azul mimissa
awah aka taknaghe akamoum iyamchoumna,bache adasskane chwayte
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clairefontaine1963 a écrit:azul mimissa
awah aka taknaghe akamoum iyamchoumna,bache adasskane chwayte
mimissa a écrit:Azul clairefontaine ma mlih cha nir ? je suis tombee du lit alors je profite pour te dire que j ai lu dans son integralite l article concernant les schizoprenes effectivement c est une situation alarmante, je touche du bois et Que Dieu nous preserve de ce malaise.
Dans ce cas faudrait peut etre octroyer des circonstances attenuantes a Talal etant donne qu il n est pas en parfaite condition psychique.
Ya hassssssssssssssrah tu rigoles ou koi ? qui ne connait pas les contes de 3ami Hdidwan.
Amicalement amiss natmort
Admin a écrit:Baisse du baril, inflation mondiale et absence d’une offre intérieure : l’Algérie, un pays mal préparé face à la crise
Par sonia lyes , le 01/11/2008 |
Officiellement, le gouvernement est unanime : l'Algérie ne sera pas touchée par la crise. Grâce à ses réserves de change estimées à 150 milliards de dollars, le pays serait même à l'abri durant au moins les trois prochaines années, selon les prévisions du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Mais, dans les faits, la situation est beaucoup plus complexe et l'inquiétude commence à gagner le gouvernement. De tous les pays pétroliers, l'Algérie est aujourd'hui celui qui possède le moins d'atouts pour faire face à une chute même passagère des prix du baril. L'économie nationale est très peu diversifiée et l'offre intérieure est quasi-inexistante, conséquence d'une politique de désindustrialisation et d'une libéralisation à outrance du commerce extérieur.
Dans les prochains mois, le baril de pétrole devrait se situer entre 50 et 75 dollars, selon des projections d'économistes. Cette situation pourrait durer jusqu'en 2010. On est certes loin de la dégringolade de la fin des années 1980 ou de la baisse brutale des prix qui a suivi la crise asiatique en 1998. Mais en parallèle, la crise actuelle va produire au moins deux effets qui vont se répercuter directement sur la vie quotidienne des Algériens : une poussée inflationniste très forte et un recul des investissements étrangers.
En effet, les plans de sauvetage des banques de près de 2000 milliards de dollars lancés en Europe et aux Etats-Unis vont produire une très forte inflation dans le monde. « Les gouvernements occidentaux n'avaient pas d'argent pour financer ces plans. Ils ont fait travailler les machines à faire des billets. C'est de la monnaie de singe », explique à toutsurlalgerie (www.tsa-algerie.com) un économiste français. Avec une telle masse monétaire injectée dans le système financier mondial, les prix vont s'emballer. Or, l'Algérie importe presque tous ses besoins, notamment alimentaires. La facture d'importation, déjà très importante, va connaître une très forte hausse dans les prochains mois. Elle obligerait le gouvernement à augmenter sensiblement le budget alloué aux subventions, pour maintenir les prix à un niveau raisonnable et sauvegarder la paix sociale. Mais la marge de manœuvre gouvernementale en la matière va dépendre beaucoup de l'évolution des cours du brut. A moins de 75 dollars, la situation pourrait s'avérer difficile à gérer ( lire nos révélations du jour).
Autre conséquence attendue de la crise : une forte baisse des investissements étrangers. Pour se développer, l'Algérie comptait sur un flux d'investissements internationaux. Le pays va devoir patienter : confronter à des difficultés financières, les entreprises étrangères vont se montrer très prudentes et réfléchir à deux fois avant de prendre une décision d'investir. D'autant que l'Algérie vient d'envoyer un signal peu encourageant en direction des investisseurs, en décidant de durcir sa politique en matière d'investissements. Même dans le secteur pétrolier, les choses pourraient se compliquer : avec un baril à 60 dollars, l'Algérie, du fait de sa loi sur les hydrocarbures (partage de production, taxe sur les superprofits...) devient un pays peu rentable pour les compagnies étrangères qui vont devoir faire des arbitrages.
TSA
ben_dzaïr a écrit:Admin a écrit:[b]Baisse du baril, inflation mondiale et absence d’une offre intérieure : l’Algérie, un pays mal préparé face à la crise
TSA
Admin en quoi
Quand tu réponds à ce post je te laisserai faire.
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L’Algérie pourrait être contrainte, selon le ministre de l’Energie, Chakib Khelil, à revoir son programme d’investissements publics et recourir aux financements extérieurs si la crise financière internationale perdurait plus de 3 ans et les prix du pétrole poursuivaient leur baisse. Hôte hier du Forum d’ El Moudjahid, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, a indiqué que les recettes d’exportation pour 2008 ont déjà atteint les 77 milliards de dollars. Pour Chakib Khelil, le montant annoncé de 80 milliards de dollars de recettes devrait être atteint à 2% d’écart. Soit, notamment, les 2 milliards de dollars que valent les 71 000 barils par jour que notre pays doit réduire de son quota de production au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), une organisation dont Chakib Khelil préside aux destinées. De fait, le ministre de l’Energie avait affiché son optimisme sur la situation financière nationale, avec un niveau de réserves de change importantes (plus de 130 milliards de dollars) et un prix moyen du Sahara Blend (pétrole algérien) de l’ordre de 108,28 dollars en moyenne pour les 10 premiers mois de 2008. Et en rappelant que le système bancaire national est déconnecté du système international en termes d’actionnariat croisé. Mais aussi que le dollar se renforce et que les prix des biens et services importés par l’Algérie baissent actuellement et lui assurent un pouvoir d’achat conséquent. Le financement extérieur, une éventualité si… Néanmoins, dans un contexte de récession annoncée aux Etats-Unis et en Europe pour fin 2008 et l’année 2009 et de forte contraction de la demande pétrolière, si la crise internationale perdure plus de 2 à 3 années l’impact en serait négatif sur l’économie algérienne. En cela que l’Algérie pourrait être contrainte, selon Chakib Khelil, de revoir (ajuster, retarder) son programme d’investissements publics. Un programme que notre pays ne pourrait financer dans les mêmes conditions qu’avant si les prix du pétrole continuent aux niveaux actuels (dans les 60 dollars) ou baissent davantage. Et que les partenaires étrangers soient bloqués par manque de crédits bancaires. D’où la possibilité que notre pays soit contraint de recourir aux financements extérieurs. Toutefois, Chakib Khelil a estimé que cette crise financière ne devrait pas, aux dires des experts, perdurer davantage que 2 ans et d’autant que la tension sur les prix pétroliers et l’offre devrait reprendre à terme. Vers une autre réduction de production ? Cela étant, le président de l’Opep n’a pas écarté la possibilité pour le cartel d’une seconde réduction de production après celle de 1,5 million de barils/jour, décidée le 24 octobre dernier par le cartel à Vienne. Une possibilité à l’ordre du jour de la prochaine réunion extraordinaire de l’Opep, prévue le 17 décembre prochain dans la ville algérienne d’Oran. En expliquant cette éventualité par la considération suivante : si la décision de l’Opep est appliquée à 100% sans effet concret sur les cours qui continueraient à baisser. A condition, cependant, d’un consensus au sein du cartel. En tout cas, la situation du marché pétrolier sera, selon Chakib Khelil, à l’ordre du jour d’une réunion «informelle» des ministres de l’Energie des pays arabes membres de l’Opep (Algérie, Koweït, Libye, Qatar, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis et l’Irak). Cette rencontre informelle est annoncée pour le 29 novembre au Caire en marge de la réunion de l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (Opaep). En rappelant que la stratégie de l’Opep reste liée à la stabilité et l’équilibre de l’offre et de la demande, des prix équitables, raisonnables, voire compris dans la fourchette 70 - 90, restant la meilleure option. Khelil serein quant au prochain appel d’offres Serein, le ministre de l’Energie l’était également à propos de la participation étrangère au nouvel appel d’offres pour l’attribution de blocs d’hydrocarbures dont l’ouverture des plis est prévue début décembre prochain. Sachant, dira-t-il, que les opérateurs intéressés présenteront des offres même avec des prix de 60 dollars, et que la réalisation des projets ne débutera que dans une année. Tout en précisant que les contrats négociés et lancés dans l’amont pétrolier (exploration et production) ne sont pas concernés par la mesure fixant l’actionnariat de Sonatrach à 51%. Une mesure qui ne concerne que les projets nouveaux et en gestation dans le secteur pétrochimique (production d’aluminium, notamment). Et en précisant que l’attractivité de l’investissement étranger est liée au partage de dividendes au profit de Sonatrach. Tout en n’écartant pas la possibilité pour l’Etat algérien d’accroître sa participation à plus de 30% dans l’actionnariat du complexe sidérurgique d’El-Hadjar ou de recourir à un contrat de gestion privée. C. B. Nombre de lectures : 121 |
..Vous parler de notre pétrole , notre gaz , notre liberté , notre pays etc etc..Et c'est nous les jaloux!?..'Le monde à l'envers'!...Nous avons bien sure et nous un grand pays , avec plein de héros historique , plein de pétrole , plein de gaz ect ect ..Et on vous dit aussi '' ils vaut mieux faires envie et que pitiés!''.. :arrow: :affraid: ..Vive la liberté , vive le pétrole , vive le gaz , Tahia El Djazair.. :cheers:..clairefontaine1963 a écrit:sidhoum débattre avec qui???l'un est l'admirai du soi,vive moi et l'autre jaloux de nous , monsieur qui connais tout ,ils ne sont même pas reconnaissant envers la France ce merveilleux pays qui nous rend tellement de service,tiens une blague concernant ,cette reconnaissance :
"Deux ministres arabes parlent de la bêtise du petit personnel. Il
appelle son valet: Ali za3ma mout wagaf, va donc voir chez moi si j'y suis.! Ali y va et
revient devant les deux ministres. Vous n'étiez pas chez vous,
Excellence! L'autre ministre arabe dit à l'autre: Cet Ali mout wagaf est vraiment
idiot car il aurait pu vérifier la chose par téléphone!
ya dinhoum bjoujkoum mkalkhine fhamtini oulala la ya kho,,,
Admin a écrit:
Actualités : SI LA CRISE FINANCIÈRE DURE PLUS DE 3 ANS
L’Algérie devra s’endetter, selon Khelil
L’Algérie pourrait être contrainte, selon le ministre de l’Energie, Chakib Khelil, à revoir son programme d’investissements publics et recourir aux financements extérieurs si la crise financière internationale perdurait plus de 3 ans et les prix du pétrole poursuivaient leur baisse.Hôte hier du Forum d’ El Moudjahid, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, a indiqué que les recettes d’exportation pour 2008 ont déjà atteint les 77 milliards de dollars. Pour Chakib Khelil, le montant annoncé de 80 milliards de dollars de recettes devrait être atteint à 2% d’écart. Soit, notamment, les 2 milliards de dollars que valent les 71 000 barils par jour que notre pays doit réduire de son quota de production au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), une organisation dont Chakib Khelil préside aux destinées. De fait, le ministre de l’Energie avait affiché son optimisme sur la situation financière nationale, avec un niveau de réserves de change importantes (plus de 130 milliards de dollars) et un prix moyen du Sahara Blend (pétrole algérien) de l’ordre de 108,28 dollars en moyenne pour les 10 premiers mois de 2008. Et en rappelant que le système bancaire national est déconnecté du système international en termes d’actionnariat croisé. Mais aussi que le dollar se renforce et que les prix des biens et services importés par l’Algérie baissent actuellement et lui assurent un pouvoir d’achat conséquent.Le financement extérieur, une éventualité si…
Néanmoins, dans un contexte de récession annoncée aux Etats-Unis et en Europe pour fin 2008 et l’année 2009 et de forte contraction de la demande pétrolière, si la crise internationale perdure plus de 2 à 3 années l’impact en serait négatif sur l’économie algérienne. En cela que l’Algérie pourrait être contrainte, selon Chakib Khelil, de revoir (ajuster, retarder) son programme d’investissements publics. Un programme que notre pays ne pourrait financer dans les mêmes conditions qu’avant si les prix du pétrole continuent aux niveaux actuels (dans les 60 dollars) ou baissent davantage. Et que les partenaires étrangers soient bloqués par manque de crédits bancaires. D’où la possibilité que notre pays soit contraint de recourir aux financements extérieurs. Toutefois, Chakib Khelil a estimé que cette crise financière ne devrait pas, aux dires des experts, perdurer davantage que 2 ans et d’autant que la tension sur les prix pétroliers et l’offre devrait reprendre à terme.
Vers une autre réduction de production ?
Cela étant, le président de l’Opep n’a pas écarté la possibilité pour le cartel d’une seconde réduction de production après celle de 1,5 million de barils/jour, décidée le 24 octobre dernier par le cartel à Vienne. Une possibilité à l’ordre du jour de la prochaine réunion extraordinaire de l’Opep, prévue le 17 décembre prochain dans la ville algérienne d’Oran. En expliquant cette éventualité par la considération suivante : si la décision de l’Opep est appliquée à 100% sans effet concret sur les cours qui continueraient à baisser. A condition, cependant, d’un consensus au sein du cartel. En tout cas, la situation du marché pétrolier sera, selon Chakib Khelil, à l’ordre du jour d’une réunion «informelle» des ministres de l’Energie des pays arabes membres de l’Opep (Algérie, Koweït, Libye, Qatar, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis et l’Irak). Cette rencontre informelle est annoncée pour le 29 novembre au Caire en marge de la réunion de l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (Opaep). En rappelant que la stratégie de l’Opep reste liée à la stabilité et l’équilibre de l’offre et de la demande, des prix équitables, raisonnables, voire compris dans la fourchette 70 - 90, restant la meilleure option.
Khelil serein quant au prochain appel d’offres
Serein, le ministre de l’Energie l’était également à propos de la participation étrangère au nouvel appel d’offres pour l’attribution de blocs d’hydrocarbures dont l’ouverture des plis est prévue début décembre prochain. Sachant, dira-t-il, que les opérateurs intéressés présenteront des offres même avec des prix de 60 dollars, et que la réalisation des projets ne débutera que dans une année. Tout en précisant que les contrats négociés et lancés dans l’amont pétrolier (exploration et production) ne sont pas concernés par la mesure fixant l’actionnariat de Sonatrach à 51%. Une mesure qui ne concerne que les projets nouveaux et en gestation dans le secteur pétrochimique (production d’aluminium, notamment). Et en précisant que l’attractivité de l’investissement étranger est liée au partage de dividendes au profit de Sonatrach. Tout en n’écartant pas la possibilité pour l’Etat algérien d’accroître sa participation à plus de 30% dans l’actionnariat du complexe sidérurgique d’El-Hadjar ou de recourir à un contrat de gestion privée.
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