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LE Roi réitère l'attachement à l'ouverture des frontières

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admin"SNP1975"

admin
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LE Roi réitère l'attachement à l'ouverture des frontières Koweït, 19/01/09 - SM le Roi Mohammed VI a réitéré lundi l'"attachement" du Maroc à "l'ouverture des frontières entre deux peuples frères", et regretté les "piétinements" que connaît l'Union du Maghreb Arabe (UMA).




"En réitérant son attachement à l'ouverture des frontières entre deux peuples frères, le Maroc est loin d'en banaliser l'objectif et de le réduire à quelque avantage étriqué ou à un intérêt exclusif", a souligné SM le Roi dans un message adressé au sommet arabe sur les questions économiques, sociales et de développement qui s'est ouvert lundi à Koweït sous le thème "la solidarité avec le peuple palestinien à Gaza".
L'attitude du Maroc, "procède, au contraire, de sa fidélité à la fraternité et aux règles de bon voisinage. Elle traduit son ferme engagement en faveur de l'Union du Maghreb, d'autant plus qu'elle constitue un maillon important dans le processus d'intégration arabe que nous appelons de nos vœux", a ajouté le Souverain.
Tout en saluant "l'expérience pionnière menée par le Conseil de Coopération du Golfe", le Souverain a regretté "les piétinements que connaît l'Union du Maghreb, du fait d'entraves artificielles, y compris la persistance de la fermeture absurde, par une seule partie, des frontières entre deux pays voisins".
Il s'agit en premier lieu de "créer dans le monde arabe un climat empreint de coopération et de solidarité. Il faut, parallèlement, vaincre les démons de la division et régler les problèmes factices, et se défaire des politiques économiques de portée étroitement nationale, introvertie et confinée à l'environnement immédiat", a souligné le Souverain, préconisant la mise en place d'une feuille de route arabe pour le développement.
"Il faut opter pour une démarche, d'ailleurs inéluctable, celle de la construction d'ensembles régionaux intégrés", dans un monde où "seuls comptent les ensembles forts, et où il n'y a pas de place pour les entités fragiles ou artificielles", a dit SM le Roi, assurant que le Maroc est disposé à œuvrer avec détermination et confiance à la construction d'un espace économique arabe commun".
MAP

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
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Il a mis à profit le sommet arabe pour reposer l’affaire des frontières
Mohammed VI fait une fixation sur l’Algérie
Par : Merzak Tigrine
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Bien qu’absent du sommet de Koweït, le souverain marocain a, dans le discours adressé à ses pairs arabes, saisi l’opportunité pour harceler une fois de plus l’Algérie sur la question de la réouverture de la frontière commune, sans pour autant faire le moindre effort pour régler les contentieux en suspens, comme le demande Alger.
L’affaire de la réouverture des frontières algéro-marocaines est devenue une véritable fixation pour le monarque chérifien, qui met à profit, désormais, les manifestations internationales pour soulever cette question. En effet, dans son discours adressé au sommet économique et social de la Ligue arabe de Koweït, Mohammed VI a réitéré l'attachement du Maroc à l'ouverture des frontières entre le Maroc et l'Algérie. Regrettant les “piétinements” que connaît l’édification de l’Union du Maghreb arabe, le roi du Maroc a remis sur le tapis “l'ouverture des frontières entre deux peuples frères”.
Pour justifier cette nouvelle demande, le souverain alaouite a affirmé qu’“en réitérant son attachement à l'ouverture des frontières entre deux peuples frères, le Maroc est loin d'en banaliser l'objectif et de le réduire à quelque avantage étriqué ou à un intérêt exclusif”. Poursuivant sa plaidoirie, Mohammed VI indiquera dans son message que l’attitude du Maroc “procède, au contraire, de sa fidélité à la fraternité et aux règles de bon voisinage. Elle traduit son ferme engagement en faveur de l'Union du Maghreb, d'autant plus qu'elle constitue un maillon important dans le processus d'intégration arabe que nous appelons de nos vœux”. Dans l’espoir de donner plus de mordant à sa requête, il regrettera “les piétinements que connaît l'Union du Maghreb, du fait d'entraves artificielles, y compris la persistance de la fermeture absurde, par une seule partie, des frontières entre deux pays voisins”, tout en désignant comme exemple à suivre “l'expérience pionnière menée par le Conseil de coopération du Golfe”.
Il soulignera la nécessité de “créer dans le monde arabe un climat empreint de coopération et de solidarité”. Tout en préconisant la mise en place d'une feuille de route arabe pour le développement, le souverain alaouite fera encore des reproches indirects à l’Algérie en affirmant qu’“il faut, parallèlement, vaincre les démons de la division et régler les problèmes factices, et se défaire des politiques économiques de portée étroitement nationale, introverties et confinées à l'environnement immédiat”. Dans le même ordre d’idées, Mohammed VI estimera qu’“il faut opter pour une démarche, d'ailleurs inéluctable, celle de la construction d'ensembles régionaux intégrés dans un monde où seuls comptent les ensembles forts, et où il n'y a pas de place pour les entités fragiles ou artificielles”, en assurant que “le Maroc est disposé à œuvrer avec détermination et confiance à la construction d'un espace économique arabe commun”.
Décidément, le Makhzen continue à se voiler la face en refusant une solution globale des contentieux algéro-marocains en suspens, dont la réouverture de la frontière, comme cela a été proposé par de nombreux officiels algériens, notamment le ministre algérien de l’Intérieur, Noureddine Yazid Zerhouni, et le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. Ainsi, au lieu de perdre du temps à exiger dans les discours des responsables marocains uniquement la réouverture des frontières, Rabat ferait mieux de se mettre autour d’une table avec Alger et trouver un dénouement à tous les différends entre les deux parties.

Merzak Tigrine
Liberté


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admin"SNP1975"

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MOHAMMED VI ET LES FRONTIÈRES ALGÉRO-MAROCAINES
Les délires d’un roi

21 Janvier 2009 -





LE Roi réitère l'attachement à l'ouverture des frontières TP090121-09

Après avoir décidé de fermer ses frontières avec l’Algérie en 1994, il l’accuse aujourd’hui de refuser de les ouvrir.

Il y a de tout dans la démarche du jeune souverain marocain, sauf du pragmatisme mais aussi de la sincérité. Du côté de Rabat, il est désormais de tradition de pointer un doigt accusateur sur Alger à chaque fois que cela est possible. Cette fois-ci, Mohammed VI n’a pas hésité à accuser les autorités algériennes de persister à maintenir leurs frontières fermées aux Marocains. «Une fermeture absurde», nous dit-il. Une des raisons, selon lui, qui fait traîner en longueur et entrave le bon fonctionnement de l’Union du Maghreb arabe. «Nous ne pouvons que regretter les piétinements que connaît l’Union du Maghreb, du fait d’entraves artificielles, y compris la persistance de la fermeture absurde, par une seule partie, des frontières entre deux pays voisins», a déclaré le souverain marocain dans un message adressé au Sommet arabe qui s’est tenu lundi et mardi au Koweït.
Ce Sommet ayant pour thème l’économie arabe est venu après celui de Doha consacré à la tragédie de Ghaza, boycotté par Mohammed VI - président, soulignons-le, du comité Al Qods - et auquel a pris part le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika. Vu les événements dramatiques de la bande de Ghaza, la sauvagerie et la barbarie dont a été victime la population palestinienne, ces propos tombent comme un cheveu sur la soupe. Ils sont tout simplement indécents. Ce n’était ni le lieu ni le moment pour le roi du Maroc de mettre sur la table un contentieux dont il a hérité, certes, de son défunt père, le roi Hassan II. Et quand de surcroît la vérité est escamotée et les faits travestis, les larmes versées sur la Palestine trahie et martyrisée ne peuvent ressembler qu’a des larmes de crocodile. Les frontières entre l’Algérie et le Maroc ont été fermées au mois d’août 1994. L’hôtel Asni, à Marrakech, venait de subir un sanglant attentat terroriste. L’Algérie faisait face à un terrorisme aveugle qui a fait plus de 100.000 victimes. C’est le moment choisi par le Royaume marocain comme l’ont fait, par ailleurs, d’autres pays, pour accentuer le huis clos dans lequel se jouait le drame algérien. Rabat n’a pas trouvé mieux que d’imputer l’attentat de Marrakech aux services secrets algériens, comme le rapporte d’ailleurs MAP, l’agence officielle de presse marocaine.
Un timide réchauffement des relations entre les deux pays a, cependant, vu le jour en 2005 lorsque le Maroc a décidé de supprimer les visas qui ont été imposés aux Algériens. L’Algérie en fit de même en 2006. Les frontières terrestres resteront cependant fermées. Ce qui est normal. On ne ferme pas une frontière pour l’ouvrir par la suite par coquetterie ou tout simplement par envie. Et cette fermeture des frontières a permis d’endiguer le trafic d’armes et de drogue vers l’Algérie à partir du territoire marocain. Toutefois, économiquement, le Maroc est en train d’étouffer et il veut desserrer l’étreinte. Mohammed VI veut faire preuve de sa bonne foi. L’ouverture des frontières entre le Maroc et l’Algérie ne cache ni de projet sournois, encore moins de plan machiavélique. «En réitérant son attachement à l’ouverture des frontières entre deux peuples frères, le Maroc est loin d’en banaliser l’objectif et de réduire à quelque avantage étriqué ou à un intérêt exclusif», a déclaré sur un ton qui se veut rassurant, le souverain alaouite. Par ailleurs, un des problèmes qui minent les relations algéro-marocaines réside dans le dossier de décolonisation du Sahara occidental. L’Union du Maghreb, l’UMA, dont s’est subitement souvenu Mohammed VI, est un atout important pour le développement économique de la région. Mais cette croissance ne se fera sans aucun doute pas sur le dos de la cause sahraouie.
Aussi, l’Algérie continuera à soutenir le principe d’autodétermination pour le peuple du Sahara occidental, conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité dans ce sens, comme elle soutient de véritables négociations de paix entre les deux parties belligérantes, le Royaume du Maroc et le Front Polisario, dans le cadre des règles fixées par l’Organisation des Nations unies.

Mohamed TOUATI



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