La Cité financière d’Alger livrée début 2013
Alger sera dotée, dès 2013, du premier centre d’affaires dédié aux activités financières et connexes. Le bâtiment ultramoderne de l’ilot Belhafaf dans le quartier de Belouizdad (ex Belcourt) offrira quelques 120 000 M2 de bureaux en location ou en vente.
La cité financière composée de deux tours centrales de 18 étages comprend deux bâtiments latéraux de 6 étages et offrira deux salles. La première (en amphithéâtre) pour les conférences peut accueillir 350 personnes. Elle offre également une dizaine de petites salles pour des travaux d’ateliers. La seconde peut accueillir quelques 500 personnes. Elle sera conçue comme une salle de marché. L’ensemble immobilier offre aussi l’ensemble des commodités pour les visiteurs et les quelques 3 500 salariés que générera le projet. En plus des restaurants et cafés, la cité proposera l’ensemble des services de bases (internet, fax, reprographie, courrier rapide…) pour les visiteurs.
La CNEP-Banque promotrice du projet a hérité d’un chantier abandonné depuis 1995. L’état des lieux a vite fait de pousser la banque de l’immobilier vers une configuration nouvelle à même d’amortir l’investissement. C’est dans ce sens que sa filiale promotion immobilière Gepim qui pilote le projet a proposé une ambitieuse offre pour la communauté d’affaires d’Alger, voire d’Algérie. Avaliséé par les instances de la banque la cité financière a été conçue par un bureau d’études allemand M+W Zander pour offrir l’ensemble des commodités pour les firmes financières (banques, as! surances, conseils, bourse, intermédiation …).
Reprise en 2009, la structure était altérée par la dégradation de certaines parties de l’ouvrage avec des malfaçons. Les contraintes architecturales sont venues aggraver la situation d’autant plus que l’incompatibilité de l’existant avec le nouveau programme est de mise. Il a été, aussi, question de mettre l’ensemble immobilier aux normes parasismiques en vigueur induites par le dernier séisme de Boumerdes.
D’ailleurs, le maître d’œuvre délégué qu’est Gepim explique le retard de l’achèvement du projet par ses difficultés.
Pour Dimane Abdelhamid, Directeur Général de Gepim, ce retard a été mis à profit pour offrir des études qui permettront à l’entreprise de réalisation, qui sera choisi, fin décembre prochain, parmi les 21 sélectionnées, dont une seule algérienne, de ne pas souffrir de mauvaises surprises et à la banque de ne pas signer des avenants. « L’ensemble est bien ficelé pour livrer la cité financière fin décembre 2012, pour voir les premiers locataires ou propriétaires dès janvier 20013. » Dimane est très confiant pour ! le placement des 120 000 M2. Avant même le lancement des travaux, « une commande portant sur 5000 M2 nous attend. »
Le projet de haut standing « unique en Afrique » affirment ses promoteurs, contient un parking de 1000 places, ce qui soulagera grandement les salariés de la cité mais également les visiteurs de la cité financière qui peuvent accéder aux locaux à travers une multitude de moyens de transports y compris le futur métro d’Alger dont deux entrées sont très proches de la bâtisse.
Alger sera dotée, dès 2013, du premier centre d’affaires dédié aux activités financières et connexes. Le bâtiment ultramoderne de l’ilot Belhafaf dans le quartier de Belouizdad (ex Belcourt) offrira quelques 120 000 M2 de bureaux en location ou en vente.
La cité financière composée de deux tours centrales de 18 étages comprend deux bâtiments latéraux de 6 étages et offrira deux salles. La première (en amphithéâtre) pour les conférences peut accueillir 350 personnes. Elle offre également une dizaine de petites salles pour des travaux d’ateliers. La seconde peut accueillir quelques 500 personnes. Elle sera conçue comme une salle de marché. L’ensemble immobilier offre aussi l’ensemble des commodités pour les visiteurs et les quelques 3 500 salariés que générera le projet. En plus des restaurants et cafés, la cité proposera l’ensemble des services de bases (internet, fax, reprographie, courrier rapide…) pour les visiteurs.
La CNEP-Banque promotrice du projet a hérité d’un chantier abandonné depuis 1995. L’état des lieux a vite fait de pousser la banque de l’immobilier vers une configuration nouvelle à même d’amortir l’investissement. C’est dans ce sens que sa filiale promotion immobilière Gepim qui pilote le projet a proposé une ambitieuse offre pour la communauté d’affaires d’Alger, voire d’Algérie. Avaliséé par les instances de la banque la cité financière a été conçue par un bureau d’études allemand M+W Zander pour offrir l’ensemble des commodités pour les firmes financières (banques, as! surances, conseils, bourse, intermédiation …).
Reprise en 2009, la structure était altérée par la dégradation de certaines parties de l’ouvrage avec des malfaçons. Les contraintes architecturales sont venues aggraver la situation d’autant plus que l’incompatibilité de l’existant avec le nouveau programme est de mise. Il a été, aussi, question de mettre l’ensemble immobilier aux normes parasismiques en vigueur induites par le dernier séisme de Boumerdes.
D’ailleurs, le maître d’œuvre délégué qu’est Gepim explique le retard de l’achèvement du projet par ses difficultés.
Pour Dimane Abdelhamid, Directeur Général de Gepim, ce retard a été mis à profit pour offrir des études qui permettront à l’entreprise de réalisation, qui sera choisi, fin décembre prochain, parmi les 21 sélectionnées, dont une seule algérienne, de ne pas souffrir de mauvaises surprises et à la banque de ne pas signer des avenants. « L’ensemble est bien ficelé pour livrer la cité financière fin décembre 2012, pour voir les premiers locataires ou propriétaires dès janvier 20013. » Dimane est très confiant pour ! le placement des 120 000 M2. Avant même le lancement des travaux, « une commande portant sur 5000 M2 nous attend. »
Le projet de haut standing « unique en Afrique » affirment ses promoteurs, contient un parking de 1000 places, ce qui soulagera grandement les salariés de la cité mais également les visiteurs de la cité financière qui peuvent accéder aux locaux à travers une multitude de moyens de transports y compris le futur métro d’Alger dont deux entrées sont très proches de la bâtisse.