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[Société] Abassi Madani Chef du FIS préconise.

+7
admin"SNP1975"
Sidhoum
deporté75
yaz
sabria
yacoub
becharelkhir
11 participants

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MJB



Talal a écrit:MJB....tu vis dans la haine, la confusion, les cliché et la propagande,

Ya sidi allah ibarek allez tu as raison vous les marocains vous êtes les meilleurs dans tout et rabi izidkoum

Mais qu'est ce qu'on a foutre nous autres algériens?

Soit patient le jour où l'algerie aura besoin de toi et de ton genie, elle fera appel à toi et ta science, d'ici là soit nass m'lah fous lui la paix!!

c'est pas trop demander nom de diou
Ce sont nous qui vous demandons de nous fouttre la paix: vous nous imposez une republique ayant à sa téte un president marocain et un ministre de la defense un algerien un ex adjudant de l'armée algerienne.
Nous vous avons fournis des presidents pour veiller sur vous, laissez nous tranquilles:
BEAUCOUP DE MAROCAINS SONT MORTS POUR VOUS AIDER AFIN DE VOUS LIBERER DU JOUG DU COLONIALISME FRANCAIS:CE N'EST PAS UNE BONNE FACON ET MANIERE DE NOUS REMERCIER.
Le maroc et les marocains ne vous donneront jamais du fil à retordre si vous aviez une affaire comme celle du sahara: je crois que avez compris le probleme algero marocain.

Invité


Invité

c'est drôle, tu passes tes journées et ta vie à casser du sucre sur le dos de l'algerie et à fantasmer sur elle et tu me dis "je m'en fous de l'Algerie!!"

LES MAROCAINS MORTS POUR L'ALGERIE RABI YARHAMHOUM WA IJAZIHOUM, C'ETAIT DES HOMMES EUX, ILS N'AVAIENT PAS CONNU LA TRATRISE DE HASSAN II ET SA CUPIDITE COMME VOUS DEPUIS 1962.

Pour ton sahara, awlikoum, il vous donne l'impression d'être grand, vous êtes en mal de grandeur et de force, rabi izidkoum.

becharelkhir

becharelkhir

Talal a écrit:faut pas vous en faite, bientôt je vous dirai adieu pour de bon, je laisse ce forum au satanique "protegé" yacoub, au haineux Sidhoum et j'en passe.
De grâce ne le fais pas ,tu vas nous manquer ardemment,au moins pour dire et signifier à ce satan de ja3cb qu'il n'est pas Algérien du tout,parce qu'il s'enfuit sous votre idendité pour vous blâmer vous d'abord, et ensuite une religion qui lui entorse la gorge à lui et à d'autres soist-disants musulmans Ya Hasrah.والله يــنـــعـــل اللــــى مـــا يـــحــــشــــم

Invité


Invité

ce chien islamophobe, ne peut que marocain et un protégé du makhzen et du commandeur des croyants.
Il nous blâme comme vous faites tous ici, c'est votre dada, j'attends pas de lui autre chose, donc c'est un MAROCAIN.

becharelkhir

becharelkhir

Tu vois au fil du temps tu démontres de plus en plus de ton vrai visage puisque c'est vrai tu n'est qu'un Khoroto,un vaut rien et un clown du bas font,va te faire soigner dans l'une des usines d'abattage humaine qui sont nombreuses chez vous ,pour guérrir
du mal qui te suit ,afin de cesser de diffamer tes maitres.
Et si tu reviens nous reviendrons!!???

MJB



Talal a écrit:ce chien islamophobe, ne peut que marocain et un protégé du makhzen et du commandeur des croyants.
Il nous blâme comme vous faites tous ici, c'est votre dada, j'attends pas de lui autre chose, donc c'est un MAROCAIN.
.
VOUS GOUVERNANTS DE MOURADIA ET CERTAINS ALGERIENS : LAISSEZ LES MAROCAINS TRANQUILLES, LE SAHARA NE VOUS CONCERNE PAS.
Les petrodolards que vous jetez par la fenetre pour entrenir et armer le polisario contre le maroc, laissez les aux pauvres algeriens pour leur acheter quoi manger et boire.

lurchar21

lurchar21

Donc c'est un marocain. Wach anta arja2ti Gazana?

Invité


Invité

Luchar, est ce qu'il ya sur le net des forums algeriens comme celui la qui parlent du maroc???

Il y'a au mois 5 forums marocains qui parlent de l'Algerie et 0 forums algeriens...Nous on vous calcule pas, vous n'existez pas pour nous, on a rien a foutre de vous et votre presumé sahara

VOUS VOTRE DELIRE NATIONAL S'APPELLE : EL DJAZAIR

Alors c'est a moi de vous demandez: FOUTEZ NOUS LA PAIX


Aidez nous s'il vous plait a batir le mur electrifié qui nous separera à jamais de vos gueules


admin

vos gueules

Evite des gros mots.

admin"SNP1975"

admin
Admin

RABAH KÉBIR À LA CHAINE SATELLITAIRE AL JAZEERA
«Je n’imposerai jamais le hidjab à ma fille»

07 Juillet 2008 - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le discours politique de celui qui rêvait d’un Etat islamique en Algérie a connu une évolution positive.

L’un des fondateurs et dirigeants du FIS dissous, développe un nouveau discours qui surprendra plus d’un. Rabah Kébir, installé en Allemagne, a soutenu qu’il n’obligera pas sa fille à porter le hidjab. «Je n’aurais certainement pas imposé le hidjab à ma fille, c’est une question de conviction», a déclaré Rabah Kébir, invité de la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera à l’émission Ziara Khassa (visite spéciale). «Le port du hidjab est un devoir écrit dans le Coran. Pour moi, c’est comme la prière qui, elle aussi, est un devoir mais c’est une question qui concerne chaque personne et c’est à elle seule de choisir de le porter ou non.»
A entendre ces phrases, on comprend pourtant que le choix du port du hidjab par la fille de Rabah Kébir a été néanmoins orienté! Le discours politique de celui qui rêvait d’un Etat islamique en Algérie a changé pour connaître plutôt une évolution positive. «J’aspire à un Etat démocratique, libre, indépendant, selon les principes fondamentaux de l’Islam», a ajouté M.Kébir qui s’est rendu en Algérie après la promulgation de la loi portant sur la Charte pour la Paix et la Réconciliation nationale, prônée par le chef de l’Etat. A ce sujet, l’invité d’Al Jazeera ne manquera pas de déclarer son «soutien total et indéniable à la démarche de Abdelaziz Bouteflika», soulignant que de tout temps, «il a été pour une politique de négociation et de paix.»
Ainsi, sans ambages ni jeux de mots bien connus chez les islamistes, Rabah Kébir a exprimé son soutien clair au projet du Président Bouteflika, la Réconciliation nationale, avalisé par le peuple en septembre 2005. D’autre part, il n’incarne pas simplement le processus de réconciliation, en condamnant de la manière la plus ferme les actes barbares et inhumains du Gspc.
Il déclare même qu’il a été hostile à la violence qui a endeuillé l’Algérie depuis 1992 et qui a englouti les espoirs d’un peuple souffrant toujours des affres du terrorisme. Concernant l’allégeance du Gspc à Al Qaîda, Rabah Kébir pense qu’«il s’agit d’une ruse malveillante de ceux qui veulent du mal au pays pour légitimer leurs actes d’hors-la-loi».
D’ailleurs, pour lui, l’appellation Al Qaîda au Maghreb islamique est juste un slogan et à croire son idée, Al Qaîda n’existerait pas en Algérie. Rabah Kébir, évoquera l’époque de la dissolution de son parti et des Etats qui ont opté pour intervenir - dont l’Arabie Saoudite - mais ne dira rien sur les tenants et aboutissants du contenu des pourparlers de l’époque. Il parlera néanmoins de la démarche d’El Gueddafi pour souligner que l’Etat algérien avait totalement décliné la proposition de la Libye, pour des raisons qu’il ne citera pas. Mais le souvenir nous rapproche, peut-être, d’une raison selon laquelle certaines figures libyennes ont participé à encourager la déstabilisation de l’Algérie et à titre d’exemple, on ne citera que le rôle d’Abou Al Laïth El Libye.
Ce dernier n’a jamais caché son soutien aux groupes terroristes en Algérie et adhérera même à leurs actions pour renforcer leur situation en envoyant des aides matérielles et des émissaires.
L’invité de la chaîne qatarie à Doha, parlera également des années universitaires, des réunions organisées à Constantine avec ceux qui partageaient les mêmes idées et objectifs ainsi que le courant islamique auquel il appartenait.
A ce propos, il évoque ses relations avec Djaballah. Rabah Kébir souligne dans ce contexte qu’il ne partageait pas forcément son idéologie avec Djaballah, mais que celui-là reste un homme pour qui il a énormément de respect et avec lequel il a des relations très amicales.
En revanche, quand il parle de Ali Benhadj, M.Kébir dit qu’il n’a jamais été d’accord avec sa façon d’analyser les choses, notamment lorsque le n°2 du FIS dissous a appelé à la violence. D’autre part, il a affirmé qu’il ne le connaissait pas spécialement.

Ikram GHIOUA

Expression

http://www.marocainsdalgerie.net

yacoub

yacoub

Quand un émir parle aux Américains
ALGÉRIE - 6 juillet 2008 - par FARID ALILAT

Dans son édition du 1er juillet, le New York Times publie une longue enquête sur Al-Qaïda au Maghreb islamique. Tollé en Algérie !


C’est un scoop retentissant comme le New York Times en a le secret. Dans sa livraison datée du 1er juillet, le prestigieux quotidien américain publie un entretien, le premier du genre, avec Abdelmalek Droukdel, alias Abou Moussab Abdelwadoud, émir d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). Plutôt fouillée, abondamment appuyée par des dizaines de témoignages de repentis algériens, d’experts du renseignement européens, américains et arabes ainsi que par des officiers américains, l’enquête qui accompagne l’interview éclaire sous un nouveau jour cette organisation terroriste qui sème encore la terreur en Algérie. Recherché par les services de sécurité, maintes fois donné pour mort par les médias algériens, jamais approché par des journalistes, Droukdel répond, à travers un enregistrement audio en langue arabe, à une vingtaine de questions transmises par écrit par la rédaction du NYT. Remise par un intermédiaire, la cassette, d’une durée de sept minutes, a été authentifiée par un expert d’une agence fédérale américaine. Allégeance à Oussama Ben Laden, attentats kamikazes, attaques-suicides contre les édifices publics, assassinats et enlèvements d’étrangers, menaces contre les intérêts occidentaux au Maghreb, en Afrique et ailleurs en Europe, Droukdel, 38 ans, diplômé en mathématiques à l’université d’Alger, se livre et menace.
« Al-Qaïda et nous formons un seul corps, affirme en substance Droukdel. Il est tout à fait naturel que l’on se renforce mutuellement. » C’est durant l’automne 2004 que se nouent les premiers contacts entre Droukdel et Abou Moussab al-­Zarqaoui, à l’époque chef d’Al-Qaïda en Irak. Intronisé, en juin 2004, émir de l’ex-Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC) à la place de Hassan Hattab, Droukdel sollicite alors l’aide de Zarqaoui pour obtenir la libération d’Abderrezak el-Para, ancien chef du GSPC, capturé en mars 2004 dans le désert tchadien. Le deal s’énonçait comme suit : Zarqaoui se chargerait de prendre en otages des ressortissants français en Irak et de faire ainsi pression sur Paris afin de l’obliger à jouer de son influence pour obtenir la libération d’El-Para. En contrepartie, Droukdel accepterait de combattre sous la bannière d’Al-Qaïda. Bien que l’opération ait tourné court - El-Para a été remis aux autorités algériennes, qui le détiennent dans un lieu secret -, Droukdel accepte tout de même de faire allégeance à Zarqaoui.

Comme en Irak
Rebaptisé Al-Qaïda au Maghreb islamique en janvier 2007, l’ex-?GSPC adopte donc les méthodes sanglantes et spectaculaires d’Al-Qaïda en Irak. Attentats-suicides, assassinats et enlèvements de ressortissants étrangers, médiatisation des actions terroristes via des sites Web, AQMI fait parler la poudre et couler le sang. Le 11 avril 2007, deux attaques kamikazes soufflent le palais du gouvernement et deux commissariats à Alger, faisant 30 morts. Une tentative d’assassinat contre le président Bouteflika à Batna, le 6 septembre 2007, fait 22 morts. Le 11 décembre 2007, deux kamikazes se font exploser devant la représentation de l’ONU et le siège du Conseil constitutionnel à Alger. Bilan : une trentaine de morts. Le 8 juin dernier, un ingénieur français et son chauffeur sont tués en Kabylie. Droukdel revendique la paternité de tous les attentats et promet de poursuivre les actions terroristes contre le pouvoir algérien, qualifié de taghout (« tyran »). « Le gouvernement algérien connaîtra le même sort que le siège de l’ONU, le siège d’Interpol, l’ambassade d’Israël à Nouakchott, les otages allemands et autrichiens », affirme-t-il au NYT. « Les intérêts occidentaux ne peuvent pas être protégés », poursuit-il dans un arabe truffé de versets coraniques. Droukdel promet de s’en prendre particulièrement aux Américains, qu’il accuse de construire des bases militaires dans le Sud, de piller le gaz et le pétrole algériens, d’installer une antenne du FBI à Alger et de mener une campagne d’évangélisation. « Tout le monde doit savoir, menace-t-il, que nous n’hésiterons pas à cibler les intérêts américains chaque fois que nous le pourrons aux quatre coins du globe. »

Colère et indignation
De combien d’hommes et de quelle force de frappe dispose cette organisation, que l’on dit traquée par les services de sécurité, minée et affaiblie par les redditions et des dissensions internes ? Si Droukdel refuse de dévoiler le nombre de ses combattants, il déclare que leur grande majorité sont algériens. Peu sont des vétérans d’Irak et quelques-uns sont d’ex-repentis ayant bénéficié de la grâce promise par la Charte pour la paix et la réconciliation adoptée par référendum en septembre 2005. « Il y a aussi des Mauritaniens, des Libyens, des Marocains, des Tunisiens, des Maliens et des Nigériens », soutient-il. Selon des sources américaines citées par le journal, il y aurait actuellement entre 300 à 400 terroristes dans les maquis algériens ainsi que 200 sympathisants actifs dans des réseaux de soutien.
Comme on pouvait s’en douter, l’article a provoqué un tollé en Algérie. Si les responsables se gardent de tout commentaire, la presse nationale, en revanche, a unanimement condamné les propos de Droukdel et l’initiative du quotidien américain. Certains commentateurs reprochent au New York Times de faire l’apologie du terrorisme en ouvrant ses colonnes à « un émir sanguinaire » et en lui consacrant sa une. « Dans le fond, écrit le quotidien francophone Liberté, Abdelmalek Droukdel, qui profite de cette “bouffée d’oxygène médiatique”, n’a rien annoncé de nouveau. » Quelques-uns ont même poussé l’indignation jusqu’à réclamer des sanctions contre le NYT. « Souvenons-nous que des journalistes d’Al-Jazira, à cause de simples contacts avec des résistants irakiens, ont été quand même arrêtés et emprisonnés par les Américains ou leurs différents alliés à travers le monde. Qu’attend donc Washington pour en faire de même avec le New York Times » ? s’offusque un éditorialiste du quotidien Le Courrier d’Algérie.

yacoub

yacoub

becharelkhir a écrit: ,tu vas nous manquer ardemment,au moins pour dire et signifier à ce satan de ja3cb qu'il n'est pas Algérien du tout,parce qu'il s'enfuit sous votre idendité pour vous blâmer vous d'abord, et ensuite une religion qui lui entorse la gorge à lui et à d'autres soist-disants musulmans Ya Hasrah.والله يــنـــعـــل اللــــى مـــا يـــحــــشــــم
:lol: :lol: :lol:

Procès des assassins présumés du chanteur kabyle Lounès Matoub
ALGÉRIE - 8 juillet 2008 - par AFP


Le procès des assassins présumés du chanteur kabyle Lounès Matoub, s'ouvre mercredi à Tizi Ouzou (Kabylie), dix ans après son assassinat dans des conditions non-élucidées, a annoncé mardi à l'AFP Me Kaci Rahem, représentant la mère et la soeur du chanteur, parties civiles.

Deux seulement des dix membres du groupe islamiste soupçonné d'avoir perpétré l'attentat meurtrier contre Matoub doivent être présents à l'audience. Il s'agit de Chenoui Mehieddine, 44 ans, et de Medjoune Malik, 34 ans, en prison depuis six ans.

Plusieurs de leurs complices en fuite auraient été tués par les forces de sécurité, selon l'avocat.

Les deux prévenus doivent être confrontés avec deux islamistes armés repentis cités comme témoins: Toukoudji Ramdane, alias Mounir, et Abdelaziz Toufik, qui avaient dénoncé le groupe aux enquêteurs après leur reddition.

Toukoudji avait notamment remis aux forces de sécurité la kalachnikov MLK 43-54, qui, selon lui, aurait servi dans l'attentat contre Matoub.

L'attaque avait été revendiqué onze mois après, en mai 1999, par un chef du Groupe Salafiste pour la Prédication et le Combat (GSPC) Hassan Hattab.

Hassan Hattab s'est rendu au début de l'année aux forces de l'ordre, mais aucune indication n'a été donnée sur son lieu de détention, ni sur le sort qui lui serait réservé.

Selon Me Kaci, la partie civile doit, à l'issue de la lecture de l'arrêt de renvoi, demander un complément d'enquête. "La partie civile n'est pas convaincue que les deux prévenus sont les seuls accusés à devoir être déférés devant le tribunal. Pour la partie civile, les vrais assassins de Matoub ne seront pas là", a-t-il dit.

Malika Matoub a précisé à l'AFP qu'elle contestait l'arrêt de renvoi établi en décembre 2000 et dont la validité juridique avait été approuvée par la Cour suprême en 2004.

Elle demande la reprise de l'instruction, la reconstitution des faits, une nouvelle étude balistique et l'audition comme témoins de "toute personne ou organisation ayant avancé des certitudes sur le ou les auteurs du crime depuis l'assassinat de Matoub", a-t-elle dit.

Malika Matoub a indiqué avoir remis au tribunal une "première liste" de 50 personnes, dont elle souhaite la comparution en tant que témoins.

Parmi ces personnes figurent notamment le chef du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) Said Sadi, l'ancien secrétaire général du Front des Forces socialistes (FFS) Ahmed Djeddaï, l'actuel ministre de la Culture Khalida Toumi et le député Noureddine Aït Hamouda, qui supervisait des groupes de défense anti-islamistes en Kabylie.

Lounès Matoub, tué à 42 ans dans une embuscade sur une petite route de Kabylie, le 25 juin 1998, était une des idoles de la chanson kabyle et son assassinat avait provoqué de violentes émeutes en Kabylie.

Slimani9002



Admin a écrit:RABAH KÉBIR À LA CHAINE SATELLITAIRE AL JAZEERA
«Je n’imposerai jamais le hidjab à ma fille»

07 Juillet 2008 - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le discours politique de celui qui rêvait d’un Etat islamique en Algérie a connu une évolution positive.

L’un des fondateurs et dirigeants du FIS dissous, développe un nouveau discours qui surprendra plus d’un. Rabah Kébir, installé en Allemagne, a soutenu qu’il n’obligera pas sa fille à porter le hidjab. «Je n’aurais certainement pas imposé le hidjab à ma fille, c’est une question de conviction», a déclaré Rabah Kébir, invité de la chaîne de télévision qatarie Al Jazeera à l’émission Ziara Khassa (visite spéciale). «Le port du hidjab est un devoir écrit dans le Coran. Pour moi, c’est comme la prière qui, elle aussi, est un devoir mais c’est une question qui concerne chaque personne et c’est à elle seule de choisir de le porter ou non.»
A entendre ces phrases, on comprend pourtant que le choix du port du hidjab par la fille de Rabah Kébir a été néanmoins orienté! Le discours politique de celui qui rêvait d’un Etat islamique en Algérie a changé pour connaître plutôt une évolution positive. «J’aspire à un Etat démocratique, libre, indépendant, selon les principes fondamentaux de l’Islam», a ajouté M.Kébir qui s’est rendu en Algérie après la promulgation de la loi portant sur la Charte pour la Paix et la Réconciliation nationale, prônée par le chef de l’Etat. A ce sujet, l’invité d’Al Jazeera ne manquera pas de déclarer son «soutien total et indéniable à la démarche de Abdelaziz Bouteflika», soulignant que de tout temps, «il a été pour une politique de négociation et de paix.»
Ainsi, sans ambages ni jeux de mots bien connus chez les islamistes, Rabah Kébir a exprimé son soutien clair au projet du Président Bouteflika, la Réconciliation nationale, avalisé par le peuple en septembre 2005. D’autre part, il n’incarne pas simplement le processus de réconciliation, en condamnant de la manière la plus ferme les actes barbares et inhumains du Gspc.
Il déclare même qu’il a été hostile à la violence qui a endeuillé l’Algérie depuis 1992 et qui a englouti les espoirs d’un peuple souffrant toujours des affres du terrorisme. Concernant l’allégeance du Gspc à Al Qaîda, Rabah Kébir pense qu’«il s’agit d’une ruse malveillante de ceux qui veulent du mal au pays pour légitimer leurs actes d’hors-la-loi».
D’ailleurs, pour lui, l’appellation Al Qaîda au Maghreb islamique est juste un slogan et à croire son idée, Al Qaîda n’existerait pas en Algérie. Rabah Kébir, évoquera l’époque de la dissolution de son parti et des Etats qui ont opté pour intervenir - dont l’Arabie Saoudite - mais ne dira rien sur les tenants et aboutissants du contenu des pourparlers de l’époque. Il parlera néanmoins de la démarche d’El Gueddafi pour souligner que l’Etat algérien avait totalement décliné la proposition de la Libye, pour des raisons qu’il ne citera pas. Mais le souvenir nous rapproche, peut-être, d’une raison selon laquelle certaines figures libyennes ont participé à encourager la déstabilisation de l’Algérie et à titre d’exemple, on ne citera que le rôle d’Abou Al Laïth El Libye.
Ce dernier n’a jamais caché son soutien aux groupes terroristes en Algérie et adhérera même à leurs actions pour renforcer leur situation en envoyant des aides matérielles et des émissaires.
L’invité de la chaîne qatarie à Doha, parlera également des années universitaires, des réunions organisées à Constantine avec ceux qui partageaient les mêmes idées et objectifs ainsi que le courant islamique auquel il appartenait.
A ce propos, il évoque ses relations avec Djaballah. Rabah Kébir souligne dans ce contexte qu’il ne partageait pas forcément son idéologie avec Djaballah, mais que celui-là reste un homme pour qui il a énormément de respect et avec lequel il a des relations très amicales.
En revanche, quand il parle de Ali Benhadj, M.Kébir dit qu’il n’a jamais été d’accord avec sa façon d’analyser les choses, notamment lorsque le n°2 du FIS dissous a appelé à la violence. D’autre part, il a affirmé qu’il ne le connaissait pas spécialement.

Ikram GHIOUA

Expression

Une girouette, qui change d'opinion comme de chemise !

ou etait il quand des milliers de personnes se faisaient massacrer pour non port du voile !
Idh lam tastahyi fa qoul ma chi.ite

yacoub

yacoub

Le pire est que maintenant Alger ressemble plus à Téheran
il n y a plus que des femmes voilées et de plus en plus tôt.
Quand cet imbécile dit qu'il n'imposera pas le voile à sa fille
il sait très bien que le quadrillage islamique ( chaque musulman est le flic de l'autre ) fait qu'elle n'osera jamais prendre la liberté de se voiler ni de se marier avec un kafir si elle le veut.

L' islam est un crime organisé contre l' humanité que ce soit en Algérie, au Maroc ou au Bengladesh.

Il n y a que Yaz qui croit que l' islam signifie Paix.
D'ailleurs ne dit on pas " eslem, teslem"
soumets toi à l' islam et tu auras la vie sauve.

becharelkhir

becharelkhir

[b]Seulement il reste d'avoir une idée précise de qui massacrait!!? qui!!?, et pour exemple ce crime odieux qui a été perpétré en direct sur la personne de Mr. Mohamed Boudhiaf ,et ces génocides qui se produisaient presqu'au sein même des casernes militaires ,mais personne n'interviendrait sous pretexte qu'ils n'étaient en courant de rien;;;;!!!?? pour faire un jugement impartial.[/b]

becharelkhir

becharelkhir

[quote="slaker75
Une girouette, qui change d'opinion comme de chemise !
ou etait il quand des milliers de personnes se faisaient massacrer pour non port du voile !
Idh lam tastahyi fa qoul ma chi.ite[/quote]
]Seulement il reste d'avoir une idée précise de qui massacrait!!? qui!!?, et pour exemple ce crime odieux qui a été perpétré en direct sur la personne de Mr. Mohamed Boudhiaf ,et ces génocides qui se produisaient presqu'au sein même des casernes militaires ,mais personne n'interviendrait sous pretexte qu'ils n'étaient en courant de rien;;;;!!!?? pour faire un jugement impartial

Invité


Invité

peuple infâme........quand el jazeera fustige votre pays, vous la descendez et la dechiquetez comme la hyene que vous êtes, mais quand elle parle et presente un opposant criminel de l'Algerie elle trouve grâce a vos yeux!!! BRAVOOOO belle lucidité de la part d'un pays ennemi

becharelkhir

becharelkhir

lurchar21 a écrit:

Evitez
de repondre a cette putaine qui n'a pas etait satisfaite apres s'etre
fait nique'. Elle ne parle pas par sa bouche ,mais par son takhna.
Cette Sahraouia polisarienne parait qu'elle souffre d'une maladie de la vache folle. Elle ne rate pas un seul topic.

Pour moi c'est promis,et je m'en chargerai de porter ta suggestion partout où il se hasardera

yacoub

yacoub

Talal a écrit:peuple infâme........quand el jazeera fustige votre pays, vous la descendez et la dechiquetez comme la hyene que vous êtes, mais quand elle parle et presente un opposant criminel de l'Algerie elle trouve grâce a vos yeux!!! BRAVOOOO belle lucidité de la part d'un pays ennemi

L' infâme crapule c'est toi qui a trahi l' Algérie pour le passeport Français
et qui vient faire le patriotard alors qu'il méconnait la vie rendue invivable
par la mafia militaro-religieuse.:twisted:

becharelkhir

becharelkhir

Lurchur21
Evitez
de répondre a cette putaine qui n'a pas était satisfaite apres s'être
fait niquée'. Elle ne parle pas par sa bouche ,mais par son takhna.
Cette Sahraouia polisarienne parait qu'elle souffre d'une maladie de la vache folle. Elle ne rate pas un seul topic.
Pour moi c'est promis,et je m'en chargerai de porter ta suggestion partout où il se hasardera

Invité


Invité

becharelkhir ça ne sert a rien de repeter comme un perroquet ces bêtises de bas etages à chaque fois que je m'exprime....juste car tu n'as aucun argument a opposer aux miens, c'est nul, bête et idiot...où est ta pretendue sagesse.

yacoub

yacoub

L’Algérie est-elle à la veille d’une révolution démocratique ?
Article rédigé par LOUNÈS le jeudi 24 juillet 2008

lu par la technologie vocale Readspeaker
Les jours du général Mohamed Mediene dit Toufik à la tête du DRS sont comptés. Son limogeage ou «sa démission» sont imminents. Cette fois, il ne peut survivre au terrible scandale de la révélation du journal italien La Stampa qui a décrit comment les moines de Tibhirine et l’évêque d’Oran ont été assassinés par les militaires.
Le silence pesant du pouvoir algérien et de tous ses satellites, qui n’ont pas encore réagi, prouve qu’un profond malaise s’est installé à la tête de l’Etat et de l’ANP. Ce calme malsain précède la tempête qui ne va pas tarder à s’abattre dans les sphères du pouvoir ou… dans la rue.

La parenthèse de 20 ans de dictature militaire depuis les événements d’octobre 88 va-t-elle enfin se refermer pour laisser le processus politique de souveraineté populaire reprendre son cours?

Toufik a été nommé au département Renseignement et Sécurité (DRS, ex-sécurité militaire) en septembre 1990 en même temps que son adjoint Smain Lamari (décédé en septembre 2007). Ils ont été proposés à ces postes au président Chadli par son directeur de cabinet, le général Belkheir qui couvait leur carrière depuis longtemps. Toufik et Smaïn n’ont dû leur longévité qu’à leur folie sanguinaire et à la protection de Belkheir, lui-même protégé par de puissants lobbies.

Mais l’énormité du scandale de la tuerie des moines et l’émotion suscitée par la mise en scène de leur décapitation sont telles que ces lobbies protecteurs ne peuvent plus rien faire pour eux. Le linge sale du sang des manipulations du terrorisme doit maintenant être lavé entre Algériens. L’honneur de toute une armée vient d’être bafoué par une telle infamie.

Pour se maintenir à leurs postes, Toufik et Smaïn ont commis les pires crimes et exactions, contre le peuple et contre leurs propres compagnons d’armes.

Déjà en janvier 92, le président Chadli voulait limoger Toufik et le général Khaled Nezzar, alors ministre de la Défense. Il n’en eut pas le temps et fut destitué. Son successeur «imposé par l’armée», Mohamed Boudiaf, était arrivé à la même nécessité de se débarrasser des patrons de la sécurité militaire qui géraient et protégeaient les réseaux de corruption. Il fut assassiné d’une rafale dans le dos le 29 juin 1992.

En juillet 1993, Kasdi Merbah, ancien patron de la sécurité militaire sous Boumediene de 1962 à 1978, a senti un vent de changement à la tête de l’ANP avec la nomination de Liamine Zeroual qui venait de remplacer Nezzar, qui avait échappé de peu à un attentat à la bombe à El Biar. Il s’est proposé à Zeroual pour reprendre du service à la tête de la SM.Il fut assassiné le 21 août 1993.

En 1996, Zeroual, devenu président de la République a voulu nommer le général Saidi Fodil à la place de Toufik. Son assassinat fut maquillé en accident de la route à Ouargla où il était en poste à la tête de la 4e région militaire.

En 1997, Zeroual a voulu nommer son ami, le général Mohamed Betchine, ex-patron de la SM (88-90), comme ministre de la Défense pour se débarrasser de Toufik. Ce dernier a répliqué par l’organisation de massacres de civils à grande échelle qui créèrent la psychose jusqu’aux portes d’Alger. Les souvenirs de Raïs, Bentalha, Beni-Messous, etc. ont atteint les sommets de l’horreur. Betchine, puis Zeroual furent poussés à la démission.

Enfin, en avril 2001, deux ans après son élection, Bouteflika a tenté de limoger Toufik, qui a aussitôt enflammé la Kabylie avec la complicité de ses alliés dans la gendarmerie. Et pour empêcher le FFS et le RCD de récupérer le mouvement de protestation, Toufik a provoqué la création des arouchs en les infiltrant. Le brasier kabyle fut entretenu jusqu’à la conclusion d’un accord sur le 2e mandat de Bouteflika.

Aujourd’hui, la situation est des plus critiques pour le pays. D’un côté, Bouteflika, malade et en fin de règne, ne présente plus aucune crédibilité ni pour le régime, ni pour la population. D’un autre côté, l’agent du DRS Ahmed Ouyahia, sentant l’aubaine du chaos, fait le forcing pour asseoir son autorité sur les appareils sécuritaires et prendre le pouvoir par la censure et la répression des opposants.

Le tout nouveau mandat d’arrêt lancé contre le président soudanais, Omar El Bechir, par le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), est venu ajouter de l’huile sur le feu qui a gagné les sphères du pouvoir, complètement affolées.

La vérité sur les «assassinats pédagogiques» des chrétiens en Algérie, que le DRS voulait attribuer à des «terroristes islamistes», est maintenant dévoilée au grand jour. Ce nouvel épisode de l’affaire des moines donne du crédit à toutes les autres révélations faites par des officiers du DRS et de l’ANP qu’on peut découvrir sur le site du MAOL ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ou dans les livres publiés par Hichem Aboud, Habib Souaïdia, Mohamed Samraoui, Abdelkader Tigha.

Cela veut dire aussi que toutes les plaintes déposées contre les généraux (disparus, assassinats, torture, etc.) vont être regardées d’un autre œil et leur procédure accélérée.

Mais, alors qu’on sent bien que les généraux en poste ou à la retraite s’agitent dans tous les sens, il est regrettable de constater que les opposants politiques et les intellectuels continuent à somnoler comme s’ils n’étaient pas concernés.

Il faut se rendre compte que l’Algérie politique n’est ni en avance, ni en retard. Elle ne peut vivre qu’au rythme que lui imprimeront ses élites. A l’échelle individuelle, on peut parler de drames. Des intellectuels et des militants, qui étaient arrivés à maturité politique dans la période 88-92, peuvent se sentir aujourd’hui comme des vieillards aigris et dépassés qui ont raté quelque chose dans leur vie après ces vingt années de dictature.

Mais à l’échelle d’une Nation, l’expérience algérienne peut se comparer à celles d’autres pays qui ont connu les mêmes troubles générationnels causés par des coups d’Etat et des dictatures militaires. Aujourd’hui, ces pays ont des régimes démocratiques stables et sont devenus des puissances régionales et économiques reconnues et respectées dans le concert des Nations.

On peut citer l’exemple si proche de l’Espagne du général Franco qui a semé la terreur de 1936 à 1974, avant de laisser ce pays se reconstruire socialement et se stabiliser politiquement. Au Portugal, la longue dictature du général Salazar avait virtuellement éliminé les partis politiques, laissant un grand vide comblé par les militaires qui ont petit à petit lâché le pouvoir aux civils qui gouvernent depuis deux décennies.

Plus loin de nous, au Brésil, les militaires ont pris le pouvoir par un coup d’Etat en 1964, avant d’en être chassés par les civils en 1985. En Argentine, après 20 ans de «péronisme», l’armée fomente un coup d’Etat en 1976 entraînant un lourd bilan de 30 000 disparus exécutés ou morts sous la torture. Les civils ont repris le pouvoir en 1983 et passé les militaires en jugement.

Les expériences les plus proches de ce que vit l’Algérie sont assurément les exemples turc, grec et chilien. Dans ces pays, «l’armée a pris le pouvoir par des coups d’Etat, instauré des dictatures, suspendu la Constitution, promulgué l’état d’urgence ou d’exception, annulé des élections, dissout les assemblées, interdit les syndicats, censuré la presse, violé les droits de l’Homme, emprisonné, torturé, assassiné, etc.». Malgré ça, ces pays vivent aujourd’hui dans des régimes démocratiques modernisés et stables depuis une vingtaine d’années grâce à la résistance militante et au courage de leurs élites.

Tous ces exemples si proches de notre expérience prouvent que «l’horloge politique» algérienne ne peut tourner que si les élites se hissent à la hauteur de l’Histoire de leur peuple. Et se rendent compte que la paralysie intellectuelle et militante est le résultat de la stratégie mise en œuvre par le «makhzen du DRS» de Toufik: répression, censure, arrestations, tortures, assassinats, attentats… et corruption massive.

Les élites civiles et militaires doivent maintenant créer des commissions d’enquête à l’APN et à l’ANP, demander des comptes et la dissolution du DRS. Les intellectuels et les journalistes doivent s’exprimer sur ce sujet et lancer des enquêtes. Une Nation et un système politique et social ne peuvent évoluer et se régénérer que s’ils consentent à faire des sacrifices.

Saâd Lounès
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hamoud



MR yacoub , il sera souhaitable pour vous de respecter les algeriens et surtout l'islam , car je vous ai lu sur un autre topic , vous critiquez l'islam et aussi le prophete mohamed ( qssl ) , alors basta , si vous etes juifs , respectez les religions comme on le fait  a notre tour !

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