Le Maroc : premier fournisseur de drogue et de terroristes en Europe
Les autorités judiciaires ont annoncé mercredi l'inculpation en Belgique de neuf hommes soupçonnés d'activités terroristes, au lendemain d'un coup de filet contre des islamistes présumés en Belgique, aux Pays-Bas et en Allemagne. Onze suspects au total ont été appréhendés, des hommes âgés d'une vingtaine à une trentaine d'années, de nationalité belge, néerlandaise, marocaine et russe. Sept ont été arrêtés à Anvers, trois à Amsterdam et un près d'Aix-la-Chapelle.
Les neuf suspects "sont inculpés pour participation à des activités en relation avec un groupe terroriste", a déclaré Leen Nuyts, porte-parole du parquet belge. Ils seront présentés vendredi à un magistrat qui statuera sur leur mise en détention. Certains sont soupçonnés de possibles projets d'attentats en Belgique, et d'autres d'avoir participé à des opérations de recrutement pour une organisation terroriste tchétchène présumée, ainsi que pour envoyer des militants en Irak et en Afghanistan. Dix habitations ont été perquisitionnées dans les trois pays mardi matin, opération au cours de laquelle les 11 suspects ont été interpellés.
L'enquête en cours depuis plusieurs mois avait déjà permis de déboucher sur des arrestations en Espagne, au Maroc et en Arabie saoudite. D'après le parquet belge, "il y avait des discussions pour des projets d'attentat en Belgique par une organisation jihadiste internationale", qui utilise le site Internet Ansar al Moujahidine.
On ignore si un objectif en Belgique avait été défini, et lequel. Les enquêteurs ont également ciblé les "recruteurs, candidats jihadistes et financiers" de l'Emirat du Caucase, regroupant des militants cherchant à instaurer un émirat islamiste en Tchétchénie, au Daghestan et en Ingouchie, dans le Caucase du nord, dans le sud de la Fédération russe.
Les autorités judiciaires ont annoncé mercredi l'inculpation en Belgique de neuf hommes soupçonnés d'activités terroristes, au lendemain d'un coup de filet contre des islamistes présumés en Belgique, aux Pays-Bas et en Allemagne. Onze suspects au total ont été appréhendés, des hommes âgés d'une vingtaine à une trentaine d'années, de nationalité belge, néerlandaise, marocaine et russe. Sept ont été arrêtés à Anvers, trois à Amsterdam et un près d'Aix-la-Chapelle.
Les neuf suspects "sont inculpés pour participation à des activités en relation avec un groupe terroriste", a déclaré Leen Nuyts, porte-parole du parquet belge. Ils seront présentés vendredi à un magistrat qui statuera sur leur mise en détention. Certains sont soupçonnés de possibles projets d'attentats en Belgique, et d'autres d'avoir participé à des opérations de recrutement pour une organisation terroriste tchétchène présumée, ainsi que pour envoyer des militants en Irak et en Afghanistan. Dix habitations ont été perquisitionnées dans les trois pays mardi matin, opération au cours de laquelle les 11 suspects ont été interpellés.
L'enquête en cours depuis plusieurs mois avait déjà permis de déboucher sur des arrestations en Espagne, au Maroc et en Arabie saoudite. D'après le parquet belge, "il y avait des discussions pour des projets d'attentat en Belgique par une organisation jihadiste internationale", qui utilise le site Internet Ansar al Moujahidine.
On ignore si un objectif en Belgique avait été défini, et lequel. Les enquêteurs ont également ciblé les "recruteurs, candidats jihadistes et financiers" de l'Emirat du Caucase, regroupant des militants cherchant à instaurer un émirat islamiste en Tchétchénie, au Daghestan et en Ingouchie, dans le Caucase du nord, dans le sud de la Fédération russe.