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Forum de discussion entre Maghrébins, expulsés marocains d'algerie,algerie-maroc

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Le roi est riche mais ... pas les marocains

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deporté75
lurchar21
Gitek
becharelkhir
Slimani9002
algerino51
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algerino51



Casablanca maroc:
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Au lieu de s'occuper a annexer des territoires aux autre le royaume chérifien ferait mieux de s'occuper des siens, et que son peuple qui vit a l'etranger ferait mieux de se meler de ce qui se passe chez eux et de ce qu'ils auraient pu vivre au lieu de parler de l'Algérie

Slimani9002



algerino51 a écrit:Casablanca maroc:
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Au lieu de s'occuper a annexer des territoires aux autre le royaume chérifien ferait mieux de s'occuper des siens, et que son peuple qui vit a l'etranger ferait mieux de se meler de ce qui se passe chez eux et de ce qu'ils auraient pu vivre au lieu de parler de l'Algérie

balaye devant chez toi avant de regarder chez les autres

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Algérie : Plus de 549 000 bidonvilles recensés
Trois millions de citoyens y habitent

En Algérie, l’extension urbanistique sauvage, la pauvreté et l’insécurité ayant marqué le pays durant la dernière décennie constituent les facteurs d’apparition de ce phénomène indécent.

Invité


Invité

Slaker75 c'est algerino qui te demande de balayer devant chez toi avant de regarder chez les autres, car les photos qu'il a affiché c'est pour repondre à vos critiques, c'est vous qui faites une fixation sur l'Algerie pas nous, d'où la raison d'être de ce forum et de vos discussions.

algerino51



exactement slaker justement c moi qui vous demande de balayer devant votre porte avant de balayer devant la notre je trouve pas normal que dans la partie "souvenirs du maroc" on vanne l'algérie sur des dixaine de topic et qu'on mette de jolies photos du maroc

algerino51



"Algérie : Plus de 549 000 bidonvilles recensés"

549 000 bidonvilles atravers toute l'algérie c rien comparé a vous. rien qu'a casablanca y'en a 200 000 alors imagine a travers tout le maroc ..

Slimani9002



Talal a écrit:Slaker75 c'est algerino qui te demande de balayer devant chez toi avant de regarder chez les autres, car les photos qu'il a affiché c'est pour repondre à vos critiques, c'est vous qui faites une fixation sur l'Algerie pas nous, d'où la raison d'être de ce forum et de vos discussions.


tu as lu le titre du forum ?

Fixation sur l'algerie ?

bien sur car c est vous qui avez deporté 45000 famille
bien sur car c est vous qui les avez depouillé jusqu au dernier centime
bien sur car c est vous qui avez separé la femme de son mari et l'enfant de sa mere
bien sur car leur bien ont ete spolié par vos militaires

et on vous mettra le doigt dans l'ku juska ce que vous le reconnaissiez

kan aux bidonvilles, au maroc il y en a bien sur et beaucoup, mais votre presse passe son temps a clamer haut et fort " nous avons xxxx mùlliards de $" et pourtant les bidonvilles se multiplient, le chomage s'etend, la pauvrete avance, la corruption vous gangrene, la prostitution se developpe, les harragas se comptent par milliers

algerino51



désolé mais ce topic concerne le maroc
l'autre topic qui est destiné a l'algérie soit disant appellé "souvenirs d'algérie" est pollué par des critiques et des vannes sur l'algérie alors voila pourquoi pas faire la meme chose?

quant au chomage tu dis qu'il s'etend en algerie mais tu dis ça aveuglement et tu te trompe compare le taux de chomage de 2006 a celui de 2007 il a baissé d'au moins 5 % et rien qu'en 2008 des centaine de milliers d'emploi ont été créé

en algerie le chomage et la misere diminue bien au contaire, par contre c chez vous qu'elle gagne du terrain

On ne mesure pas le progres d'un pays grace au touristes POUR les touristes, les marocains ne voiyent rien du tout msakene 3andek zhar ki rak 3ayech fi franca

algerino51



la prostitution se développe :roll: et c un marocain qui nous dit ça en plus c la meilleure :lol:

Invité


Invité

[quote="slaker75"]
Talal a écrit:
kan aux bidonvilles, au maroc il y en a bien sur et beaucoup, mais votre presse passe son temps a clamer haut et fort " nous avons xxxx mùlliards de $" et pourtant les bidonvilles se multiplient, le chomage s'etend, la pauvrete avance, la corruption vous gangrene, la prostitution se developpe, les harragas se comptent par milliers

la presse chez nous est libre et ALARMISTE surtout certain titres comme le matin, qui est le journal preféré des marocains!! ....la preuve tout ce que tu colportes sur l'Algerie c'est grâce a notre presse que tu le sais, notre presse n'est pas comme la votre, chez vous la presse repète ce que lui dit le roi et le makhzen est la chanson est la même de puis toujours "tout le monde est beau, tout le monde est gentile, il y'a pas de problème dors bien chaabi el aziz, je veille sur toi, le royaume est en marche" vous donnez un visage lisse et propre pour plaire aux touristes et aux etrangers, mais votre merde vous gangrene de l'interieur, tu evoques les haragas algeriens, toi même tu es un haraga, qui veut venir en algerie, parles de tes confreres haragas qui preferent mourir et soufrir en europe que de vivree sous le ciel de ton pays?? nous on a des haragas mais on pretend pas que notre pays est un paradis, vous vous avez 10 fois plus de haragas que nous et vous pretendez que votre pays est un paradis!! paradis pour les touristes mais pas pour la plèbe miserabiliste que constitue le peuple marocain....
Reveille tes meninge un peu soit logique!! ya el chaab el dayakh; afatnou chouiya

becharelkhir

becharelkhir

[quote="Talal"][quote="slaker75"][quote="Talal"]
[color=blue]la presse chez nous est libre...!! et ALARMISTE ...!!??
[b]Alarmiste veut dire :quelqu'un qui répand des propos,du bruits alarmants souvent imaginaires,c'est éxactement ce que et comment vous êtes,et c'est tout ce qu'on connait de vous a3mmi.

Gitek



algerino51 a écrit:désolé mais ce topic concerne le maroc
l'autre topic qui est destiné a l'algérie soit disant appellé "souvenirs d'algérie" est pollué par des critiques et des vannes sur l'algérie alors voila pourquoi pas faire la meme chose?

quant au chomage tu dis qu'il s'etend en algerie mais tu dis ça aveuglement et tu te trompe compare le taux de chomage de 2006 a celui de 2007 il a baissé d'au moins 5 % et rien qu'en 2008 des centaine de milliers d'emploi ont été créé

en algerie le chomage et la misere diminue bien au contaire, par contre c chez vous qu'elle gagne du terrain

On ne mesure pas le progres d'un pays grace au touristes POUR les touristes, les marocains ne voiyent rien du tout msakene 3andek zhar ki rak 3ayech fi franca

:lol: :lol: :lol: :lol:



Il existe des pays "bien-intégré" dans la sphère
civilisationnel arbo-musulmane à laquelle il appartient et non aligné et qui
souffre des mêmes maux!!! La seul différence est que étant donné l'absence de
tourisme dans ces pays, il n'y a pas de témoignages qui nous parvienne!! Un
exemple de pays???


Euh... l'algérie!!


1,2 millions de prostitués en algérie d'après l'association
Assaba (la plus vieille ONG indépendante du pays!!)





L’Algérie compte 1,2 million de prostituées clandestines.
Chacune faisant vivre autour d’elle 3 personnes.



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et la:


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Trafic de drogue: l'algérie est devenu producteur!!





"le risque de voir l'Algérie, jusque là pays de
transit, devenir un pays producteur de drogue". Les plantations de
cannabis découvertes entre avril 2007 et avril 2008 en Algérie s'étendaient sur
une superficie de 41 hectares"



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L’Algérie devient un pays producteur de drogue


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Les prisons de Libye et de Tunisie regorgent de
trafiquants algériens



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Bidonville: L'algérie dépasse le maroc!!





Au Maroc il y a moins de 1400 bidonvilles. Et moins de 3%
des marocains sont concerné!



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549 000 bidonvilles avec en totalité 3 millions
d'habitants soit 10% de la population algérienne!



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«8% du parc immobilier sont des bidonvilles» (ministre Algérien)


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Etc.....


Le chomage en algerie est de 13% contre 9,6% au maroc!!!

Maroc : Le chômage reculerait à 9,6 %.
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2008: 14% de chomeur en algerie!
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lurchar21

lurchar21

Esperons que quelque chose de bien viendra de ces critiques.
Malgre il y a du mauvais dans ces forums , souhaitons qu'ils porteront un peut da benifice pour les deux peuples ecrases et pietines .
Peut etre que ces forums et ce que le peuple des deux cotes pense des d'eux REGIMES les fera bouger ,si ils ont l'honneur et des principes .
Moi meme j'ai plus de respects pour ces pauvres prostitutes qu 'aux regimes du ,maroc , d'Algerie ou de tous les pays sous developes.
Les femmes ne deviennemt pas des prostituees par choix et les jeunes ne tantent pas de quitter leurs pays en risquant leurs vies,c'est faute de de ces gouvernement virus qui nous colonisent.
Les peuples ce sont battus pour sois disant liberer leurs pays du colonialisme , que pour etre replace par un autre plus pire.

Quand le corps est penetre par un virus ,il ne peut pas le reconaitre et le battre . C'est ce qui nous est arrive .
Malheureusement les regimes virus qui nous rongent , nous ressembles et ils font bien leur travail de lavage de cervaux.
Ils ont ( les regimes) toujours reussi a creer la haine et la confrontation entre les peuples pour les exploiter.
Donc un peut de respects pour ces pauvres gens et arretons l' etalage et insultes. Insultons les regimes ,qui sont la cause.

deporté75

deporté75

أنا لا أتفق مع ما طرحته هنا و إن عين الصواب هو ذا لكن حال الواقع غير هذا خاصة و أنت تعلم إن كنت تذكر كيف ابتهج الشعب الجزائري لقرار الطرد، هل رأيت جزائريا يكن للمغرب الإحترام و التقدير؟ انظر تعاليقهم عن المغرب و في كل المنتديات كيف يسخرون منا و يصنفونا مع من ليس له غيرة على عرضه و كأننا ديوتيين..أنا بعد جعلوني لا أثق فيهم و لا أتمنى لهم إلاّ الشر و المصائب ..إنه إحساس يسكنني و لم أجد له دفعا و في هذه الحالة فأنا أغدو بريئا إذن و مقتي للجزائر هي غريزة تأتي فوق قوتي و طاقتي و إن كنت أعرف أن هذا ليس من الإيمان في شيء فاللهمّ داوي قلبي و اجعلني ممن يعفو و يصفح و يتجاوز يا رب

http://jamalelatmani@yahoo.fr

algerino51



gitek un cadeau pour toi

agadirsex.overblog.com je sens que tu vas aimer
tiens un autre cadeau

barakanews.unblog.fr

le maroc comporte le double en nombre debidonvilles que l algerie, en algerie ns sommes en train de les raser mais chez voys ils se developpent d'ailleurs je crois que c la seule chose qui se developpe ché vous avc biensur le tourisme SEXuel

algerino51



"Le chomage en algerie est de 13% contre 9,6% au maroc!!!"

et oui en plus des investisseurs nombreux au maroc + le tourisme vous rattrappez a peine l'algérie qui n'a peu d'activité economique a part les hydrocarbures et les industries quelle honte pr vous

en tout cas 42% d'analphabetes au maroc contre 25% en algérie

en tout cas IDH (indice de developpement humain) au maroc = 0.530 et algerie = 0.750

ca prouve tout mon cher


quand a la prostitution stp arrete de t'enfoncer le maroc y est 2eme dans l'afrique avec le cameroon et parmi les 5 ds le monde alors STP lol :lol: ca c votre domaine on y touche pas on s'avoue vaicu sur ce point lol 8)

algerino51



لماذا اخترت ان تكون لاعدائنا؟

Slimani9002



algerino51 a écrit:"Le chomage en algerie est de 13% contre 9,6% au maroc!!!"

et oui en plus des investisseurs nombreux au maroc + le tourisme vous rattrappez a peine l'algérie qui n'a peu d'activité economique a part les hydrocarbures et les industries quelle honte pr vous

en tout cas 42% d'analphabetes au maroc contre 25% en algérie

en tout cas IDH (indice de developpement humain) au maroc = 0.530 et algerie = 0.750

ca prouve tout mon cher


quand a la prostitution stp arrete de t'enfoncer le maroc y est 2eme dans l'afrique avec le cameroon et parmi les 5 ds le monde alors STP lol :lol: ca c votre domaine on y touche pas on s'avoue vaicu sur ce point lol 8)


t'es aveugle ou t es con !



LA PROSTITUTION SÉVIT MASSIVEMENT


Drame et misère
dimanche 28 août 2005.

On les croise partout : devant les hôtels, les grands boulevards, aux alentours des résidences universitaires et dans toutes les boîtes de nuit. A force de les voir, on finit par retenir leurs emplacements. Elles sont devenues tellement nombreuses qu’elles font partie de notre décor quotidien. Ce sont les prostituées.

La population algérienne vit, en effet, dans la misère économique dans ses manifestations les plus dégradantes. On l’a entraînée, en l’espace de quelques années, vers les abysses de la pauvreté et de l’insuffisance. Le taux de chômage avoisine les 20 % (année 2004). Près de 8 millions (année 2002), soit 7 778 000, sont des célibataires de plus de 20 ans et n’ont aucune perspective de pouvoir fonder un foyer, à cause notamment de la crise du logement et du problème de l’emploi. Environ 600 000 élèves sont exclus, chaque année, du système scolaire ou l’abandonnent par manque de moyens. Tout cela a fini par créer cet environnement propice à la prolifération des maux sociaux avec un accroissement et une brutalité inégalées, comme le divorce, les conflits familiaux, le suicide, la drogue, la mendicité, la prostitution. Nul ne peut nier que la misère économique est le terreau fertile sur lequel se développe la prostitution.

Cette prostitution qui sévit massivement dans toutes nos villes et même nos petits villages - qui ont du mal à la dissimuler - est l’un des résultats de la catastrophe sociale et de la ruine économique qu’impliquent les politiques d’ajustement structurel, les privatisations, le libre-échange à sens unique ; bref, la mondialisation et ses effets sur l’accroissement des inégalités sociales. Désormais, aujourd’hui, ces malheureuses font partie de la mosaïque des gens de la rue. Elles y passent la plus grande partie de leur temps, elles disent qu’elles y travaillent. Les scènes de contact et les palabres entre la fille de joie et son client sont repérables à vue d’œil, même s’ils sont attablés dans un café.

Il ne faut pas plus de quelques minutes pour que le marché soit conclu ou, dans le cas contraire, le présumé client s’en aille poursuivre sa chasse ailleurs. Ces femmes ont un quotidien qui n’a rien de commun avec le nôtre et leur vie a des lois et des codes différents de ceux que nous connaissons. Parmi les sept femmes qui ont bien voulu nous parler, nous vous livrons le témoignage de trois d’entre elles. Fifi (Fatima), à peine vingt ans, campe face à un hôtel. Cheveux taillés courts et teintés blonds, habillée d’un jean moulé à taille basse, tee-shirt blanc très court faisant apparaître son nombril et une bonne partie de son ventre. Hypermaquillée, elle scrute les automobilistes de ses grands yeux noirs. Fifi a bien voulu nous parler de son histoire, après s’être assurée de notre personne et de notre objectif. Son regard à la fois grave et morose donne l’impression que cette jeune femme voudrait vider tout ce qu’elle a sur le cœur. Elle nous confie que son moral est rarement bon. Elle est pessimiste, a du mal à se concentrer et, comme le veut son âge, veut tout et tout de suite. Malgré son énergie, elle a souvent envie de pleurer, est inquiète et nerveuse, se fait des reproches, se sent déprimée et désespérée en pensant à l’avenir.

D’ailleurs, elle pense tout le temps au suicide et en a fait deux tentatives. Elle avoue avoir souvent des excès de colère, elle crie fort, frappe et casse. Quand elle parle de santé, elle évoque son mal de tête et les troubles du sommeil (endormissement difficile, réveil nocturne, fatigue accumulée) et ajoute qu’elle n’a jamais consulté de médecin. « Je n’ai pas choisi de vivre dans la rue ni de vendre ma chair. C’est le seul lieu où j’ai trouvé refuge lorsque j’ai été forcée de quitter la maison familiale. ça fait maintenant plus de 4 ans que j’exerce ce métier. » Elle ne dit rien sur les motivations de sa décision de quitter la maison familiale. Son corps frêle a appris à résister aux nuits glaciales de l’hiver. Son regard profond et les cernes qu’elle arrive à peine à camoufler par un épais maquillage sont les témoins de ces longues années d’errance et de souffrance. « Il est difficile pour moi de tolérer le regard des autres qui est plein de mépris. J’aurais souhaité une autre vie. » « Au quotidien, j’ai du mal à me regarder dans la glace, je me déteste, je ne sais pas de quoi sera fait demain. Ce que je fais ici, ça me ronge intérieurement, de la même manière qu’une maladie, ça me bouffe physiquement et ça m’enfonce dans la détresse. De temps en temps, il m’arrive de rigoler, d’avoir le sourire, mais on ne l’a pas vraiment au fond de soi. » Elle nous a affirmé être là (face à l’hôtel) depuis plus de deux heures et avoir déjà accompli trois passes et récolté 3400 DA.

Le prix qu’elle prend pour chaque passe varie entre 500 DA et un plafond qui peut atteindre 2000, voire 3000 DA, selon les circonstances et les clients. La liaison sexuelle se déroule le plus souvent dans la voiture du client. Quant aux clients, elle affirme qu’ils sont de toutes les professions, de tous âges et de tous les horizons. Ils disent payer pour assouvir leurs fantasmes, sans égard ni scrupules. Ils ne sont pas nécessairement « étrangers » à la ville, nous confient la plupart des filles interviewées. On trouve, parmi eux, des maçons qui vivent dans leur chantier de travail, loin de leur famille, de plus en plus de Chinois, des quinquagénaires, des marchands ambulants et quelques amateurs de l’acte rapide. Le client tourne, regarde, choisit, discute les prix. Toujours à propos des clients, elle dit qu’« ils sont toujours avides de nouveauté. Lorsqu’une nouvelle personne arrive sur le trottoir, elle a un succès immédiat. Ils veulent plus de beauté, plus de jeunesse et ils veulent tous l’essayer ».

En ce qui concerne la peur, elle dit : « Avec certains clients, on ne sait jamais ce qui peut nous arriver. C’est tous les jours. Quand on monte dans un véhicule, quand on se retrouve attachée pour satisfaire les fantasmes des hommes. Le type peut faire ce qu’il veut. » La peur est toujours omniprésente. D’abord, celle du client et de sa toujours possible violence, celle de la police et celle, surtout, d’être reconnue par des parents, voisins, amis. Peur de l’avenir enfin. Qui souhaite vieillir dans la prostitution ? Le second témoignage est celui de Zouzou (Zohra) rencontrée dans un cabaret du littoral de l’Ouest algérois. « J’avais 16 ans quand j’ai commencé à me prostituer. Après, c’est devenu une habitude. Je ne pourrais pas dire pourquoi. » A l’époque, Zouzou ne vivait plus chez ses parents. « J’étais partie de chez moi pour être libre. » Zouzou n’en dira pas plus. Elle ne veut pas parler de ce qu’elle a vécu dans sa famille. « Quand on est jeune et qu’on a envie d’acheter des robes, on voit qu’on va gagner de l’argent. On ne sait pas que c’est destructeur. On le saura après, mais on ne veut pas l’admettre. Et quand le pli est pris, on continue.

Le problème, c’est l’argent. On se laisse manger par l’argent. On parle de la drogue. Mais l’argent, c’est de la drogue. » Zouzou lâche ses réflexions par bribes. « Vous en connaissez, vous, une p... qui ne prend pas d’alcool, pas de drogue ou de cachetons ? » « Contrairement à la clientèle de la prostitution de la rue, quand ils sont là (les clients), il faut les faire boire au maximum. Un verre de whisky à 600 DA, une bouteille à 5000 DA. Le verre de whisky, il faut le descendre et vite demander au client de nous en reverser un autre. Pour aider, on peut enlever le soutien-gorge et tolérer une caresse. Pendant tout ce temps, on boit aussi, évidemment, une fois que le type est bien gai, on peut demander autant de bouteilles qu’on veut. Quand on sature, on amène une autre fille pour nous aider à boire.

Le patron donne un pourcentage sur chaque bouteille consommée par le client. » « Les clients, on leur dit les choses qu’ils ont envie d’entendre. Des mensonges. En réalité, ils sont moches. Ils nous racontent leur vie. Ils sont mariés. Et quand ils veulent aller plus loin, la passe est rarement inférieure à 3000 DA. L’acte se déroule dans l’une des 4 chambres situées au-dessus et qui nous servent également de lieu d’hébergement (pour les filles qui y travaillent). Les hommes, ce qu’ils ne peuvent faire avec leur femme, ils viennent nous le demander. Ils croient qu’ils peuvent nous faire ce qu’ils voient dans les films pornos. On gagne de l’argent, mais à quel prix ! On perd sa dignité, on n’a plus envie d’hommes. Parmi les clients, il y a les obsédés, mais pas tant que ça. On a de tout. Des cadres, des médecins, des militaires. Enormément de types qui aiment les gamines. Nous travaillons le soir et nous dormons toute la matinée. De ce fait, notre vie est forcément différente des autres personnes dites normales. » Enfin, le troisième témoignage, celui de Hassiba, l’une des victimes des réformes économiques, cette jeune mère de deux enfants, avec ses mèches blondes toujours dans les yeux, raconte sans haine comment elle a commencé à tapiner : « J’étais très heureuse avec mon mari et mes deux enfants.

La fermeture de l’entreprise a été le début des problèmes. Le salaire, notre seule ressource, nous avait permis de vivre décemment. Puis ce fut la cassure. Aux problèmes financiers se sont ajoutés ceux liés à l’environnement, avec au bout le divorce. En charge de mes deux enfants, je devais subvenir à leurs besoins essentiels. Ce qui m’a contrainte à vendre mon corps malgré le dégoût que j’éprouve. Préalablement, j’avais cherché du travail, mais partout où je me présentais, la seule réponse était des propositions malhonnêtes. N’étaient mes deux filles, il y a longtemps que je me serais suicidée. Cela a été très dur, bien sûr, mais je n’avais pas le choix. Et même en prenant la pilule pour ne pas avoir d’enfant, je me suis retrouvée enceinte deux fois. J’ai pratiqué à chaque fois une IVG dans une clinique privée, la seconde fois, j’ai failli y passer. Cela a été très dur, bien sûr, mais je ne pouvais pas les garder. J’avais trop de problèmes. Etre une prostituée me répugne mais, Allah ghaleb, c’est mon destin. » C’est dans ce même décor que vivent d’autres prostituées, même si leur histoire diffère.

Livrées à elles-mêmes, elle parviennent tant bien que mal à créer un environnement qui leur est familier. La rue ou les boîtes de nuit sont devenues leur refuge. Et si elles arrivent plus ou moins à supporter leur métier, cela ne les empêche pas de se sentir humiliées. Aujourd’hui, personne ne peut dire quel est le nombre des prostituées de la rue ou tout autre, même approximativement, encore moins celui des clients. Plutôt plurielle, non organisée, la prostitution en Algérie ne peut entrer dans un cadre clairement défini : de luxe, de rue, de boîte de nuit, de cité universitaire, de fin de journée, de fin de semaine, de fin de mois, de temps à autre, seulement la prostitution a pris des proportions alarmantes.

Personne (à notre connaissance) n’a effectué une recherche sur l’aspect humain de ces personnes, sur leurs véritables besoins et sur les alternatives qui pourraient leur être proposées. La plupart ne voient en elles qu’un seul aspect : elles défigurent le visage des villes. Plus vieux métier du monde, métier tout court, mal nécessaire, esclavage... les affrontements idéologiques et moraux sont innombrables autour de la prostitution. Mais, de vrai débat public, il n’y en a point.

Okba Khiar

Source : elwatan

algerino51



la prostitution sevit massivement en algerie tu dis, mais au maroc c carrement une pratique et une forme de mendicité hhhhhhhh ca tu n'es pas au courrant apparament cite moi un pays ou il n'y a pas de prostitution???? meme en arabie saoudite il y'en a

allez j'attend que tu me cite un pays ou il n'y a pas de prostitution mais le truc tu vois c qu'en algérie y'a pas de tourisme sexuel et de maris qui vendent leur femmes et leurs enfants (filles et garcons) aux touristes l'algérie est un pays de dignité un pays de respect contrairement a votre pays de charlot ou on peut faire n'importe koi pour gagner une poignée de sous

alors?? tu y es allé sur ce site oui ou non espece de charlot

agadirsex.overblog.com

algerino51



Prostitution masculine au maroc :lol:

Prostitution masculine : Les travailleurs du sexe


29 mars 2007 -
Commentaires?
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Phénomène
urbain qui prend de plus en plus d’envergure, la prostitution au
masculin se vit en toute liberté chaque jour à Casablanca et dans
d’autres villes du Maroc, comme Marrakech, Tanger, Essaouira ou Agadir.




Jeunes adolescents, moins jeunes, homosexuels convaincus ou
candidats hétérosexuels aguerris au tapin nocturne sur quelques artères
des grandes villes, ils fréquentent aussi les boîtes de nuit, des
cabarets, des bars et des hôtels où ils ont leurs entrées. Dans ce
milieu, la violence sous toutes ses formes est monnaie courante. Coups,
blessures, agressions, abus sexuels, viols, proxénétisme primaire,
vengeance… C’est le lot quotidien d’une partie de la jeunesse marocaine
livrée à elle-même et à l’insouciance et au je-m’en-foutisme.
De plus en plus, le phénomène de la prostitution masculine s’intensifie
au Maroc.

Entre le parc de la Ligue arabe et le Boulevard Rachidi, le ballet
nocturne prend corps. "Il vaut mieux être une pute qu’un homme dans ce
pays. Si j’avais de l’argent, je changerais de sexe, je deviendrais une
femme, mais surtout je serais riche. Parce que ici, il y a deux choses
qui marchent : être un grand voleur ou une pute. Moi, je veux être une
pute ». Saïd, 19 ans a eu son baccalauréat, haut la main, c’est lui qui
le dit. Mais il n’en est pas fier. Il habite Derb El Kabir, quatre
frères, une sœur, le père est vivant, la mère aussi, mais lui, il
n’aime pas avoir faim. Alors ? : « C’est un ami qui m’a montré cette
voie. Il est passé me voir un jour vers quatre heures de l’après-midi
et m’a demandé de l’accompagner chez des amis. Une fois chez ses amis,
j’ai vite compris, et cela ne m’a pas dérangé. J’étais juste un peu
surpris, mais après, je me suis détendu ». Saïd n’est pas offusqué
qu’on qualifie ce qu’il fait de prostitution, mais il préfère le mot :
« pute, oui je suis une pute, et alors ? »

Saïd ne vit plus chez ses parents, mais il loue avec un ami dans
l’ancienne médina. « C’est tout près du centre, et moi, je n’aime plus
Derb El Kabir, ma famille m’a jeté et là je me sens plus libre ». Son
quartier général, ce sont les trottoirs et les passages du boulevard
Mohamed V. « Vers minuit, on sort du café derrière vers Driss Lahrizi,
on fume de la chicha, et on se met au travail. Parfois, je lève un
client en cinq minutes, parfois, cela traîne, mais je me fais ma nuit,
coûte que coûte. Parfois, je vais à Aïn Diab dans un cabaret connu et
là, je peux me faire plus de sous. C’est connu ». Saïd dit aussi qu’il
se fout de ce que les gens peuvent penser : « quoi que tu fasses, on
dira toujours du mal de toi. Tu crois que c’est facile de faire le
tapin ici tous les soirs et de risquer sa vie ? Non, mon ami, c’est
très risqué et dangereux et il faut les avoir bien en place pour faire
ce que je fais, alors ceux qui me jugent, je leur dis d’aller se faire
voir chez les Grecs ». 19 ans à peine, mais Saïd a le visage marqué de
ceux qui ne dorment pas assez ou pas quand il le faut. Lui, il ironise
en disant que chez lui tout est à l’envers…

De quoi manger, de quoi se droguer et le Sida pourquoi pas !

« Bien sûr que je fume et je bois et je peux prendre tout ce qui
peut faire tourner la tête. J’ai besoin de me sentir bien, alors je ne
me prive de rien. En plus, c’est bien d’avoir la tête ailleurs quand on
fait le tapin, on ne voit pas le temps passer ».Saïd est un cas parmi
des milliers d’autres qui sillonnent le Maroc du Nord au Sud à la
recherche d’un moyen pour gagner des sous, et pour certains, encore
trop crédules, ou irréversiblement naïfs, c’est aussi « un moyen de
faire une bonne rencontre pour partir à l’étranger ». Oui, certains
croient qu’ils vont tomber sur le touriste sympathique qui va succomber
aux charmes des mâles marocains et qui va se décider à les prendre sous
sa cape providentielle pour leur offrir le paradis avec vue sur une rue
parisienne ou milanaise. « C’est déjà arrivé. Hassan a fait la pute
pendant six ans et un jour un type est venu le prendre, ils sont partis
à Marrakech, il a passé un week-end avec lui, et l’autre est devenu fou
de lui. Alors il a fait des mains et des pieds pour lui débrouiller, un
visa. Aujourd’hui, il vit en Italie. Il a une voiture, de l’argent et
il ne fait plus la pute ».

Tout le monde peut être client, la nuit

Et les exemples fusent. Qui a trouvé un partenaire se prénommant
Juan, qui, vit à Barcelone, qui a trouvé un autre, qui porte le nom
germanique de Manfred, qui a même pris un ticket pour un pays arabe
comme les Émirats, le Koweït et même l’Arabie Saoudite. « Koul wahed ou
zahrou (traduisez : chacun sa chance.) » Et les jeunes rêvent de
tickets de sortie. Mais le quotidien ne se conjugue pas souvent avec
chance. Les cas de Hassan et tous les autres qui ont pu filer en douce
sont rares, comparés à ceux qui restent là, sur le boulevard, chaque
nuit, à attendre les clients pour quelques dirhams, un gueuleton et
peut-être une nuit au chaud dans un plumard miteux, mais un plumard en
tout cas. Cela les change des rues, du froid, des courses nocturnes
pour éviter la police et de la faim au ventre. Parce que, ce qu’il faut
savoir, c’est que le monde de la prostitution masculine est un univers
dont les lisières ne sont jamais définies. On y trouve de tout : des
homosexuels, des hétérosexuels et surtout des mineurs d’où un autre
fléau qui se greffe sur le premier, puisque nous sommes de plein fouet
dans la pédophilie la plus basique.

« Il ne faut pas croire que ce sont des gars pauvres qui viennent
ici pour se payer un petit coup dans la rue, le passage ou derrière une
porte ! Pas du tout, il y a bien sûr des gens qui payent 20 dhs, mais
d’autres peuvent donner même 200 dhs. J’ai couché avec des gars qui
travaillent dans des sociétés, des banques, des hommes mariés, des
touristes, des vieux, très vieux et parfois, il y a des femmes qui
viennent ici pour lever un type tard dans la nuit. » Saïd connaît son
milieu mieux que quiconque.

Il en parle dans les détails et multiplie les anecdotes. Saïd a
trouvé le moyen de tout relativiser : il met ses jugements sur lui-même
et sur les autres en suspens et il vit ce qui se présente comme s’il
n’avait rien à faire avec hier et demain. « Combien je peux gagner par
mois ? Je ne sais pas. Mais parfois, en une nuit, je peux me faire 300
dhs. Des fois, moins.

Mais tu sais, il faut manger, payer le loyer, l’eau et l’électricité
et surtout acheter des habits. Moi, je vis de ce que je fais, il ne
faut pas croire ». Ce qu’il dit aussi sans détours, c’est qu’il aime
ces rencontres de la nuit, ces visages différents, ces parties de sexe
à la va-vite, ce monde du risque.

Saïd sait qu’il vit dangereusement, mais il ajourne le face-à-face
avec la peur : « Le sida ? Oui, ça existe, et j’en connais qui l’ont
chopé ici sur le boulevard. Mais moi, je me protège ». Tout le monde
dit qu’il se protège sur ce boulevard et du côté du parc de la Ligue
arabe, un autre haut lieu de rencontres nocturnes à la recherche du
plaisir furtif. Pourtant, le Sida fait des ravages dans ce milieu
spécialement. À la question si Saïd a déjà fait un dépistage, la
réponse est claire : non et il ne le fera jamais. Pourquoi ? « Je ne
veux pas savoir ». La véritable autruche qui met la tête dans le sable,
sauf que pour lui, c’est tout près des égouts éventrés du passage
Sumica, El Glaoui et autres. Qu’il finira drogué, malade, impuissant et
seul. « Moi, je ne pense pas à demain. Je pense à aujourd’hui ».

Il y a une constante dans ce milieu des prostitués masculins de la
nuit. La violence. Tous les soirs, une bagarre, du sang qui coule. Tous
les soirs, un type qui atterrit aux urgences. Toutes les nuits, un type
qui perd ses illusions sur le lendemain qu’il ne veut pas voir. Tous
les soirs un plus costaud qui vient prendre ta place et te met un gnon
à l’œil et te laisse sans travail à cause d’un œil au beurre noir.

Cicatrices et cassage de gueule

Parce que qui voudrait batifoler avec un individu qui porte encore
les stigmates de la violence, ce qui est l’anti-plaisir par
excellence ? « On se bagarre souvent, parce que c’est un monde où le
plus fort gagne plus d’argent. Il y a des types qui nous agressent, ce
sont des drogués qui veulent baiser gratuitement, alors ça éclate et
souvent il y a des coups de couteaux et du sang. Souvent la police
vient embarquer tout le monde. « On est relâché après, présenté au
tribunal pour coups et blessures ». À Oukacha, ils vont purger entre
trois et six mois, et ressortent pour retrouver la rue. Ils sont plus
coriaces, plus durs à cuire. Et le cycle de la violence monte d’un cran.

Les jeunes portent des scarifications fruits de plusieurs
automutilations, sinon des font tentatives de suicide ou encore de
coups infligés par des concurrents de la rue. « Une fois, trois types
qui travaillaient dans le parc sont venus ici et m’ont attaqué. Je
n’avais pas de problème avec eux, je les connaissais de vue, mais ce
soir là ils sont venus ici exprès pour créer du grabuge. J’ai eu la
main droite cassée et j’ai perdu une dent.
Les services de police luttent contre toute cette violence, mais elle
est tapie partout. Et les jeunes qui font le trottoir savent comment se
débrouiller dans les méandres de la ville. Ils ont leurs cachettes,
leurs raccourcis et leurs couvertures. Le monde de la nuit ayant ses
propres règles, il est difficile de savoir qui est qui et qui fait quoi.

Reste que pour tous ces jeunes qui sont là, tous les soirs, (il
suffit de faire un tour en voiture au-delà de minuit pour voir toute
cette faune étalée et dans l’expectative), les nuits se suivent et se
ressemblent : un client, une moto qui s’arrête, la portière d’une
bagnole qui s’ouvre, un coup bas, quelques dirhams, quelques contusions
dans l’âme, la mort qui frôle de près et aucun espoir.

Prostitution et pédophilie : Aucune frontière à l’horizon

Les associations qui oeuvrent sur le terrain dans plusieurs villes
au Maroc s’occupant des enfants des rues, des mineurs, et qui tentent
de sensibiliser la société civile, savent, grâce à un travail de
proximité, que des milliers d’enfants marocains sont victimes d’abus
sexuels par des individus plus âgés moyennant quelques dirhams. D’un
autre côté, des associations comme l’Alcs, dont le travail de lutte
contre le Sida se passe de tout commentaire, ont diagnostiqué aussi les
risques liés à la prostitution masculine en rapport avec le virus du
sida.

Sans oublier les réflexions de plusieurs pédo-psychiatres ou
psychanlystes qui mesurent les traumatismes qui résultent des abus
sexuels, des viols, de la prostitution et de la dégradation de l’image
de soi.

Tout cela pour dire que le problème que pose la prostitution
masculine au Maroc diffère à plus d’un titre de sa sœur jumelle la
prostitution au féminin, qui, elle, est régie par des codes et des
pratiques autres. Dans ce monde exclusivement masculin, les premières
victimes sont les enfants des rues. Livrés à eux-mêmes, sans
encadrements, n’étaient le travail des associations, ils sont une proie
facile.

Ils sont violés dans les ports où ils trouvent refuge et pour dormir
et pour manger, ils sont abusés par plus grand qu’eux dans les
passages, la nuit moyennant une protection contre l’agressivité
ambiante. Ils sont surtout les victimes de plusieurs pédophiles, dont
des touristes qui profitent de leur précarité pour profiter d’eux.
C’est simple, et les témoignages à cet égard sont très nombreux et
surtout révélateurs du danger qui guette ces gamins, un sandwich, un
jus de fruits, un gâteau à la crème dans une laiterie et le gamin est
pris dans les filets. Et c’est compréhensible. Comment un gamin de 10
ou 12 ans, le corps noué par la faim et la soif, éreinté par le manque
de sommeil et les courses interminables dans les rues, peut-il opposer
la moindre résistance à un adulte qui lui fait miroiter un bon sandwich
accompagné d’une limonade, avec un jus de fruits panaché pour dessert ?
Impossible de dire non, impossible de résister, impossible de rester la
faim au ventre. Des fois, les pédophiles leur achètent des sandales
chez les Chinois à 30 dhs et un pull ou un jeans à 50 balles et le tour
est joué. Souvent, ils atterrissent dans des salles de cinéma où ils
sont touchés et se laissent faire, par besoin, par peur, par ignorance,
juste comme ça…

algerino51



Le tourisme sexuel à Marrakech divise


13 décembre 2007 -
1 commentaires
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Interpellé
sur des informations faisant état d’une opération de promotion du
tourisme sexuel à la ville ocre par une agence de tourisme belge, le
ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Mohamed Boussaïd, a rejeté
catégoriquement tout soupçon d’activité liée au tourisme sexuel à
Marrakech ou ailleurs.




Il a souligné que le tourisme qui participe à hauteur de 13% du
PIB du Maroc et est appelé à connaître un plus grand essor dans les
quelques années à venir, ne pourrait pas se permettre de tels
errements. « Ceci n’exclut pas évidemment d’éventuels cas de déviance
qui restent isolés et dont la justice se saisit immédiatement », a
nuancé le ministre. Ce dernier a annoncé, à l’occasion, son intention
de mettre sur pied une commission à laquelle il compte associer tous
les groupes parlementaires et qui aura pour mission de promouvoir un
tourisme « propre et responsable ».

Le Reporter

algerino51



Des putes marocaines au service du tsahal israelien :lol:

Elles seraient des centaines de ressortissantes marocaines à travailler
dans des villes et des colonies israéliennes dans les territoires
palestiniens, selon le mouvement du Djihad islamique qui a avisé les
autorités du royaume alaouite.

À travers des lettres adressées à la représentation diplomatique du
Maroc en Palestine et à l’organisation marocaine Attawhid wa al Islah,
le mouvement palestinien a tiré la sonnette d’alarme quant à la
dimension que prend la filière de prostitution marocaine en Israël. Le
Djihad islamique a tiré la sonnette d’alarme devant l’ampleur que prend
ce phénomène dans des villes israéliennes et des colonies juives,
notamment en Cisjordanie. Cet appel, on le retrouve dans le site
électronique d’Attawhid wa al Islah. L’information rapportée par le
quotidien arabe londonien Al Quds al Arabi fait état de centaines de
Marocaines qui travaillent pendant la journée dans des usines et des
ateliers, avant de se livrer à la prostitution une fois la nuit tombée.
Elles pratiquent leur métier dans les arrière-boutiques de commerçants
ou de maisons aménagées spécialement par des Israéliens. Tout indique
qu’il s’agit d’un réseau bien organisé. Le Djihad islamique appelle les
autorités marocaines à agir rapidement pour sauver leurs
ressortissantes de cette honteuse pratique, qui porte atteinte à
l’honneur de tous les Arabes et les musulmans. Les responsables de
l’organisation radicale palestinienne redoutent que ces femmes soient
par la suite utilisées par les services secrets israéliens, le Mossad
et le Shin-Beth, dans l’espionnage contre la résistance palestinienne
ou leur propre pays, une fois de retour chez elles. Un appel est donc
lancé en direction du royaume chérifien pour prendre les mesures qui
s’imposent en urgence afin de mettre un terme à cette pratique et
surtout d’agir pour rapatrier au Maroc ces femmes. Le nombre des
Marocaines concernées s’élèverait à six cents environ. Il y a lieu de
souligner que cette affaire vient corroborer les informations faisant
état de l’existence de filières de prostitution marocaine dans
plusieurs pays arabes du Golfe. Ceci étant, la prostitution et la
pornographie sont au goût du jour au Maroc, où la justice a procédé au
jugement des membres d’un réseau de production de films
pornographiques. En effet, onze Marocains et deux Français, accusés
d’appartenir à un réseau de production de films pornographiques
homosexuels, ont été condamnés à des peines allant de six mois à six
ans de prison, à Marrakech. Arrêtés en février dernier, les inculpés
avaient procédé au tournage, à Marrakech et dans sa région, de cinq
films pornographiques et de plusieurs séquences et photographies du
genre érotique, de février à octobre 2005. Les acteurs étaient recrutés
au moyen de promesses alléchantes, comme l’émigration en France et le
recrutement dans des maisons de films pornographiques. Le commanditaire
des tournages est en fuite, avait indiqué la police. Il s’agit d’un
manager-superviseur en France, gérant d’une maison spécialisée dans la
production de films pornographiques, et dont la diffusion se fait via
Internet sur un site payant.

algerino51



allez va laisse tomber slaker si tu es aussi un déporté franchement laisse tomber le maroc ils veulent pas de toi, par contre nous algériens si tu es respectueux envers nous on te considerera comme un des notre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


l'ALGERIE BZAF 3LIKOM YAL 3DIANE

23Le roi est riche mais ... pas les marocains Empty fixation sur la prostitution... Mar 8 Juil - 13:50

Sidhoum

Sidhoum

Les psychologues et experts en la matière vous diront que ceux qui ont une fixation sur la prostitution, tourisme sexuel, etc…ont souvent un petit zizi, sont eux-mêmes des frustrés souffrants de privation sexuelle comme le mec dans cette Belle vidéo a voir …. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

algerino51



franchement faut être con pour pas voir que c un montage, le mec de cette belle vidéo c le fondateur du parti FIS Ali Belhadj ....

algerino51



franchement sur ce forum vous m'avez donné completement une autre image des marocains

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