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[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal !

+7
yacoub
yaz
clairefontaine1963
mimissa
Sidhoum
ben_dzaïr
admin"SNP1975"
11 participants

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clairefontaine1963

clairefontaine1963

pour maghrébin ,t'as rien compris ya kho:
je dis bien que je déteste ton gouvernement et surtout boukharouba et bouteflika ok,pour ce qui est pétrole machin algérien ,bientôt le robinet sera fermé par 2 moyens :
1)le pétrole en baisse et bientôt les énergies renouvelable en perft!!
2)le Maroc va vous fermer le robinet au Sahara,,, compris maintenant


pour le tsétsé de talal:je t'ai bien répondu avec un exemple de ma poule noir ou karkoubi,ou par MR Lepen etc,,,,t'as qu'a relire ce que j'ai écrits .

ben_dzaïr

ben_dzaïr

maghrebin a écrit:
ben_dzaïr a écrit:Maghrebin...tu as lu ce que a ecrit saad lounes...c'est ce genre d'algeriens qu'ils acceptent....des algeriens traitres à leur nation et au service de leur makhzen...
oui ,c'est un kabyle en plus ,qui sont connu ,pour leur nationalisme,c'est pure harki,j'ai pas su le contacte ce traitre , pour lui dire les 4 verites

!!
pauvres mrarka..

clairefontaine1963

clairefontaine1963

ils
oublient que sans les étrangers qui leurs ramènent a bouffer et à
travailler ils mangeraient la caillasse et la paille pour survivre


toz 3li ya tsétsé :

tes maitres marocains et non pas mraraka ont construit ton pays ,aider les vrais algériens pendant la guerre,marié a des algériens et algériennes.
ils mangent que raf3a ya tsétsé,ay ay ay 3la l'agriculture marocaine
pour la paille on la donne pour des gens comme toi
le tourisme c'est du luxe ya tsétsé,les marocains sont capable de tout
tu sais à oujda en 1984 ,les aller-geriens sont rentré en masse ,t ils disaient sawarni ya khouya sawarni ,rabhoum les marocains donnent les pesteques et les melons,ainsi que les oranges aux anes et nous on la meme pas vu en réve,voila la réalité des aller-geriens.
tu sais vous avez rien en Algérie ,même les chinois vous aide,vous êtes un peuple maudit depuis notre déportation,et c'est fini pour vous ,vous ne verrez plus errahma ou le soleil,fikoum jou3 et celui qui s'approche de vous et contaminé ,alors la on revient au fameux BK agent responsable de la tuberculose d'en tu fais allusion,cela dit que vous êtes malade c'est fini pour vous.fin nh

clairefontaine1963

clairefontaine1963

ce kabyle connait très bien son gouvernement et surtout le clan d'oujda,n'oublies pas qu'il est plus algérien que toi ,c'est un berbère,le premier habitant du Maghreb ya tsétsé

Slimani9002



ben_dzaïr a écrit:
maghrebin a écrit:
clairefontaine1963 a écrit:oui c'est sur ,et bien relis toi ,et mets toi à notre place,puis je te laisserai juger.
A ton avis ce qu'ils nous ont fait les algériens c'est normal ou quoi!!!on a perdu les plus cher au monde(parents),et eux?????
le gouvernement pas jes algeriens,il faut pas generaliser;

Maghrebin...ne sois pas dupe ....la haine des Marokki est sans borne, ils nous haissent sans distinction....comment expliques tu ce post sur le petrole...et pourquoi???

alors grellou on rechute ?

on retombe dans les travers de l'insulte?


pour le moment

[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 6 Carton-jaune

et si je me fache, ce sera



[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 6 CAFARD





Dernière édition par slaker75 le Mer 12 Nov - 13:57, édité 1 fois

Slimani9002



ben_dzaïr a écrit:
maghrebin a écrit:
ben_dzaïr a écrit:Maghrebin...tu as lu ce que a ecrit saad lounes...c'est ce genre d'algeriens qu'ils acceptent....des algeriens traitres à leur nation et au service de leur makhzen...
oui ,c'est un kabyle en plus ,qui sont connu ,pour leur nationalisme,c'est pure harki,j'ai pas su le contacte ce traitre , pour lui dire les 4 verites

!!
pauvres mrarka..

ma3andak tassila 3aalch ta7chem ya dak el kelb !

Alge...chien tu es, .........chien tu restera, tu es juste bon a piquer !


allé a la niche !!!



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admin"SNP1975"

admin
Admin

Le CNES reconnaît que notre pays est désarmé face à la crise mondiale :Les Algériens bientôt appelés à se serrer la ceinture



La note de conjoncture du premier semestre 2008 du Cnes est globalement favorable à l’action du gouvernement. Le Cnes qui a présenté hier à la résidence Djenane El Mithaq (Alger) deux rapports sur la situation économique et sociale du pays se montre cependant plus nuancé concernant les équilibres extérieurs du pays. Bien que faisant siennes les assurances des autorités qui soutiennent que l’Algérie est à l’abri des retombées de la crise financière internationale, le CNES plaide toutefois pour la mise en place « d’une politique d’anticipations rationnelles traitant de choix de devises, de placement et de possibilité d’élargissement de la gamme d’instruments financiers susceptibles d’absorber les chocs des marchés financiers ».




L’économie nationale, qui, souligne-t-on, « n’affiche pas de signe de turbulences en réaction à l’actuelle crise financière internationale », devrait anticiper des sorties de crise en cas de mauvaises transitions sur ses propres marchés, notamment bancaires et des assurances, fait valoir le Cnes. Les conclusions de cette institution laissent entendre que l’Algérie n’est pas assez outillée pour amortir l’impact du séisme financier et économique qui commence à toucher l’économie réelle de nombreux pays qui s’enlisent dans la récession. Aussi, ses experts recommandent vivement la mise en place d’un dispositif de veille qui devrait s’accompagner d’un train de mesures préventives. Plus explicite, le rapport note que dans un contexte de fortes incertitudes économiques internationales, l’équilibre à terme de la balance des paiements serait compromis en absence de mesures d’ajustement de la variable « importation ». Il y va de l’équilibre commercial extérieur actuel de l’Algérie, avertit le Cnes. D’autant plus que l’économie nationale reste mono-exportatrice dépendant entièrement des recettes pétrolières. D’ailleurs, pour le Cnes, « la question qui est posée de façon lancinante est : combien de temps va durer cette crise (financière internationale, ndlr) et jusqu’où affectera-elle les cours du brut ? ». Une question à laquelle a bien voulu répondre le ministre des Finances, Karim Djoudi. L’Algérie, a-t-il dit, devra à long terme revoir sa copie en matière de stratégie économique si les répercussions de la crise économique internationale, notamment sur le marché pétrolier, se poursuivent à terme. « Si les cours du pétrole connaissent une baisse continue de façon significative et si l’économie mondiale entre en récession, on sera obligés de reconfigurer notre action économique sur le moyen terme », a indiqué le premier argentier du pays. Le ministre estime toutefois que les choix des autorités ont permis de prémunir le pays des conséquences de cette crise, citant, entre autres, la réduction de l’endettement, les réticences de l’Etat algérien à créer un fonds souverain ou de convertibilité des opérations en capital, mais aussi le financement du développement de l’économie nationale en dinar algérien et non pas avec des financements extérieurs. M. Djoudi a également rappelé que le gouvernement a « toujours travaillé depuis 2000 sur un prix de baril à 19 dollars » alors que le différentiel a été versé au fonds de régulation des recettes. « Je vous rappelle que le fonds de régulation a pour objectif de réduire à la fois notre endettement (ce qui a été fait) et de nous protéger des évolutions des marchés internationaux en matière de taux de change, de taux d’intérêt, de crédits et surtout il permet d’assurer au budget de l’Etat une visibilité en matière de financement. Aujourd’hui, nous avons sur nos ressources 40% de notre produit brut au fonds de régulation, ce qui nous permet sur le moyen terme, avec un prix de baril à 37 dollars sur lequel la loi de finances a été établie, d’avoir une visibilité en matière de financement à moyen terme, c’est-à-dire de 2008 jusqu’à 2011 », a assuré le représentant du gouvernement.




Par Nora Boudedja
> El Watan

http://www.marocainsdalgerie.net

clairefontaine1963

clairefontaine1963

maghrébin a dit:

le gouvernement pas jes algeriens,il faut pas generaliser;




salama khoya chatak wallah wa3ar fi al3arbia donc je t'éxplique en 3arbia ta3 wharna kho: ana khoya goulte nakrah rab nta3 boutéflika ,lkalbe nta3 boukharouba li khrabe mabine ljazairiyine ou lamgharba,ou nasse kima tala arak ta3arfah ya kho ,ma3andah maydir ghir darah 3atika bache i3assna za3ma ,bassah ,darou wahad makhrout ,ta3raf 3lache ,li ana frança mabghatche ta3tih la nationalité.
bassah khouya maghrébin ,toi tu es comme mes autres fréres algériens ,et Dieu sait combien 3andi sshabi man (3ach3acha,mazouna,wahrane el harraba,kbayal,timouchante,hata mazaibia ou chawiya)tu vois ,je n'ai jamais eu de problème avec eux,on mange toujours ensemble et en parle du bled,bassah hadak talal machi dzairi,sahraoui bgha bache inouwad el fitna ma bayna les marocains et les algériens oussmahli ya khouya.

clairefontaine1963

clairefontaine1963

talal a dit:Clairfontaine..explique
moi où est l'affinité entre Mycobacterium tuberculosis et certains
champignons comme tu dis et les quels???

puisque rak fahem


bouh 3lia bouh comme disait lala 3aini:::::
bien sur je t'explique mais pas a la façon dont mon oncle l'expliquait à ton président actuel ,pour moi ,puisque t'es nul za3ma tu connais l'immunologie toz 3la li karak,t bien regarde l'explication de tes maitres en made in khouroto comme disait sidhoum :

toi connais l'inflammation granulomateuse et que l'organisme mycrobactérieum tuberculosis comme tu disais et ben il est inhalé dans les alvéoles pulmonaires ,ce qui explique la manifestation ya jahal par la production de cytokines par les cellules T.
et ya jahal c'est les champignons qui sont résponsable du granulome de la tuberculose pulmonaire (d'ailleure ta qu'a voir en algérie ),donc a jahal qui provoque la réaction granulomateuse mcrophagique si ce n'est pas certains champignons qui ne sont pas éliminés par les neutrophiles,toz 3la kraytak,vive tes maitre marocain,vive Pasteur et vive la France,vive le Maroc,et vive ssyadak.en plus c'est du vite vite;;;;

mimissa

mimissa

Ayamchoum adach inir ijan arhachate oura ad maghrebin ani am wanarni as ta3raft a9an HALOUF KARMOS!!!!!!!!! pffffffff laisses tomber

clairefontaine1963

clairefontaine1963

talal
en faite ce qui explique l'inflammation dans la tuberculose pulmonaire,a c'est en plus pour tat kahwa

Slimani9002



mimissa a écrit:Ayamchoum adach inir ijan arhachate oura ad maghrebin ani am wanarni as ta3raft a9an HALOUF KARMOS!!!!!!!!! pffffffff laisses tomber


translate please !!!

mimissa

mimissa

It s a secret so anyway I am going to contact you by PM to tell you what I have written OK ? Never mind (Mdrrrrrrrr).

mimissa

mimissa

slaker75 a écrit:
ben_dzaïr a écrit:
maghrebin a écrit:
clairefontaine1963 a écrit:oui c'est sur ,et bien relis toi ,et mets toi à notre place,puis je te laisserai juger.
A ton avis ce qu'ils nous ont fait les algériens c'est normal ou quoi!!!on a perdu les plus cher au monde(parents),et eux?????
le gouvernement pas jes algeriens,il faut pas generaliser;

Maghrebin...ne sois pas dupe ....la haine des Marokki est sans borne, ils nous haissent sans distinction....comment expliques tu ce post sur le petrole...et pourquoi???

alors [u][size=24]grellou[/u] on rechute ?

on retombe dans les travers de l'insulte?[/size]

pour le moment

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et si je me fache, ce sera



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Qu est ce que je me suis marre en lisant ce GRELLOU ca faisait belle lurette que je n avais pas entendu ce mot au Maroc c est plutot SARA9 EZZITE (Mdrrrrrrrrr) ya ban3ami.



Dernière édition par mimissa le Mer 12 Nov - 18:55, édité 1 fois

Slimani9002



mimissa a écrit:It s a secret so anyway I am going to contact you by PM to tell you what I have written OK ? Never mind (Mdrrrrrrrr).

thank you very much !!!

mimissa

mimissa

you are welcome

Slimani9002



mimissa a écrit:
slaker75 a écrit:
ben_dzaïr a écrit:
maghrebin a écrit:
clairefontaine1963 a écrit:oui c'est sur ,et bien relis toi ,et mets toi à notre place,puis je te laisserai juger.
A ton avis ce qu'ils nous ont fait les algériens c'est normal ou quoi!!!on a perdu les plus cher au monde(parents),et eux?????
le gouvernement pas jes algeriens,il faut pas generaliser;

Maghrebin...ne sois pas dupe ....la haine des Marokki est sans borne, ils nous haissent sans distinction....comment expliques tu ce post sur le petrole...et pourquoi???

alors [u][size=24]grellou[/u] on rechute ?

on retombe dans les travers de l'insulte?[/size]

pour le moment

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Qu est ce que je me suis marre en lisant ce GRELLOU ca faisait belle lurette que je n avais pas entendu ce mot au Maroc c est plutot SARA9 EZZITE (Mdrrrrrrrrr) ya ban3ami.

c est le cafard couleur locale !!!

mimissa

mimissa

slaker75 a écrit:
ben_dzaïr a écrit:
maghrebin a écrit:
ben_dzaïr a écrit:Maghrebin...tu as lu ce que a ecrit saad lounes...c'est ce genre d'algeriens qu'ils acceptent....des algeriens traitres à leur nation et au service de leur makhzen...
oui ,c'est un kabyle en plus ,qui sont connu ,pour leur nationalisme,c'est pure harki,j'ai pas su le contacte ce traitre , pour lui dire les 4 verites

!!
pauvres mrarka..

ma3andak tassila 3aalch ta7chem ya dak el kelb !

Alge...chien tu es, .........chien tu restera, tu es juste bon a piquer !


allé a la niche !!!



[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 6 Niche-chien-2


T es trop marrant wallah la je vais justement te raconter une tite anecdote pour ma3andak tassila, y a un membre de ma famille une brave dame d ailleurs mais qui ne s exprime pas tres bien en arabe, evidemment elle ne parle que le rifin alors un jour elle a recu un ami a son fils et elle s est adresse a lui bien sur en croyant bien faire elle lui a dit :

Mnine tassiltak a waldi, mais tu ne peux pas t imaginer comment le pauvre gosse s est senti il ne savait plus ou donner de la tete tellement il s est senti mal a l aise mais pour elle c etait une question tout a fait normal voila koi quand j ai lui ca j ai pense a cette brave femme.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Le baril à 40 dollars,une certitude à 50 ça irait très mal.

Ce matin pour la 1ére fois le prix du baril de la malédiction est en dessous de la barre des 50 dollars.

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admin"SNP1975"

admin
Admin

LA CHUTE DES PRIX DU PÉTROLE PERSISTE
L’Opep se réunit au Caire le 29 novembre
15 Novembre 2008 - Page : 4
Lu 82 fois
[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 6 TP081115-03

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole est préoccupée: le prix du baril de Brent est descendu à 50,60 dollars jeudi.

Les pays membres de l’Opep ont décidé de tenir une réunion extraordinaire le 29 novembre dans la capitale égyptienne. «Nous confirmons la réunion du Caire», a laconiquement déclaré un porte-parole du cartel depuis le siège de l’organisation à Vienne en Autriche. Les prix de l’or noir qui ont flirté jeudi avec la barre symbolique des 50 dollars, ont déclenché une alerte longtemps repoussée. Sur le New-york mercantile Exchange (Nymex), le baril de «Light Sweet Crude» qui avait plongé jeudi pendant les échanges électroniques à 54,67 dollars, a rebondi légèrement pour terminer la séance à 58,24 dollars.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord a fait un spectaculaire plongeon ne s’arrêtant qu’in extrémis au-dessus des 50 dollars. 50,60 dollars très exactement. Le baril de pétrole est tombé à un prix qu’il n’avait plus affiché depuis le mois de mai 2005, soit plus de 3 ans. Le baril de pétrole qui ne cesse de jouer au yo-yo depuis qu’il a entamé sa dégringolade, l’été dernier, a fini par jouer avec les nerfs des pays producteurs et en particulier ceux de l’Opep.
La première réduction de leur production de 1,5 million de barils par jour, décidée le 24 otobre 2008 à Vienne, est restée vaine et d’aucune efficacité pour enrayer l’hémorragie des prix de l’or noir. «L’annonce de cette seconde réunion extraordinaire semble toutefois avoir eu un léger effet sur le marché si l’on se fie aux déclarations de certains experts. Le prix du baril s’est ressaisi suite à l’annonce par l’Opep qu’elle allait se réunir au Caire pour discuter de sa production», a déclaré Adam Sieminski de la Deutsche Bank. A moins que cela soit la réaction iranienne, un des «faucons de l’Opep» qui ait légèrement boosté le baril de pétrole. «Face à la chute des prix et à l’instabilité du marché, l’Iran soutient une baisse de la production», a indiqué Mohammad Ali Khatibi hier, le représentant iranien auprès de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole. Une déclaration rapportée par l’agence de presse iranienne «Mehr». La réunion du Caire présente une opportunité pour «échanger des idées sur le marché pétrolier et pour préparer toute nouvelle décision de l’Opep lors de sa prochaine réunion prévue le 17 décembre à Oran en Algérie», a ajouté le responsable iranien.
Si l’on se fie aux déclarations du président de l’Opep, l’on doit se diriger tout droit vers une seconde réduction. En effet, Chakib Khelil n’avait-il pas lors du forum d’El Moudjahid affirmé que «nous avons toujours dit qu’un baril de pétrole entre 70 et 90 dollars était raisonnable. S’il continue à chuter, il y a une forte probabilité pour qu’il y ait une nouvelle réduction». Tous les facteurs convergent vers une seconde baisse de la production des pays membres de l’Opep.
Le prix du baril de pétrole n’arrive pas à se hisser à l’intérieur de la fourchette des 70-90 dollars. Il aurait plutôt tendance à retrouver le niveau qu’il avait atteint en 2005, c’est-à-dire 55 dollars. La détérioration de la demande mondiale de pétrole a été confirmée par l’Agence internationale de l’énergie (AIE) dans son rapport d’octobre.
Elle ne devrait croître que de 100.000 barils par jour d’ici la fin 2008 et de près de 400.000b/j en 2009. Des prévisions qui n’augurent pas de jours meilleurs pour le marché pétrolier.
«D’autres baisses de prix jusqu’à même 30 dollars le baril, sont envisageables dans les prochains mois», pronostique Julian Jessops de Capital Economics. Passer du rêve au cauchemar c’est ce que redoutent les pays membres de l’Opep, le syndrome de la crise asiatique de la fin des années 90, lorsque les prix de l’or noir ont atteint les 10 dollars, est encore dans tous les esprits.


Mohamed TOUATI

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Des prévisions qui n’augurent pas de jours meilleurs pour le marché pétrolier.
«D’autres baisses de prix jusqu’à même 30 dollars le baril, sont envisageables dans les prochains mois», pronostique Julian Jessops de Capital Economics. Passer du rêve au cauchemar c’est ce que redoutent les pays membres de l’Opep, le syndrome de la crise asiatique de la fin des années 90, lorsque les prix de l’or noir ont atteint les 10 dollars, est encore dans tous les esprits.


L'heure est grave . Les pays qui ont cette malediction commencent à tribucher. Les calculs sont revus à la baisse.
Baisse spectaculaire du prix de l'or noir.
Il est passé aujord'hui en dessous de la barre des 50 dollars.
Il est à 46 dollars

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Nadir Bella, spécialiste en finances, à propos de l’impact de la crise sur l’Algérie

"Les réserves en devises du pays en baisse


Par :
Khaled R.

Dans cet entretien, cet expert international aborde la question fondamentale de la durée de la crise financière et de son impact sur l’Algérie. Il propose un arbitrage dans les dépenses publiques en cas de poursuite de la chute des prix du pétrole.

Liberté : Quelles sont les incidences positives et négatives de la crise financière mondiale sur l’Algérie ?

Nadir Bella : Si la crise financière internationale et la récession économique qui lui est concomitante ne durent pas plus de 1 à 2 années, leurs conséquences sur l’Algérie seront marginales. Mais si la crise s’installe dans la durée, les conséquences seront beaucoup plus importantes. La variable clé est donc la durée de la crise. Cette question pour l’instant ne recueille pas l’unanimité auprès des experts. Les raisons qui incitent à un relatif optimisme pour l’économie algérienne si la crise internationale ne va pas au-delà de 24 mois sont les suivants. En premier lieu, les recettes d’exportation d’hydrocarbures vont fortement diminuer par rapport au pic atteint au premier semestre 2008. Les experts considèrent que les pays occidentaux ont pour objectif d’atteindre un baril à 50 dollars. Quelle sera la réaction de l’Opep face à la probable baisse de la demande découlant de la baisse attendue de la croissance mondiale ? En second lieu, le pouvoir d’achat international de l’Algérie sera favorablement influencé par trois facteurs : premièrement, la hausse importante du dollar par rapport à l’euro dans un contexte où 98% des exportations sont libellées en dollars et les deux tiers des importations proviennent de la zone euro. Deuxièmement, il est déjà observé une baisse importante du prix des matières premières, notamment alimentaires telles que le blé et le lait. La facture alimentaire de l’Algérie devra être largement adoucie. Troisièmement, les prix des biens d’équipement importés, sous l’impact d’une demande mondiale moins importante, notamment de la part de la Chine seront fortement revus à la baisse. La flambée observée ces dernières années, surtout sur le prix des centrales électriques, est largement un événement du passé. Par ailleurs, l’économie algérienne est protégée du fait du refus exprimé au Fonds monétaire international depuis au moins 12 ans d’introduire une convertibilité totale de la monnaie nationale, notamment en rendant convertible le compte capital. À cet égard, il est assez surprenant que certains experts nationaux blâment aujourd’hui les autorités alors qu’il y a peu de temps, ils étaient les défenseurs acharnés de la convertibilité totale du dinar. De plus, la politique de remboursement anticipé de la dette aussi bien auprès du Club de Paris, du Club de Londres a rendu le pays immunisé contre toute variation possible des taux d’intérêts, des taux de change et d’éventuelles difficultés de refinancement de la dette extérieure.

Quel est l’impact de la crise sur les recettes budgétaires du pays et sur les IDE ?

On peut néanmoins anticiper trois éléments qui mériteraient une attention particulière des autorités :
1- la baisse des exportations d’hydrocarbures a un effet automatique sur les recettes budgétaires de l’État. Ceci nécessitera la mise en œuvre d’arbitrage (dans les dépenses d’investissements publics) et le renforcement des efforts d’amélioration de l’efficacité dans la dépense d’investissement public. On estime quand un baril est exporté, il y a 80% à 85% de taxe pétrolière ;
2- un effet de valorisation négatif sur les réserves de change exprimées en dollars (les réserves en devises exprimées en dollars sont en baisse du fait de la composante en euros des réserves de change du pays estimées à 45%). En effet, depuis 3 ou 4 ans, les autorités monétaires avaient judicieusement anticipé une hausse de l’euro et donc augmenté la part en euros détenue dans les réserves de change. Mais est-ce que les autorités monétaires ont anticipé la baisse actuelle observée de l’euro par rapport au dollar ? Depuis, l’été, l’euro est passé de 1,60 à moins de 1,30 ;
3- la baisse du niveau des recettes hydrocarbures associée à une baisse des recettes fiscales aura des conséquences inéluctablement sur la liquidité bancaire. Quelles en seraient les conséquences pour le financement en monnaie locale des grands projets pétrochimiques. Pour conclure, un impact négatif pourrait provenir des difficultés que la quasi-totalité des multinationales rencontre au niveau mondial pour leur refinancement. Est-ce que cette situation difficile n’aura pas une conséquence sur leur volonté et leurs capacités à investir en Algérie ?

Liberté

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admin
Admin

Pertes fiscales dues aux effets de la crise
17 000 milliards de centimes en fumée
Par :Khaled R.

Ce sont au moins 17 000 milliards de centimes de manque à gagner enregistrés par l’Algérie ces derniers mois, au titre des recettes fiscales versées au Trésor du fait de la chute des prix du pétrole, conséquence de la crise financière mondiale, estiment des experts. En effet, le baril est passé d’un pic de 147 dollars en juillet à 50 dollars en novembre, soit une chute de près de 100 dollars par baril. Depuis plus de deux mois, les cours sont sous la barre des 70 dollars. Le ministre de l’Énergie et des Mines a déjà annoncé une perte de 2,5 milliards de dollars résultant de la baisse de la production algérienne de pétrole, mise en œuvre le 1er novembre, en application de la dernière décision de l’Opep. Une réaction de l’organisation à la chute de la demande sur le brut, une conséquence de la crise financière mondiale, entraînant une baisse des cours du pétrole. Il estime à 3 milliards de dollars le manque à gagner par rapport aux prévisions de recettes des exportations d’hydrocarbures en 2008 (80 milliards de dollars). On escompte obtenir aujourd’hui 77 milliards de dollars. Les statistiques douanières indiquent que l’Algérie a déjà engrangé 68 milliards de dollars à fin octobre tirés des exportations d’hydrocarbures. Même si les cours du pétrole restent à 50 dollars, les recettes engrangées seront supérieures à 75 milliards de dollars, estiment d’autres experts. En ce sens, il faut savoir que 80% au moins de la contre-valeur des recettes exportations sont versées au Trésor au titre des recettes fiscales pétrolières qui couvrent 60 à 70% des dépenses de l’État. Ce sont donc 17 000 milliards de centimes de manque à gagner en quelques mois. 17 000 milliards de centimes, c’est l’équivalent de plus de 50 000 logements qui ne pourront être construits (à raison de 3 millions de DA par logement). C’est de quoi loger 300 000 personnes. 17 000 milliards de centimes, c’est de quoi créer plus de 80 000 emplois. Ce qui inquiète aujourd’hui, c’est la poursuite de la chute des cours du pétrole. Cette situation risque de compromettre le programme d’investissements publics et, partant, de freiner la dynamique de création d’emplois et le rythme de constructions de logements. L’Algérie, faute d’avoir développé suffisamment de ressources hors hydrocarbures, reste, en somme, vulnérable à moyen terme aux chocs extérieurs.

http://www.marocainsdalgerie.net

maghrebin



es prix pétroliers accentuent leur progression en milieu d'après-midi,
dopés par la hausse des marchés d'actions, la baisse du dollar et les
anticipations d'une nouvelle réduction de la production de l'Opep.
Vers 15h45 GMT, le contrat janvier sur le brut léger américain gagnait
3,01 dollar, soit 6,03%, à 52,94 dollars le baril et le Brent prenait
2,86 dollar (5,81%) à 52,05 dollars.

Les investisseurs s'attendent à ce que les pays de l'Opep décident à
nouveau de réduire leur production lors d'une réunion d'urgence,
samedi, pour soutenir des cours pénalisés par l'affaiblissement de la
demande mondiale d'or noir.

"Un accès de confiance causé par le sauvetage de Citigroup et la
possibilité renouvelée d'une nouvelle réduction de la production de
l'Opep ont provoqué un mouvement à la hausse sur les échanges",
commente Mike Fitzpatrick, vice-président de MF Global, dans une note
de recherche.

Il cite également un léger rebond de la demande chinoise en octobre.
Pour beaucoup d'analystes, l'attention du marché va aussi se porter sur
la conférence de presse que doit donner le président élu des Etats-Unis
Barack Obama vers 17h00 GMT. Il doit à cette occasion annoncer la
composition de son équipe économique.

Le Point

admin"SNP1975"

admin
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Luis Martinez. Directeur de recherche au centre d’études et de recherche internationale à sciences politiques de Paris

« Il faut un débat citoyen sur la rente pétrolière »




Le pétrole est-il une bénédiction ou une malédiction pour des pays rentiers comme l’Algérie ? L’analyse de cette problématique ne pouvait tomber mieux à l’heure où la volatilité des cours du brut bouscule dangereusement les certitudes rentières des dirigeants des pays éponymes.



C’est un expert du domaine et un chercheur émérite que nous a proposé hier notre confrère gouvernemental Echâab, via son centre des études stratégiques. Luis Martinez – un Algérien d’origine – directeur de recherche à sciences po à Paris, a en effet mis le doigt sur le mal et les malheurs de l’Algérie avec son pétrole.
Il a conceptualisé la mauvaise gestion de la rente et cristallisé les craintes de ce que cette richesse serve de carburant à des mouvements idéologiques et radicaux qui menaceraient l’Etat national. Résultat d’une étude consacrée à 15 pays pétroliers, et donc rentiers, dont l’Algérie, le propos mais surtout les projections de M. Martinez ont de quoi inquiéter. « Les Etats rentiers appliquent la relation patron-client avec leurs peuples, du fait que la rente n’est pas mise au service de la société. Voilà, poussé jusqu’à la caricature, le mode de gouvernance en vogue chez les autocrates », d’après le conférencier, qui constate « l’exclusion des sociétés dans la gestion de ces rentes ». Il postule que le pétrole ne doit être qu’un « atout minoritaire » à côté d’une dynamique démocratique. Il prévient néanmoins contre la tentation que la rente serve « d’instrument de puissance politique pour les dirigeants ». Et là, M. Martinez met le doigt sur la plaie en évoquant la formule passe-partout des gardiens de la rente, à savoir la théorie du complot pour se déresponsabiliser politiquement de leur mauvaise gestion. Or, la logique aurait voulu que les maîtres de ces pays rentiers disent simplement à leurs peuples : « Nous nous sommes trompés de choix ! » Et à Luis Martinez de surfer sur la nécessité de rendre citoyen le débat sur le pétrole qui fait tellement défaut dans les pays du monde arabe. Hier, toute l’assistance était pratiquement convaincue que ce spécialiste du pétrole et de la démocratie, entre autres, déclinait crûment l’état des lieux peu enviable de la gouvernance en Algérie. Affranchi du « devoir de réserve » qu’observent scrupuleusement nos chercheurs, M. Martinez s’est employé, avec force arguments et exemples, à mettre en garde nos gouvernants contre la tentation de marginaliser le peuple. « Le pire pour l’Algérie serait d’imposer une gestion autocratique de la rente en dehors des institutions démocratiques. » Un constat d’une brûlante actualité. Le conférencier concède certes que l’Algérie possède l’avantage d’avoir remboursé sa dette par anticipation grâce à la rente pétrolière.
Systèmes maléfiques
Mais le fait de ne pas savoir où mettre les 140 milliards de dollars de réserves témoigne, d’après lui, d’une panne d’imagination. « Il n’y a pas de stratégie de gestion de la rente en Algérie ! On réfléchit… et on n’a pas encore décidé », soutient le directeur de recherche à sciences po. Et de prévenir : « C’est politiquement dangereux… ça pourrait servir des idéologies radicales ! » Pourquoi les détenteurs du pouvoir en Algérie tâtonnent dans la gestion de l’argent du pétrole ? Réponse de l’expert : « Le système politique algérien n’est pas préparé à gérer cette richesse, ce tsunami financier, et la démocratie est mise à mal. » Pour M. Martinez, la question, pour l’Algérie et pour tous les pays rentiers, se pose ainsi : « Comment sortir de l’usage toxique de la rente, la désidéologiser pour en faire un moteur économique ? » Et dans la bouche de l’expert, « l’usage toxique » signifie l’instrumentalisation de l’argent du pétrole à des fins de puissance politique et de domination des sociétés. Mais jusqu’à quand ? « Un système rentier prend le risque d’être empoisonné… Ce sont des systèmes maléfiques », met-il en garde. Ne pas faire profiter leurs sociétés de la rente expose fatalement les régimes des pays concernés au risque de désintégration et des mouvements autonomistes, notamment des populations où sont implantés les champs pétrolifères.
Ceci est un avertissement que lance le politologue, qui évoque des exemples aussi variés que ceux de la Tchétchénie, du nord du Nigeria, des Chiapas au Mexique et même de l’Ecosse à l’égard de la couronne britannique. « C’est presque naturel que les populations locales, à force d’êtres marginalisées dans la gestion et la distribution de la rente, revendiquent un jour leur souveraineté sur la richesse de leur sous-sol dont elles ne profitent pas », avertit M. Martinez. Et de préciser que les compagnies pétrolières qui opèrent dans ces régions pourraient mettre leur grain de sel pour mieux tirer profit de ces richesses. Quid de l’Algérie ? « Je ne souhaite pas que cela arrive en Algérie, mais il faut prendre garde », répond l’auteur du livre La Guerre civile en Algérie 1990-1998. « La loi sur la réconciliation nationale a peut-être réduit l’insécurité, mais a-t-elle pour autant réconcilié les Algériens avec leurs gouvernants ? Quand on voit le taux de participation aux dernières élections (35%), il est permis de se poser des questions », précise M. Martinez. Il est convaincu que l’exemple de la gestion « démocratique » de la rente par un pays comme la Norvège est « incopiable ». L’Algérie devrait d’abord, selon lui, tenter de se rapprocher des standards du Venezuela et du Mexique « qui ne sont pas des modèles de démocratie » mais tout de même en avance sur l’Algérie.


Par Hassan Moali

http://www.marocainsdalgerie.net

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