996: Le Secrétaire général des Nations Unies, m. boutros ghali, evoque le plan de reglement de l'ONU pour le sahara dans son rapport annuel a l'assemblée générale sur l'activite de l'organisation.

4 octobre 1996: Publication du rapport du Secrétaire général des Nations Unies, m. boutros ghali, soumis a l'assemblée générale de l'ONU sur la question du sahara, portant sur la periode du 5 octobre 1995 au 30 septembre 1996.

18 octobre 96: L'assemblée générale adopte une résolution par laquelle elle décide d'ouvrir pour inscription au compte special de la Minurso un credit d'un montant brut de 27.962.500 dollars.

23 octobre 96: Le gouvernement de la république démocratique de Sao Tomé et principe décide de retirer sa reconnaissance de la prétendue "RASD".

28 octobre 96: La 4-ème commission de l'assemblée générale des n.u. adopte telle qu'amendée oralement et sans vote, une résolution par laquelle elle exprime sa grave préoccupation face à la persistance d'obstacles à la mise en oeuvre du plan de réglement de l'ONU dans le sahara.

31 octobre 96: Le Maroc libére, pour des raisons humanitaires, 66 prisonniers en reponse a la requête émise par deux pays amis, les Etats-Unis d'Amérique et la République Fédérale d'Allemagne.

13 novembre 96: Le secrétaire des Nations Unies m. boutros ghali decide de nommer le général major, jorge barroso de moura (portugal) au poste de commandant de la Minurso a compter du 1-er décembre 1996 en remplacement du général de division jose leandro (portugal) dont la mission prendra fin le 30 novembre courant.

27 novembre 96: Le conseil de securité de l'ONU adopte a l'unanimite résolution 1084 (1996) par laquelle il decide de proroger le mandat de la Minurso jusqu'au 31 mai 1997.

13 décembre 96: L'assemblée générale de l'ONU adopte sans vote un projet de résolution par lequel elle exprime sa preoccupation face a la persistance d'obstacles a la mise en oeuvre du plan de reglement de la question du sahara.

30 janvier 97: Publication d'un rapport du Secrétaire général de l'ONU sur le financement de la Minurso. -le processus visant a l'organisation d'un référendum et au reglement de la question du sahara est "enlise" actuellement, parce que "nous n'avons pas la cooperation dont on a besoin" et "nous revoyons toute notre demarche sur le plan politique" affirme le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, lors d'une conference de presse organisee au palais des nations a geneve.

30-31 janvier 97: L'ambassadeur du Maroc aupres des Nations Unies a geneve, m. nacer benjelloun-touimi, demande au comite permanent du hcr des Nations Unies qui tient sa sixieme reunion, de clarifier et d'actualiser les chiffres qu'il avance pour la population sahraouie des camps de tindouf et qui sont restes figes depuis 1982.

2 mars 97: Kofi Annan Secrétaire général de l'ONU adresse un rapport au conseil de securité su la question du sahara.

17 mars 97: Le Secrétaire général des n.u, m. kofi annan, annonce la nomination de m. james baker, ancien secrétaire d'etat americain, en tant qu'envoye special pour le sahara.

20 mars 97: M.abdellatif filali, premier ministre et ministre des affaires etrangers, adresse des lettres au Secrétaire général et eu president du conseil de securité de l'ONU suite a la nomination de m.james baker comme envoye personnel du Secrétaire général de l'ONU pour la question du sahara.

21 mars 97: Le gouvernement beninois decide, dans un communique officiel d'un conseil extraordinaire des ministres, de ne plus reconnaitre la soi-disant "republique arabe sahraouie democratique" en tant qu'etat.

1-er avril 97: Le Secrétaire général des n.u., Kofi Annan, re?oit au siege de l'organisation, l'ambassadeur m.ahmed snoussi, représentant permanent du Maroc aupres des n.u.

2 avril 97: La guinee bissau vient de retirer sa reconnaissance a la fantomatique "rasd".

23 avril 97: M.james baker, représentant special du Secrétaire général des Nations Unies effectue une visite au Maroc au cours de laquelle il a eu un entretien avec sm le roi Hassan II et prend part a un diner offert par m.filali.

8 mai 97: Le Secrétaire général de l'ONU soumet un rapport au conseil de securité relatif a la question du sahara.

9 mai 97: Le premier ministre tchadien, m.djimasta koibla, en visite au Maroc, annonce que son pays ne reconnait plus la "rasd".

20 mai 97: La france introduit un projet de résolution demandant la prorogation du mandat de la Minurso de quatre mois, soit jusqu'au 30 septembre 97.

22 mai 97: Le conseil de securité de l'ONU adopte, a l'unanimite, la résolution 1108 (1997), par laquelle il decide de proroger jusqu'au 30 septembre 1997, le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).

11-12 juin 97: Le premier ministre, ministre des affaires etrangeres et de la cooperation, m.abdellatif filali, s'entretient a londres, avec m. james baker, envoye personnel du Secrétaire général des Nations Unies, des moyens de permettre au plan de reglement de l'ONU au sahara de sortir de l'impasse et de reprendre le processus de reglement tel que prevu par les résolutions du conseil de securité.

16 juin 97: Le togo decide de retirer sa reconnaissance a la soi-disant "republique arabe sahraouie democratique (rasd)".

23-24 juin 97: tenue, au fort de sao juliao da barra pres de lisbonne, d'une rencontre technique sur la question du sahara, a l'invitation du Secrétaire général des Nations Unies pour s'entretenir avec son représentant special, m. james baker. la delegation Marocaine est conduite par m.abdellatif filali, premier ministre, ministre des affaires etrangeres.

4 juillet 97: Le swaziland retire sa reconnaissance a la pseudo "republique arabe sahraouie democratique" (rasd).

19-20 juillet 97: M. abdellatif filali, premier ministre, ministre des affaires etrangeres et de la cooperation, participe a londres, sur invitation du secrétaire général des Nations Unies, aux contacts prives sur la mise en oeuvre du plan de reglement, menes sous les auspices de m.james baker, envoye personnel du Secrétaire général des n.u.

28 juillet 97: nomination du général de brigade autrichien bernd lubenik a la tete de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) et succedera au général de division portugais jorge barrosos de moura a partir du 1-er août.

29 août 97: tenue, au fort de sao juliao da barra pres de lisbonne, du 4-eme round des conversations "directes et privees" sur la question du sahara, menes sous les auspices de m.james baker, envoye personnel du Secrétaire général des n.u. avec la participation de m.abdellatif filali, premier ministere et ministre des affaires etrangeres.

5 septembre 97: Le liberia retire sa reconnaissance a la pseudo "republique arabe sahraouie democratique" (rasd).

14-16 septembre 97: La 4-eme session de contacts prives sur la mise en oeuvre de plan de reglement des Nations Unies pour le sahara, sous les auspices de m.james baker, envoye personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le sahara, tenue a houston, aux etats-unis, a ete sanctionnee par la conclusion d'un accord sur le code de conduite des parties concernees par la tenue du référendum au sahara, ainsi que de deux autres accords dont l'un concernant l'autorite de l'ONU durant la periode de transition, qui s'etend de la fin du processus d'identification des electeurs jusqu'au commencement de la campagne referendaire, et l'autre sur un document contenant certains principes qui doivent regir la reprise du processus d'identification des electeurs.

27 septembre 97: Le Secrétaire général de l'ONU Kofi Annan recommande, dans son rapport adresse au conseil de securité, la prorogation du mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 avril 1998.

29 septembre 97: Le conseil de securité de l'ONU proroge le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 octobre 1997, conformement a la recommandation du Secrétaire général contenue dans son rapport.

8-13 octobre 97: La mission technique de l'ONU chargee de reevaluer les besoins pour le deploiement complet de la Minurso effectue une tournee dans la region.

8 octobre 97: Un rapport du Secrétaire général de l'ONU est rendu public a l'occasion de l'ouverture du debat général de la commission des questions politiques speciales et de la decolonisation (4-eme commission).

9 octobre 97: Parution d'un ouvrage de tahar nouflani "le Sahara Marocain entre la legitimite de l'integration et le projet separatiste".

20 octobre 97: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite la résolution 1133 par laquelle, se declarent a nouveau satisfait de la fa?on dont les parties ont coopere avec l'envoye personnel du Secrétaire général, il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies, pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 avril 1998.

22 octobre 97: Le ministre d'etat a l'interieur, m.driss basri annonce la date du 6 décembre 1998 pour l'organisation du référendum confirmatif au sahara.

27 octobre 97: - l'ambassadeur du Maroc aupres des Nations Unies, m.ahmed snoussi fait une declaration devant la 4-eme commission de l'ONU. - la commission des questions politiques speciales et de decolonisation de l'assemblée générale de l'ONU (4-eme commission) adopte, sans vote, un projet de résolution par lequel elle exhorte les deux parties a poursuivre leur collaboration avec le Secrétaire général des Nations Unies et son envoye special et a eviter toute initiative qui pourrait compromettre l'execution du plan de reglement et les accords concernant sa mise en oeuvre.

10 novembre 97: La republique du salvador suspend ses relations avec la prétendue "rasd".

16 novembre 97: Le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, adresse au conseil de securité un rapport sur le Sahara Marocain, comprenant notamment un plan detaille, un calendrier et un etat des incidences financieres relatifs a l'organisation du référendum d'autodetermination. dans ce rapport, le sg fixe egalement la date d'organisation du référendum au 7 décembre 1998 et demande la prorogation du mandat de la Minurso.

19 novembre 97: M.driss basri, ministre d'etat a l'interieur preside a rabat une seance de travail groupant les chioukhs des provinces du sud du Maroc, membres des commission d'identification, les observateurs accredites aupres de la Minurso pour suivre, du cote Marocain, les operations d'identification des votants, ainsi que les gouverneurs de ces provinces.

3 décembre 97: Reprise du processus d'identification des personnes habilitees a participer au référendum projete au sahara.

29 décembre 97: Le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, decide de nommer m.charles f.dunbar (etats unis) au poste de représentant special du secrétaire général au sahara.

26 janvier 98: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite, la résolution 1148 par laquelle il approuve le deploiement au sahara de l'unite de genie pour les activites de deminage et du personnel administratif supplementaire necessaire pour appuyer le deploiement du personnel militaire prevu par le Secrétaire général.

2 février 98: Les chioukhs des provinces du sud adressent une lettre au Secrétaire général de l'ONU une lettre dans laquelle ils denoncent "fermement toutes les manoeuvres tendant a reduire de maniere drastique le nombre des postulants par le biais de programmation eminemment bureaucratique" et demandent "instamment au s/g de l'organisation des Nations Unies de prendre ses responsabilites face a cette situation".

15 février 98: M.driss basri, ministre d'etat a l'interieur, donne une interview publiee par le quotidien espagnol "abc", dans laquelle il a annonce que le Maroc "ne participera pas au référendum si nous constatons que le droit de sang (l'un des cinq criteres d'identification) est systematiquement viole" par le polisario.

16 février 98: visite a laayoune du représentant special du Secrétaire général de l'ONU, m.charles dunbar.

19 février 98: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan adresse au president du conseil de securité une lettre relative au processus d'identification au sahara.

25 février 98: Le conseil de securité encourage les parties a continuer a cooperer pleinement avec la Minurso, indique son president l'ambassadeur du gabon m.denis dangue rewaka.

11 mars 98: Reprise de l'operation d'identification, suspendue provisoirement depuis le 27 février 98.

1er avril 98: L'assemblée générale de l'ONU adopte, sur recommandation de sa 5-eme commission chargee des questions administratives et budgetaires, une résolution relative au financement de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).

6 avril 98: M.ahmed snoussi, représentant permanent du Maroc aupres de l'ONU, remet une lettre du dr. filali au Secrétaire général de l'ONU sur le deroulement du processus d'identification.

15 avril 98: Publication d'un rapport du Secrétaire général de l'ONU sur la situation concernant le sahara.

17 avril 98: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite, la résolution 1163 (1998 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 20 juillet 1998 afin que celle-ci puisse poursuivre sa tache d'identification en vue de l'achevement du processus.

19 mai 98: Le ministre de la communication, m.larbi messari, critique, dans une declaration publiee par le quotidien "asharq al awsat", la chaine de television par satellite "al-jazira" pour avoir heurte les sentiments du peuple Marocain, a travers sa diffusion d'une emission empreinte de partialite sur la question du Sahara Marocain, d'autant que des résolutions de la ligue arabe appellent a s'abstenir de toute immixtion dans les affaires interieures des etats membres.

20 mai 98: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, note dans un rapport interimaire adresse au conseil de securité sur la situation concernant le sahara, que 111 244 personnes ont ete identifiees jusqu'a pressent.

9 juin 98: - le 34-eme sommet de l'organisation de l'unite africaine (OUA), reuni a OUAgadougou en burkina faso, decide la saisine de la session ministerielle de l'OUA, prevue en février 1999 a addis abeba, pour debattre de la question de l'exclusion ou non de la "rasd" des rangs de l'organisation.
- ceremonie de signature a laayoune du nouvel ouvrage de tahar nouflali intitule "le Sahara Marocain entre la legitimite de l'integration et le projet de separatisme".

20 juin 98: Publication d'un nouveau rapport du Secrétaire général de l'ONU adresse au conseil de securité.

29 juin 98: L'assemblée générale de l'ONU adopte une résolution par laquelle elle a decide d'ouvrir pour inscription au compte special de la mission des nations unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) aux fins de fonctionnement de la mission du 1er juillet au 30 octobre 1998, un credit d'un montant brut de 22 749 540 dollars.

2 juillet 98: Le Secrétaire général de l'ONU a elabore un document de travail a l'intention du comite special charge d'etudier la situation en ce qui concerne l'application de la declaration sur l'octroi de l'independance aux pays et aux peuples coloniaux, appele egalement "comite des 24" ou "comite de la decolonisation".

13 juillet 98: dans un rapport au conseil de securité, le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, recommande que le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) soit prolonge pour une periode de deux mois soit jusqu'au 21 septembre 1998.

20 juillet 98: Le conseil de securité des Nations Unies adopte une résolution prorogeant jusqu'au 21 septembre 1998 le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso).

20 août 98: Publication du rapport interimaire adresse par le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, au conseil de securité.

26 août 98: Le president du conseil de securité de l'ONU note avec satisfaction, dans une declaration a l'issue de la reunion d'information du conseil, les progres accomplis dans certains aspects du plan de reglement, notamment celui du processus d'identification des personnes habilitees a participer au référendum.

2 septembre 98: La commission d'identification complete le processus d'identification de 147.000 requerants desireux de participer au référendum organise par la Minurso au sahara, a l'exception d'un nombre de personnes appartenant aux groupements tribaux, h41, h61 et j51/52.

7 septembre 98: Le journaliste jordanien abdallah mohamed el-qaq publie un ouvrage en langue arabe sous le titre "le Sahara Marocain: verites et documents".

15 septembre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, adresse un rapport au conseil de securité sur la situation concernant le sahara dans lequel il recommande notamment la prorogation du mandat de la Minurso jusqu'au 31 octobre 98.

18 septembre 98: Le conseil de securité de l'ONU adopte a l'unanimite la résolution 1198 (199 8 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la Minurso jusqu'au 31 octobre 98.

27 octobre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, adresse un rapport au conseil de securité dans lequel il propose notamment de repousser d'un an le référendum au sahara.

30 octobre 98: Le conseil de securité adopte a l'unanimite la résolution 1204 (1998 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 17 décembre 1998.

7-12 novembre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, effectue une tournee dans la region du maghreb destinee a relancer le plan de reglement de l'ONU pour le sahara. au cours de sa visite au Maroc, m.annan a ete re?u, a deux reprises, par sm le roi Hassan II.

29 novembre 98: Le Secrétaire général des Nations Unies, m. kofi annan, reprend sa tournee aux pays du maghreb, relative au processus de reglement onusien au sahara Marocain, interrompue en novembre a cause de la crise avec l'irak. m.annan se rend dans les camps de tindouf, a Alger et a Tunis.

14 décembre 98: Le Secrétaire général de l'ONU, m. kofi annan, recommande, dans un rapport au conseil de securité, la prorogation du mandat de la mission des nations unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 31 janvier 1999.

17 décembre 98: Le conseil de securité adopte a l'unanimite, la résolution 1215 (1998 ) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 31 janvier 1999, afin que les consultations puissent se poursuivre, et dans l'espoir qu'elles aboutiront a un accord sur les divers protocoles sans alterer l'essence de l'ensemble des mesures proposees par le Secrétaire général ni remettre en question ses principaux elements.

28 janvier 99: Le conseil de securité adopte, a l'unanimite, la résolution 1224 (1999) par laquelle il a decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 11 février 1999.

29 janvier 99: Le Secrétaire général des Nations Unies recommande au conseil de securité, dans son rapport sur la situation concernant le sahara, que le conseil de securité proroge le mandat de la Minurso pour une periode de quatre semaines, jusqu'au 28 février 1999, en emettant l'espoir que les discussions en cours aboutiront a un accord d'ensemble sur l'identification, les recours, le rapatriement et les activites envisagees ainsi que l'execution du calendrier pour reactiver le processus referendaire.

11 février 99: -le Maroc et l'organisation des Nations Unies procedent, a new-york, a la signature de l'accord sur le statut des forces de la Minurso.
-le conseil de securité de l'ONU adopte la résolution 1228 (1999) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 31 mars 1999 afin que puissent se tenir des consultations permettant de s'attendre que l'accord se fasse quant aux protocoles sur les activites d'identification, de recours et de planification du rapatriement.

19 mars 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a "accepte avec regret" la demission de son représentant special pour le sahara occidental, m.charles f.dunbar, dont le mandat s'acheve le 31 mars 1999, indique le porte parole de l'ONU.

23 mars 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, recommande au conseil de securité la reconduction du mandat de la Minurso jusqu'au 30 avril 1999 et designe m.robin kinloch, president de la commission d'identification, son représentant special par interim, a la suite de la demission de m.charles dunbar, en attendant les decisions du conseil de securité sur le statut futur de la Minurso.

30 mars 99:
-le conseil de securité adopte a l'unanimite la résolution s/1232 (1999) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 30 avril 1999.
-le représentant permanent du Maroc aupres des Nations Unies, m.ahmed snoussi, commente la reconduction par le conseil de securité du mandat de la Minurso jusqu'au 30 avril 1999.

21 avril 99: Le salvador ne reconnait plus le "polisario" affirme le ministre salvadorien des relations exterieures, m.ramon ernesto gonzalez giner, en visite au Maroc.

29 avril 99: Le Secrétaire général de l'ONU recommande dans son rapport au conseil de securité la prorogation du mandat de la Minurso jusqu'au 30 octobre 1999 et propose un calendrier pour la tenue du référendum au sahara en juillet 2000.

30 avril 99: Le conseil de securité de l'ONU adopte, a l'unanimite, la résolution (s/1999/1235) par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) pour deux semaine, soit jusqu'au 14 mai 1999.

11 mai 99: Le Maroc fait parvenir sa reponse officielle concernant les differents protocoles soumis aux parties pour accelerer la tenue du référendum.

12 mai 99: Le conseil de securité de l'ONU accueille avec satisfaction l'acceptation officielle par les deux parties de l'ensemble de mesures relatives aux protocoles d'identification et a la procedure de recours.

14 mai 99: Le conseil de securité adopte la résolution 1239 (1999) par laquelle il decide de proroger le mandat de Minurso jusqu'au 14 septembre 1999, afin de relancer l'operation d'identification, de mettre en train la procedure de recours et de conclure tous les accords en suspens qu'exige l'application du plan de reglement.

21 mai 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, designe m.william eagleton (etats-unis) en tant que son représentant special pour le sahara et nomme l'ancien president de la commission d'identification, m.robin kinloch, au poste de représentant special adjoint pour le sahara et sera remplace dans son ancien poste par m.eduardo vetere.

9 juin 99: L'assemblée générale de l'ONU adopte, sans vote, une résolution par laquelle elle decide d'ouvrir, pour inscription au compte special de la Minurso, aux fins de son fonctionnement pour la periode allant du 1er juillet 1999 au 30 juin 2000, un credit d'un montant brut de 52.124.911 dollars.

10 juin 99: M.eduardo vetere entame a laayoune sa mission en tant que nouveau president de la commission d'identification, en remplacement de m.robin kinloch.

15 juin 99: Reprise de l'operation d'identification des personnes habilitees a participer au référendum prevu au sahara.

28 juin 99: Le Secrétaire général des nations-unies adresse un raport sur la question du sahara au conseil de securité.

15 juillet 99: M.driss basri, ministre d'etat, ministre de l'interieur, tient a rabat, une rencontre avec des représentants de la presse nationale et etrangere accreditee a rabat, a la suite de la publication par la commission d'identification, relevant de la mission des Nations Unies pour l'organisation du référendum au sahara (Minurso), des listes provisoires des personnes identifiees et celles declarees eligibles. il ressort de ces listes que le nombre des personnes retenues comme etatnt hibilitees a voter et se trouvant au Maroc s'eleve a 46.255 alors qu'il est de de 33.786 dans les camps de tindouf et de 4.210 en Mauritanie.

21 juillet 99: M.driss basri, ministre d'etat, ministre de l'interieur, tient a laayoune une seance de travail consacree aux questions relatives a l'operation d'identification et a la procedure des recours.

13 août 99: Publication d'un rapport interimaire du Secrétaire général des Nations Unies sur la situation concernant le sahara.

19 août 99: Le premier ministre, m.abderrahmane youssoufi, recoit, a rabat, le représentant special du Secrétaire général des Nations Unies pour le sahara, m.william eagleton.

6 septembre 99: Reprise de l'operation d'identification.

7 septembre 99: M. Driss Basri, ministre d'etat, ministre de l'interieur, tient une séance de travail avec m.william eaglton, représentant special du secrétaire général des nations-unies pour le sahara, accompagne de m.eduardo vetere, president de la commission d'identification, avant leur depart pour les nations-unies.
9 septembre 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, recommande, dans son rapport adresse au conseil de securité, la prorogation du mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) pour une periode additionnelle de trois mois, soit jusqu'au 14 décembre 1999.
13 septembre 99: Le conseil de securité adopte a l'unanimite la résolution 1263 par laquelle il decide de proroger le mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 14 décembre 1999, afin d'achever l'operation d'identification des electeurs, d'appliques des mesures de confiance, de conclure tous les accords en suspens qu'exige l'application du plan de reglement et de poursuivre la procedure de recours.

18 septembre 99: La commission d'identification de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) complete la première étape de la procédure de recours.

23 septembre 99: SM le roi Mohamed VI donne ses hautes instructions pour la creation d'une commission royale de suivi des affaires sahariennes comprenant des fils de la region, les représentants des populations et des personnalites civiles et militaires et qui sera chargée de se pencher sur les questions interessant les provinces du sud a tous les niveaux. 8 octobre 99: La commission des questions politiques speciales et de la decolonisation (4-eme commission) adopte sans vote un projet de résolution sur le sahara exhortant les deux parties a eviter toute initiative qui comprometterait l'execution du plan de reglement.
29 octobre 99: Le Secrétaire général de l'ONU nomme un officier belge, le général de brigade Claude Buze, au poste de commandant de la mission des nations-unies au sahara (Minurso), avec effet a partir du 1er novembre 99.

24 novembre 99: SM le roi Mohamed VI recoit en audience, a ifrane, un groupe de quatre dignitaires sahraouis, venus renouveler au souverain, le serment d'allegeance apres avoir rallie recemment le Maroc. il s'agit de mohamed abdelkader haibelti, 78 ans, juge predicateur et president du "conseil superieur de la majistrature" du polisario, de issalmou mohamed abdelkader ould haibelti, 44 ans, president de tribunal, de lafdal malainine ould m'rabih rabbou ould cheikh al OUAli, 44 ans, cheikh du "polisario" aupres de l'ONU lors de l'operation d'identification pour le référendum et de mme malainine lalla oum el-kheiro bent cheikh sidati, epouse de issalmou, 41 ans, membre influent de l'union des femmes du polisario chargee de l'education.

7 décembre 99: Le Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, adresse un rapport au conseil de securité dans lequel in recommande la prorogation du mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) pour deux mois et demi, soit jusqu'au 29 février 2000 afin de mener a bien le processus d'identification, la publication de la deuxieme liste provisoire des personnes admises avoter et d'engager la procedure de recours pour les requerants appartenant aux groupements tribaux h41, h61 et j51/52.
14 décembre 99: Le conseil de securité de l'ONU proroge le mandat de la mission des nations-unies pour l'organisation d'un référendum au sahara (Minurso) jusqu'au 29 février 2000, afin d'achever l'operation d'identification des electeurs, de publier une deuxieme liste provisoire d'electeurs et de mettre en train la procedure de recours pour le groupements tribaux h41, h61 et j51/52.
A Suivre...

slimane

slimane

UNE VERITABLE POLLUTION .............!!!
çà pagine depuis des siècles pour rien ........c'est long , vieux , endormant et personne ne lira le tout ,...donc pas intéressant ........!!!
Je disais bien que çà dissuade rien que les fantômes .....!!!

Atavisme

Atavisme

Les marocains usurpateurs et falsificateurs pretendent que le Sahara occidental est leur propriété, ils n'ont jamais osé tirer une seule balle pour liberer ce territoire colonisé par l'Espagne...mais quand les espagnols ont quitté le Sahara, l'armée marocaine n'a pas hésité à tuer des sahraouis independentistes en utilisant son artillerie lourde et son aviation.....QUELLE LÂCHETE!!

Le Sahara appartient aux sahraouis......Et les sahraouis veulent que leur pays soit independant du Maroc et ne veulent pas être des sujet marokkis.

C'est la seule vérité valable que tous les hommes libres soutiennent.

Apres cela Tout ce que les marocains racontent n'A AUCUN SENS et est PURE CONNERIE



Dernière édition par Atavisme le Mar 5 Oct - 15:06, édité 1 fois

MJB



slimane a écrit:
MJB a écrit:
slimane a écrit:Archives du royaume du maroc .......!!!

SENS UNIQUE ..............pas de contradictions ....Ne concerne que.....: eux-même

Pour nous c'est du BLA BLA BLA ...copier-coller de maroki propagandiste ........il dissuade les fantomes ....!
.
C'est bien dommage et malheureux de repondre à un tel message par une telle reponse: c'est la pire des façons de fuire en avant.
IL FAUT VRAIMANT AVOIR UN "nif" ET PAS UN "NIF", IL FAUT ETRE TRES FORT POUR LE FAIRE.
NB: un "maroki" n'est pas capable , ne sait pas et refuse de le faire parce qu'il tres different d'un "......gerien" avec son NIF et sa FIERTE.


POURQUOI DEVRAIS-JE REPONDRE A DES ARCHIVES DU MAROC ???
C'EST RIDICULE ...........!!!
Le NIF , c'est pas marocain , alors de ce côté-là on est tranquille
Mr M J B est vexé ??? ....les Archives c'est vieux et plein de poussière et quand on radote depuis des siècles en faisant du sur-place côté idées , alors moi je ris sous cape ....Mais soyez un peu plus rafraichis messieurs les " archiviens " et plus modernes aussi dans vos idées ....!!!
.
LES ARCHIVES: C'EST L'HISTOIRE ET QUELQU'UN QUI N'A PAS D'HISTOIRE, MANQUE DE REFERENCES ET QLQ. QUI N'A PAS DE REFERENCES N'A RIEN.
AH SI!, IL A PEUT ETRE UN "nif".

Atavisme

Atavisme

Les marocains usurpateurs et falsificateurs pretendent que le Sahara occidental est leur propriété, ils n'ont jamais osé tirer une seule balle pour liberer ce territoire colonisé par l'Espagne...mais quand les espagnols ont quitté le Sahara, l'armée marocaine n'a pas hésité à tuer des sahraouis independentistes en utilisant son artillerie lourde et son aviation.....QUELLE LÂCHETE!!

Le Sahara appartient aux sahraouis......Et les sahraouis veulent que leur pays soit independant du Maroc et ne veulent pas être des sujet marokkis.

C'est la seule vérité valable que tous les hommes libres soutiennent.

[b]Apres cela Tout ce que les marocains racontent n'A AUCUN SENS et est PURE CONNERIE[/b

MJB



Atavisme a écrit:Les marocains usurpateurs et falsificateurs pretendent que le Sahara occidental est leur propriété, ils n'ont jamais osé tirer une seule balle pour liberer ce territoire colonisé par l'Espagne...mais quand les espagnols ont quitté le Sahara, l'armée marocaine n'a pas hésité à tuer des sahraouis independentistes en utilisant son artillerie lourde et son aviation.....QUELLE LÂCHETE!!

Le Sahara appartient aux sahraouis......Et les sahraouis veulent que leur pays soit independant du Maroc et ne veulent pas être des sujet marokkis.

C'est la seule vérité valable que tous les hommes libres soutiennent..
b]Apres cela Tout ce que les marocains racontent n'A AUCUN SENS et est PURE CONNERIE[/b
CE SONT TES "angeriens JOUNOUDS ou D.Z." QUI TUAIENT, VOLAIENT, PILLAIENT LES SAHRAOUIS ET IMPUTAIENT CES ROLES AUX FAR POUR FACILITER LEUR FUITE VERS LES CAMPS DE TINDOUF.
Et le sahara au sud de l'algerie n'appartient pas aux sahraouis???????

Atavisme

Atavisme

MJB a écrit:

CE SONT TES "angeriens JOUNOUDS ou D.Z." QUI TUAIENT, VOLAIENT, PILLAIENT LES SAHRAOUIS ET IMPUTAIENT CES ROLES AUX FAR POUR FACILITER LEUR FUITE VERS LES CAMPS DE TINDOUF.
Et le sahara au sud de l'algerie n'appartient pas aux sahraouis???????


Comme d'habitude tu n'es que :

- UN Marokki Kadhab

- Un Marokki Mounafiq

- UN Marokki Falsificateur

- UN Marokki Usurpateur.

moi même

moi même

Les arguments historiques contre toute allégation séparatiste du front des mercenaires du Polisario et ceux qui les soutiennent(...).



I- Rappel historique

Lorsque le Maroc appelle à ce que tous les habitants des provinces sahariennes, participent au référendum confirmatif, il part du constat qu'il est inacceptable de priver du droit du vote toute personne issue de tribus sahraouies, contrairement aux adversaires du référendum confirmatif. Ces derniers, ont constamment essayé d'écarter un certain nombre de sahraouis à l'opération référendaire.



Dès la moitié de la décennie des années soixante, le Maroc a soulevé le principe de l'autodétermination pour la décolonisation de ses provinces sahariennes et le retour à la mère patrie. Depuis il n'a jamais cessé de revendiquer la participation de l'ensemble des habitants de ses provinces.

Ces réclamations ont été soulevées également au sein des instances internationales. Le Maroc a ainsi pu rappeler les réalités historiques et politiques de la question du Sahara et expliquer comment l'Espagne a expulsé des sahraouis de souche et les a éloigné de leur terre en 1958 (lors de la célèbre bataille d'Ecouvillon), lorsque ces derniers se sont engagés dans un soulèvement armé pour revendiquer leur droit à réintégrer la mère-patrie.



Cette réalité historique a constitué un événement majeur à l'époque et a été aussi un drame humain vécu par des dizaines de milliers de citoyens « déportés » loin de leur terre.



Cette situation a eu un grand retentissement médiatique national et international de même qu'au sein des instances internationales, en particulier l'Organisation des Nations Unies. Au niveau de cette institution, le groupe des Etats arabes et asiatiques s'est solidarisé avec le Maroc et a dénoncé la répression coloniale à l'encontre des citoyens marocains.



Malgré cela, l'administration coloniale a poursuivi la « déportation » des sahraouies durant plusieurs années.

Pour leur part, les Nations Unies n'ont cessé, depuis que le Maroc a soulevé le problème de son unité territoriale au milieu des années soixante, de demander, chaque année, à l'administration coloniale d'accepter le retour des exilés afin qu'ils puissent participer au référendum d'autodétermination.



Ainsi, depuis la résolution spéciale relative à la libération de Sidi Ifni et du Sahara occidental en décembre 1964, l'Assemblée Générale de l'ONU a appelé à la décolonisation et a demandé à l'Espagne, régulièrement, le retour des exilés.



II- Contre les allégations du Polisario

Le soi-disant Polisario est l'unique mouvement se prétendant de libération, à n'avoir jamais lutté contre le colonisateur, à se constituer et à se manifester seulement après le départ de celui-ci sous la pression juridictionnelle et diplomatique marocaine.



Malgré l'influence et la détermination de ses "commanditaires et parrains" ce mouvement n'a jamais été agréé par le comité de libération de l'OUA résidant à Dar-Salam (Tanzanie) et dépositaire du répertoire officiel des mouvements africains authentiques de libération tels l'A.N.C., le MPLA, le Frelimo, le SWAPO,….etc..



Née sur un "territoire étranger voisin" et dépouillée des éléments légalement constitutifs d'un Etat souverain, l'autoproclamée RASD fut, dans des circonstances rocambolesques, illégalement admise à l'OUA sur un "coup de force" impliquant présidence et Secrétariat Général de l'OUA et qui avait, en son temps, suscité la réprobation générale y compris des pays idéologiquement hostiles au Maroc. Cette dérive s'était soldée par le retrait du Maroc de cette institution.



Les revendications marocaines sur ses provinces du Sud remontant à son indépendance, furent réitérées à l'occasion de la signature de la Charte de l'OUA. Elles furent entérinées par plusieurs résolutions des Nations Unies recommandant l'ouverture de négociations bilatérales Maroco-espagnoles aux fins de déterminer la souveraineté devant prévaloir sur les territoires de Tarfaya, Ifni et le Sahara. En application de ces résolutions les deux premières provinces furent récupérées respectivement en 1958 et 1969 mais l'évacuation du Sahara fut différée, pour des raisons économiques, jusqu'en 1975.



Ne répond pas au quantitatif "d'occupant" un Etat qui revendique légalement et pacifiquement le remboursement de son territoire, recourt à la Cour internationale du justice pour faire valoir ses droits, négocie et signe avec le colonisateur un accord international (14 novembre 1974)agréé par les Nation Unies et consacrant pacifiquement le retour de ces territoires à la mère patrie. De surcroît pour démentir les arguments et dévoiler les visées des "adversaires" le Maroc a poussé l'élégance jusqu'à proposer lui même en 1982 un référendum sur ses propres provinces.



Le blocage du processus référendaire a toujours été hier comme aujourd'hui le fait de ceux qui craignent l'aboutissement de la consultation référendaire et qui cherchent à en prédéterminer le résultat en manipulant les modalités d'organisation et les critères d'identification des votants.

Le problème d'identification des votants, qui était au centre des divergences entre les parties a fait l'objet d'un accord conclu lors de derniers rounds des négociations à Houston (Texas) et portant sur les cinq critères d'identification énoncés.



Toutefois, dés la reprise du processus les représentants du soi-disant Polisario dans les bureaux d'inscription de la MINURSO, ont multiplié les violations des dispositions agréées et les manœuvres dilatoires avec l'intention, visiblement délibérée, de compromettre et faire avorter l'opération référendaire.



Ces entraves ont, du reste, été documentées et dénoncées par la presse nationale et internationale, appelant l'ONU a faire preuve de vigilance et assumer leur responsabilité. Elles ont, en outre, fait l'objet d'un mémorandum adressé à M. Koffi Annan par des tribus sahariennes habilitées à voter et récusées arbitrairement par les agents du soi-disant Polisario.



Le Maroc, respectueux de ses engagements a toujours et continue de faire preuve de patience et de modération, mais il ne peut indéfiniment tolérer que ce blocage perdure.

A Suivre...

slimane

slimane

" lui-même " a dit :

Le Maroc, respectueux de ses engagements a toujours et continue de faire preuve de patience et de modération, mais il ne peut indéfiniment tolérer que ce blocage perdure.

MAIS QUE PEUT DONC FAIRE LE MAROC ???

IL PILLE DEJA TOUTES LES RICHESSES ... iL EST SUR LA DEFENSIVE DERRIERE UN MUR .... ALORS ? L'ESCARGOT VA -il- SORTIR SES CORNES ??? TIENS...PEUT-ÊTRE QU'IL VA ATTAQUER L'ALGERIE ???..............SANS COMMENTAIRES ....!!!

moi même

moi même

Les arguments historiques contre toute allégation séparatiste du front des mercenaires du Polisario et ceux qui les soutiennent(...).



I- Rappel historique

Lorsque le Maroc appelle à ce que tous les habitants des provinces sahariennes, participent au référendum confirmatif, il part du constat qu'il est inacceptable de priver du droit du vote toute personne issue de tribus sahraouies, contrairement aux adversaires du référendum confirmatif. Ces derniers, ont constamment essayé d'écarter un certain nombre de sahraouis à l'opération référendaire.



Dès la moitié de la décennie des années soixante, le Maroc a soulevé le principe de l'autodétermination pour la décolonisation de ses provinces sahariennes et le retour à la mère patrie. Depuis il n'a jamais cessé de revendiquer la participation de l'ensemble des habitants de ses provinces.

Ces réclamations ont été soulevées également au sein des instances internationales. Le Maroc a ainsi pu rappeler les réalités historiques et politiques de la question du Sahara et expliquer comment l'Espagne a expulsé des sahraouis de souche et les a éloigné de leur terre en 1958 (lors de la célèbre bataille d'Ecouvillon), lorsque ces derniers se sont engagés dans un soulèvement armé pour revendiquer leur droit à réintégrer la mère-patrie.



Cette réalité historique a constitué un événement majeur à l'époque et a été aussi un drame humain vécu par des dizaines de milliers de citoyens « déportés » loin de leur terre.



Cette situation a eu un grand retentissement médiatique national et international de même qu'au sein des instances internationales, en particulier l'Organisation des Nations Unies. Au niveau de cette institution, le groupe des Etats arabes et asiatiques s'est solidarisé avec le Maroc et a dénoncé la répression coloniale à l'encontre des citoyens marocains.



Malgré cela, l'administration coloniale a poursuivi la « déportation » des sahraouies durant plusieurs années.

Pour leur part, les Nations Unies n'ont cessé, depuis que le Maroc a soulevé le problème de son unité territoriale au milieu des années soixante, de demander, chaque année, à l'administration coloniale d'accepter le retour des exilés afin qu'ils puissent participer au référendum d'autodétermination.



Ainsi, depuis la résolution spéciale relative à la libération de Sidi Ifni et du Sahara occidental en décembre 1964, l'Assemblée Générale de l'ONU a appelé à la décolonisation et a demandé à l'Espagne, régulièrement, le retour des exilés.



II- Contre les allégations du Polisario

Le soi-disant Polisario est l'unique mouvement se prétendant de libération, à n'avoir jamais lutté contre le colonisateur, à se constituer et à se manifester seulement après le départ de celui-ci sous la pression juridictionnelle et diplomatique marocaine.



Malgré l'influence et la détermination de ses "commanditaires et parrains" ce mouvement n'a jamais été agréé par le comité de libération de l'OUA résidant à Dar-Salam (Tanzanie) et dépositaire du répertoire officiel des mouvements africains authentiques de libération tels l'A.N.C., le MPLA, le Frelimo, le SWAPO,….etc..



Née sur un "territoire étranger voisin" et dépouillée des éléments légalement constitutifs d'un Etat souverain, l'autoproclamée RASD fut, dans des circonstances rocambolesques, illégalement admise à l'OUA sur un "coup de force" impliquant présidence et Secrétariat Général de l'OUA et qui avait, en son temps, suscité la réprobation générale y compris des pays idéologiquement hostiles au Maroc. Cette dérive s'était soldée par le retrait du Maroc de cette institution.



Les revendications marocaines sur ses provinces du Sud remontant à son indépendance, furent réitérées à l'occasion de la signature de la Charte de l'OUA. Elles furent entérinées par plusieurs résolutions des Nations Unies recommandant l'ouverture de négociations bilatérales Maroco-espagnoles aux fins de déterminer la souveraineté devant prévaloir sur les territoires de Tarfaya, Ifni et le Sahara. En application de ces résolutions les deux premières provinces furent récupérées respectivement en 1958 et 1969 mais l'évacuation du Sahara fut différée, pour des raisons économiques, jusqu'en 1975.



Ne répond pas au quantitatif "d'occupant" un Etat qui revendique légalement et pacifiquement le remboursement de son territoire, recourt à la Cour internationale du justice pour faire valoir ses droits, négocie et signe avec le colonisateur un accord international (14 novembre 1974)agréé par les Nation Unies et consacrant pacifiquement le retour de ces territoires à la mère patrie. De surcroît pour démentir les arguments et dévoiler les visées des "adversaires" le Maroc a poussé l'élégance jusqu'à proposer lui même en 1982 un référendum sur ses propres provinces.



Le blocage du processus référendaire a toujours été hier comme aujourd'hui le fait de ceux qui craignent l'aboutissement de la consultation référendaire et qui cherchent à en prédéterminer le résultat en manipulant les modalités d'organisation et les critères d'identification des votants.

Le problème d'identification des votants, qui était au centre des divergences entre les parties a fait l'objet d'un accord conclu lors de derniers rounds des négociations à Houston (Texas) et portant sur les cinq critères d'identification énoncés.



Toutefois, dés la reprise du processus les représentants du soi-disant Polisario dans les bureaux d'inscription de la MINURSO, ont multiplié les violations des dispositions agréées et les manœuvres dilatoires avec l'intention, visiblement délibérée, de compromettre et faire avorter l'opération référendaire.



Ces entraves ont, du reste, été documentées et dénoncées par la presse nationale et internationale, appelant l'ONU a faire preuve de vigilance et assumer leur responsabilité. Elles ont, en outre, fait l'objet d'un mémorandum adressé à M. Koffi Annan par des tribus sahariennes habilitées à voter et récusées arbitrairement par les agents du soi-disant Polisario.



Le Maroc, respectueux de ses engagements a toujours et continue de faire preuve de patience et de modération, mais il ne peut indéfiniment tolérer que ce blocage perdure.

slimane

slimane

REBELOTE[u][b]

20Fondements Historiques et Juridiques de la Marocanité du Sahara  Empty L'Allégeance d'Oued Ed-Dahab Mer 6 Oct - 13:16

moi même

moi même

L'Allégeance d'Oued Ed-Dahab §§§ بيعة واد الدهب



L'acte d'allégeance des habitants de la ville d'Ed-Dakhla et des tribus d'Oued Ed-Dahab, le Mardi 14 août 1979, est une application moderne de la beiaâ البيعة et, de surcroît, un texte d'une grande beauté. (Il est à noter cependant que la beiaâ البيعة n'a pas toujours, comme dans ce cas, valeur d'allégeance politique. Ainsi lors d'une visite, en juillet 1985, de représentant d'une tribu mauritanienne ont pu fait serment d'allégeance à S.M. Hassan II, Commandeur des Croyants, sans pour autant se soumettre sous l'autorité temporelle du roi du Maroc.) Le serment d'allégeance des populations d'Oued Ed-Dahab a été présenté à S.M. Hassan II le 14 août 1979, au palais royal de Rabat. En voici le texte intégral:



"Louange à Dieu qui a constitué le Califat en vue de coordonner le spirituel et le temporel, par l'intermédiaire d'un pouvoir au grade suprême, préservant la vie, les biens et l'honneur des membres de la communauté et mettant fin aux exactions et méfaits des tyrans. Nous rendons hommage à Dieu, reconnaissant nos forfaits et retournant pieusement à notre Seigneur, aspirant à Sa grâce, Emanation surabondante de ses bienfaits et à Sa protection contre tout acte de subversion et d'adversité. Nous attestons que notre Dieu Unique est le Roi des Cieux et de la Terre, le Sage, le Créateur, le Souverain Omnipotent, qui confie le pourvoir royal à qui Lui plaît, accorde l'investiture et l'a retire. Nous témoignons que Sidna Mohammed, notre Prophète et Apôtre, qui nous a légué sa tradition et les préceptes de la Loi divine, a dit "Si vous passez à côté d'une terre non soumise à l'autorité d'un sultan, n'y pénétrez pas; le sultan est bien l'ombre de Dieu et sa tête de lance sur la Terre. " Le prophète a dit encore: "Quiconque est décédé délié de toute allégeance meurt dans un état d'obscurantisme païen". Que le Salut et la Bénédiction soient sur notre Prophète vénéré, sur Sa descendance chérifienne, Source de lumière pour notre monde et à laquelle Dieu (qu'il soit exalté) a confié une autorité royale souveraine. Paix et salut aussi sur les compagnons du prophète qui demeureront les imams vénérés de la communauté musulmane, tant que durera le Califat, comme symbole promoteur et signe illuminateur du Pouvoir.



D'autre part, personne n'ignore que Dieu - le Très-Haut -, qui est l'Emanation d'une Sagesse infinie et la Source d'une sublime générosité, a fait de la supervision des affaires de ce monde l'apanage des Sultans, des Rois et des Khoulafas qui servent d'exemple parfait, prototype assurant la sécurité et l'ordre au sein de la Société musulmane, et la quiétude et le bon comportement des individus. Grâce à l'autorité de ces imams, les grands chemins sont dégagés des hors-la-loi, la confiance rétablie, la terre pacifiée, les dignités respectées, les crimes éliminés et la foi rayonnante domine le monde par le Mot de Dieu.



Le Prophète -rapporte-t-on- a affirmé dans une autre variante du Hadith sus indiqué, que le Sultan est "l'Ombre de Dieu et la tête de lance sur terre. Il est le refuge des faibles et le protecteur et les protecteurs des opprimés, victimes d'injustice". Une troisième version de cette tradition prophétique ajoute: " Quiconque dévie de la Sounna est un égaré; celui qui en observe les commandements est dans la bonne voie."



Dieu a voulu concrétiser l'unité de la Nation Marocaine sous la bannière du défenseur de son intégrité territoriale, guide du peuple dans le droit chemin, réalisateur de ses aspirations, Commandeur des croyants, notre seigneur et souverain le Roi Hassan II. Nous donc, Tribus des Ouled Dlimاولاد دليم, des Rguibât قيباتالر, Aït Lahcen آيت لحسن, Skarna سرنة, Laroussiyine لعروسيين, Ez-zarguuiyine ازرقيين, Ouled Cheikh Maa Al Aïnin أولاد الشيخ ماء العنين, Ouled Tidrarine اأولاد تدررين, Yggout يقوت, Aït Ba Amran آيت باعمران, Familles de Mohamed Salem عاءـلة محمد سالم, celles de Barak Allah عاءـلة بارك الله, Id Yaqob اد يعقوب, Tandgh تاندغة El-Fuikat لفوقات, et Imraguene وامرقن, habitants de Oued Ed-Dahab avons été très conscients des hautes vertus de notre Roi, des Ses exploits sublimes, très reconnaissants des efforts que S.M. n'a cessé de déployer, pour libérer la Patrie, assurer sa réunification, promouvoir le progrès et le bonheur de son peuple. Nous donc, Chorfa الشرفاء, Oulama العلماء, notabilités, hommes et femmes, jeune et vieux, avons pris unanimement la décision irréversible, immuable et infaillible de renouveler à Amir el-Mouminine أمير المؤمنين, éminent défenseur de la Foi et de la Patrie, S.M. le Roi Hassan II - que Dieu le garde et le protège - le serment d'allégeance que nos aïeux avaient prêté à ses illustres Ancêtres, Rois de la Dynastie Alaouite - que Dieu garde leur âmes dans la demeure paradisiaque de la paix! Ce serment d'allégeance est le même que celui qui lia les compagnons du Prophète, notre seigneur Sidi Mohamed, sous l'Arbre du "Ridouane" شجرة الرضوان. Dans le contexte de ce serment d'attachement et de la fidélité de la Communauté Mohammadienne, nous avons pris l'engagement solennel d'obéissance et de loyalisme, en toute circonstances, à l'autorité suprême de notre Roi Hassan II. Nous avons d'être désormais, Ses sujets et soldats fidèles, soutenant Ses alliés et combattant Ses ennemis. Dieu est témoin de notre Serment et de notre acte d'Allégeance, librement consenti. Cette manifestation de notre volonté, faite selon la Tradition est parfaite, spontanée, libre de tout vice de forme ou de fond, remplissant toutes conditions procédurièlles de validité. Nous implorons Dieu - le Très Haut - de bénir les dons dont il a doué S.M. Hassan II, Emir des croyants, de guider Ses pas, de réserver pleins de succès à Ses exploits, de Lui assurer la victoire et de faire rayonner, sans son royaume les clartés de l'Islam".



Acte établi à Dakhla, le lundi 18 Ramadan 1399 de l'Hégire, correspondant au 13 août 1979, par le Cadi Ahmed Habib Allah Ould Bouh, à la demande des habitants sus-mentionnés.

slimane

slimane

NOTRE PROPHËTE MOHAMED (sla aalih oua selam) n'a jamais eu de " SUJETS " , mais des COMPAGNONS et une Communauté Musulmane , dans le plus grand respect des hommes et femmes ...
La comparaison avec " votre commandeur " , c'est de la rigolade et de la poudre aux yeux rien que pour aviliser le peuple marocain et le rendre servile....C'est un moyen de pression pour les incrédules qui doivent obéir en courbant l'échine toute leur pauvre vie........C'est ce qui se passait au môyen-âge en occident !.........mais c'est toujours en vigueur au maroc des siècles après ........!!!

Atavisme

Atavisme

moi même a écrit:L'Allégeance d'Oued Ed-Dahab §§§ بيعة واد الدهب




Acte établi à Dakhla, le lundi 18 Ramadan 1399 de l'Hégire, correspondant au 13 août 1979, par le Cadi Ahmed Habib Allah Ould Bouh, à la demande des habitants sus-mentionnés.


Ya marokki il faut que tu comprennes:

1- L'Allegeance veut dire il y'a un Maître d'un côté et des sujets de l'autre.

2
- L'Allegeance n'est jamais eternelle mais renouvelable et rediscutable...selon les circonstances

3- Si Des Sahraouis avaient reellement fait allegeance au roi
du Maroc, cela ne veut pas dire que cette allegeance etait pour l'eternité.

4- L'allegeance est toujours soumise à conditions: certainement les sahrouis ont fait allegeance au roi du Maroc en contrepartie de protection....le Maroc a-t-il protégé les sahraouis contre les espagnols??

NONNNN...le Maroc a attendu lâchement le départ des espagnols pour envahir à son tour le Sahara.

5- Donc les Saharouis n'ont que faire du Maroc et sa pretendue allegeance.

6- Des Sahraouis progressites (Le Polisario) ne veulent plus être des sujets du roi du Maroc et veulent s'emanciper de cette allegeance au Maroc....C'EST LEUR DROIT LE PLUS ABSOLU.

ET CE N'EST PAS AUX MAROCAINS COLONIALISTES ET USURPATEURS DE LES CONTRAINDRE DE DEVENIR DES SUJETS MAROCAINS SI EUX ILS NE LE VEULENT PAS.

PLUS JE ME DOCUMENTE SUR LE SAHARA PLUS JE COMPRENDS LE COMBAT LEGITIME DES SAHRAOUIS.

LE COMBAT DES SAHRAOUIS EST POUR LA LIBERTE ET LE PROGRES...IL FAUT ABSOLUMENT QUE TOUS LES ALGERIENS LES SOUTIENNENT DE MANIERE TRES EFFECTIVE.



Dernière édition par Atavisme le Mer 6 Oct - 14:48, édité 2 fois

MJB



slimane a écrit:NOTRE PROPHËTE MOHAMED (sla aalih oua selam) n'a jamais eu de " SUJETS " , mais des COMPAGNONS et une Communauté Musulmane , dans le plus grand respect des hommes et femmes ...
La comparaison avec " votre commandeur " , c'est de la rigolade et de la poudre aux yeux rien que pour aviliser le peuple marocain et le rendre servile....C'est un moyen de pression pour les incrédules qui doivent obéir en courbant l'échine toute leur pauvre vie........C'est ce qui se passait au môyen-âge en occident !.........mais c'est toujours en vigueur au maroc des siècles après ........!!!
.
A SI SLIMANE:
YAKDAB AALIK AL KADAB: il n'y a ni commandeur, ni poudre aux yeux et ni serviteurs.
Avec M6, tout le maroc a changé et heureusement et grasse à Dieu dans le bon sens parcequ'il a su s'imposer par son travail, son serieux et sa modestie.
Il est trés impardonable avec les hauts responsables de l'etat non serieux et avec le sens le plus large et surtout la corruption et le non respect des droits du citoyen.
Lorsqu'il visite une ville ou une region durant tout son sejour entre deux et quatre semaines, il sort seul dans sa voiture sans garde corps, et visite les coins et les rues que personne ne les imagine.
C'EST PLUS LE MAROC D'AVANT OU DU MOYEN AGE QUE PENSENT CERTAINS.
C'EST LUI QUI SE PLIE EN QUATRE POUR EMBRASSER UN HANDICAPE PHYSIQUE ET OU MENTAL.
Salam MJB.

MJB



[quote="Atavisme

Ya marokki il faut que tu comprennes:
Sans lire ce que tu as ecris, nous voulons savoir:
SI TU ES UN ANE ET OU ANNESSE ALGERIENNE . Ca a été dit et redit et M. l'Administrateur nous a lancé un message dans le passé concernant le mot "marroki" et "anegerien".
Je t'ai repondu à cette appelation "marroki" et je n'ai pas voulu aller loin par respect à nos freres oranais, slimane et aux autres pour garder les bonnes relations de respect reciproque.
Insulter est à la portée de tout le monde et surtout les faibles et les incapables et dans tous les domaines comme la destruction, mais le respect d'autrui est trés dificile à le maintenir et à l'instaurer.
NB: critiquer le gouvernement en laissant tranquille le peuple marocain, je suis avec toi, mais melanger CHABANE avec RAMADANE, il y a des limites.

Atavisme

Atavisme

MJB a écrit:[quote="Atavisme

Ya marokki il faut que tu comprennes:
Sans lire ce que tu as ecris, nous voulons savoir:
SI TU ES UN ANE ET OU ANNESSE ALGERIENNE . Ca a été dit et redit et M. l'Administrateur nous a lancé un message dans le passé concernant le mot "marroki" et "anegerien".
Je t'ai repondu à cette appelation "marroki" et je n'ai pas voulu aller loin par respect à nos freres oranais, slimane et aux autres pour garder les bonnes relations de respect reciproque.


Marokki = ce n'est pas une insulte c'est Marocain en dialecte arabe

Anegerien = Ce n'est pas algerien en argot arabe, c'est une pure insulte.

Si tu veux m'appeler "anegerien" ne te gêne pas...cela ne m'atteidra jamais.

Marokki pour moi n'est pas une insulte....Marokki est un etat d'esprit

L'etat d'esprit d'un sujet marocain hostile à l'Algerie et qui defend aveuglement les interêts hégémoniques de son régime contre El Djazaïr.


La mentalité des "Marokkis" a été fabriquée par les mensonges et les propagandes du regime hégémonique Hassano-makhzenien.

Le sujet marocain suit à la lettre ce que ses maître ont décidé et dicté concernant El Djazaïr


NB: critiquer le gouvernement en laissant tranquille le peuple marocain, je suis avec toi, mais melanger CHABANE avec RAMADANE, il y a des limites.

Pour ma part le regime marocain, le makhzen et le peuple sont tous dans le même sac.

Jamais j'ai vu un marocain critiquer son regime, s'opposer à sa politique agressive, coloniale chaque sujet marocain est un agent du makhzen et milite pour la politique de ses maîtres et son dieu vivant sur terre.


Exemple pour illustrer ce que je dis:....Quand Hassan II a vendu à Israel les juifs marocains à raison de 250$ la tête (ces juifs sont allés coloniser et tuer les palestiniens) aucun marocain n'a trouvé cela immoral et considéré cela une traîtrise à la nation arabo-musulmane.

Bien au contraire les sujets marocains ont justifié cela et trouvé que c'etait normal....même si hypocritement ils pretendent soutenir la Palestine.


On peut pas dire la même chose du peuple algerien, qui est par nature plus libre et plus digne et se permet d'être en opposition avec son regime.

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