Auteur : Sidhoum
Tout ce que j’ai comme base c’est mon expérience vécue a Oujda jusqu’en 65, ou les Algériens n’étaient pas inquiétés et même encouragés à prendre la nationalité Marocaine et comment le Roi leur a permit de vendre tous leurs biens et d’emmener leur argent avec eux en Algérie comme mon père l’a fait. Il y a certains que je connais personnellement qui ont gardé leurs biens et qui les ont loué même au zénith des hostilités. Oujda était maintenue littéralement en vie grâce à la communauté Algérienne qui était la classe des enseignants, commerçants, professionnels, etc…et le Roi qui avait horreur des grands désordres humains, voulait que les Algériens restent. Par exemple, ma sœur y est restée et plus tard mon frère a fait ses études a Rabat et s’est marié à une Marocaine elle-même médecin et je passais toutes mes vacances d’été (ma sœur aînée est mariée à un très haut gradé de la toute première promotion des officiers des FAR baptisée “Mohammed V” …il est aujourd’hui retraité…c’est pour ça que je connais le Maroc de fond en comble mieux qu’un Marocain, en y passant mes vacances d’été depuis mon enfance dans TOUTES les régions militaires ou il fut muté (durant ses débuts) de Taourirt, Taza jusqu'à Dakhla). Mon père était le seul transitaire a Oujda et il n’y avait personne pour le remplacer. Il a même reçu une proposition de rester, prendre la nationalité et de travailler pour le gouvernement Marocain, mais il a choisi de rejoindre l’Algérie et notre cauchemar commença en 65 dans ce nouveau royaume des maglâtes sans queue ni tête ou notre ministre ‘kzé-kza’ de l’industrie, insultait sans retenue et sans h’chouma, nos voisins avec « quand le Maroc sera en train de fabriquer de la sauce tomate et la Tunisie de la h’rissa, l’Algérie aura son industrie lourde »…(toz)….45 ans plus tard ?…naaaari nari….wili wiliiii….nous n’avons ni industrie lourde, ni eau courante, ni h’rissa, ni sauce tomate et l’Agriculture est un souvenir lointain parce que le paysan Algérien (comme Yaz) mâche aujourd’hui du chewing-gum, joue au tennis, lit Karl Marx et ne songe désormais qu’a exporter sa « rivolissiou » a ses voisins laborieux et tranquilles et libérer le petit peuple Marocain et Sahraoui qui ne lui a jamais rien demandé, de ce meuchant Malîk
Tout ce que j’ai comme base c’est mon expérience vécue a Oujda jusqu’en 65, ou les Algériens n’étaient pas inquiétés et même encouragés à prendre la nationalité Marocaine et comment le Roi leur a permit de vendre tous leurs biens et d’emmener leur argent avec eux en Algérie comme mon père l’a fait. Il y a certains que je connais personnellement qui ont gardé leurs biens et qui les ont loué même au zénith des hostilités. Oujda était maintenue littéralement en vie grâce à la communauté Algérienne qui était la classe des enseignants, commerçants, professionnels, etc…et le Roi qui avait horreur des grands désordres humains, voulait que les Algériens restent. Par exemple, ma sœur y est restée et plus tard mon frère a fait ses études a Rabat et s’est marié à une Marocaine elle-même médecin et je passais toutes mes vacances d’été (ma sœur aînée est mariée à un très haut gradé de la toute première promotion des officiers des FAR baptisée “Mohammed V” …il est aujourd’hui retraité…c’est pour ça que je connais le Maroc de fond en comble mieux qu’un Marocain, en y passant mes vacances d’été depuis mon enfance dans TOUTES les régions militaires ou il fut muté (durant ses débuts) de Taourirt, Taza jusqu'à Dakhla). Mon père était le seul transitaire a Oujda et il n’y avait personne pour le remplacer. Il a même reçu une proposition de rester, prendre la nationalité et de travailler pour le gouvernement Marocain, mais il a choisi de rejoindre l’Algérie et notre cauchemar commença en 65 dans ce nouveau royaume des maglâtes sans queue ni tête ou notre ministre ‘kzé-kza’ de l’industrie, insultait sans retenue et sans h’chouma, nos voisins avec « quand le Maroc sera en train de fabriquer de la sauce tomate et la Tunisie de la h’rissa, l’Algérie aura son industrie lourde »…(toz)….45 ans plus tard ?…naaaari nari….wili wiliiii….nous n’avons ni industrie lourde, ni eau courante, ni h’rissa, ni sauce tomate et l’Agriculture est un souvenir lointain parce que le paysan Algérien (comme Yaz) mâche aujourd’hui du chewing-gum, joue au tennis, lit Karl Marx et ne songe désormais qu’a exporter sa « rivolissiou » a ses voisins laborieux et tranquilles et libérer le petit peuple Marocain et Sahraoui qui ne lui a jamais rien demandé, de ce meuchant Malîk