Rabat, 26/11/08- L'Algérie et le polisario ne cessent d'accumuler les échecs, en assistant, impuissants, à l'effritement de leur thèse mensongère sur le Sahara, face à une succession de retraits de reconnaissances, estime une source proche du Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération.
Aucun espoir de survie pour les séparatistes dans un monde, désormais bien au fait de la supercherie et de la vacuité de leurs soi-disant revendications.
Les derniers revers ont été subis par les séparatistes dans trois continents différents, le Malawi en Afrique, le Vanuatu en Asie/pacifique et le Paraguay en Amérique Latine.
Ainsi, en septembre dernier, rappelle la même source, la République du Malawi, par la voix de son Ministre des Affaires Etrangères, Mme Joyce Banda, avait déclaré qu’"à la lumière des récents développements de la question du Sahara au niveau des Nations Unies, la République du Malawi a décidé de retirer sa reconnaissance de la "rasd" et de rompre toutes relations avec elle".
Moins de deux mois plus tard, c’était au tour du Vanuatu de reconnaître, par une note verbale officielle, la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de réaffirmer son appui aux efforts du SG des Nations Unies pour une solution politique et définitive à ce différend régional.
La même semaine, poursuit la même source, le Paraguay, par la voix de son Ministre des Affaires Etrangères, M. Alejandro Hamed Franco, avait précisé, dans une déclaration à la presse, que "le polisario avait profité d’une situation particulière de changement d’administration dans ce pays, en août dernier, pour semer la confusion au sujet de la position de son pays, soulignant qu’aucun représentant du polisario n’a été invité aux cérémonies d’investiture du Président Fernando Lugo". Par conséquent, a souligné M. Alejandro Hamed Franco, la position de son pays, qui avait retiré sa reconnaissance de la république fantoche en février 2000, "demeure inchangée".
De ce fait, les fameux "succès diplomatiques" dont se targuent l’Algérie et le Polisario, et qui n’existent que dans l’imaginaire de ceux qui excellent dans la propagande mensongère et la manipulation médiatique, se trouvent rattrapés par l’éclat de la vérité et la force de la raison.
Les faits sont têtus et démontrent, selon la même source, une érosion continue de l’appui aux thèses séparatistes. Les reconnaissances de la prétendue RASD connaissent un effritement continu. Ainsi, et depuis 2000, 24 pays ont retiré leurs reconnaissances de cette entité chimérique, s’inscrivant, ainsi, dans une logique conforme à la légalité internationale et à l’évolution du différend, alors que plusieurs autres pays ont gelé leur reconnaissance.
Aujourd’hui, nul ne peut nier que la position de la communauté internationale vis-à-vis de la question de l’intégrité territoriale du Royaume connaît une évolution positive. Une conviction qui se dégage et s’élargit à la faveur des efforts consentis par la diplomatie marocaine, sur le fait que l’unique solution possible à ce conflit hérité d’une époque révolue, est une autonomie élargie sous la souveraineté du Maroc, conclut la même source.
Aucun espoir de survie pour les séparatistes dans un monde, désormais bien au fait de la supercherie et de la vacuité de leurs soi-disant revendications.
Les derniers revers ont été subis par les séparatistes dans trois continents différents, le Malawi en Afrique, le Vanuatu en Asie/pacifique et le Paraguay en Amérique Latine.
Ainsi, en septembre dernier, rappelle la même source, la République du Malawi, par la voix de son Ministre des Affaires Etrangères, Mme Joyce Banda, avait déclaré qu’"à la lumière des récents développements de la question du Sahara au niveau des Nations Unies, la République du Malawi a décidé de retirer sa reconnaissance de la "rasd" et de rompre toutes relations avec elle".
Moins de deux mois plus tard, c’était au tour du Vanuatu de reconnaître, par une note verbale officielle, la souveraineté du Maroc sur son Sahara et de réaffirmer son appui aux efforts du SG des Nations Unies pour une solution politique et définitive à ce différend régional.
La même semaine, poursuit la même source, le Paraguay, par la voix de son Ministre des Affaires Etrangères, M. Alejandro Hamed Franco, avait précisé, dans une déclaration à la presse, que "le polisario avait profité d’une situation particulière de changement d’administration dans ce pays, en août dernier, pour semer la confusion au sujet de la position de son pays, soulignant qu’aucun représentant du polisario n’a été invité aux cérémonies d’investiture du Président Fernando Lugo". Par conséquent, a souligné M. Alejandro Hamed Franco, la position de son pays, qui avait retiré sa reconnaissance de la république fantoche en février 2000, "demeure inchangée".
De ce fait, les fameux "succès diplomatiques" dont se targuent l’Algérie et le Polisario, et qui n’existent que dans l’imaginaire de ceux qui excellent dans la propagande mensongère et la manipulation médiatique, se trouvent rattrapés par l’éclat de la vérité et la force de la raison.
Les faits sont têtus et démontrent, selon la même source, une érosion continue de l’appui aux thèses séparatistes. Les reconnaissances de la prétendue RASD connaissent un effritement continu. Ainsi, et depuis 2000, 24 pays ont retiré leurs reconnaissances de cette entité chimérique, s’inscrivant, ainsi, dans une logique conforme à la légalité internationale et à l’évolution du différend, alors que plusieurs autres pays ont gelé leur reconnaissance.
Aujourd’hui, nul ne peut nier que la position de la communauté internationale vis-à-vis de la question de l’intégrité territoriale du Royaume connaît une évolution positive. Une conviction qui se dégage et s’élargit à la faveur des efforts consentis par la diplomatie marocaine, sur le fait que l’unique solution possible à ce conflit hérité d’une époque révolue, est une autonomie élargie sous la souveraineté du Maroc, conclut la même source.