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Alger à la recherche d'une fenêtre sur l'atlantique pour nourrir son peuple et non pour exporter les minerais de Tindouf

4 participants

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moi même

moi même

Production de poisson parcimonieuse: l’État loue des eaux de l’océan Atlantique

Par Lakhdar Rezaoui/Version Française Zineb A.





En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.

Le ministre de la pêche et des ressources halieutiques, Abdellah Khenafou, a révélé que le gouvernement, dans le but d’élargir ses capacités de pêche garantissant l’autosuffisance et la sécurité alimentaire, projette de louer des espaces de l’océan atlantique pour étendre les activités dans le domaine et se concentrer sur la pisciculture de poisson à large consommation.

En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.

Le ministre a mis l’accent sur l’importance de la pisciculture comme secteur à même de réaliser l’autosuffisance et l’augmentation de la production. Il a affirmé que c’est un procédé plus économique que la pêche en elle-même, qui permet de garantir la sécurité alimentaire, en plus de protéger et consolider les réserves naturelles et de créer des opportunités d’emploi. De surcroit, il permet le développement de régions pauvres et isolées et s’adresse aux hommes d’affaires et investisseurs pour son financement, sa programmation et sa continuité.

Le ministre a déclaré que l’état n’a pas interdit d’exporter les produits de la pêche, au contraire de ce que prétendent les médias. Il assure qu’il est possible de « continuer d’exporter des espèces de valeur marchande élevée en compensant par l’importation de produits de large consommation ». Khenafou a affirmé que l’État n’a interdit que l’exportation de ces derniers telle la sardine. C’est ce qu’on nomme le système de contrôle de la balance d’exportation et de consommation nationale.

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oranaisfier

oranaisfier

Certains s'occupent du poisson algérien, tout en oubliant leur poison. Incroyable, mais vrai.

moi même

moi même

oranaisfier a écrit:Certains s'occupent du poisson algérien, tout en oubliant leur poison. Incroyable, mais vrai.
-Tu vois comment tu vois "clair"...parfois!?,alors dis à ton ministre et tes journaux de plus s'en occuper,puisque l'Algérie à son "poison",et pas la peine d'aller le voler ailleurs

oranaisfier

oranaisfier

J'ai toujours vu clairement, c'est luimême qui est lugubre. Il doit oublier que son poison est un fléau universel. Concernant le ou les ministères, je lui laisse le soin de leur dire lui même ce qu'il rechigne à longueur de journée, d'abord s'il existe pour eux. Pauvre bougre !

Atavisme

Atavisme

moi même a écrit:
En marge des assises nationales de la pêche, Khenafou a indiqué que les autorités se sont engagées à hausser la production, assurer les besoins du marché en poisson et mettre un terme à la pénurie des produits de pêche en louant des espaces au large des eaux territoriales qui dépendent de pays en bordure de l’océan atlantique, tels la Guinée, le Mozambique ou encore la Mauritanie, dans le cadre d’accords bilatéraux avec ces états.


Encore une fois le titre du post de ce makhzeni Moi Même n'a rien à voir avec l'article posté.

L'Algerie veut constituer une flotte de pêche industrielle qui ira pêcher dans les eaux du Mozambique, de la Mauritanie ...et même la Somalie.

Wa anta wach dakhlek Ya marokki, ya makhzeni jaloux et haineux??
Ya marokki ya mahboul...l'atlantique n'appartient pas au Maroc!!

admin"SNP1975"

admin
Admin

Arnaques, pièces détachées, prix du poisson : Pêche en eaux troubles

par Mokhtaria Bensaâd

Entre côté cour et côté jardin, le secteur de la pêche se cherche encore. Côté jardin, c'est l'image officielle d'un créneau en plein essor pour lequel des investissements colossaux ont été débloqués dans le seul but de revaloriser le métier de la pêche.

Côté cour, c'est ce tableau noir décrit par les gens du métier qui fait fuir les plus aguerris, tellement la situation est catastrophique et les lois protégeant la faune et la flore sont bafouées.

Actuellement, le secteur est l'otage d'une «mafia», selon les professionnels, qui fait la pluie et le beau temps au détriment des marins pêcheurs qui se sentent appauvris de jour en jour. Si le prix du poisson est monté à un plafond jamais atteint, si la pièce détachée des bateaux et chalutiers est introuvable sur le marché et, pour couronner le tout, la production halieutique est passée de 400.000 tonnes par an dans les années précédentes à 187.000 tonnes seulement actuellement.

Cet état de fait trouve son explication dans la façon dont est géré le secteur de la pêche et les problèmes qu'affrontent les marins pêcheurs. C'est cette situation chaotique que dénonce le Comité national des marins pêcheurs, tout en interpellant le gouvernement à intervenir pour remettre les pendules à l'heure.

Avec une côte longue de 1.284 km, 31 ports de pêche, plus 42.000 unités de pêche et 52.000 marins pêcheurs, tous les facteurs sont réunis pour faire de la pêche un secteur rentable et productif. Or, estime le président du comité, les choses ont pris une tournure désastreuse dans le secteur, qui fait peser lourdement la menace sur la profession.

Le président du comité dénonce la flambée des prix du poisson, qui n'est que le résultat du monopole du marché détenu par les intermédiaires. Du producteur au consommateur, le poisson passe entre plusieurs mains et entre chaque main, la facture augmente. «Les transactions commencent à 4 h du matin. A partir de cet heure, la vente passe d'un intermédiaire à l'autre jusqu'à ce qu'au bout de la chaîne, le marin pêcheur et le consommateur se retrouvent avec un produit hors de prix», explique le président du comité.

L'autre situation à dénoncer pour ce syndicat est la pêche illicite qui fait des ravages malgré les interdictions par des textes de loi. Bien que l'Algérie soit signataire de la Convention de Barcelone, la pêche des espèces protégées continue sur nos côtes, souligne notre interlocuteur. «C'est la pêche avec les filets dérivants qui menace actuellement les mammifères marins tels les dauphins et les cachalots. Entre 2007 et 2010, 9 dauphins, une tortue géante, une baleine et un cachalot ont été capturés puis vendus sur le marché. Les dauphins sont prisés pour leur foie, qui, dit-on, est recommandé pour les malades du cancer. Malgré le fait qu'ils soient protégés par la loi, ils sont massacrés par les prédateurs», nous dira le président du comité.

La pêche du corail, pour sa part, vendu à 800 euros le kilo, et la pêche à la dynamite, qui sont toujours d'actualité, continuent à gangrener le secteur. Pourtant, des lois existent mais elles ne sont pas appliquées pour arrêter le massacre.

Evoquant le problème de la pièce détachée, le même interlocuteur est affirmatif : elle est introuvable sur le marché depuis que l'entreprise de construction et de réparation navale ECOREP a été dissoute avec toutes ses filiales implantées à travers 14 wilayas. Seule la filiale de Bouharoun de Tipaza est encore ouverte. Les marins pêcheurs sont, depuis, à la merci du privé. Quand elle est disponible, la pièce détachée est payée au prix cher, au point où les gens du métier ont été contraints, pour certains, de vendre les bijoux de leurs épouses pour régler la facture salée.

A propos de l'investissement dans le secteur, notre interlocuteur le qualifie de poudre aux yeux, considérant ces investissements d'«arnaque», car «ces investisseurs font des factures pro-format truquées pour des bateaux qui coûtent des milliards. Tous ces investissements ne sont pas initiés pour l'intérêt du secteur».

Une autre escroquerie dont ont été victimes les marins pêcheurs d'Oran, souligne le représentant du comité à Oran, est celle de la construction de bateaux par un fabricant algérien. Plus de 80 marins pêcheurs dans le cadre du dispositif de la CNAC et de l'ANSEJ ont versé des apports personnels d'un taux de 10% à cet investisseur, pour des bateaux et chalutiers qui coûtent entre 350 millions de centimes et un milliard et qui ont été escroqués après que le fabricant eut quitté le pays sans honorer les commandes. L'affaire est actuellement entre les mains de la justice.

Pour tous ces problèmes que vivent les professionnels du secteur, les deuxièmes assises de la pêche, prévues aujourd'hui à l'hôtel Hilton d'Alger, vont-elles apporter les solutions et élaborer une feuille de route qui remettra la pêche sur les rails ?

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Admin

Attendez vous à un commentaire en liaison avec le poisson . C'était mon métier en Algérie

http://www.marocainsdalgerie.net

oranaisfier

oranaisfier

D’après le rapport du PNUD (Programme des Nations Unis pour le Développement) sur le développement humain en 2009, le Maroc est classé au 96è rang parmi 135 pays selon l’indice de la pauvreté humaine (IPH-1), avec une probabilité de décéder avant 40 ans de 66,6%. 17% de la population marocaine n’utilise pas des sources d’eau potable. 2,5 % de marocains vivent sous le seuil de 1,25 dollars US par jour et 14 % sont sous le seuil de 2 dollars US par jour ! C'est sur que "luimême" fait parti de ces affamés.

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