Ban Ki Moon sera capable de trancher mais…
Boujemaa Kharraj *
Bientôt l'émissaire Onusien en tournée dans le Maghreb pour quelque chose qui pourra être une valeur ajoutée à une problématique qui normalement n'a plus besoin d'approche techniciste mais plutôt de créativité d'une solution imposable d'elle même. Dans ce sens j'investie cet article qui n'est au fait que prolongation des articles précédents que j'ai édité dans ce respectable site et d'autres...
Récapitulons :
Il faut avouer qu'après plus de trente quatre années la problématique Sahara est passée pour être un plaisir des Sadomasochistes. Il est donc certain que la conscience internationale pour ne pas dire seulement onusienne n'ait plus de raison de ne pas s'y investir intégralement.
A mon sens les belligérants ne peuvent faire mieux de ce qu'ils ont fait. Pour le Polisario il ne peut que se retenir au droit onusien se référant au principe de l'autodétermination tel que reconnu par les nations unies depuis 1945 concernant les régions encore en mal d'être étatiquement. Son état d'esprit s'y accroche comme un refuge ou une sorte d'assurance existentielle surtout que la gouvernance des leaders semble passée pour être un héritage Emirati. A ce propos il faut dire que la même personne depuis trente ans à la tête du Polisario ne donne pas raison à la démocratie sauf pour les nouvelles « républiques monarchiques » qui sont une création purement Arabique! En tout cas les réactions de l'équipe « Khat Achahid » en disent suffisamment.
Du coté marocain je peux vous assurer qu'il n' y a de s'y intéressant à retenir que la bonne volonté du Roi Mohammed six. Autrement dit je joins ma pensée au président du Polisario en ce qu'il a dit à propos du Feu Hassan II : «Il est une perte à la question du Sahara ». Quand à la diplomatie marocaine elle est encore en mal d'une machine makhzanie qui pèse encore de tout son poids sur le cours des événements en manipulant aisément les files des marionnettes et des pions arrivistes en politique, …etc. D'où sa grande influence sur une gouvernance en mal de mer. L'Intifada des jeunes Sahraouis de l'après la marche verte au Sahara en expriment largement son apartheid emballé. Donc il faut dire que la proposition de l'autonomie est déjà une expression royale très courageuse vu que la machine précitée tiens opiniâtrement au statut quo.
Le problème relève donc de la nature des projets en question « République » ou « autonomie » ?!
Je crois qu'ils sont utopiques et irréalisables vu justement l'impuissance de l'ONU (MUNIRSO) de trouver d'une part les formules convenables (Selon les termes des Accords de Houston …) au labyrinthe identitaire en rapport avec l'espace géo ethnique concernant le principe référendaire. Et de l'autre part trouver les formules convenables à l'application d'une autonomie affranchissante des un et des autres, vue que la problématique ne relève pas d'un ordre interétatique. Ce dernier est un des principes fondamentaux dans la conceptualisation des autonomies proposées par les experts en la matière et l'architecturation de leurs formes juridiques.
Attendre Godo
Dire alors que l'ONU est incapable ne doit pas être un prétexte pour lui faire des reproches ouet la responsabilisée sans se sentir aussi concerner car il s'agit de l'un des cas humains -en dehors de tout politisme pragmaitique- des plus complexes. Certes cette première instance internationale (l'ONU) est sous influence morale et honnête des cinq grands et de tous ceux qui la subventionnent mais elle a une déontologie qui d'ailleurs venait de la secouer dernièrement. Cette déontologie nécessite assistance internationale qui devrait être soutenue durablement pour davantage d'autonomisation de ladite institution. L'ONU fait de son mieux.
A ma connaissance l'ex émissaire onusien Mr J. Becker avait été d'une souplesse extraordinaire par sa proposition concernant cette problématique Sahara mais il avait juste manqué de pertinence vu les motifs de l'impuissance précitée. Chose qui confirme l'exeption de cette affaire ensablée.
Où est donc l'intrus ?
En dépit de tous jugements ou évaluations positives ou négatives le tout revient d'une part à l'état d'esprit de la politique jadis Basriste (de l'ex ministre de l'intérieur marocain)depuis son accession ministrable qui voulait faire des tribus dites TEKNA la carte du joker et de l'autre part à celle militariste des superviseurs Algériens du Front Polisario depuis le cesser le feu.
Il y a là de quoi reprendre l'article parut dans le « Monde diplomatique » titré « regards politiques sur les territoires » de Philipe Rekaswicz en 2000 au paragraphe suivant : « … la carte finale est un document filtré ; (…) censurée d'éléments parfois importants, mais le plus souvent jugés secondaires ou inutiles ; (…) simplifiée pour la rendre lisible ; (…) imprimé (…) d'une certaine manière de concevoir le monde et sa sensibilité… ». Ce n'est pas pour historier ou philosophier mais pour dire autrement : Faute du lègue colonialiste !
Faudra-t-il attendre Godo ?
Forcer le règlement
Ceci ne veut pas dire qu'il faut forcer une solution mais de trouver une issue sans amputer. Bien sur une simple tournée de l'émissaire Onusien P.V. Walsum à travers les mêmes itinéraires n'aura d'autre sens que celui de retrousser les chemins qui avaient finie là où Mr J. Becker s'était arrêté : Une autonomie limitée plus referendum d'autodétermination.
Faut il se poser la question pourquoi alors cette tournée de la part de Mr Walsum ?
Non je préfère pour le plus de neutralité et de contribution positive dont a besoin la problématique, plutôt que de dire pourquoi « Essayons de lui en substituer un sens ». Selon la logique de l'évolution des démarches onusienne je crois qu'il faut que l'ONU donne la parole à ceux capables de propositions pertinentes en une rencontre avec les intellectuels Sahraouis à travers trois Stations aux moins Guelmim (Nord Sahara) – Laayoune et Tindouf.
Sinon l'ONU propose un e-mail spécial pour une communication responsable de ceux capables de propositions.
Personnellement je suis convaincu que Mr B.K.Moon sera capable de trancher là dessus. Ce qu'il lui faut : c'est une aide théorique et intelligente.
De ma part je viens de recevoir une réponse de l'institution Onusienne concernant ma volonté d' y participer par une nouvelle théorie en la matière des autonomies dont je lui ai envoyé le contextuel de sa conceptualisation (1) que j'espère qu'elle sera positive. Elle fait plus que les autonomies proposées par les experts (F. Obereuter, Mme Ruth Lapidote…) et moins d'une république que j'ai intitulé « Autolibertanomie » composée de trois mots latin : Libertatum+ auto + nomos.
Mais il est certain que l'appuie des sociétés Maghrébines et Européennes puisqu'elles sont concernées encouragera à sa mise en exergue et aussi son enrichissement
(1)Pour ceux qui veulent saisir le contextuelle de ma proposition cliquer sur ce site :
http://www.alterinfo.net/pour-le-Sahara-Autolibertanomie-_a15604.html?voir_commentaire=oui
Observation: cet article est publié dans le site:
http://www.alterinfo.net/Ban-Ki-Moon-sera-capable-de-trancher-mais-_a16571.html
Boujemaa Kharraj
Ecrivain journaliste
Formateur de cadres
Guelmim capitale du nord Sahara occidental
Boujemaa Kharraj *
Bientôt l'émissaire Onusien en tournée dans le Maghreb pour quelque chose qui pourra être une valeur ajoutée à une problématique qui normalement n'a plus besoin d'approche techniciste mais plutôt de créativité d'une solution imposable d'elle même. Dans ce sens j'investie cet article qui n'est au fait que prolongation des articles précédents que j'ai édité dans ce respectable site et d'autres...
Récapitulons :
Il faut avouer qu'après plus de trente quatre années la problématique Sahara est passée pour être un plaisir des Sadomasochistes. Il est donc certain que la conscience internationale pour ne pas dire seulement onusienne n'ait plus de raison de ne pas s'y investir intégralement.
A mon sens les belligérants ne peuvent faire mieux de ce qu'ils ont fait. Pour le Polisario il ne peut que se retenir au droit onusien se référant au principe de l'autodétermination tel que reconnu par les nations unies depuis 1945 concernant les régions encore en mal d'être étatiquement. Son état d'esprit s'y accroche comme un refuge ou une sorte d'assurance existentielle surtout que la gouvernance des leaders semble passée pour être un héritage Emirati. A ce propos il faut dire que la même personne depuis trente ans à la tête du Polisario ne donne pas raison à la démocratie sauf pour les nouvelles « républiques monarchiques » qui sont une création purement Arabique! En tout cas les réactions de l'équipe « Khat Achahid » en disent suffisamment.
Du coté marocain je peux vous assurer qu'il n' y a de s'y intéressant à retenir que la bonne volonté du Roi Mohammed six. Autrement dit je joins ma pensée au président du Polisario en ce qu'il a dit à propos du Feu Hassan II : «Il est une perte à la question du Sahara ». Quand à la diplomatie marocaine elle est encore en mal d'une machine makhzanie qui pèse encore de tout son poids sur le cours des événements en manipulant aisément les files des marionnettes et des pions arrivistes en politique, …etc. D'où sa grande influence sur une gouvernance en mal de mer. L'Intifada des jeunes Sahraouis de l'après la marche verte au Sahara en expriment largement son apartheid emballé. Donc il faut dire que la proposition de l'autonomie est déjà une expression royale très courageuse vu que la machine précitée tiens opiniâtrement au statut quo.
Le problème relève donc de la nature des projets en question « République » ou « autonomie » ?!
Je crois qu'ils sont utopiques et irréalisables vu justement l'impuissance de l'ONU (MUNIRSO) de trouver d'une part les formules convenables (Selon les termes des Accords de Houston …) au labyrinthe identitaire en rapport avec l'espace géo ethnique concernant le principe référendaire. Et de l'autre part trouver les formules convenables à l'application d'une autonomie affranchissante des un et des autres, vue que la problématique ne relève pas d'un ordre interétatique. Ce dernier est un des principes fondamentaux dans la conceptualisation des autonomies proposées par les experts en la matière et l'architecturation de leurs formes juridiques.
Attendre Godo
Dire alors que l'ONU est incapable ne doit pas être un prétexte pour lui faire des reproches ouet la responsabilisée sans se sentir aussi concerner car il s'agit de l'un des cas humains -en dehors de tout politisme pragmaitique- des plus complexes. Certes cette première instance internationale (l'ONU) est sous influence morale et honnête des cinq grands et de tous ceux qui la subventionnent mais elle a une déontologie qui d'ailleurs venait de la secouer dernièrement. Cette déontologie nécessite assistance internationale qui devrait être soutenue durablement pour davantage d'autonomisation de ladite institution. L'ONU fait de son mieux.
A ma connaissance l'ex émissaire onusien Mr J. Becker avait été d'une souplesse extraordinaire par sa proposition concernant cette problématique Sahara mais il avait juste manqué de pertinence vu les motifs de l'impuissance précitée. Chose qui confirme l'exeption de cette affaire ensablée.
Où est donc l'intrus ?
En dépit de tous jugements ou évaluations positives ou négatives le tout revient d'une part à l'état d'esprit de la politique jadis Basriste (de l'ex ministre de l'intérieur marocain)depuis son accession ministrable qui voulait faire des tribus dites TEKNA la carte du joker et de l'autre part à celle militariste des superviseurs Algériens du Front Polisario depuis le cesser le feu.
Il y a là de quoi reprendre l'article parut dans le « Monde diplomatique » titré « regards politiques sur les territoires » de Philipe Rekaswicz en 2000 au paragraphe suivant : « … la carte finale est un document filtré ; (…) censurée d'éléments parfois importants, mais le plus souvent jugés secondaires ou inutiles ; (…) simplifiée pour la rendre lisible ; (…) imprimé (…) d'une certaine manière de concevoir le monde et sa sensibilité… ». Ce n'est pas pour historier ou philosophier mais pour dire autrement : Faute du lègue colonialiste !
Faudra-t-il attendre Godo ?
Forcer le règlement
Ceci ne veut pas dire qu'il faut forcer une solution mais de trouver une issue sans amputer. Bien sur une simple tournée de l'émissaire Onusien P.V. Walsum à travers les mêmes itinéraires n'aura d'autre sens que celui de retrousser les chemins qui avaient finie là où Mr J. Becker s'était arrêté : Une autonomie limitée plus referendum d'autodétermination.
Faut il se poser la question pourquoi alors cette tournée de la part de Mr Walsum ?
Non je préfère pour le plus de neutralité et de contribution positive dont a besoin la problématique, plutôt que de dire pourquoi « Essayons de lui en substituer un sens ». Selon la logique de l'évolution des démarches onusienne je crois qu'il faut que l'ONU donne la parole à ceux capables de propositions pertinentes en une rencontre avec les intellectuels Sahraouis à travers trois Stations aux moins Guelmim (Nord Sahara) – Laayoune et Tindouf.
Sinon l'ONU propose un e-mail spécial pour une communication responsable de ceux capables de propositions.
Personnellement je suis convaincu que Mr B.K.Moon sera capable de trancher là dessus. Ce qu'il lui faut : c'est une aide théorique et intelligente.
De ma part je viens de recevoir une réponse de l'institution Onusienne concernant ma volonté d' y participer par une nouvelle théorie en la matière des autonomies dont je lui ai envoyé le contextuel de sa conceptualisation (1) que j'espère qu'elle sera positive. Elle fait plus que les autonomies proposées par les experts (F. Obereuter, Mme Ruth Lapidote…) et moins d'une république que j'ai intitulé « Autolibertanomie » composée de trois mots latin : Libertatum+ auto + nomos.
Mais il est certain que l'appuie des sociétés Maghrébines et Européennes puisqu'elles sont concernées encouragera à sa mise en exergue et aussi son enrichissement
(1)Pour ceux qui veulent saisir le contextuelle de ma proposition cliquer sur ce site :
http://www.alterinfo.net/pour-le-Sahara-Autolibertanomie-_a15604.html?voir_commentaire=oui
Observation: cet article est publié dans le site:
http://www.alterinfo.net/Ban-Ki-Moon-sera-capable-de-trancher-mais-_a16571.html
Boujemaa Kharraj
Ecrivain journaliste
Formateur de cadres
Guelmim capitale du nord Sahara occidental