CONSTANTINE, Algérie (Reuters) - Abdelaziz Bouteflika a offert deux bains de foule soigneusement encadrés à Nicolas Sarkozy, au troisième jour de la visite d'Etat du président français en Algérie.
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A l'heure du déjeuner, les deux chefs d'Etat ont parcouru une des rues principales du centre ville de Constantine, pavoisée de drapeaux algériens et français, au rythme des tambours et de pétarades de mousquets de fantasia, au milieu des you-you et de sifflets qui n'avaient cependant rien d'hostile.
Devancés par un camion chargé de photographes et de caméras de télévision, comme dans un long travelling, ils ont zigzagué pendant une vingtaine de minutes d'un trottoir à l'autre pour serrer les mains d'une foule bon enfant, surtout masculine, sous une pluie intermittente de confettis jetés de balcons.
Un parcours jalonné de quelques banderoles proclamant "Vive l'amitié algéro-française" ou "Bienvenue au président de la République française M. Sarkozy".
Les pancartes à l'effigie du président algérien étaient beaucoup plus nombreuses que les portraits de Nicolas Sarkozy, dont le nom n'a guère été entendu au milieu des "Vive l'Algérie" lancés par la foule contenue sur les trottoirs par des barrières métalliques et un cordon serré de policiers.
S'il était difficile de faire la part de la spontanéité de la foule, celle-ci s'est cependant montrée plutôt chaleureuse.
Quelques "Visas ! Visas" criés au passage du président français[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - allusion à une politique française des visas jugée trop restrictive par les Algériens - ont constitué les seuls fausses notes de cette démonstration de liesse populaire.
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A l'heure du déjeuner, les deux chefs d'Etat ont parcouru une des rues principales du centre ville de Constantine, pavoisée de drapeaux algériens et français, au rythme des tambours et de pétarades de mousquets de fantasia, au milieu des you-you et de sifflets qui n'avaient cependant rien d'hostile.
Devancés par un camion chargé de photographes et de caméras de télévision, comme dans un long travelling, ils ont zigzagué pendant une vingtaine de minutes d'un trottoir à l'autre pour serrer les mains d'une foule bon enfant, surtout masculine, sous une pluie intermittente de confettis jetés de balcons.
Un parcours jalonné de quelques banderoles proclamant "Vive l'amitié algéro-française" ou "Bienvenue au président de la République française M. Sarkozy".
Les pancartes à l'effigie du président algérien étaient beaucoup plus nombreuses que les portraits de Nicolas Sarkozy, dont le nom n'a guère été entendu au milieu des "Vive l'Algérie" lancés par la foule contenue sur les trottoirs par des barrières métalliques et un cordon serré de policiers.
S'il était difficile de faire la part de la spontanéité de la foule, celle-ci s'est cependant montrée plutôt chaleureuse.
Quelques "Visas ! Visas" criés au passage du président français[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - allusion à une politique française des visas jugée trop restrictive par les Algériens - ont constitué les seuls fausses notes de cette démonstration de liesse populaire.
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Dernière édition par le Mar 11 Déc - 22:30, édité 2 fois