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La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie

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admin"SNP1975"

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Ksentini et les droits de l'homme La malvie et le terrorisme de 2e génération
par Ghania Oukazi
La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie 1-31122007 Si le terrorisme est porté aujourd'hui par des éléments de «deuxième génération» et les droits de l'homme «ne vont pas bien» en Algérie, c'est que «le social est cruellement déficitaire.» Ces affirmations ont force de faire peser de grandes inquiétudes sur le pays. Parce qu'elles ne sont pas faites par n'importe quelle institution. «Nous sommes un lobby, une institution d'influence, nous sommes le premier conseiller du président de la République en matière de droits de l'homme», nous précise maître Mustapha Farouk Ksentini, le président de la Commission nationale consultative pour la protection et la promotion des droits de l'homme (CNCPPDH). C'est donc de cette Institution qu'il s'agit. Rencontré samedi dernier dans son cabinet à Blida et interrogé sur les derniers attentats d'Alger, maître Ksentini n'hésite pas à les attribuer au terrorisme de «deuxième génération». Il estime qu'il est «beaucoup plus meurtrier, beaucoup plus sophistiqué». Il l'appelle terrorisme de «deuxième génération» surtout parce que, dit-il, «il a changé de main et peut-être même de commanditaires». El-Qaïda «qui est une nébuleuse» n'est pas dans ce cas, une vue de l'esprit. «El-Qaïda existe, sinon pour avoir été battue au mieux pour avoir été dûment arrêtée ailleurs, elle s'est donc repliée sur le Maghreb, sur l'Algérie où la situation de violence interne favorise ses actions», dit-il. Il pense que «pour qu'elle soit aussi performante dans le crime, il faut qu'elle ait des soutiens technologiques, financiers et autres logistiques mais a une approche quasiment philosophique du crime, c'est une idéologie», explique-t-il. Reste que les kamikazes sont bien de chez nous. «Malheureusement, jeunes et même vieux», rétorque-t-il. Y a-t-il de nouveaux recrutements ? Pourquoi ? interrogeons-nous. «Le vrai problème est là. C'est la malvie, les jeunes ont perdu espoir pour des raisons multiples. Pas de perspectives pour eux, ils sont désespérés. C'est là qu'il faut agir», estime-t-il en soulignant que «l'Algérie a les moyens mais ils ne sont pas employés comme il se doit». Il préfère cependant rester optimiste en rappelant que de grands projets ont été lancés ces dernières années «le feedback se fait attendre, les jeunes sont impatients, il faut leur expliquer». S'il pense que «avant, on avait mal avancé parce que l'économie était mal orientée», aujourd'hui il affirme que «c'est bien orienté». Vers le libéralisme ? Est-ce un bon choix ? «Oui», répond-il en précisant «je sais qu'il engendre des injustices sociales mais il a les vertus de faire avancer les choses en économie. Il faut qu'on fasse des choix ! Faisons d'abord ça et corrigeons les injustices». Maître Ksentini rebondit sur la question en notant que «les choix ont été faits et bien, il faut dire qu'on ne pouvait pas aller ailleurs mais nous n'avons pas pris nos précautions, les choses vont trop vite. Ou on s'adapte ou on meurt.»

Il faut dire que l'institution qu'il préside a eu entre les mains des dossiers - et non des moindres - qui traitent du passé, du présent et de l'avenir de ce pays.



«UNE OPERATION QUI FAIT ENCOURIR DES RISQUES»



La charte pour la paix et la réconciliation nationale en est un. Interrogé sur l'éventualité de retour de repentis au maquis, maître Ksentini estime «qu'il y a une minorité qui est remontée, rien n'est parfait, la réconciliation nationale n'est pas une opération simple mais délicate qui fait encourir des risques et on encourt toujours.» Expliquant que «l'inspiration de cette charte est politique», il considère «honnêtement, (que) c'est la seule voie pour le retour à la paix civile. C'est un projet de société fondé sur la fraternité et l'unité du pays.» Il juge le texte «d'une extrême générosité, il est fondé sur le pardon.» Même si la justice a été mise entre parenthèses ? «Si j'ai à choisir entre l'avenir du pays et la justice, je choisirais l'avenir du pays», a-t-il affirmé. Pour lui «la vie est faite de grands renoncements pour sauver l'essentiel.» Il veut se faire rassurant en indiquant que «l'initiative a été suivie d'un succès incontestable même s'il y a des hiatus.» Et des hiatus-de l'euphémisme - il y en a. A l'exemple des familles qui sont tous les mercredis devant l'Observatoire des droits de l'homme brandissant le portrait de leurs enfants, conjoints ou parents disparus. «Ce sont des familles que j'ai reçues, qui rencontrent des difficultés même dans les indemnisations, pour un papier ou pour un autre, l'administration les fait revenir», dit maître Ksentini. Il tient à noter que «la majorité des familles de disparus ont accepté d'être indemnisées, il n'y a pas grand mérite à leur faire accepter des indemnisations parce qu'elles sont dans un délabrement social tel que c'est un acte de solidarité.» Ce qui est loin d'être un acte de réparation. Les familles ont des noms de personnes qui ont procédé à la disparition forcée de leurs proches, lui avions-nous dit. «Oui», répond-il, «mais nous nous sommes renseignés auprès des services de sécurité, on nous dit que telle personne a été ramenée, interrogée puis relâchée.» Maître Ksentini ne dit certainement pas tout à ce sujet. Les historiens le diront peut-être un jour. «Il est de leur devoir de le faire», rétorque-t-il. 7.000 disparitions forcées. Le président de la CNCPPDH le confirme même si le chiffre est souvent revu à la hausse par d'autres organisations des droits de l'homme. «Les disparitions forcées ont existé, elles ont été un épiphénomène, je considère que ce sont des dépassements causés dans les années 90 par une rupture dans les chefs de commandement.» Il explique: «Les coups de terrorisme ont été tels, l'armée n'a pas été préparée à intervenir pour y faire barrage, il a y eu des agents de l'Etat qui ont commis des dépassements, d'aucuns ont profité pour (ré)agir par des actes illicites mais cela n'a pas été organisé par l'Etat.» Et ces familles qui en souffrent toujours ? «J'ai beaucoup de compassion pour elles», dit-il. Tous les disparus sont morts ? interrogeons-nous. «Je n'ai pas la preuve du contraire»; répond-il.



«IL SERAIT EQUITABLE ET JURIDIQUEMENT
FONDE DE LES INDEMNISER»



Autre «hiatus», «concernant le nombre de repentis qui ont bénéficié des dispositions de la charte pour la paix et la réconciliation nationale. «Je n'ai pas de chiffres mais d'une manière empirique, je dis qu'il y a 6.000 repentis», lance-t-il. Il s'impose cependant un rappel. Et une comparaison. «La réconciliation n'est pas Sant'Egidio qui demandait à l'Etat de se rendre aux terroristes. La réconciliation a fait que les terroristes se rendent à l'Etat.» Toujours dans le chapitre des «hiatus», «on ne peut pas mettre un nom sur une instance ou une personne qui a été chargée de mettre en oeuvre cette charte», souligne maître Ksentini. Au passage, notons que la commission nationale présidée par le chef du gouvernement et chargée par le chef de l'Etat de faire le point sur l'opération ne s'est pas réunie à ce jour. «Il aurait été préférable qu'il y ait une instance précise pour sa mise en oeuvre et pour qu'elle rende des comptes, les gens auraient su à quel saint se vouer», relève-t-il. Le président de la CNCPPDH aborde en réponse à une question relative à leur indemnisation, le dossier des détenus des camps du Sud. «Je fais en sorte que les gens qui ont droit à une indemnisation, une compassion morale puissent l'avoir», dit-il à cet effet. Le nombre des détenus des camps du Sud oscille, selon lui, entre 1.500 et 1.800. «Ils ont subi des préjudices de toute sorte, il serait équitable et juridiquement fondé de les indemniser», affirme-t-il. «Ce sont des gens honnêtes, raisonnables et ce qui m'a encore le plus séduit, ce sont des militants de la réconciliation», ajoute-t-il. Maître Ksentini fait savoir que ces détenus lui ont remis une requête qu'il l'a lui-même remise au président de la République accompagnée d'une lettre de sa part dans laquelle «j'explique leurs revendications en leur apportant mon soutien motivé en droit.» Il dit avoir fait de même pour les patrons dont les entreprises ont été détruites par des actes terroristes durant les années 90. «J'ai remis à quelques jours d'intervalle, les deux requêtes au président. Je l'ai fait il y a un peu plus d'une année mais je n'ai pas encore reçu de réponse de sa part», affirme Ksentini qui reconnaît que «c'est un sujet délicat mais il ne faut laisser personne au bord de la route.» Et qu'en est-il des détenus de Guantanamo ? La réponse n'a pas changé. «Les 17 Algériens rentreront d'ici peu, parce que pour des raisons de politique interne, Bush a décidé de fermer cette prison», dit-il.



«LE SOCIAL EST CRUELLEMENT DEFICITAIRE»



Les Américains ont même, selon lui, renoncé aux conditions qu'ils ont posées aux autorités pour le rapatriement des détenus algériens. Il a été demandé à l'Algérie de les mettre en prison, leur retirer leur passeport et les juger mais «elle a adressé aux Américains une fin de non-recevoir», dit Ksentini. Une fois libérés, ces détenus, affirme-t-il, «ne seront pas rapatriés aux Etats-Unis parce qu'étant en fin de mandat, Bush est persuadé qu'il y aura une levée de boucliers des juges américains parce que leur détention à Guantanamo a été arbitraire et abusive.» Autre question, la gestion de la donne islamiste au sein de la société ? «Il est vrai que sa gestion est difficile mais elle n'est pas impossible si l'Etat améliore le social», précise maître Ksentini. Il affirme aborder ce volet dans le rapport sur les droits de l'homme qu'il doit remettre «dans quelques jours» au président de la République. «Les droits de l'homme ne vont pas bien mais ils vont mieux par rapport au passé», dit-il.

«La réforme de la justice aidant, les droits de l'homme sont aujourd'hui plus substantiels et des problèmes de fond ont été traités», explique-t-il. Sa référence, «l'Algérie s'est débarrassée en 2006 de la notion de crime économique, par l'abrogation de l'article 119 du code pénal qui prévoyait la réclusion criminelle à partir d'un certain montant détourné. Il a été remplacé par la dilapidation de biens publics, un délit réprimé par un emprisonnement maximum de 10 ans et non par la réclusion criminelle.» L'affaire Khalifa n'y a été pour rien ? « La motivation m'importe peu», répond Ksentini. Quand il est interrogé sur le nombre important de dossiers en instance au niveau de la Cour suprême, il indique qu'il existe «une inflation judiciaire ou une augmentation du nombre des affaires parce qu'il y a des recours extrêmement abusifs, il faut les interdire.» Peut-être que les droits sont spoliés ? La réponse ne se fait pas attendre. «Ce qui nous inquiète, ce sont les droits sociaux à tous les niveaux, nous invitons qui de droit à mettre le paquet», souligne maître Ksentini. Il le fera savoir au président de la République lorsqu'il lui remettra le rapport sur les droits de l'homme. Rapport qui reste selon lui ouvert pour être réactualisé. «Tout ce qui est social est cruellement déficitaire, il faut absolument que les choses changent, c'est mon devoir de le dire», lance-t-il.


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TERRORISME
Le Gspc recrute des femmes-kamikazes
02 Janvier 2008 -


Cette mutation laisse croire à une nouvelle montée de la violence terroriste.

La fin justifie les moyens. Après les attaques kamikazes perpétrées par des adolescents, soumis à un lavage de cerveau, l’endoctrinement des plus âgés, désespérés et psychiquement déstabilisés, le Gspc ou ce qu’on appelle Al Qaîda au Maghreb islamique, prévoit le recours aux femmes kamikazes pour perpétrer des attentats. Cette mutation laisse croire à une nouvelle montée de la violence terroriste.
Apparemment, le Gspc tente de s’inspirer des méthodes déjà appliquées en Irak sous la coupe de Abou Amar El Baghdaïdi. A cette époque, une femme kamikaze portant une ceinture bourrée d’explosifs s’est fait exploser, tuant 14 personnes. En Somalie et au Pakistan, le contexte est d’actualité.
Des sources très au fait du dossier sécuritaire, ont confié que les femmes jouent un très grand rôle au sein des groupes armés. Elles sont essentiellement chargées du soutien matériel: médicaments, nourriture, vêtements. Cependant, d’autres tiennent des rôles plus importants. Les services de sécurité avaient, au courant de l’année précédente, démantelé un réseau logistique dirigé par une femme à M’sila.
Elle était à la tête d’un groupe de 14 hommes. D’après les renseignements en possession des services de sécurité, le Gspc sollicite particulièrement des femmes ayant un père, un fils ou un frère déjà dans les maquis. L’endoctrinement est aussi la stratégie appliquée pour gagner ces futures bombes humaines. L’un des rôles attribués à ces femmes, est l’assistance du kamikaze.
Le champ d’action du Gspc, dont la conception serait programmée de l’extérieur, comme l’a souligné le chef du gouvernement irakien, le mois de septembre 2007, quand il affirmait qu’Al Qaîda vise à frapper en Algérie, envisage d’atteindre des stratégies géopolitiques. Cependant même redoutable, le Gspc dans sa dérive, de commettre des attentats contre des symboles étatiques et étrangers, sombre progressivement dans la voie du GIA.
Très prudentes, nos sources ont souligné que la lutte antiterroriste doit se poursuivre avec autant de détermination ayant prévalu avant le processus de la Concorde civile et la Réconciliation nationale.
Pour nos sources, les terroristes s’adonnent à une nouvelle culture et une nouvelle idéologie terroriste adaptée et employée par l’internationale islamique.
Il est clair que le Gspc, au niveau des maquis, est replié dans ses derniers retranchements et l’unique moyen de survie de ses éléments est l’option psychologique, puisée dans les attentats spectaculaires perpétrés au courant de l’année 2007. Lutter efficacement contre les réseaux de soutien (logistiques et financiers) serait le souci majeur des services de sécurité.

Ikram GHIOUA

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IL A ACHEMINÉ DES EXPLOSIFS POUR LE GSPC
Le mystérieux terroriste marocain du 11 avril
Par :Farid Belgacem
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Ce dangereux individu avait été identifié par les services de sécurité algériens, quelque temps après les attentats qui avaient ciblé, le 11 avril 2007, le Palais du gouvernement et le siège d’Interpol de Bab Ezzouar.

Une telle information ne peut passer inaperçue des deux côtés de la frontière, algérienne ou marocaine. La découverte du corps d’un contrebandier égorgé au village Ben-Drar, aux environs d’Oujda, sur le territoire du royaume chérifien, par les services secrets marocains, laisse perplexe plus d’un, d’autant que ces services iront jusqu’à anticiper sur son identité pour lui coller l’étiquette de “contrebandier”.
De quoi s’agit-il exactement et pourquoi les services de sécurité marocains ont vite fait de “classer l’identité” de celui qui avait été pourtant bel et bien identifié par les services de sécurité algériens quelques jours après les attentats qui avaient ciblé, le 11 avril 2007, le Palais du gouvernement et le siège d’Interpol de Bab Ezzouar ? Curieux. Énigmatique personnage et portrait d’un véritable terroriste qui avait participé à l’acheminement d’importantes quantités d’explosifs vers l’Algérie depuis son pays d’origine, donc le Maroc, qui avaient servi à la préparation de ce douloureux double attentat d’Alger du 11 avril 2007.
En effet, ce “contrebandier”, autrefois impliqué dans des affaires assaillantes, comme le trafic de kif traité et de la cocaïne, a non seulement participé “intelligemment” à l’introduction du TNT vers l’Algérie depuis le royaume chérifien, mais il était l’un des principaux relais des groupes armés affiliés à la branche d’Al-Qaïda au Maghreb. Pour preuve, son assassinat relève des contes de la crypte, sinon de la pure diversion qui suggérerait à l’opinion publique régionale que cet individu a été liquidé à cause de son appartenance à un quelconque cartel de trafic de drogue. Bizarre ! Mais le propos serait ailleurs puisque cet individu, ce “contrebandier” ou ce “terroriste” a bel et bien été tué pour effacer toute trace d’implication ou autre appartenance des islamistes intégristes marocains à la nébuleuse d’Al-Qaïda au Maghreb.
Du coup, révèlent nos sources, l’assassinat de cet individu est directement lié à la stratégie de diversion des services de sécurité marocains qui veulent faire croire que cet homme n’était qu’un vulgaire narcotrafiquant qui grillait les frontières à tout bout de champ, avant qu’il ne fasse l’objet d’un règlement de comptes. Sans pour autant préciser si une enquête était alors diligentée pour faire la lumière, “toute la lumière” sur cet absurde assassinat.
L’expérience algérienne en matière de lutte contre la criminalité transfrontalière et transnationale étant prouvée, reconnue, voire sollicitée par les pays menacés par la nébuleuse d’Al-Qaïda, il serait difficile, voire impossible de faire avaler la pilule que cet homme, activement recherché par les services de sécurité algériens, ferait l’objet d’un vulgaire assassinat, sinon d’une liquidation pure et simple des services marocains, sur leur propre territoire, pour éloigner toute suspicion de l’existence d’une filière proche de Ben Laden au Maroc. Pourtant, à la veille des attentats d’Alger, des actions terroristes de moindre importance ont eu lieu au Maroc où Al-Qaïda avait revendiqué la paternité.

FARID BELGACEM


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Liberté

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Algérie : deux civils tués par des terroristes à Tizi-Ouzou


Par ameziane athali le 30/05/2008 à 10:54



Deux civils, un père et son fils, ont été assassinés, jeudi 29 mai en début de soirée, par des terroristes au village Aït Toudert, près d’Aït Ouacif, à une cinquantaine de kilomètres au sud-est de la ville de Tizi-Ouzou, a appris toutsurlalgerie.com auprès de sources sécuritaires. C’est la première fois depuis de nombreuses années que des civils sont assassinés par des terroristes en Kabylie. Le GSPC se contentaient jusque là de racketter épisodiquement la population. Même les prises d’otages de ces derniers mois attribuées aux terroristes se sont régulièrement soldées par des libérations, souvent après le paiement d’une rançon par les proches des victimes.

Selon nos sources, les terroristes étaient nombreux : au moins une vingtaine, fortement armés. Le groupe terroriste s’est introduit dans le bar, propriété du père assassiné, avec comme objectif de le racketter. Ils voulaient lui soustraire la somme de 5 millions de dinars. Face à son refus de payer la somme, les terroristes ont tenté de prendre en otage le fils, présent sur les lieux. Le père et son fils tentent alors de résister, avant d’être abattus devant l’entrée du bar. Le père et le fils étaient âgés respectivement d’une cinquantaine et d’une trentaine d’années.

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Des attentats dans l’après-midi et recrutement de poseurs de bombes

Comment le GSPC a changé de tactique

Par : Madjid T.

Il semblerait que le GSPC se soit rabattu sur les réseaux de soutien confinés jusque-là dans un rôle de collecte de renseignements et d’aide logistique pour les impliquer directement dans l’exécution des attentats à la bombe.
Les quatre individus qui composaient le réseau de soutien aux groupes terroristes démantelé avant-hier à Cap-Djenet seraient, en fait, les auteurs de l’attentat meurtrier commis la semaine dernière à l’entrée de Cap-Djinet, où six militaires ont trouvé la mort et deux autres ont été blessés. C’est ce que nous avons appris de sources bien informées qui ont précisé que ces individus auraient déposé eux-mêmes la bombe au bord de la RN24, à l’entrée de la ville, sous le regard d’un groupe terroriste resté embusqué sur les hauteurs de la carrière d’agrégats de Cap-Djinet. Ce réseau agissait pour le compte de seriat El-Merikh de l’ex-GSPC dirigée par un certain Abou Bakr, de son vrai nom Bachir Snoussaoui, originaire de la région. Cette seriat fait partie de katibat El-Ansar qui sévit dans l’est de la wilaya de Boumerdès. La bombe, reliée à un téléphone portable et dissimulée dans un sac, aurait été acheminée et déposée en fin d’après-midi, le jour même de l’attentat, par les quatre personnes, jusque-là inconnues des services de sécurité puisque non fichées. Ainsi, les terroristes, qui ne pouvaient à cette heure-là se balader dans ces lieux très fréquentés, ont fait appel, cette fois-ci, à leur réseau de soutien pour exécuter l’attentat. Une mission incompatible avec le rôle dévolu généralement à ces groupes versés plutôt dans la collecte des renseignements et dans l’aide logistique apportée aux groupes terroristes. Mais pour cette opération, comme pour celle de Béni Amrane, toutes les deux ont eu lieu dans des endroits plutôt animés et fréquentés. Les exécutants ne pouvaient être que des personnes non fichées. Car, compte tenu des reliefs et de la nature des lieux, il est difficile pour des terroristes en action d’agir, même de nuit, sans éveiller la curiosité ou les soupçons des riverains ou des membres de sécurité qui font la navette sur ces routes. Dans les deux attaques précipitées, les terroristes se sont servis de leurs réseaux de soutien pour mener et exécuter leurs opérations, et ce moyennant de fortes sommes d’argent. En effet, les membres de ces réseaux travaillent pour l’argent, comme l’attestent les différentes affaires de terrorisme traitées par la justice où la plupart des jeunes arrêtés ont avoué l’avoir fait pour de l’argent. En décidant d’engager ces réseaux dans de telles missions, l’ex-GSPC, qui semble adopter le “mercenariat”, vise un triple objectif. Contourner le dispositif sécuritaire mis en place et permettre l’exécution des attentats sans risque pour ses éléments.
Le deuxième but consiste à “mouiller” les membres de ces réseaux pour les balancer définitivement dans l’action armée afin de gonfler des effectifs laminés ces derniers temps par les coups des services de sécurité. L’ex-GSPC semble réserver ses éléments fichés pour la capitale et ses environs, là où il ne dispose pas de réseau de soutien, comme l’explique le double attentat manqué des Tamaris. Le troisième objectif étant d’assurer l’exécution de ses opérations à la lumière du jour pour pouvoir les filmer et en assurer en même temps une bonne qualité de l’image. C’est devenu presque une exigence pour certaines chaînes de TV satellitaires, surtout lorsqu’il s’agit de l’Algérie. Et dans le souci d’empêcher les services d’intervenir pour les rattraper, les terroristes ont tendance à choisir une tranche horaire qui limite une intervention de jour des services de sécurité. Les trois dernières opérations (Bordj El-Kiffan, Cap-Djinet et Béni Amrane) ont eu lieu entre 16h et 18h, tranche horaire où les groupes terroristes se sont assuré, dans les trois cas, des faveurs de la nuit pour se replier. Selon des sources au fait de la situation sécuritaire, les groupes terroristes payent les membres des réseaux de soutien avec l’argent du racket. Ils leur versent des sommes en fonction d’un barème qui tient compte des difficultés et des risques de chaque mission. Les derniers attentats commis ces derniers jours dans les wilayas du Centre ont été précédés d’une série d’enlèvements de commerçants et d’entrepreneurs, comme cela a été d’ailleurs le cas des attentats du Palais du gouvernement ou du siège de l’ONU, eux aussi devancés de quelques semaines par des opérations de kidnapping.

Liberté

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Actualité (Mercredi 18 Juin 2008)


80% des algériens concentrés y habitent et 1,5 million de logements inoccupés
Les villes algériennes surpeuplées
Par :Farid Belgacem
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Les politiques de l’emploi et du développement rural, donc de la stabilité des populations et du logement, ont été encore une fois mises à nu par le 5e Recensement général de la population et de l'habitat 2008 (RGPH).
L’Algérie abrite 34,8 millions d’âmes, selon les résultats préliminaires du 5e Recensement général de la population et de l'habitat 2008 (RGPH) rendus publics lundi dernier, dont plus de 80% vivent dans les zones urbaines, donc les villes, notamment le littoral où il y a une forte concentration. Le ministre d'État, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Nourredine Yazid Zerhouni, qui a eu à commenter le RGPH-2008, a révélé que plus de 70% des populations résident dans les agglomérations, les chefs-lieux de wilaya, de daïra ou de commune et 16% dans les agglomérations secondaires, alors que durant les années 1960, 1970 et 1980, la population urbaine n'était que de 30%. C’est dire que les 2/3 de la population des villes sont des gens qui sont venus récemment de la campagne. Pourquoi ? Zerhouni estime de prime abord que “tous les programmes publics, qui ont un lien avec les citoyens, qu'il s'agisse du logement, de l'éducation, du commerce ou de la sécurité, doivent prendre en compte ce fait nouveau. Cela veut dire que les efforts de tous les programmes doivent consacrer au moins 80% de leur intelligence, de leurs ressources et moyens pour répondre à ce problème.” Du coup, il ressort que les programmes de développement rural déployés par l’État sont voués à l’échec. Ceci est dû au facteur sécuritaire qui a vu des dizaines de milliers de familles s’installer dans les agglomérations ou à proximité des grandes villes en érigeant des bidonvilles et des baraques de fortune en quête d’une vie citadine. Mais il y a plus grave que le problème des migrations humaines. En effet, le RGPH-2008 a, une fois encore, mis à nu la politique de la gestion immobilière en Algérie. Environ 1,5 million de logements, dont les occupants et les propriétaires étaient absents lors du recensement, sont inoccupés ! Et si le parc des logements habités a atteint 5 244 347, sur un total de 6 748 057 d’unités, avec une différence de 1 503 710 logements inoccupés, Zerhouni estime que “ces logements (inoccupés) peuvent être expliqués par la mobilité des Algériens” ou qu’il s’agit “peut-être de familles en déplacement”. Même si au demeurant on comptait les 300 000 logements en cours de construction par l’État et ceux de particuliers en phase de construction, le nombre de logements inoccupés relèverait de l’absurde. En plus de l'insécurité qui a prévalu durant les années 1990, quand plusieurs villages ont été désertés, donc les habitations de ces derniers ont été recensées aussi comme étant vides, il ressort que l’État n’a pris aucune disposition réglementaire pour fructifier un parc immobilier aussi inerte que celui qui compte 1,5 million d’unités fermées. Ces logements n’ont été exploités ni dans la location ni dans l’exploitation immobilière, encore moins récupérés dans le fichier national qu’on targue de confectionner pour mieux contrôler la spéculation. Il faut noter, à cet effet, que 3,7% logements habités ont été recensés dans les agglomérations chefs-lieux, alors que 813 404 logements habités ont été enregistrés dans les agglomérations secondaires. Dans les zones éparses, il a été recensé 681 175 logements habités. Les wilayas qui enregistrent le plus grand nombre de logements habités sont Alger (508 775), Oran (243 980) et Sétif (217 766). Le paradoxe est justement là : ce sont également les villes qui sont touchées par les logements inoccupés. Zerhouni, qui a abordé les programmes d’habitat, a estimé que le problème n'est plus de construire de nouveaux logements, mais porter davantage l’effort sur l’organisation des centres urbains et des agglomérations. Il devient maintenant accessible d'engager des programmes qui peuvent aller de pair avec l'évolution de la démographie. Cela ne peut être que porteur d’éléments positifs et profitables à nos populations. La baisse du taux d'accroissement de la population a été possible grâce à l'urbanisation et à l'éducation, auxquelles il faudrait ajouter l'espérance de vie qui est passé de 47 ans dans les années 1960 à 76 ans en moyenne actuellement
.

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Un réseau démantelé par la police marocaine : Recrutés au Maroc pour des attentats en Algérie
par D. Belaïfa
La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie 1-03072008 Dans sa quête d'intensifier ses ramifications au Maghreb, l'internationale terroriste Al-Qaïda vient de subir un nouveau revers avec le démantèlement au Maroc d'un troisième réseau de recruteurs de kamikazes, et ce depuis le début de l'année.

Selon l'agence marocaine MAP, qui cite des sources policières, les services de sécurité marocains ont arrêté récemment trente-cinq personnes qui recrutaient des volontaires pour Al-Qaïda en Irak et en Algérie. Selon ces mêmes sources, le réseau démantelé a recruté et convoyé une trentaine de candidats aux opérations kamikazes en Irak et trois volontaires pour la branche armée d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (BAQMI). Sans toutefois citer la date exacte de ces arrestations, la MAP souligne que les interpellations ont eu lieu dans plusieurs villes du royaume. « Les suspects projetaient également des actes terroristes au Maroc », a aussi indiqué la source policière.

Ces interpellations coïncident avec les vastes opérations menées dans plusieurs villes européennes, notamment en Espagne, en France et en Belgique, contre les réseaux de recruteurs de volontaires vers l'Irak et les réseaux de soutien logistique aux groupes terroristes en Algérie.

Les services de sécurité algériens avaient, à maintes reprises, fait état de la présence de terroristes étrangers parmi les phalanges de la branche armée d'Al-Qaïda. Ces terroristes, recrutés par des réseaux marocains, étaient envoyés vers les camps d'entraînement de l'ex-GSPC dans les maquis algériens.

Officiellement, il s'agit du troisième réseau terroriste démantelé au Maroc ces six derniers mois. En février, la police avait annoncé l'arrestation de 36 personnes appartenant à un réseau terroriste dirigé par un Belgo-Marocain Abdelkader Belliraj. Le 19 mai dernier, la police marocaine avait démantelé un réseau terroriste de 11 personnes qui projetaient des actes terroristes au Maroc et en Belgique. Ces 11 personnes, dont un Marocain résidant en Belgique, ont été arrêtées dans les villes marocaines de Fès et Nador. L'agence marocaine MAP avait indiqué que ce réseau projetait des actes terroristes au Maroc et en Belgique. Les personnes arrêtées sont en relation « avec des filières d'acheminement de volontaires en Irak et pour les camps d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, en Algérie », avait affirmé l'agence marocaine. Une source proche du gouvernement avait indiqué que le réseau démantelé n'avait rien à voir avec celui de Abdelkader Belliraj, composé de 35 personnes écrouées le 29 février à Salé, près de Rabat, et poursuivies pour terrorisme. Des 11 personnes arrêtées, dont Mohamed Bekkali, un Marocain résidant en Belgique, sept ont été placées en détention préventive et deux sous contrôle judiciaire. Pour absence de preuves, le juge avait décidé de ne pas en poursuivre deux.

Un bâtiment de l'Union européenne et un hôtel bruxellois faisaient partie des cibles de ce réseau, avait rapporté la radio belge VRT. Les sept inculpés sont poursuivis notamment pour « constitution de bande criminelle dans le but de préparer et commettre des actes terroristes, atteinte aux valeurs sacrées, apologie du terrorisme et réunions publiques sans autorisation ».

Toujours en mai dernier, le tribunal antiterroriste marocain de Salé avait condamné à des peines allant d'un à huit ans de prison les 29 agents recruteurs présumés pour l'Irak, dont un Suédois d'origine marocaine. Le principal accusé, Khalid Ould Ali ben Tahar, a écopé de 8 ans de réclusion, un autre de 7 ans, six ont eu six ans, sept se sont vu infliger 4 ans et 4 prévenus trois ans, dont Ahmed Essafri, 54 ans, un Suédois d'origine marocaine, marié à une Suédoise. En outre, huit autres prévenus devront passer deux ans sous les verrous et deux accusés qui comparaissaient en liberté provisoire ont été condamnés à un an de prison. Démantelé en 2007, le réseau était composé à l'origine de 30 personnes, dont l'une est décédée en prison. Les 29 hommes sont poursuivis notamment pour « recrutement de Marocains pour l'Irak » et « constitution de bande criminelle dans le but de préparer et de commettre des actes terroristes ». Ils étaient, selon l'accusation, membres d'une cellule dite de Tétouan, une structure terroriste aux ramifications internationales, spécialisée dans le recrutement et l'acheminement de volontaires marocains pour l'Irak.


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ELLE SERA COMPOSÉE D’ÉLÉMENTS DE LA POLICE ET DE LA GENDARMERIE NATIONALE
Une unité antikidnapping pour la Kabylie
28 Juillet 2008 - Page : 3
La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie TP080728-10

«Les éléments composant ces groupes, au niveau de la Dgsn et de la gendarmerie, sont en train de subir des formations spéciales à cet effet», a indiqué le ministre de l’Intérieur.

A fléau nouveau, traitement spécial. Une unité composée d’éléments de la police et de la Gendarmerie nationale, entraînée exclusivement pour la lutte contre les kidnappings sera prochainement opérationnelle. «Nous avons formé cette unité spéciale pour juguler ce phénomène», a affirmé, hier, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Yazid Zerhouni. «Les éléments composant ces groupes, au niveau de la Dgsn et de la gendarmerie, sont en train de subir des formations spéciales à cet effet» a souligné le ministre de l’Intérieur.
«Le kamikaze de Lakhdaria est un terroriste du Gspc»



Interpellé sur le dernier attentat kamikaze à la moto qui a été perpétré contre un camion de l’Armée nationale, le ministre Zerhouni affirme : «Nous n’avons retrouvé que sa tête. C’est un jeune qui a activé dans les rangs du Gspc. Pour l’instant, nous n’avons pas d’informations complémentaires sur l’auteur. L’enquête se poursuit toujours», a avoué le ministre à L’Expression en marge de la visite du Président.
«A l’époque, notre priorité et nos efforts ont été exclusivement orientés vers la lutte contre le terrorisme mais avec l’apparition de ce nouveau fléau, il convient de réadapter nos techniques de lutte», a ajouté le ministre, qui s’exprimait hier lors d’un point de presse animé à la daïra de Lakhdaria, en marge de la visite du Président. Très répandu en Kabylie et particulièrement au niveau de certaines localités de Tizi Ouzou, le phénomène du kidnapping sème la terreur parmi les populations.
Aussi, les enlèvements viennent s’ajouter à la liste, déjà longue, de la criminalité qui frappe la société algérienne. Selon le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, quelque 375 enlèvements ont été recensés en 2007. C’est ce qu’a annoncé Yazid Zerhouni, lors de son passage, il y a quelques mois, au Sénat. Arithmétiquement parlant, une alerte au kidnapping est signalée chaque jour, et les raisons sont diverses. M.Zerhouni a précisé que parmi les cas évoqués, 115 enlèvements ont une relation directe avec le financement des groupes terroristes.
La même source a avancé un chiffre de 6 milliards de dinars, dont 1,2 milliard versé par les familles des victimes. S’exprimant sur le cas, Yazid Zerhouni a affirmé que le moment n’est pas propice pour la restitution de ces armes. Cependant, il tranquillise les propriétaire de ces armes en affirmant, notamment que «les fusils de chasse ont été tous enregistrés. Ils portent le nom, le prénom et toutes les cordonnées de leurs propriétaires».
Plus rassurant, le ministre de l’Intérieur n’a pas complètement écarté la possibilité de restituer les fusils de chasse. «L’Etat procédera prochainement soit à la restitution des armes soit au remboursement», a jouté M.Zerhouni lors d’un point de presse animé au siège de la daïra de Lakhdaria. Pour l’instant, le message du ministre de l’Intérieur est clair. La restitution des fusils de chasse n’est pas d’actualité. Il argumente: «Nous avons remarqué que les porteurs d’armes de ce genre sont devenus des cibles des terroristes. A partir de là, nous avons pensé trouver une meilleure méthode pour les protéger. A travers ces procédures, je dirai que c’est une manière de les protéger.» Le ministre justifie encore par la situation sécuritaire.
«Certes, dans plusieurs régions, le terrorisme a été battu. Mais, le danger est toujours présent au niveau de quelques régions. Nous ne pouvons pas agir avec la politique du deux poids, deux mesures. Nous ne pouvons pas restituer les armes aux uns, et pas aux autres.» Suite à cette conjonction d’incertitudes, le ministre évoque le problème de la confiance. «Il y a en quelque sorte un problème de confiance qui se pose», a-t-il évoqué. A travers cette phrase, le ministre veut laisser entendre certainement, que l’Etat ne veut pas s’aventurer à armer des individus auxquels il ne fait pas confiance. Le ministre de l’Intérieur emboîte, ainsi, le pas à son chef du gouvernement Ahmed Ouyahia. Le secrétaire général du RND a annoncé que «le moment n’est pas propice pour la restitution des armes». S’exprimant sur les ondes de la Chaîne II de la Radio nationale, M.Ouyahia a indiqué que cela «mettrait en danger la vie de ces citoyens, le terrorisme n’étant pas complètement achevé». Pour M.Ouyahia «ceux qui appellent à récupérer les armes sont exactement comme ceux qui appellent à la levée de l’état d’urgence» a-t-il justifié, à une semaine de sa nomination à la tête du gouvernement. Les citoyens ne cessent de réclamer la restitution de leurs armes. Dans cette même wilaya de Bouira, les propriétaires organisent, chaque dimanche, un sit-in pour réclamer leurs armes. A rappeler que l’Etat a décidé de récupérer, au milieu des années 90, les armes qui étaient chez les citoyens, particulièrement en milieu rural.
S’agissant de la révision de la Constitution, le ministre dit ne pas être habilité à se prononcer sur cette question. «Même si je sais, je ne le dirai pas. Vous aurez pu le demander au Président de la République qui était ce matin (hier, Ndlr), ici à Bouira».

Tahar FATTANI

L'expression

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Deux dangereux terroristes ont été éliminés à Boumerdès (nord de l’Algérie) par les forces de sécurité.
samedi 2 août 2008.

La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Gendarmes2655595 Selon une source sécuritaire, les deux terroristes, le dénommé S’ghir Mourad alias « le pompier » et son acolyte dit Bendahmane Mohamed ont été éliminés dans la nuit de mercredi à jeudi suite à une embuscade tendue à la sortie de la localité de Benchoud par les forces spéciales de l’ANP, assistées par les éléments des unités d’intervention de la Gendarmerie nationale de Boumerdès (nord de l’Algérie). Deux armes automatiques de type kalachnikov ainsi que des munitions et des équipements de transmission ont été récupérés lors de cette opération. Notre source indique que les deux terroristes sont connus pour leurs pratiques barbares qu’ils perpétraient sur des citoyens. Une autre source sécuritaire souligne que le terroriste dit « le pompier » est derrière plusieurs actes, notamment l’assassinat et la décapitation d’un gardien de prison de Tizi Ouzou.

Plus grave et cynique encore, cette scène d’horreur avait été filmée par le terroriste tortionnaire et diffusée sur plusieurs chaînes de télévision et sur des sites Internet. Tandis que son acolyte dit Bendahmane aurait participé et commandité les assassinats du chef de brigade de la même localité et du maire. Avec l’élimination de ces deux tortionnaires, la population de la région de Benchoud a retrouvé le calme et la sérénité, et ce après plusieurs années de terreur de la part des terroristes armés du GSPC. Faut-il noter que ces deux terroristes faisaient partie de la seriat du GSPC qui écume les maquis de Mizrana. Cette seriat qui serait composée d’une trentaine d’éléments armés active dans la région est de Boumerdès, sur le littoral, jusqu’au sud-ouest de la Kabylie (nord de l’Algérie). Par ailleurs, notre source indique que les forces combinées de sécurité ont abattu, durant ces dernières semaines, une vingtaine de terroristes et récupéré des armes, des lots de munitions ainsi qu’une logistique utilisée par les terroristes.

Synthèse de Souad, www.algerie-dz.com
D’après le Jeune Indépendant

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Criminalité et délinquance

Alger détrône Oran



Par :Djilali Benyoub


La violence ordinaire qui était l’”apanage” des grande villes côtières comme Oran ou Annaba, se déplace vers le Centre.
La capitale est en passe de détrôner les autres grandes villes du pays en matière de délinquance et d’atteinte aux personnes et aux biens. En effet, hormis les atteintes aux personnes (agressions, coups et blessures…) où elle talonne de près la ville de Sétif, Alger reste en tête pour les autres atteintes et délits. Ainsi la violence “ordinaire”, qui était l’apanage des deux grandes villes de l’Est et de l’Ouest, Annaba et Oran, s’est déplacée vers le Centre. L’accentuation de la pression des services de sécurité sur ces deux villes a donné un résultat positif, Annaba et Oran sont devenues des villes “fréquentables”. Sur les atteintes aux personnes, la gendarmerie a traité durant le 1er semestre de l’année 2008, 4 070 affaires et arrêté 5 988 personnes. Un bilan en baisse de 12% par rapport à la même période de l’année dernière. Sétif a enregistré le plus d’affaires en la matière avec 303 cas représentant 7%, derrière vient Alger avec 6%, soit 235 affaires, devant Oran. Dans les affaires des atteintes aux biens, le bilan fait remonter Alger à la première place. Au 1er trimestre de l’année en cours, la GN a traité 4 630 affaires et arrêté 4 706 personnes. Soit une baisse de 15% par rapport au 1er semestre de 2007. Dans cette catégorie, Alger a enregistré le traitement de 397 affaires, soit 9%, suivie par Sétif et Blida. Même palmarès dans les atteintes contre la famille et les bonnes mœurs où la GN a traité 864 affaires avec l’arrestation de 1 419 personnes. À la même période en 2007, le bilan était de 939 affaires. Les atteintes à la pudeur et les viols dominent cette catégorie d’atteintes. Les atteintes à la pudeur représentent 44% des affaires et ont enregistré une hausse de 46% contrairement au viol (17%) qui ont baissé de 18%. Avant-hier encore, la GN de Maghnia, dépendant de Tlemcen, a démantelé un réseau de prostitution impliquant des femmes âgées et des femmes mariées. La grande affaire traitée a été à Tipasa au mois d’avril dernier où 30 personnes dont 15 femmes dont une mineure ont été arrêtées pour prostitution. Là également Alger est en tête avec 55 affaires (6,4%) devant Sétif et Mostaganem. Dans les atteintes contre la tranquillité publique, l’association de malfaiteurs représente plus de la moitié des affaires traitées. À 55%, cette atteinte a connu une hausse de 12%. Les atteintes aux biens représentent un grande part, 44% devant les atteintes aux personnes, 38% alors que les atteintes contre les bonnes mœurs sont de 8%. Les affaires liées aux atteintes aux lois spéciales (réglementation des débits de boissons, police économique, environnement et délits de chasse) ont été constatées surtout en milieu urbain. Sur les 2 608 affaires traitées, 53% l’ont été dans les villes. Observée dans le détail, la criminalité a connu depuis le début de l’année et jusqu’au mois de juin une constante baisse. Une baisse qui s’explique, selon les conclusions de ce bilan partiel, par les effets positifs des campagnes de sensibilisation et de prévention entreprises par les cellules des mineurs, les dispositifs (renforcés) sur les axes routiers, le travail de proximité et le recours aux identifications des appels téléphoniques. La délinquance, qui a pu évoluer à l’ombre de la violence des années 1990, s’est installée et étendue faute d’avoir été contenue dès le départ, la plupart des services de sécurité ayant été préoccupés par la lutte contre le terrorisme. Parallèlement à la prolifération de cette criminalité, les villes semblent se spécialiser dans un créneau. Alger, Sétif… sont concernées par les atteintes contre les personnes, mais surtout le vol de voitures. Les villes de la frontière ouest sont dans la contrebande de carburant, des effets vestimentaires et le trafic de drogue, alors que celles de la frontière est sont dans la contrebande de carburant, de cheptel et de produits alimentaires. Mais c’est la première fois que la capitale détrône le reste du pays et à se “tailler” l’image d’une ville invivable et non sécurisée. Les chiffres le démontrent bien.
Djilali B.
Liberté

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La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie 81-2


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La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Icon_minipostSujet: Re: La double trahison des Marocains qui gouvernent en Algérie La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Icon_minipostedAujourd’hui à 15:10La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Icon_quote La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Icon_edit La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Icon_delete La malvie et le terrorisme de 2e génération en Algerie Icon_ip




yaz a écrit:
100 000euro cela fait fait une grosse somme d argent en 2004..1 300 000 dinars Algérien..Ce retrouver en 2007 sans pouvoir payer ces avocat , il y aurait pas anguille sous roche §?..Un Algérien-Algérien...:arrow: :affraid: ...
:lol: :lol: :lol:

Algérie: 12 islamistes armés tués à Tizi Ouzou



Il y a 2 heures
ALGER (AFP) — Douze islamistes armés présumés ont été tués dans la nuit de jeudi à vendredi par les forces de sécurité algériennes à Tizi Ouzou en Kabylie (est d'Alger), a annoncé vendredi le ministère algérien de l'Intérieur.
Les militants islamistes ont été tués dans une embuscade tendue par les forces de sécurité algériennes près de Beni Douala dans le département de Tizi Ouzou en Kabylie, à 110 km à l'est d'Alger, a précisé le ministère.
Sept fusils d'assaut Kalachnikov, deux fusils Semenov, un fusil à pompe, une carabine, un pistolet automatique Beretta, une grenade, un poste radio et trois téléphones cellulaires ont été récupérés par les forces de sécurité à l'issue de l'opération, a ajouté le ministère de l'Intérieur.
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La religion fait peu de bien et beaucoup de mal
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: IL FIGURERAIT PARMI LES TERRORISTES ABATTUS
Fin de cavale pour Abdelkahar Benhadj ?


Abdelkahar Benhadj, fils de Ali Benhadj, ferait partie des douze terroristes abattus ce week-end à Beni-Douala, lors de l’opération menée par les forces de l’ANP.
L’information, qui n’a pas été confirmée officiellement, a circulé hier au terme de l’offensive de l’armée. «Les corps des terroristes éliminés sont toujours en cours d’identification. Mais on estime que le fils de Ali Benhadj pourrait faire partie de ce groupe», a précisé hier une source généralement bien informée. Cette hypothèse serait étayée par certaines informations faisant état du «transfert » de Abdelkahar Benhadj de la région de Boumerdès (région où il s’est enrôlé) vers les maquis de Tizi-Ouzou. Si sa mort venait à être confirmée, ce serait la fin de l’aventure terroriste de «Mouaouya». Une aventure que son père Ali Benhadj avait tenté de «maquiller» en kidnapping. Le 5 octobre 2006, constatant son absence, le numéro deux du Front islamique du salut (dissous) avait accusé les forces de sécurité d’avoir enlevé son fils. Deux jours plus tard, Ali Benhadj ira jusqu’à déposer plainte au commissariat de Kouba. Mais c’est son propre fils qui se chargera de le démentir quelques mois plus tard, mettant ainsi fin à une polémique savamment entretenue par les milieux islamistes et «qui-tue-quistes». En juin 2007, la chaîne qatarie Al Jazeera diffusait une vidéo montrant Abdelkahar en arme et treillis. Jusqu’au-boutiste, Ali Benhadj accusera l’Etat algérien d’avoir incité son fils à prendre le chemin des maquis terroristes.
T. H.

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