Production de poisson parcimonieuse: l’État loue des eaux de l’océan Atlantique
Par Lakhdar Rezaoui/Version Française Zineb A.
En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.
Le ministre de la pêche et des ressources halieutiques, Abdellah Khenafou, a révélé que le gouvernement, dans le but d’élargir ses capacités de pêche garantissant l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, projette de louer des espaces de l’océan atlantique pour étendre les activités dans le domaine et se concentrer sur la pisciculture de poisson à large consommation.
En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.
Le ministre a mis l’accent sur l’importance de la pisciculture comme secteur à même de réaliser l’autosuffisance et l’augmentation de la production. Il a affirmé que c’est un procédé plus économique que la pêche en elle-même, qui permet de garantir la sécurité alimentaire, en plus de protéger et consolider les réserves naturelles et de créer des opportunités d’emploi. De surcroit, il permet le développement de régions pauvres et isolées et s’adresse aux hommes d’affaires et investisseurs pour son financement, sa programmation et sa continuité.
Le ministre a déclaré que l’état n’a pas interdit d’exporter les produits de la pêche, au contraire de ce que prétendent les médias. Il assure qu’il est possible de « continuer d’exporter des espèces de valeur marchande élevée en compensant par l’importation de produits de large consommation ». Khenafou a affirmé que l’État n’a interdit que l’exportation de ces derniers telle la sardine. C’est ce qu’on nomme le système de contrôle de la balance d’exportation et de consommation nationale.
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Par Lakhdar Rezaoui/Version Française Zineb A.
En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.
Le ministre de la pêche et des ressources halieutiques, Abdellah Khenafou, a révélé que le gouvernement, dans le but d’élargir ses capacités de pêche garantissant l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, projette de louer des espaces de l’océan atlantique pour étendre les activités dans le domaine et se concentrer sur la pisciculture de poisson à large consommation.
En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.
Le ministre a mis l’accent sur l’importance de la pisciculture comme secteur à même de réaliser l’autosuffisance et l’augmentation de la production. Il a affirmé que c’est un procédé plus économique que la pêche en elle-même, qui permet de garantir la sécurité alimentaire, en plus de protéger et consolider les réserves naturelles et de créer des opportunités d’emploi. De surcroit, il permet le développement de régions pauvres et isolées et s’adresse aux hommes d’affaires et investisseurs pour son financement, sa programmation et sa continuité.
Le ministre a déclaré que l’état n’a pas interdit d’exporter les produits de la pêche, au contraire de ce que prétendent les médias. Il assure qu’il est possible de « continuer d’exporter des espèces de valeur marchande élevée en compensant par l’importation de produits de large consommation ». Khenafou a affirmé que l’État n’a interdit que l’exportation de ces derniers telle la sardine. C’est ce qu’on nomme le système de contrôle de la balance d’exportation et de consommation nationale.
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