Je veux bien apporter ma première contribution dans ce site que j’apprécie beaucoup.
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Je vois que tout nos amis parlent du seul fait de la fermeture de la frontière, sans toutefois en apporter les circonstances de cette fermeture et la position de ceux qui maintienent ce fait.
Tout d’abord je veux apporter que je ne suis pas un favoriste du régime en algérie ni de celui du maroc, je suis avec les peuples de la région et la logique des choses.
Cette logique stipule qu’il est inadmiscible qu’une frontière terrestre soit fermée au moment ou la frontière aérienne est ouverte ! c’est vraiment de la connerie flagrande de la part des respnsables algériens, aussi il y a la nature du terrain, des populations de la région et des peuples des deux pays, qui font en sorte que cette frontière ne doit même pas exister , tout le monde sait qu’il n y a aucune bande sécurisée, ni un obstacle naturel ou materiel entre le maroc et l’algérie, cette frontière est parmi les frontières les plus ouvertes au monde, entre les deux pays il y a des terres privés (le proriétaire algérien est le voisin direct du propriétaire marocain), des douars mitoyens, des maisons mitoyens, des routes mitoyens, des villages mitoyens... alors comment une frontière peut elle exister ?!
Moi je pense que les autorités marocaines assument aussi la responsabilité de ce fait et je n’ai lu aucun commentaire de nos frêres marocains sur ce sujet. J’ai entendu le roi à plusieurs reprises dire que je demande que cette frontière soit ouverte, sans toutefois incister sur cette demande.
Un nombre de responsables algériens ont apporté récament que la frontière ne sera ouverte que si les autorités marocaines acceptent un nombre de conditions relatives à la sécurité, la lutte contre la contrebande, et la lutte contre le trafic de drogue, et ils ont rejetté qu’il y a parmi ces conditions l’affaire du polisario, alors comme on le dit chez nous (nouassallou el kadhabe li bab dar) , les autorités marocaines n’avaient qu’à s’assoir autour d’une table avec les responsables algériens et se mettre d’accord sur ces conditions, tant qu’elles sont logiques et réalisables.
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Je vois que tout nos amis parlent du seul fait de la fermeture de la frontière, sans toutefois en apporter les circonstances de cette fermeture et la position de ceux qui maintienent ce fait.
Tout d’abord je veux apporter que je ne suis pas un favoriste du régime en algérie ni de celui du maroc, je suis avec les peuples de la région et la logique des choses.
Cette logique stipule qu’il est inadmiscible qu’une frontière terrestre soit fermée au moment ou la frontière aérienne est ouverte ! c’est vraiment de la connerie flagrande de la part des respnsables algériens, aussi il y a la nature du terrain, des populations de la région et des peuples des deux pays, qui font en sorte que cette frontière ne doit même pas exister , tout le monde sait qu’il n y a aucune bande sécurisée, ni un obstacle naturel ou materiel entre le maroc et l’algérie, cette frontière est parmi les frontières les plus ouvertes au monde, entre les deux pays il y a des terres privés (le proriétaire algérien est le voisin direct du propriétaire marocain), des douars mitoyens, des maisons mitoyens, des routes mitoyens, des villages mitoyens... alors comment une frontière peut elle exister ?!
Moi je pense que les autorités marocaines assument aussi la responsabilité de ce fait et je n’ai lu aucun commentaire de nos frêres marocains sur ce sujet. J’ai entendu le roi à plusieurs reprises dire que je demande que cette frontière soit ouverte, sans toutefois incister sur cette demande.
Un nombre de responsables algériens ont apporté récament que la frontière ne sera ouverte que si les autorités marocaines acceptent un nombre de conditions relatives à la sécurité, la lutte contre la contrebande, et la lutte contre le trafic de drogue, et ils ont rejetté qu’il y a parmi ces conditions l’affaire du polisario, alors comme on le dit chez nous (nouassallou el kadhabe li bab dar) , les autorités marocaines n’avaient qu’à s’assoir autour d’une table avec les responsables algériens et se mettre d’accord sur ces conditions, tant qu’elles sont logiques et réalisables.