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L'OUVERTURE DES FRONTIERES ALGERO -MAROCAINE

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emiry75
deporté75
Sidhoum
becharelkhir
boujema kharraj
admin"SNP1975"
10 participants

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becharelkhir

becharelkhir

Réouvrira...,réouvrira pas!!? ,le compte à rebours est lancé,ce n'est que question de temps .
Il faut déjà penser à l'aprés réouverture...???,bonjour le désordre
.
.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Tassili En ligne 14 il y a plusieurs jours

Je ne suis pas pour l'ouverture des frontières térrestre pour le moment, par contre il me parait urgent et nécessaire que les familles frontalières des deux côtés puissent avoir une dérogation Exceptionnelle pour traverser les frontières . C'est archi absurde que ces gens soient ottages de différends politiques Algéro-Marocains .De toutes les façons les contre bandiers continueront à frauder et à user des passages illégaux, alors pourquoi ne pas autoriser seulement ces familles à beneficier de la liberté de passage des deux côtés ? Je voudrai également dire notamment aux Algériens des frontières, qu'il est très fortement préjudiciable à votre pays de brader l'alimentation importée cherement par l'algérie et le gas oil Algérien . Je pense aussi qu'il est très urgent pour l'état Algérien de lancer des projets, notamment touristiques, dans les régions frontalières afin de créer plus d'emploi, et mettre à l'abri cette jeunesse frontalière qui a le culte du trabendo et de la fraude . Port larbi ben m hidi necessite des investissements lourds que l'algérie doit s'inquièter à les réunir pour valoriser ces belles plages plutôt de tout concentrer sur Alger, comme si l'Algérie se limite à Alger . Enfin je voudrai dire à ceux qui croient que l'ouverture des frontières sont bénéfiques au Maroc, je n'en suis ps sur . l'informel qui domine le marché Algérien pourrait casser le marché Marocain, et la Main d'oeuvre Marocaine, notamment agricole pourrait prosperer l'agriculture Algérienne .L'Algérie a perdu son agriculture le jour ou elle a expulsé les Marocains, et cette réalité l'algérie la paye chere par son manque de performance dans le domaine Agricole .Il y'a un problème de culture du travail en Algérie qui est plus grave que le chomage, c pour cela il faut une nouvelle politique.



RACHID.FR 75 En ligne 12 il y a plusieurs jours

je m'adresse a hicham : on a fait les frais des expulsions de maraocains en 75 et que t'a completememt raison ils nous ont jetés a la frontiere comme des malfras alors qu'on on était que des enfants.on a laissé derriere nous tous nos biens des magasins des maisons, toute une vie de travail ...on a vecu la misere dans des tentes avec le froid de l'hiver...je m'adresse aussi a farid et les autres qui nous nous rappellent 94 et les visas ;ce n'était que des touristes et on leur a donné du temps pour quitter le territoire marocain et c'est aussi une erreur commise l'ancien ministre de l'interieur marocain.Dieu merci actuellement je suis proprietaire d'une grosse boite en france et j'emploie des algeriens ; mais j'ai gardé l'amertume envers certains algeriens qui etaient satisfaits de nous voir partir mais d'autres ont pleuré pour nous en 75. Imaginez un peu que tous les algeriens de france ont été expulsé apres les attentats du metro de paris ou bien les marocains de madrid , sont'ils plus intelligents et matures que nous et jusqu'à quand allons nous rendre compte de nos betises et nos arrogances ...merci magharebia de vouloir publier ce texte.

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admin"SNP1975"

admin
Admin

Les frontières algéro-marocaines bientôt rouvertes?
Les frontières algéro-marocaines bientôt rouvertes?
Des sources dignes de foi ont indiqué à L’Expression qu’il est envisagé un vaste projet de réalisation de pas moins de 25 postes tout le long de la frontière avec le Maroc et ce, dans la wilaya de Tlemcen. Le premier objectif de ce projet est, dit-on, officiellement, de lutter contre la contrebande. Mais nos sources signalent également une volonté d’une meilleure prise en charge des passagers entre les deux pays, dans le cadre de la réouverture des frontières entre l’Algérie et le Maroc. Bien qu’aucune autorité compétente ne confirme cet état de fait, les mêmes sources parlent de contacts discrets entre Alger et Rabat pour «dégeler» les relations entre les deux pays.


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becharelkhir

becharelkhir

Initiative louable,nous l'avions déjà préconisé, mais nous souhaitons que cette reprise de contacts entre frères,ne

dérange et ne perturbe pas notre vie quotidienne par ces vacarmes que causent nos invités de l'Est.


Admin


Ce n'est pas encore confirmer.

30L'OUVERTURE DES FRONTIERES ALGERO -MAROCAINE - Page 2 Empty période de réajustement. Mer 9 Avr - 23:48

Sidhoum

Sidhoum

je ne désespère pas, tout comme l’Allemagne de l’Est et de l’Ouest, après une période de réajustement (+ les prisons Marocaines pleines a craquer) tout rentrera dans l’ordre. Les garder fermées ne fait qu’approfondir ce fossé entre nous et après 70 ans on ne se reconnaîtra plus. Il est préférable d’évoluer ensemble a petit pas et au même rythme.

Hopefully, la théorie de Darwin nous viendra en aide et les babouins se rattraperont sur le chemin de l’évolution.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Rabat, 16/04/08- Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taieb Fassi Fihri, a souligné que le dégel des relations entre le Maroc et l'Algérie est tributaire du dépassement des blocages politiques et obstacles psychologiques de la classe dirigeante à Alger.


"Il n'existe, pour l'instant, aucun horizon devant la normalisation des relations entre le Maroc et l'Algérie", a révélé le ministre lors d'une réunion, mardi soir, de la commission des affaires étrangères, des frontières, des zones occupées et de la défense nationale à la Chambre des conseillers, consacrée aux relations maroco-algériennes, aux développements de la question de l'intégrité territoriale et à la situation au Proche-Orient.
M. Fassi Fihri a déploré, à ce propos, que l'Algérie n'ait pas donné suite à l'appel du Maroc relatif à la réouverture des frontières terrestres et à la normalisation des relations entre les deux pays.
Il a relevé les contradictions qui entachent la position de l'Algérie qui, tout en prétendant soutenir le processus d'édification de l'Union du Maghreb Arabe, et veiller à l'intensification des échanges commerciaux et à la libre circulation des personnes entre les pays de la région, rejette toutes les initiatives marocaines pour l'ouverture des frontières.
S'agissant de l'intégrité territoriale suite au quatrième round des négociations sur le Sahara, M. Fassi Fihri a indiqué que ce dossier se trouve actuellement à un tournant décisif nécessitant la maîtrise du processus de négociation et la vigilance pour faire face aux tentatives désespérées visant à porter préjudice à l'intégrité territoriale du Royaume.
Il a rappelé le grand soutien dont jouit la proposition d'autonomie présentée par le Maroc et qui est sans cesse encouragée par les pays influents sur la scène internationale, faisant remarquer que la région ne peut supporter la création d'un Etat indépendant pour des raisons se rapportant, d'une part, à la légitimité du dossier marocain, et, d'autre part, à la conjoncture régionale et internationale.
Le ministre a réitéré la détermination du Maroc à poursuivre sa coopération totale avec le secrétaire général de l'ONU et son envoyé personnel, dans le sillage du cadre légal du processus des négociations et dans le strict respect des fondements de la souveraineté du Royaume, rappelant que la position marocaine tire sa force de la justesse de la cause nationale et de l'unité des rangs des forces nationales autour de SM le Roi.
Par ailleurs, M. Fassi Fihri a évoqué les développements de la situation au Proche-Orient à la lumière de la poursuite du blocus imposé à Gaza par les autorités d'occupation israéliennes et aux agressions contre le peuple palestinien, rappelant à cet égard la position du Maroc qui reste attaché au processus de paix dans la perspective de la création de l'Etat palestinien indépendant avec Al Qods Acharif comme capitale.
Dans leurs interventions, les membres de la Commission se sont félicités des acquis réalisés par le Maroc lors des négociations de Manhasset, en ce sens que les calculs de l'Algérie ont été perturbés et ses visées dévoilées dans le monde entier désormais conscient, ont-ils souligné, que la question du Sahara est bel et bien un conflit maroco-algérien.
Ils ont appelé à consacrer "l'esprit d'anticipation" qui caractérise l'action de la diplomatie marocaine en encourageant les pays qui ne l'ont pas encore fait à retirer leur reconnaissance de la pseudo-Rasd, ainsi qu'à mener des initiatives auprès de la communauté internationale afin d'aider à parvenir à une solution consensuelle à ce conflit artificiel.
Les parlementaires ont, d'autre part, déploré les pertes que fait subir à la région maghrébine dans son ensemble la fermeture des frontières entre le Maroc et l'Algérie, estimant que le peuple algérien "attend impatiemment" leur réouverture.
Cette réunion s'est déroulée en présence des deux secrétaires d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Ahmed Lakhrif et Mme. Latifa Akharbach.


Par MAP.
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slaker

slaker

Admin a écrit:MI 1798 REPORTER AU FORUM DU SAHARA MAROCAIN/

Resume :
L'Algerie étudie sérieusement entamer des négociations d'ouverture des frontières avec le Maroc.

D'apres une source algérienne qui a une relation avec la gestion du dossier des relations algero-marocaines ,L'Algerie étudie sérieusement entamer des négociations d'ouverture des frontières avec le Maroc pour l intérêt des deux pays.
le diplômât algérien remarque que l'appel du Maroc a l 'ouverture des frontières est un geste tactique du ministère d'extérieur marocain ,car il a eu lieu juste quelques jours après l'échec des négociations de Manhaseet et apres les récentes déclarations du président algérien Bouteflika a l'agence de presse Reuters :" l'ouverture des frontières est très probable."
le diplômât algérien ajoute qu'il faut négocier non seulement l 'ouverture des frontières mais aussi autres sujets bilatérales comme les affaires consulaires et judiciaires des résidents dans les deux pays et du dossier des frontières hérités de l époque coloniale , le maroc est intéressé par l'ouverture des frontières orientales pour faciliter les échanges commerciaux ,mais l algerie exige d abord la reconnaissance du maroc de toutes les frontières hérités du colonialisme ,ce qui permettra l ouverture de toutes les frontières terrestres et non seulement les frontières orientales.

Les ouvrir pourquoi pour voir deferler des vouyous, des voleurs et autres tarfiquants, qu'elles restent fermées jusqu'a la resolution de "tous les pb" y compris celui des deportés qui ont ete detroussés par des brigands institutionnels !

becharelkhir

becharelkhir

Slaker écrit:
Les ouvrir pourquoi pour voir deferler des
vouyous, des voleurs et autres tarfiquants, qu'elles restent fermées
jusqu'a la resolution de "tous les pb" y compris celui des deportés qui
ont ete detroussés par des brigands institutionnels !

Malgré tout le Maroc met tout le paquet,décidemment c'est pour défier ces arnaques de vérité et les mettre en épreuve.

Mr. Tayeb Fassi El-Fihri ministre des affaires étrangères a
convoqué hier le Lundi 5/5/2008 ,l'embassadeur de
l'Algérie pour lui affirmer difinitevement que le Maroc est désormais prés, à discuter avec le pouvoir algérien de toutes
les questions que ce pouvoir prétextait être plus importantes
que l'ouverture des frontières (...),et par cette occasion il a renouvelé la démarche d'ouverture des frontières,qu'ils avaient rejetée de la manière que tout le monde a su.

becharelkhir

becharelkhir

J'ai omis de préciser que pour traduire les dires au faits,Mr.
Fassi El-Fihri a suggéré que les ministres des affaires étrangères et de l'intérieur des deux pays,doivent se rencontrer dans un bref délais à ce sujet.

slaker

slaker

Abdelaziz a écrit:Slaker écrit:
Les ouvrir pourquoi pour voir deferler des
vouyous, des voleurs et autres tarfiquants, qu'elles restent fermées
jusqu'a la resolution de "tous les pb" y compris celui des deportés qui
ont ete detroussés par des brigands institutionnels !

Malgré tout le Maroc met tout le paquet,décidemment c'est pour défier ces arnaques de vérité et les mettre en épreuve.

Mr. Tayeb Fassi El-Fihri ministre des affaires étrangères a
convoqué hier le Lundi 5/5/2008 ,l'embassadeur de
l'Algérie pour lui affirmer difinitevement que le Maroc est désormais prés, à discuter avec le pouvoir algérien de toutes
les questions que ce pouvoir prétextait être plus importantes
que l'ouverture des frontières (...),et par cette occasion il a renouvelé la démarche d'ouverture des frontières,qu'ils avaient rejetée de la manière que tout le monde a su.

ces demandes n ont d autre but que de demontrer le double langage et la dichotomie du pouvoir algerien et elles coincident avec la visite de Alliot Marie en Algerie et celle du président du parlement europeen au Maroc

36L'OUVERTURE DES FRONTIERES ALGERO -MAROCAINE - Page 2 Empty La réponse. Mar 6 Mai - 13:35

Sidhoum

Sidhoum

Abdelaziz a écrit:Mr. Tayeb Fassi El-Fihri ministre des affaires étrangères a convoqué hier le Lundi 5/5/2008 ,l'embassadeur de
l'Algérie pour lui affirmer difinitevement que le Maroc est désormais prés, à discuter avec le pouvoir algérien de toutes
les questions que ce pouvoir prétextait être plus importantes
que l'ouverture des frontières (...)

Moi je voudrais dire à ce mec Fassi El-Fihri: “Viens ici que je t’Ombrasse yal ouehd el’Fassi!”

La réponse qu’il va bientôt obtenir c’est: “Na, Na, i pouï na, yen a pas l’ouverture des frontières!!! On a chonji d’avi, i fo maintenant résoudre li kistious en sispens AVON l’ouverture di frontchiaîres + i fo que vous achetiez tout notre stock de batata khamdja….yen a bon la guerre!”

admin"SNP1975"

admin
Admin

Nouvelles manoeuvres de Mohammed VI: Le Maroc revient sur les frontières

par Ali Babès

Le Maroc est, une nouvelle fois, revenu à la charge sur le dossier de la réouverture des frontières avec l'Algérie.

Le Chef de la diplomatie marocaine, M. Taïeb Fassi Fihri, a, une fois encore, remis sur la table la question de la réouverture des frontières entre les deux pays, lundi, en recevant le chargé d'affaires algérien à Rabat.

Le Maroc ''réitère son engagement sincère en faveur d'une normalisation de ses rapports bilatéraux avec l'Algérie soeur et voisine», a déclaré le ministre marocain. Il a ainsi souligné que «le Maroc appelle, de nouveau, à la réouverture de la frontière terrestre entre les deux pays, fermée depuis 1994, et à la reprise de la coopération bilatérale dans ses différents volets».

M. Fassi Fihri a transmis, au chargé d'affaires à l'ambassade d'Algérie à Rabat, une proposition du gouvernement marocain consistant dans la tenue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères et de l'Intérieur des deux pays. Le but est de «faire le point sur l'état des relations bilatérales, d'examiner les questions en suspens et d'arrêter, d'un commun accord, les modalités d'une relance effective et durable des relations entre les deux pays frères», indique un communiqué du MAE marocain.

Le ministre marocain, qui est dans la diplomatie depuis presque dix ans, proche du Roi et un de ses plus intimes, compte relancer ce dossier dans un contexte international et régional particulier. Car cet appel, qui n'est pas désintéressé politiquement ni dénué d'une certaine tactique diplomatique qu'affectionne le Palais royal, intervient d'abord au moment où l'Algérie renforce les grands thèmes de la coopération bilatérale avec la France avec la présence de la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie à Alger. Ensuite, cette autre sortie médiatique de Rabat se veut être un rappel à la communauté internationale, particulièrement européenne et française notamment, que c'est plutôt à Alger qu'il fait le plus froid dans les relations entre les deux pays maghrébins. Une tactique qui a contribué, malheureusement, à donner une image plutôt décevante des relations que Rabat veut réamorcer avec l'Algérie. Car, dans cette position, il y a beaucoup d'hypocrisie politique.

Faut-il rappeler l'incident de juin 2005 lorsque le ministère des Affaires étrangères marocain, alors dirigé par M. Mohamed Benaïssa, avait effrontément intimé au Chef du gouvernement d'alors, M. Ahmed Ouyahia, de ne pas venir à Rabat, alors qu'à Alger on se préparait à rouvrir tous les dossiers litigieux entre les deux pays, y compris celui problématique de la réouverture des frontières ? Que faut-il y penser, dès lors, sinon que cette mauvaise foi des officiels marocains ne milite aucunement pour qu'Alger oublie les ''coups de jarnac'' de la partie marocaine. Bien sûr qu'il faut développer les relations fraternelles entre les deux pays, entre les deux peuples, et impulser davantage la coopération économique entre les deux pays qui ont énormément de points en commun.

Encore faut-il, pour cela, que le Maroc adopte une vision plus réaliste de la réalité socio-politique et stratégique actuelle dans le Maghreb. Avec, comme priorité, de baliser en toute sincérité la route vers un référendum d'autodétermination au Sahara Occidental, et de permettre au peuple sahraoui de décider librement de son avenir. Car l'appel du 20 mars dernier, et ceux avant cette date, du Maroc n'ont, d'autre finalité, que de faire revenir à la vie l'Oriental, l'Est du pays, exsangue depuis la fermeture de cette frontière par l'Algérie en 1994 sur le sillage de l'imposition, par le Maroc, aux Algériens du visa d'entrée. Mais également après les déplorables et condamnables persécutions de milliers de touristes algériens après les attentats terroristes de Marrakech, injustement imputés par le Maroc à l'Algérie. Dans certains cas, même si cela fait mal, il faudrait quand même que la simple vérité soit dite, et reconnue, pour que la faute soit pardonnée.
Comment faudrait-il, d'autre part, décrypter la proposition du gouvernement marocain consistant dans la tenue d'une réunion des ministres des Affaires étrangères et de l'Intérieur des deux pays, avec comme objectif de faire ''le point sur l'état des relations bilatérales'' ?

Quotidien d'Oran

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Sidhoum

Sidhoum

Admin a écrit: Car l'appel du 20 mars dernier, et ceux avant cette date, du Maroc n'ont, d'autre finalité, que de faire revenir à la vie l'Oriental, l'Est du pays, exsangue depuis la fermeture de cette frontière par l'Algérie en 1994 sur le sillage de l'imposition, par le Maroc, aux Algériens du visa d'entrée.

Mais également après les déplorables et condamnables persécutions de milliers de touristes algériens après les attentats terroristes de Marrakech, injustement imputés par le Maroc à l'Algérie. Dans certains cas, même si cela fait mal, il faudrait quand même que la simple vérité soit dite, et reconnue, pour que la faute soit pardonnée.

Le nombrilisme est dans le DNA des khorotos et il les aveugle au point qu’ils se sont convaincus qu’ils sont blanche-neige et il n’y qu’eux qui doivent recevoir des excuses de la France, du Maroc, de Papoua New Guinée, etc…

Le Maroc est prêt a présenter ses excuses et même compenser les 200 familles Algériennes expulsées durant l’attentat de Marrakech, si les khorotos présentent leurs excuses et compensent les 35000 familles = 200000 âmes qu’ils ont volé et jeté à zoudj bghal en 75.

Mon Dieu que l’Algérie est remplie de bourricots arrivistes.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Frontière algéro-marocaine
Le Maroc revient à la charge

Malgré le refus qu’il a essuyé au sujet de la réouverture de la frontière terrestre de la part du gouvernement algérien, le régime alaouite maintient son forcing. C’est ainsi que le Maroc vient de réitérer son engagement en faveur d’une normalisation de ses rapports avec l’Algérie.

Par Yassine Mohellebi


D’un côté, le ministre de l’Intérieur, M. Chakib Benmoussa, de l’autre, celui des Affaires étrangères, M. Taïb Fassi Fihri. Tous deux ont fait part, à travers deux sorties distinctes, de leurs attentes de voir les relations entre les deux pays normalisées. Une normalisation qui passe logiquement par la réouverture des frontières, fermées depuis 1994.
C’est sur le plateau de la chaîne qatarienne El-Jazzera que M. Ben Moussa a appelé les autorités algériennes à rouvrir ses frontières. Celui-ci bien qu’ayant déjà adressé le même message ne semble cependant pas découragé de voir sa requête prise en considération. Pourtant, son homologue algérien, Yazid Zerhouni, lui a bien signifié la position algérienne sur la question, il y a quelque temps. En effet, le responsable algérien a conditionné l’hypothèse d’une réouverture de la frontière terrestre au règlement des conditions ayant conduit à sa fermeture. L’autre ministre du gouvernement alaouite est celui des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taïb Fassi Fihri, qui a reçu lundi dernier à Rabat le chargé d’affaires auprès de l’ambassade d’Algérie.
À cette occasion, M. Fassi Fihri a précisé que le royaume du Maroc réitère son engagement «sincère» en faveur d’une normalisation de ses rapports bilatéraux avec «l’Algérie sœur et voisine», indique un communiqué du MAE, repris par la MAP.
M. Fassi Fihri a souligné que le Maroc appelle, de nouveau, à la réouverture de la frontière terrestre entre les deux pays et à la reprise de la coopération bilatérale dans ses différents volets.
«Le gouvernement de Sa Majesté le roi exprime sa pleine disponibilité à engager dans les meilleurs délais, avec les autorités algériennes, le dialogue et les consultations nécessaires à cet effet», a ajouté le ministre. Il a enfin fait part de la proposition du gouvernement marocain de tenir une réunion conjointe des ministres des Affaires étrangères et de l’Intérieur des deux pays en vue «de faire le point» sur l’état des relations bilatérales, d’examiner les questions en suspens et d’arrêter, d’un commun accord, «les modalités d’une relance effective et durable des relations entre les deux pays frères».
Pour le cas du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taïb Fassi Fihri, il est à se demander quelles sont les motivations qui l’ont conduit à rencontrer le chargé d’affaires auprès de l’ambassade d’Algérie à Rabat et non pas l’ambassadeur tout court. Ouvrir la frontière algéro-marocaine alors que le mur de défense marocain reste tout entier au Sahara occidental serait pour le moins incommode. Un mur séparant le peuple sahraoui en deux sur ses propres terres et miné de milliers de bombes à fragmentation. Le double langage de Rabat, qui, tantôt accuse l’Algérie d’être à l’origine de tous ses maux, tantôt la considère comme un voisin pouvant apporter un plus à la construction d’un partenariat régional solide, contraste avec les objectifs réels de cette demande pressente de relance des relations bilatérales indépendamment de la politique propagandiste marocaine à l’égard de notre pays sur le plan diplomatique. Si l’on y réfléchit bien, cette «normalisation» permettra-t-elle au Algériens de circuler librement sur le territoire marocain y compris ceux occupés du Sahara occidental comme le seront leurs frères marocains en Algérie ? Pourrions-nous dire que la presse, les associations et les responsables algériens seraient en mesure de sillonner les territoires sahraouis occupés ? C’est dans cet esprit que les autorités marocaines doivent mesurer les possibilités de normalisation de ses relations avec l’Algérie. Y. M.

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admin"SNP1975"

admin
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RÉOUVERTURE DES FRONTIÈRES AVEC LE MAROC
Un problème d’écologie politique
07 Mai 2008 - Page : 24
Lu 2447 fois


Cette fermeture des frontières avec le Maroc n’a pas d’incidences économiques sur l’Algérie.

Par le biais de la presse officielle et de certains de ses hommes politiques proches des centres décisionnels, le Maroc a plusieurs fois exprimé son voeu de rouvrir ses frontières avec l’Algérie. La dernière demande en date a été formulée lundi dernier, par le chef de la diplomatie marocaine, M.Taïeb Fassi Fihri, en recevant le chargé d’affaires algérien à Rabat. «Le Maroc appelle, de nouveau, à la réouverture de la frontière terrestre entre les deux pays, fermée depuis 1994, et à la reprise de la coopération bilatérale dans ses différents volets.»
Il faut dire que le problème de la fermeture des frontières n’est pas algérien, il est d’abord et avant tout marocain. Parce que cette fermeture des frontières avec le Maroc n’a pas d’incidences économiques sur le pays. D’une certaine manière, elle est même positive pour l’Algérie.
Qu’on en juge: actuellement, il y a une réelle baisse du trafic d’armes, de la contrebande et de la drogue sur nos frontières ouest. On se rappelle du début des années 90, quand des produits alimentaires achetés à coup de devises et subventionnés, traversaient la frontière pour être ensuite vendus dans les souks d’Oujda. En fait, s’il s’agit uniquement de transférer des milliards de dollars d’Alger vers Rabat, la réouverture des frontières n’est pas une opportunité intéressante pour l’Algérie.
Des sources diplomatiques algériennes indiquent que cette demande est prise très au sérieux du côté algérien, pour peu que le Royaume chérifien surmonte le complexe politique et accepte d’assainir une certain nombre de dossiers, indépendamment de la question du Sahara occidental. Pour cette dernière, il est entendu qu’il s’agit d’une question de décolonisation entièrement prise en charge par l’ONU. Pour ainsi dire, il s’agit d’un problème d’écologie politique. Il faut dire aussi que l’opportunité est propice depuis que le climat des relations est détendu après le travail accompli par l’ambassadeur d’Algérie au Maroc, Larbi Belkheir, qui a une bonne audience au Royaume. En revanche, l’ouverture des frontières est une question vitale pour le Palais royal. A l’heure actuelle, toute la partie orientale marocaine vit une profonde crise sociale. Une crise qui risque de s’aggraver avec la hausse des prix des produits alimentaires sur le marché mondial. Les villes frontalières marocaines dépendaient dans une large mesure de leurs relations avec l’Ouest algérien avec qui les échanges économiques, touristiques et surtout commerciaux étaient multiples. L’évolution de ces échanges a engendré une prospérité jamais égalée dans cette partie du territoire marocain.
C’est que la réouverture des frontières, évoquée avec insistance par les Marocains, est devenue un credo. Observée sous un certain angle, cette demande -non officielle-, découle du pragmatisme économique bien connu chez nos voisins marocains. Leur présence «agressive» dans les marchés européens et même américains est indéniable. C’est donc de bonne guerre qu’ils lorgnent les pétrodollars algériens. Près d’un million de touristes avaient visité le Maroc dans les années 90.
Connaissant les relations particulièrement fraternelles entre les deux peuples, ce nombre de touristes aurait triplé, voire même quadruplé si les frontières étaient ouvertes. Selon des statistiques non officielles, le manque à gagner pour le Maroc se chiffre à environ 5 milliards de dollars. Un montant dont le Royaume a tant besoin en ces moments de crise sociale. Cependant, reste toujours le fait que le Maroc, qui a accusé à tort les services spéciaux algériens dans l’attentat contre l’hôtel Asni, à Marrakech, ne s’est toujours pas excusé, comme le revendique l’Algérie.
Car, par la suite, il s’est avéré que les services algériens n’avaient rien à voir dans cet attentat. C’est le Maroc qui a voulu punir l’Algérie en décidant unilatéralement de fermer ses frontières. Certes, il est revenu par la suite sur sa décision mais il reste que le Maroc ne fait toujours pas l’effort d’admettre avoir commis une erreur. Et puis, l’Algérie trouvera-t-elle son compte en ouvrant ses frontières avec le Maroc? D’autant plus que l’Union du Maghreb est gelée par Rabat.
En novembre 1994, le Premier ministre marocain, M.Fillali, a adressé à Zine El Abidine Ben Ali, alors président en exercice de l’UMA, une lettre dans laquelle il demandait le gel des activités de l’UMA. Curieusement, cette demande intervient juste quelques mois après l’attentat de Marrakech.

Brahim TAKHEROUBT

L'expression

Je vous invite à singner ce manifeste de paix en se rendant sur ce lien :


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admin"SNP1975"

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Sahara :la résolution du Conseil de sécurité conforte la proposition marocaine (ministre des AE)
Rabat, 08/05/08- La résolution 1813 du Conseil de sécurité de l'ONU sur le Sahara consacre les développements positifs qu'a connus ce dossier et conforte la pertinence de la proposition marocaine d'autonomie qui se distingue par son audace et son ouverture, a affirmé le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, M. Taieb Fassi Fihri.

Dans un exposé présenté jeudi devant le conseil de gouvernement sur le contexte et les significations de cette résolution, M. Fassi Fihri a indiqué que celle-ci constitue une nouvelle étape dans le tournant entamé l'année dernière et a mis en exergue les développements essentiels survenus dans le traitement de la question du Sahara au niveau du Conseil de sécurité, a déclaré le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, M. Khalid Naciri, dans un point de presse à l'issue de la réunion du Conseil.

M. Fassi Fihri a indiqué que la résolution appelle à s'engager dans des négociations substantielles basées sur le réalisme et l'esprit de compromis, soulignant qu'il s'agit d'une nouvelle approche dans le traitement de ce dossier par le Conseil de sécurité.

Concernant les relations maroco-algériennes, le ministre a réitéré l'appel officiel du Maroc pour la réouverture des frontières entre les deux pays, qui, a-t-il dit, n'a trouvé d'écho qu'auprès d'une certaine presse algérienne qui lui a réservé un traitement négatif.

Le ministre de l'Intérieur, M. Chakib Benmoussa, a souligné, pour sa part, l'obligation de suivre avec vigilance et prudence les provocations qui se produisent à l'est de la ceinture de sécurité et les manoeuvres qui se prévalent à tort des principes des droits de l'Homme pour couvrir des agissements séparatistes inacceptables.

Le Maroc affirme à cette occasion que l'autre partie est mal placée pour lui donner des leçons en matière des droits de l'Homme, d'autant plus que cette partie bafoue sans cesse ces mêmes droits dans la zone qui se situe au delà du mur, a ajouté le ministre.



MAP

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admin"SNP1975"

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Admin

Actualités : OUVERTURE DES FRONTIÈRES OUEST-ALGÉRIENNES
Le chant des sirènes




Bruxelles certifie que les semaines et mois à venir verront une énorme pression s’exercer sur l’Algérie pour qu’elle rouvre ses frontières terrestres avec le Maroc. Le piège est tendu.
De notre bureau de Bruxelles, Aziouz Mokhtari
Pour la simple et unique raison que plusieurs pays européens, en tête desquels, bien évidemment, la France, instruits de la situation catastrophique dans laquelle vit l’est du Maroc, du fait de la fermeture en 1994 de la vache à lait Algérie, et incapables eux-mêmes d’apporter une aide conséquente à Rabat pour éviter l’explosion, l’Union européenne choisit donc Alger pour parer au plus urgent. Cette curieuse générosité européenne — Bruxelles veut, en effet, apporter de l’aide au Maroc mais avec le potentiel Algérie — est à analyser avec sérieux. Ici, quelques repères. En vendant le produit Maroc, après la mort de Hassan II, comme étant démocratique, sur la voie des réformes, le bon élève de la bonne gouvernance, l’Union européenne s’est prise à son propre piège. Les désarrois économiques du bon élève, le peu d’engouement populaire pour les processus électoraux organisés au pays de Mohammed VI, et la fulgurante montée de l’islamisme, assis, au Maroc, sur des bases solides, durables. Ici, une jonction peut se réaliser, rapidement, entre une ruralité où le féodalisme reste de mise, des pans urbains et «rurbains» en entier déclassés par une mondialisation effrénée, sans garde-fous et un mouvement populiste aux accents religieux mobilisateurs comme les mouvements islamistes, tant au Maroc ou ailleurs dans le monde dit arabo-musulman, savent en fabriquer. Au début, les deux premières années du règne de Mohammed VI, cette image d’un Maroc serein, réformé, allant tranquillement son chemin vers des rivages démocratiques et vertueux, a très bien fonctionné grâce à l’incroyable appareil de propagande du Makhzen et son puissant allié : les médias lourds français, tant publics que privés. La comparaison avec son tumultueux et indiscipliné voisin algérien avait, vite, fait de tourner à l’avantage de Rabat surtout qu’Alger résistait sur des questions importantes (Palestine, Liban, souveraineté de la Syrie, Iran, reconnaissance par la France des crimes coloniaux) et ne lâchait pas le peuple sahraoui. Les restes du «qui-tue-qui ?» et les errances des gouvernants algériens feront le reste. Le Maroc est un pays démocratique, l’Algérie non. Cette grille de lecture imposée en Europe par la France, bien évidemment, atteint ses limites. Tout d’abord, parce que les attentats du 11 septembre du WTC ont laminé les thèses et les orientations de l’Internationale socialiste qui portait, à bout de bras, le gouvernement de Abderrahmane El Youssoufi. Ensuite, parce qu’on a beau mentir, travestir la vérité et vendre un produit en lui attribuant des vertus qu’il n’a pas, tout cela finira bien par être, un jour, su et découvert. Ce qui devait arriver arriva donc. Dans le jargon du marketing de la réclame, on appelle cela «publicité mensongère». Des eurodéputés, des journalistes impartiaux, une partie de la société civile marocaine autonome et authentique, des combats de citoyens du pays et des témoignages d’ONG ont rétabli un tant soit peu l’équilibre. Le Maroc n’est pas le pays de cocagne vendu à l’étranger par la France, c’est, surtout, une monarchie exécutive où les pouvoirs et les avoirs du palais royal ne peuvent même pas être évoqués, y compris dans «le Parlement», où la corruption règne en maîtresse des lieux, où la misère triomphe chaque jour davantage, jetant sur le pavé des milliers et des milliers de personnes, où la montée de l’islamisme radical est un phénomène réel à ne pas négliger du tout. L’autre gros morceau, l’os qui a fait grincer la machine franco-marocaine, est la question du Sahara occidental. Le peuple des Ténèbres a su, parfaitement, porter sa cause, la défendre, l’internationaliser. Plus aucun Etat sérieux au monde, pas même la France, ne nie l’existence du peuple sahraoui. C’est un dossier solide, conséquent, incontournable, inscrit sur les tablettes de l’ONU sous le chapitre «décolonisation». En choisissant, par rapport à cette question, la fuite en avant et l’irresponsabilité, Mohammed VI se trouve, de ce fait, devant une impasse. Comment, en effet, demander à l’Algérie de rouvrir ses frontières alors qu’aucun pas significatif n’a été signalé, venant de la part de Rabat et concernant le Sahara occidental. Paris et Bruxelles savent parfaitement que l’Algérie ne peut pas comme ça — c’est cela, en définitive l’ouverture des frontières ouest — octroyer au Maroc une manne financière considérable sans que le Maroc respecte ses engagements internationaux sur le dossier sahraoui. Ceci reviendrait à déconsidérer de façon irrémédiable l’Algérie, porter un coup bas au Polisario et la RASD, punir la Tunisie, partenaire loyal et pays ami (l’ouverture des frontières avec le Maroc se fera au détriment de Tunis qui perdrait ainsi d’importants flux touristiques algériens). Dans l’esprit du tandem Sarkozy-Kouchner, l’Union pour la Méditerranée servira, aussi, à amener l’Algérie à s’ouvrir sur le Maroc. Sans chercher son reste, ni à s’occuper du peuple sahraoui. Raison supplémentaire pour se méfier des chants de sirènes, surtout en mer Méditerranée.
A. M.

Le soir d'Algerie

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slaker

slaker

[quote="Admin"]Actualités : OUVERTURE DES FRONTIÈRES OUEST-ALGÉRIENNES
Le chant des sirènes




Bruxelles certifie que les semaines et mois à venir verront une énorme pression s’exercer sur l’Algérie pour qu’elle rouvre ses frontières terrestres avec le Maroc. Le piège est tendu.
De notre bureau de Bruxelles, Aziouz Mokhtari
A. M.

Le soir d'Algerie
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voila ou emarge l'auteur de l'article

Naissance du comité belgo-algérien de soutien au peuple sahraoui, Aziouz Mokhtari, Le Soir d'Algérie, Alger, 10.07.03.

Echec des "candidats du Polisario" en Belgique
Cuisant éhec pour les "candidats" du Polisario aux élections communales belges du 8 octobre dernier. Trois candidats, connus pour leur inconditionnel soutien aux mercenaires, ont fait les frais de leur choix et l'objet d'un SMS qui a largement circulé en Belgique pour appeler à leur barrer la route. Chérifa Ghazala, ex-échevine (adjointe PS du maire de Saint-Gilles) a ainsi perdu son siège (arraché à plus de 4.000 voix lors des précédentes élections). Chérifa Ghazala avait pris part aux festivités, à Tifariti, célébrant la création de la RASD. Aziouz Mokhtari (Mouvement réformateur) et une certaine Fadila. F (Front démocratique francophone) n'ont pas mieux fait puisqu'ils ont perdu leurs mandats électifs à Etherbeek et Bruxelles. Dernière blague circulant, par SMS, dans la capitale belge : "Le Polisario proteste contre l'élimination de ses trois candidats à Bruxelles" !

Sidhoum

Sidhoum

A tous les imbéciles Algériens qui disent "la frontière doit restée fermée". A ces idiots authentiques, qui sont sûrement d’Alger et de l’Est, qui veulent parler au nom de nous tous et qui devraient s’occuper de leur frontière avec la Tunisie et la Libye :

Que vous le vouliez ou non, LA FRONTIERE S’OUVRIRA, même si ce scénario devait ressembler à la chute du mur de Berlin ou des milliers d’Allemands ont décidé de prendre leur destin en mains et de s’engager dans la casse et si vous avez du nif, N’ALLEZ PAS AU MAROC, quand cela arrivera. N’ALLEZ PAS AU MAROC YA OULED EL K’HAB, ALLEZ en Tunisie, en Libye ou au t’let el'khâli dial ed’enia MAIS PAS AU MAROC ya râb’koum, c’est aussi simple que ça!!!

Les Algériens de l’Ouest d’Oran jusqu’a Tindouf sont POUR l’ouverture des frontières et savent bien que le peuple Marocain est un peuple frère et que les Marocains ne sont pas nos cousins mais nos frères a part entière et notre famille la plus proche. Voici les preuves : lorsque les Marocains et Algériens se retrouvent à l’étranger ou ceux qui vivent à l’étranger (loin de toute influence des khorotos), ils se cherchent instinctivement et dès qu’ils rencontrent un Marocain (ou vice versa), ce dernier fait automatiquement partie du groupe (Je me rappelle très bien mes années universitaires, ou dès qu’il s’agissait d’organiser une équipe de football contre les Américains, c’était tout de suite les Marocains et Algériens qui se groupaient automatiquement pour former une équipe, le Tunisien, Libyen, Saoudien, etc…était toujours sur la touche).



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Le gouvernement ne semble pas pressé d’ouvrir la frontière Algérie-Maroc en raison du différend avec Rabat sur la question du Sahara Occidental.
dimanche 18 mai 2008.
S’exprimant sur le sujet de la relance de l’Union du Maghreb arabe (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie), le chef du gouvernement Abdelaziz Belkhadem a affirmé qu’il faut redoubler d’efforts pour le projet d’unification maghrébine et le mettre « à l’abri des contingences et des différends marginaux ». Mais il faut espérer que nous ne sommes pas simplement dans ce rituel qui dispense de l’action et qui conforte le statu quo d’une union maghrébine, sinon morte, du moins végétative. Si, comme le dit le chef du gouvernement algérien, l’UMA « constitue un cadre global et stratégique pour l’action intermaghrébine », cela implique que l’on redynamise ce cadre, qu’on lui donne de la vie. Car si l’UMA existe sur le papier et si des structures sont en place, elle est sans vie. Elle n’est qu’une référence vague derrière laquelle chacun se cache pour accuser l’autre de l’entraver et de la bloquer. Mettre l’UMA ((Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie)) à l’abri des contingences et des différends marginaux, cela signifie que les divergences sur la question du Sahara Occidental ne doivent plus constituer un obstacle. Car, ne nous leurrons pas, si le conflit du Sahara Occidental est souvent invoqué pour justifier le blocage maghrébin, cela n’explique pas que les échanges entre l’Algérie et la Tunisie soient encore faibles. (Connectez-vous sur le forum algerie-dz.com pour exprimer votre avis sur l’article : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Le Maghreb a besoin d’une impulsion politique forte qui ne vient pas encore. Le cinquantenaire de la conférence de Tanger a été une opportunité qui n’a pas été exploitée. Ce n’est pas un mystère : les peuples sont prêts pour le Maghreb, ce sont les gouvernements qui ne le sont pas. Ils sont encouragés, il est vrai, dans leur immobilisme par le manque d’implication des sociétés civiles et, dans le cas de l’Algérie et du Maroc, par un journalisme pavlovien qui rejette sans examen, quand il ne le dénigre pas, tout ce qui vient de l’autre. On peut être totalement en faveur du droit à l’autodétermination du peuple du Sahara Occidental et considérer comme absurde le maintien de la fermeture de la frontière avec le Maroc. Suivre sans examen critique les réticences officielles algériennes, au demeurant beaucoup moins catégoriques que les journaux, ne fait qu’ajouter à la confusion. Si M. Abdelaziz Belkhadem dit vrai sur l’impératif de dépasser les contingences, alors la question de l’ouverture des frontières, largement souhaitée par les citoyens algériens et les Marocains, mérite d’être examinée plus sérieusement que sous forme de réponse lapidaire.

Synthèse de Mourad, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
D’après le Quotidien d’Oran

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Reportage sur les 1559 km de frontières maroco-algériennes fermées

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Le journal espagnol El Pais publie dimanche un reportage sur le drame inaperçu occasionné par la fermeture de la frontière maroco-algérienne depuis 1994 à des dizaines de milliers de familles des deux pays, qualifiant cette frontière de "plaie de 1.559 km". Dans son reportage, Ignacio Cembrero assure que la fermeture de la frontière entre le Maroc et l’Algérie a détruit la vie de dizaines de milliers de familles. Sa traversée est interdite et le drame demeure inaperçu.


"Le Roi Mohammed VI du Maroc a fait des gestes conciliateurs. Durant l’été 2004, il a supprimé le visa pour les Algériens et le président Abdelaziz Bouteflika a fait de même huit mois après", rappelle le journal qui souligne que le Maroc a demandé à plusieurs occasions la réouverture de la frontière, à travers des communiqués ou dans des forums internationaux, alors que l’Algérie renvoie la question aux calendes grecques.

"Cette réouverture n’est pas envisageable dans l’immédiat", avait répondu en avril dernier le chef de la diplomatie algérienne, Mourad Medelci, au dernier appel lancé par son homologue marocain.


"A 180 Km d’Almeria, commence la frontière la plus longue du monde, presque hermétiquement fermée depuis 1994. Entre les deux Corées, théoriquement en guerre, circulent maintenant des trains de marchandises et seulement deux autres frontières -celles qui séparent l’Arménie de la Turquie et de l’Azerbaïdjan- sont aussi infranchissables que celle qui divise l’Algérie et le Maroc", ajoute-t-il.

Pour pouvoir réaliser ce reportage, El Pais avait demandé une autorisation au Maroc et à l’Algérie, mais seules les autorités marocaines ont accédé à sa requête alors que les autorités d’Alger n’ont pas répondu à sa demande.


"Ce journal a demandé en février une autorisation aux deux pays pour pouvoir parcourir cette frontière atypique, officiellement fermée mais à travers laquelle transitent des migrants clandestins, des contrebandiers ou de simples villageois qui prennent des risques pour visiter leurs familles", note El Pais. L’Algérie a répondu par le silence alors que le Maroc a accepté après deux mois, ajoute le journal en soulignant que le ministère marocain de l’Intérieur a élaboré un programme de visite qui a repris presque toutes les propositions d’El Pais.

Accompagné de fonctionnaires du ministère de l’Intérieur, il a pu rencontrer des responsables de l’administration locale, ainsi que des élus et des acteurs de la société civile marocaine qui lui ont raconté des histoires invraisemblables sur le drame vécu par des familles séparées par cette frontière ou sur le cas de citoyens marocains interdits d’accéder à leurs terres de l’autre côté de la frontière.


Le reportage cite l’histoire du maire du petit village marocain d’Aghbal, Driss Habri de mère algérienne et qui constitue, selon le journal, "tout un modèle des problèmes qu’endurent des dizaines de milliers de familles marocaines et algériennes séparées par une frontière de 1.559 Km de long". La mère de Driss Habri, une femme en âge avancé, n’a vu ses deux frères algériens qui vivent dans la localité de Nedroma, à 40 Km de la frontière, qu’une seule fois depuis 1994 et ce en France. "Si l’un de mes deux oncles mourrait, ma mère doit aller jusqu’à Oujda, prendre l’avion à Casablanca, puis un autre vol vers la ville algérienne d’Oran, et faire ensuite 200 Km de route pour arriver sûrement en retard à l’enterrement de son frère à Nedroma qui se trouve à 40 Km seulement d’ici", raconte-t-il avec amertume. Driss Habri, agriculteur, possède des terres agricoles de l’autre côté de la frontière auxquelles il ne peut accéder depuis 14 ans.

Le reportage s’attarde aussi sur les retombées négatives de la fermeture de la frontière sur les économies des deux pays et sur le manque à gagner pour le Maroc qui, malgré son grand potentiel, se trouve au 30ème rang des partenaires commerciaux de l’Algérie, au même titre que la Syrie.


En dépit de la fermeture de la frontière, les régions frontalières enregistrent un important flux de trafic de produits de contrebande et des êtres humains, note le journal.

Le reportage est illustré de plusieurs photos prises du côté marocain de la frontière, comme le poste frontière de Zouj Bghal. Une autre photo immortalise un groupe de jeunes d’un hameau de 120 habitants coupé en deux par une ruelle-frontière : la partie occidentale, dénommée Chraga, est marocaine et la partie orientale, Dragda, est algérienne.


Le photographe accompagnant le journaliste d’El Pais a été interdit par des policiers algériens de prendre des photos au poste frontière de Zouj Bghal. "Le policier algérien qui se dirigeait à grandes enjambées les yeux braqués sur la barrière ne sifflait pas mais vociférait exigeant du photographe de ne pas prendre en photo sa guérite".

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L'Algérie « a l'ambition d'ouvrir ses frontières » avec le Maroc, selon Medelci
Par AFP le 28/05/2008 à 21:14



Le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci a déclaré mercredi qu'Alger avait l'ambition d'ouvrir ses frontières avec le Maroc dans l'avenir, dans un entretien avec la radio publique. « Nous avons l'ambition d'ouvrir les frontières avec le Maroc dans l'avenir, mais il convient de réunir les conditions idoines à travers la concertation et le dialogue permanents » entre les deux pays, a déclaré M. Medelci.

Il a souligné que les relations algéro-marocaines étaient "très fortes" et que le "seul point de divergence entre nous, en l'occurrence la question du Sahara occidental, peut se transformer en un point d'entente, d'autant que cette question est traitée dans le cadre de la légalité internationale et conformément aux décisions des Nations unies".

La frontière terrestre entre les deux pays est fermée depuis 1994 à la suite d'accusations marocaines imputant aux services algériens un attentat à Marrakech revendiqué par des islamistes. Le Maroc a appelé à deux reprises, le 20 mars et le 5 mai, à la réouverture de cette frontière, mais Alger a rétorqué que cette mesure devait entrer dans le cadre d'une solution globale des contentieux en suspens, y compris le conflit du Sahara Occidental.

Le Sahara Occidental est une ancienne colonie espagnole annexée par le Maroc en 1975 et dont le Front Polisario, soutenu par l'Algérie, demande l'indépendance.

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L'Algérie, en acceptant l'Union méditerranéenne, entrouvre la porte du Maghreb

Alger vient d’exprimer sa disposition à ouvrir ses frontières avec le Maroc, en affirmant que la question du Sahara qui se traite dans le cadre de l’ONU peut se transformer en un point d’entente.


Alger vient de se rétracter sur la question de l’ouverture des frontières, à laquelle le Maroc a appelé à deux reprises. Dans un entretien, mercredi, à la radio publique algérienne, Mourad Medelci, ministre algérien des Affaires étrangères, a déclaré que cette question peut être réglée en dehors du conflit autour du Sahara. «Les relations algéro-marocaines sont très fortes et le seul point de divergence entre nous, en l’occurrence la question du Sahara occidental, peut se transformer en un point d’entente, d’autant plus que cette question est traitée dans le cadre de la légalité internationale et conformément aux décisions des Nations Unies», a affirmé le chef de la diplomatie algérienne. A l’appel de Rabat, lancé le 20 mars et le 5 mai 2008, pour la réouverture des frontières, Alger a rétorqué que cette mesure devait entrer dans le cadre d’une solution globale des contentieux en suspens, posant comme préalable à cette mesure le règlement du contentieux du Sahara. Alger a répondu, deux jours après l’appel de Rabat, par la voix de son ministre de l’Intérieur, montrant qu’elle fait peu de cas des voies diplomatiques. «Il ne s’agit pas de construire un Maghreb où les uns gagnent et les autres perdent. Le Maghreb ne se limite pas seulement au Maroc et à l’Algérie. Il faut que tous les peuples se trouvant dans cet ensemble trouvent leur place», a déclaré le ministre algérien de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni. Une réponse inélégante à l’offre du Royaume qui a appelé le jeudi 20 mars «dans l’amitié fraternelle et la sincérité totale à une normalisation des rapports bilatéraux et à une ouverture de la frontière entre les deux pays».
A la main tendue du Maroc, Alger a choisi la voie du chantage sur la question du Sahara. Or, la nouvelle sortie du chef algérien de la diplomatie vient rompre avec cette voie en affirmant que le règlement de cette question relève des Nations Unies.
Maintenant, reste la question du timing. Le ministre Medelci s’est montré sur ce point élusif, pour ne pas dire carrément évasif. «Nous avons l’ambition d’ouvrir les frontières avec le Maroc dans l’avenir, mais il convient de réunir les conditions idoines à travers la concertation et le dialogue permanents» entre les deux pays, a déclaré le responsable algérien.




Union pour la Méditerranée : L'Algérie favorable

Après avoir émis des « réserves » sur le projet de création de l’Union pour la Méditerranée (UPM), initié par le président français Nicolas Sarkozy, l’Algérie se dit aujourd’hui favorable à cette initiative. «L'Algérie est intéressée par l'Union pour la Méditerranée (UPM)», a déclaré mercredi le ministre algérien des Affaires étrangères Mourad Medelci. Le ministre a notamment souligné qu'il est demandé aux pays du sud de la Méditerranée de «consacrer des fonds ( à ce projet) alors que la contribution de l'Union européenne reste insignifiante», a-t-il dit. M. Medelci a par ailleurs souligné que l'UPM «peut constituer un nouvel outil de coopération qui vient compléter le processus de Barcelone qui comporte des lacunes». Il a insisté en même temps «sur l'importance de lui donner le temps nécessaire afin de lui conférer un contenu réel». Le processus de Barcelone est un partenariat lancé en 1995 par l'Union européenne en direction des pays du sud de la Méditerranée. Ce processus est considéré comme insuffisant par la plupart des pays du sud méditerranéen.
L'Algérie a manifesté son intérêt pour la création de l'UPM en estimant qu'il faudrait lui donner un contenu concret en termes de projets communs entre le nord et le sud de la Méditerranée.
Alger n'a toutefois pas encore indiqué si le président Abdelaziz Bouteflika allait prendre part au sommet de Paris le 13 juillet qui doit regrouper les candidats à l'UPM, à l'invitation du président français Nicolas Sarkozy.

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le président du RCD algérien déplore le maintien de la fermeture des frontières algéro-marocaines


Alger, 04/06/08 - L'Algérie exige de l'Union Européenne (UE) la libre circulation des personnes et maintient la fermeture des frontières avec le Maroc, a déploré Saïd Saadi, président du parti algérien du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD).



Intervenant lors du rendez-vous mensuel avec les internautes pour le mois de juin, M. Saadi a affirmé que le maintien de la fermeture des frontières terrestres avec le Maroc "dévoile la volonté de bloquer tout contact pouvant créer une synergie démocratique entre les acteurs politiques et sociaux de la région".
"On imagine la crédibilité de la démocratie algérienne qui exige de l'Europe la libre circulation des personnes et refuse, en même temps, d'ouvrir ses frontières avec les voisins immédiats", a-t-il déploré.
Selon lui, tout est fait pour consacrer "le repli sur soi" en vue d'entraver "une dynamique d'échange" et de solidarité pour ouvrir d'autres perspectives sur la région.
Le président du RCD a également déploré l'attitude de l'Algérie à l'égard de l'UE, notamment à propos de la politique européenne de voisinage, au moment, a-t-il expliqué, où "nos voisins immédiats avancent résolument dans la maturation de leurs accords d'association avec l'UE".

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