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[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal !

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yacoub
yaz
clairefontaine1963
mimissa
Sidhoum
ben_dzaïr
admin"SNP1975"
11 participants

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clairefontaine1963

clairefontaine1963

azul mimissa

awah aka taknaghe akamoum iyamchoumna,bache adasskane chwayte

mimissa

mimissa

clairefontaine1963 a écrit:azul mimissa

awah aka taknaghe akamoum iyamchoumna,bache adasskane chwayte

Morte de rire zikhanta amani dimchoumen iwa 3anassen mazal Allah i 3awaen di la mission anech, amisS natmort inou i3izen.

Amicalement.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Il est déjà largement déficitaire : le budget de l’Algérie pour 2009 a été élaboré sur la base d’un baril à 75 dollars - REVELATIONS


Par samir allam , le 01/11/2008 | réactions : 10

A peine adopté par le Parlement, le 23 octobre dernier, à une écrasante majorité, le budget de l'année 2009 est déjà largement déficitaire. La cause ? Selon des informations exclusives recueillies par toutsurlalgerie (www.tsa-algerie.com) de source bien informée, le budget de l'Algérie pour l'année prochaine a été en réalité élaboré sur la base d'un baril de pétrole à 75 dollars et non à 37 dollars, comme inscrit officiellement dans la loi de Finances 2009 soumise aux votes des députes et des sénateurs.

Explication : le budget de l'Etat sera équilibré avec un baril de pétrole supérieur à 75 dollars en glissement annuel. A moins de ce prix, il sera déficitaire et le gouvernement serait alors dans l'obligation de solliciter le fonds de régulation des recettes des hydrocarbures pour équilibrer le budget. Le fonds a déjà été sollicité en 2008 à hauteur de 40 milliards de dollars.

D'ailleurs, au sein de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), l'Algérie milite pour un prix du baril supérieur à 75 dollars. Pour l'Algérie ce seuil constitue un élément non négociable, en dépit des pressions occidentales émanant notamment de Londres et Washington qui souhaitent voir les pays de l'Opep maintenir leur production à un niveau élevé pour favoriser une baisse des prix. Actuellement, le prix moyen du baril se situe aux alentours de 60 dollars. Un prix nettement inférieur aux espérances algériennes.

Ce n'est pas la première fois que le gouvernement algérien élabore un budget sur une base erronée. Avant 2009, les budgets ont été construits sur la base peu réaliste d'un baril à 19 dollars, et ce en dépit des critiques et des réserves émises régulièrement par plusieurs experts et économistes. Dans les pays développés, il existe des mécanismes appelés lois d'exécution du budget. Ils permettent de vérifier si le budget de l'Etat a été réellement exécuté et dans quelles conditions. En Algérie, un tel dispositif n'existe pas, ouvrant la porte à toutes sortes de «dérapages» en matière d'élaboration et d'exécution des budgets de l'Etat.

http://www.marocainsdalgerie.net

admin"SNP1975"

admin
Admin

Baisse du baril, inflation mondiale et absence d’une offre intérieure : l’Algérie, un pays mal préparé face à la crise



Par sonia lyes , le 01/11/2008 |


Officiellement, le gouvernement est unanime : l'Algérie ne sera pas touchée par la crise. Grâce à ses réserves de change estimées à 150 milliards de dollars, le pays serait même à l'abri durant au moins les trois prochaines années, selon les prévisions du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Mais, dans les faits, la situation est beaucoup plus complexe et l'inquiétude commence à gagner le gouvernement. De tous les pays pétroliers, l'Algérie est aujourd'hui celui qui possède le moins d'atouts pour faire face à une chute même passagère des prix du baril. L'économie nationale est très peu diversifiée et l'offre intérieure est quasi-inexistante, conséquence d'une politique de désindustrialisation et d'une libéralisation à outrance du commerce extérieur.

Dans les prochains mois, le baril de pétrole devrait se situer entre 50 et 75 dollars, selon des projections d'économistes. Cette situation pourrait durer jusqu'en 2010. On est certes loin de la dégringolade de la fin des années 1980 ou de la baisse brutale des prix qui a suivi la crise asiatique en 1998. Mais en parallèle, la crise actuelle va produire au moins deux effets qui vont se répercuter directement sur la vie quotidienne des Algériens : une poussée inflationniste très forte et un recul des investissements étrangers.

En effet, les plans de sauvetage des banques de près de 2000 milliards de dollars lancés en Europe et aux Etats-Unis vont produire une très forte inflation dans le monde. « Les gouvernements occidentaux n'avaient pas d'argent pour financer ces plans. Ils ont fait travailler les machines à faire des billets. C'est de la monnaie de singe », explique à toutsurlalgerie (
www.tsa-algerie.com) un économiste français. Avec une telle masse monétaire injectée dans le système financier mondial, les prix vont s'emballer. Or, l'Algérie importe presque tous ses besoins, notamment alimentaires. La facture d'importation, déjà très importante, va connaître une très forte hausse dans les prochains mois. Elle obligerait le gouvernement à augmenter sensiblement le budget alloué aux subventions, pour maintenir les prix à un niveau raisonnable et sauvegarder la paix sociale. Mais la marge de manœuvre gouvernementale en la matière va dépendre beaucoup de l'évolution des cours du brut. A moins de 75 dollars, la situation pourrait s'avérer difficile à gérer ( lire nos révélations du jour).

Autre conséquence attendue de la crise : une forte baisse des investissements étrangers. Pour se développer, l'Algérie comptait sur un flux d'investissements internationaux. Le pays va devoir patienter : confronter à des difficultés financières, les entreprises étrangères vont se montrer très prudentes et réfléchir à deux fois avant de prendre une décision d'investir. D'autant que l'Algérie vient d'envoyer un signal peu encourageant en direction des investisseurs, en décidant de durcir sa politique en matière d'investissements. Même dans le secteur pétrolier, les choses pourraient se compliquer : avec un baril à 60 dollars, l'Algérie, du fait de sa loi sur les hydrocarbures (partage de production, taxe sur les superprofits...) devient un pays peu rentable pour les compagnies étrangères qui vont devoir faire des arbitrages.

TSA

http://www.marocainsdalgerie.net

ben_dzaïr

ben_dzaïr

mimissa a écrit:Azul clairefontaine ma mlih cha nir ? je suis tombee du lit alors je profite pour te dire que j ai lu dans son integralite l article concernant les schizoprenes effectivement c est une situation alarmante, je touche du bois et Que Dieu nous preserve de ce malaise.

Dans ce cas faudrait peut etre octroyer des circonstances attenuantes a Talal etant donne qu il n est pas en parfaite condition psychique.

Ya hassssssssssssssrah tu rigoles ou koi ? qui ne connait pas les contes de 3ami Hdidwan.

Amicalement amiss natmort

Grand dieu...

ben_dzaïr

ben_dzaïr

Admin a écrit:Baisse du baril, inflation mondiale et absence d’une offre intérieure : l’Algérie, un pays mal préparé face à la crise



Par sonia lyes , le 01/11/2008 |


Officiellement, le gouvernement est unanime : l'Algérie ne sera pas touchée par la crise. Grâce à ses réserves de change estimées à 150 milliards de dollars, le pays serait même à l'abri durant au moins les trois prochaines années, selon les prévisions du Premier ministre Ahmed Ouyahia. Mais, dans les faits, la situation est beaucoup plus complexe et l'inquiétude commence à gagner le gouvernement. De tous les pays pétroliers, l'Algérie est aujourd'hui celui qui possède le moins d'atouts pour faire face à une chute même passagère des prix du baril. L'économie nationale est très peu diversifiée et l'offre intérieure est quasi-inexistante, conséquence d'une politique de désindustrialisation et d'une libéralisation à outrance du commerce extérieur.

Dans les prochains mois, le baril de pétrole devrait se situer entre 50 et 75 dollars, selon des projections d'économistes. Cette situation pourrait durer jusqu'en 2010. On est certes loin de la dégringolade de la fin des années 1980 ou de la baisse brutale des prix qui a suivi la crise asiatique en 1998. Mais en parallèle, la crise actuelle va produire au moins deux effets qui vont se répercuter directement sur la vie quotidienne des Algériens : une poussée inflationniste très forte et un recul des investissements étrangers.

En effet, les plans de sauvetage des banques de près de 2000 milliards de dollars lancés en Europe et aux Etats-Unis vont produire une très forte inflation dans le monde. « Les gouvernements occidentaux n'avaient pas d'argent pour financer ces plans. Ils ont fait travailler les machines à faire des billets. C'est de la monnaie de singe », explique à toutsurlalgerie (
www.tsa-algerie.com) un économiste français. Avec une telle masse monétaire injectée dans le système financier mondial, les prix vont s'emballer. Or, l'Algérie importe presque tous ses besoins, notamment alimentaires. La facture d'importation, déjà très importante, va connaître une très forte hausse dans les prochains mois. Elle obligerait le gouvernement à augmenter sensiblement le budget alloué aux subventions, pour maintenir les prix à un niveau raisonnable et sauvegarder la paix sociale. Mais la marge de manœuvre gouvernementale en la matière va dépendre beaucoup de l'évolution des cours du brut. A moins de 75 dollars, la situation pourrait s'avérer difficile à gérer ( lire nos révélations du jour).

Autre conséquence attendue de la crise : une forte baisse des investissements étrangers. Pour se développer, l'Algérie comptait sur un flux d'investissements internationaux. Le pays va devoir patienter : confronter à des difficultés financières, les entreprises étrangères vont se montrer très prudentes et réfléchir à deux fois avant de prendre une décision d'investir. D'autant que l'Algérie vient d'envoyer un signal peu encourageant en direction des investisseurs, en décidant de durcir sa politique en matière d'investissements. Même dans le secteur pétrolier, les choses pourraient se compliquer : avec un baril à 60 dollars, l'Algérie, du fait de sa loi sur les hydrocarbures (partage de production, taxe sur les superprofits...) devient un pays peu rentable pour les compagnies étrangères qui vont devoir faire des arbitrages.

TSA

Admin en quoi

Quand tu réponds à ce post je te laisserai faire.

clairefontaine1963

clairefontaine1963

Grand dieu...la machine de la médisance...At WORK..dire que ces gens ont été élevés en compagnie de notre h'didwan..

medire qui ya lahmar,ta rien compris au film comme d'hab,change ton pseudo tu fais honte à ton bled.

ben_dzaïr

ben_dzaïr

tu n'es qu'un falsificateur et un usurpateur...si tu savais à quel point je méprise tes pratiques......bonne nuit

ben_dzaïr

ben_dzaïr

Va te faire voir chez les greques ya meskine...mon pays EL DJAZAIR...TE DIS MERDE....GAD MA MCHA EL KELB HAFYAN....c'est un une chose insignifiante hostile et haineuse comme toi qui va me dire quel doit être mon rapport avec mon pays...toi tu fais honte au clairs et aux fontaines

ben_dzaïr

ben_dzaïr

ben_dzaïr a écrit:
Admin a écrit:[b]Baisse du baril, inflation mondiale et absence d’une offre intérieure : l’Algérie, un pays mal préparé face à la crise
TSA

Admin en quoi

Quand tu réponds à ce post je te laisserai faire.



QUEL POST??

clairefontaine1963

clairefontaine1963

talalgie a dit: Va te faire voir
chez les greques ya meskine...mon pays EL DJAZAIR...TE DIS MERDE....GAD
MA MCHA EL KELB HAFYAN....c'est un une chose insignifiante hostile et
haineuse comme toi qui va me dire quel doit être mon rapport avec mon
pays...toi tu fais honte au clairs et aux fontaines

tu vois,que tu es parano p'ovre de toi,tu es un malade,chômeur,
tu es habité par la haine,ta une ame haineuse,fielleux,je me demande comment ta famille peut te bléret,je plein celle avec qui tu vis,si c'est le cas,car à mon avis personne ne peut te supporter.

admin"SNP1975"

admin
Admin

Crise financière : Les aveux du chef du gouvernement
par B. Mokhtaria
[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 2 Spacer Avec la crise financière mondiale, la question de l'après-pétrole, en Algérie, redevient d'actualité. Le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, bien que convaincu que «l'Algérie est à l'abri de cette crise», n'est pas, pour autant, rassuré sur l'avenir du pays après l'épuisement de l'or noir.

Penser à l'après-pétrole est devenu chose incontournable, selon le chef du gouvernement qui s'est exprimé, hier en marge de la cérémonie commémorative du 54e anniversaire du déclenchement de la lutte de Libération nationale, sur la crise financière affirmant que cet événement a un avantage: il «nous rappelle que nous sommes gravement dépendants». Le seul moyen pour se mettre à l'abri des effets de cette crise reste le travail, explique M. Ouyahia qui a lancé, «il faut qu'on travaille. Il faut qu'on cesse de penser que nous sommes devenus un pays riche et ne plus parler d'aisance financière». Même si l'Algérie n'est pas affectée directement par cette crise, pour le moment, le chef du gouvernement a appelé à préparer, dès maintenant, l'après-pétrole par le travail et la valeur ajoutée pour créer une économie compétitive.

Mercredi dernier, Ouyahia avait déclaré, en marge de l'ouverture de l'année judiciaire 2008-2009, que «nous sommes à l'abri de tout risque engendré par cette crise», en ce sens, a-t-il dit, que «nous sommes en mesure de satisfaire nos besoins extérieurs». «Notre système bancaire ne fait pas partie du système financier international, mais on peut considérer cette crise comme une douche froide qui doit nous faire réagir, car nous n'avons eu de cesse de chanter notre aisance financière», avait ajouté Ouyahia. Il estime que la récession de l'économie mondiale «peut durer jusqu'à trois ans». Cependant, «si l'Algérie en est aujourd'hui à l'abri», cette crise, a-t-il fait remarquer, «a eu, au moins, le mérite de nous révéler que nous n'avons pas travaillé en conséquence pour préparer l'après-pétrole».

Dans son message, vendredi, à l'occasion du 54e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre, le président de la République a aussi évoqué la crise financière mondiale et insisté sur le travail comme substitut à la manne pétrolière. Il a affirmé que «le développement est une entreprise qui nécessite le concours et la complémentarité de toutes les données matérielles et morales. A la faveur de ces choix, nous allons faire face au séisme économique qui se prépare et à ses répliques préjudiciables, en premier lieu, aux économies faibles des pays en développement. Notre souci majeur est de substituer à la manne pétrolière, la valeur ajoutée du travail productif sur les plans, matériel, intellectuel et technologique, et ce, en puisant dans des alternatives à rechercher dans l'agriculture et les industries diverses, notamment les industries de transformation, et en accordant davantage d'intérêt pour les services et les sources d'énergie autres que les hydrocarbures. J'exhorte nos jeunes à adhérer à cette démarche, à miser sur le travail productif et à favoriser l'activité intellectuelle afin d'exploiter, à bon escient, les richesses et les ressources du pays et abandonner, définitivement, les mirages que nous font miroiter les chaînes satellitaires qui ne cessent de faire la propagande à une prétendue prospérité à rechercher outre-mer».

Quotidien d'Oran

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Le baril de pétrole tombe sous les 59 dollars à Londres
Le baril de pétrole Brent est tombé sous les 59 dollars à Londres pour la première fois depuis le 22 févier 2007 mardi, à 58,85 dollars.
4 novembre 2008 à 08h35min

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LE BARIL DE PÉTROLE EN DESSOUS DE 59 DOLLARS
Menaces sur l’économie algérienne
05 Novembre 2008 - Page : 3
Lu 249 fois

[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 2 TP081105-07

La décision de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) de réduire son offre de 1,5 million de barils par jour, n’a pas encore eu l’effet escompté. Bien au contraire.

Le 19 septembre Ahmed Ouyahia, chef du gouvernement mais s’exprimant en tant que secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), prévenait: «A 70 dollars (le prix du baril de brut), nous serions en danger, à 60 ça irait mal, à 50 ça irait très mal.»
Aujourd’hui, il y a péril en la demeure. Ça va mal. Le prix du baril de pétrole continue sa dégringolade. Il s’est enfoncé, hier, sous la barre des 60 dollars, touchant les 58,38 dollars, au plus bas depuis février 2007. L’alerte est donnée. Les revenus pétroliers risquent de fondre à grande vitesse. En effet, une chute continue des prix du baril de pétrole mettrait en péril le financement de plusieurs projets d’infrastructures, d’une part, et remettrait en cause la politique de subvention des prix des produits de première nécessité, d’autre part. En effet, selon les analystes, l’Algérie ne peut se permettre des prix de pétrole à moins de 70 dollars. La politique budgétaire nationale risque d’en prendre un sacré coup.
«L’Algérie fonctionne à un baril de 67 dollars», affirmait Ahmed Ouyahia. Certes, le Fonds de régulation des recettes, estimé actuellement 4500 milliards de dinars, permet au gouvernement, sur le moyen terme, de faire face à la dépréciation des prix du baril de pétrole. Néanmoins, une dégringolade continue des prix du baril de pétrole ne ferait que compliquer la donne d’autant que la décision prise à Vienne, le 24 octobre dernier, par l’Organisation des pays exportateurs de pétrole de réduire sa production de 1,5 million de barils par jour, n’a pas freiné l’hémorragie. En effet, malgré le rebondissement hier après-midi des prix du pétrole à 65,90 dollars, «les prix restent sur une pente descendante», soutiennent les analystes. Devant cet écroulement des prix du baril, l’Algérie a annoncé hier la réduction de sa production pétrolière de 71.000 barils par jour. Le ministre algérien de l’Energie et des Mines a sollicité la compagnie nationale des hydrocarbures, Sonatrach, pour qu’elle mette en application la mesure prise par l’Opep. Cette opération aurait dû contribuer à freiner la dégringolade des prix de l’or noir. L’hémorragie est loin d’être maîtrisée. Elle n’arrange guère les affaires des pays membres de l’Opep. La décision prise, le 24 octobre, de réduire leur production de 1,5 million de barils par jour n’a pas été efficace. Elle remet sur le tapis l’éventualité d’une autre baisse avant la prochaine réunion du cartel, programmée le 17 décembre à Oran, en Algérie. «Une autre réunion serait possible avant celle prévue le 17 décembre», avait déclaré le président en exercice de l’Opep, M.Chakib Khelil.
Le moment semble propice. La saignée que connaissent les cours de l’or noir n’est pas près d’être stoppée. «Il n’y a rien à faire pour stopper les prix à la hausse, il n’y a rien qui puisse les stopper à la baisse. Il est donc tout à fait possible que les prix continuent à reculer», a précisé, au lendemain du 24 octobre, l’analyste indépendante, Cornelia Meyer. Les faucons de l’Opep ont déjà réagi. Hugo Chavez, le président vénézuélien, propose, d’ores et déjà, une nouvelle baisse de l’ordre de «1 million de barils par jour». «Si les prix continuent à baisser, nous serions d’accord pour de nouvelles diminutions», a déclaré, hier, le chef de l’Etat du Venezuela, Hugo Chavez. L’Iran, qui doit réduire sa production de 199.000 barils par jour, a annoncé, par la voix de son ministre du Pétrole, Gholem Hossein Nozari, que Téhéran allait diminuer ses ventes de pétrole de 70.000 barils par jour au géant français Total. Toutes ces mesures ne sont d’aucun secours pour enrayer la chute des prix de l’or noir. Et l’on est loin de l’estimation du Premier ministre qatari: «Le niveau du prix qui nous semble juste est de 70 à 90 dollars», avait-t-il déclaré, lors d’une conférence de presse à l’issue de la tournée au début de ce mois du Premier ministre britannique. Une fourchette de prix qui semble de plus en plus s’éloigner. Le marché pétrolier est malmené par une crise financière mondiale sans précédent et une récession de l’économie mondiale qui ne lui fera aucun cadeau.

Mohamed TOUATI



Expression

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Malgré la victoire de Barack omama aux elections. L'or noir à chuter de 10 dollars depuis hier.
Il se vend actuellement à 57 dollars le baril de la malédiction.

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[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 2 Separateur2x2
[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 2 4078
Economie (Samedi 08 Novembre 2008)

Les prévisions de l’agence internationale de l’énergie
Un prix du baril à 100 dollars entre 2008 et 2015
Par :Badreddine Khris

[size=9]À l’horizon 2030, les cours du brut vont dépasser les 200 dollars.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) estime que le prix du pétrole sera en moyenne de 100 dollars le baril sur la période 2008-2015. Dans son rapport annuel de prévisions à long terme, l’AIE prévoit que la forte volatilité qui a caractérisé les cours ces derniers mois va encore se poursuivre sur les deux prochaines années.
Après un record historique à 147,50 dollars le baril à la mi-juillet dernier, les cours ont chuté à moins de 60 dollars, voire à 58 dollars le baril il y a quelques jours. La baisse est provoquée par les perspectives d’une récession dans les pays développés et les anticipations de chute de la consommation pétrolière dans le monde. Les prévisions de l’agence affichent également un prix du pétrole “au-dessus de 200 dollars le baril” à l’horizon 2030. Même si à court terme, la crise financière peut pousser les prix encore plus bas, “l’ère du pétrole bon marché est révolue”, annonce l’AIE. Les estimations exprimées dans le rapport, qui ne prend en compte que les programmes énergétiques déjà en vigueur, prévoient une croissance de la demande énergétique de 1,6% par an en moyenne entre 2006 et 2030, soit 45% au total. Ce rythme est, faut-il le souligner, revu à la baisse en comparaison au rapport de l’an dernier qui, lui, prévoyait une hausse de 55%.Cette révision à la baisse s’explique par la demande qui a souffert cette année des prix élevés du brut et du marasme économique. “La moitié de la croissance de la demande projetée viendra de la Chine et de l’Inde, et au total à 87% des pays émergents. La demande des pays développés, en revanche, continuera à baisser”, affirme l’AIE.L’augmentation de production devrait provenir principalement de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui devrait voir sa part de la production mondiale grimper de 44% à 51% en 2030. La production de pétrole conventionnel des pays hors Opep, à l’instar des États-Unis, du Mexique ou de la Norvège, devrait “commencer à décliner au milieu de la prochaine décennie”.
Devant une telle situation, des investissements massifs devront être engagés, avertit l’agence, dans les vingt ans à venir si le monde veut éviter un nouveau choc pétrolier. L’AIE met notamment en garde contre le déclin de production des champs de pétrole.

“Le monde ne manque pas de pétrole ou de gaz, mais d’investissements”
“Le risque pour l’approvisionnement pétrolier n’est pas un manque de pétrole mais plutôt un manque d’investissements”, souligne l’AIE. Car, pour l’agence, “le monde ne manque pas de pétrole ou de gaz”. L’Agence, qui représente les intérêts des pays industrialisés, considère qu’il faudra investir 26 000 milliards de dollars dans les infrastructures énergétiques d’ici à 2030, soit près de deux fois le PIB annuel des États-Unis. La moitié de ces investissements aura pour seul but de maintenir le niveau actuel de production, car “la plus grande partie des infrastructures actuelles de production de pétrole, de charbon, de gaz ou d’électricité devrait être remplacée d’ici à 2030”, précise l’agence. L’autre moitié devrait permettre d’accroître les capacités existantes afin de répondre à la croissance de la demande énergétique mondiale, qui devrait grimper de 45%, en raison notamment du dynamisme économique de la Chine et de l’Inde. Mais face à une demande croissante, l’offre suit une tendance baissière. L’AIE a ainsi étudié les statistiques historiques de production de 800 champs de pétrole dans le monde. 0Elle remarque qu’en l’absence d’investissements pour augmenter leur rendement, les champs pétroliers matures connaissent une baisse de production de 9% chaque année. Ce recul pourrait même s’accélérer à 10,5% par an d’ici à 2030. Quand bien même des investissements sont faits pour accroître leur débit, ces champs voient leur production baisser de 6,7% par an, un taux qui pourrait atteindre 8,6% par an d’ici à 2030. Ce phénomène est dû au fait que les champs de pétrole en exploitation sont de plus en plus petits et de plus en plus souvent en haute mer. Or, selon l’AIE, les champs les plus petits connaissent les baisses de production les plus fortes une fois qu’ils sont arrivés à maturité. De même, les champs “offshore” (en mer) connaissent des taux de déclin de production plus rapides que les champs “onshore” (à terre). Ces baisses de rendement sont particulièrement préoccupantes car l’AIE estime qu’il faudra produire 106 millions de barils par jour (mbj) en 2030 pour répondre à la demande de pétrole, contre 84 mbj en 2007.
Or, il faudra déjà augmenter les capacités de production de pétrole de 1 mbj chaque année jusqu’en 2030, uniquement pour compenser le déclin “naturel” de la production d’or noir. C’est l’équivalent de presque l’ensemble des capacités pétrolières actuelles de l’Algérie. Abordant les facteurs de blocage de ces investissements, l’agence a relégué les méfaits de la crise financière au second plan. La crise ne devrait pas remettre en cause, soutient-on dans le rapport, les investissements de long terme, mais elle pourrait retarder l’achèvement de projets en cours, notamment dans le secteur électrique. L’AIE, cependant, imputant cela aux membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), qui limitent l’accès des compagnies pétrolières à leurs réserves. “Il n’est pas évident que ces pays auront la volonté de faire ces investissements eux-mêmes ou d’attirer les capitaux étrangers suffisants pour maintenir un rythme nécessaire d’investissements”, argue l’AIE.
Selon cette dernière, la demande de pétrole devrait passer de 85 millions de barils par jour (mbj) en 2007 à 106 mbj en 2030, et sa part de la demande énergétique devrait représenter 30%, contre 34% aujourd’hui. La demande de gaz progressera, d’après le rapport, de 1,8% et devrait atteindre 22% en 2030. L’offre de pétrole devrait, elle, augmenter de 84 mbj en 2006 à 106 mbj en 2030. Pour l’AIE, l’Arabie saoudite restera le premier producteur, et sa production devrait augmenter de 10,2 mbj en 2007 en moyenne à 15,6 mbj en 2030.
Badreddine KHRIS

http://www.marocainsdalgerie.net

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EN DÉCIDANT DE RÉDUIRE SA PRODUCTION DE PÉTROLE
L’Algérie perd deux milliards de dollars
09 Novembre 2008 - Page : 3



Soit deux fois plus que ce que rapportent les exportations hors hydrocarbures à l’économie algérienne.

Un prix compris dans une fourchette allant de 70 à 90 dollars serait raisonnable, a estimé, hier, Chakib Khelil. Le président en exercice de l’Opep qui a fait salle comble au Forum d’El Moudjahid n’a pas caché un éventuel recours à une seconde baisse de la production des pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole dans le cas où les prix de l’or noir continueraient leur dégringolade.
«Nous avons toujours dit qu’un baril de pétrole entre 70 et 90 dollars était raisonnable. S’il continue à chuter, il y a une forte probabilité pour qu’il y ait une nouvelle réduction», a fait savoir le ministre de l’Energie et des Mines. A une condition cependant: que tous les pays concernés par la réduction décidée le 24 octobre à Vienne en Autriche, l’aient mise à exécution. Dans le cas contraire, «cela enverrait un mauvais signal au marché qui est très sensible à ce qui se passe sur le terrain. Dès que le marché prend acte, il réagit», a précisé M.Khelil.
Pas d’affolement cependant, même si les choses ne se présentent pas sous les meilleurs auspices. Le baril de pétrole continuera d’être chahuté. C’est une évidence. Des conséquences, il y en aura, mais il faudra toutefois les relativiser. Chakib Khelil ne se voile pas la face: «La baisse de 71.000 barils par jour, mise en application le 1er novembre, causera une perte de 2 milliards de dollars par an en Algérie», a estimé le président de l’Opep. Soit deux fois plus que ce que rapportent les exportations hors hydrocarbures à l’économie algérienne.
Le conférencier a tenu, malgré tout, à rassurer l’assistance fort nombreuse marquée par la présence de certains diplomates dont l’ambassadeur du Venezuela, M.Mujica. Il a jugé l’année 2008 «exceptionnelle»: la moyenne du prix du baril a été de 108,08 dollars alors qu’elle n’était que de 25 dollars en 2001, 55 dollars en 2005, 66 dollars en 2006 et 75 dollars en 2007.
Le président en exercice de l’Opep a longuement insisté sur «la récession de l’économie mondiale qui a entraîné une très forte contraction de la demande de pétrole et entraîné dans son sillage le repli des cours de l’or noir». M.Khelil en a déduit qu’il existe bel et bien «un surplus de l’offre». La réunion du 17 décembre aura pour but d’évaluer la situation du marché mondial: «La conférence extraordinaire de l’Opep à Oran réévaluera la situation du marché pétrolier après la réunion de Vienne du 24 octobre 2008 et étudiera les perspectives du marché pour le premier trimestre de l’année 2009», a expliqué le ministre de l’Energie et des Mines. Elle sera cependant précédée par une réunion au Caire le 29 novembre, qui rassemblera les ministres de l’Energie des pays arabes, a confié en marge de sa conférence M.Chakib Khelil. Elle portera sur la situation du marché international.
Sans avouer son impuissance face à la chute spectaculaire des prix de l’or noir, l’Opep multiplie ses réunions. Chakib Khelil qui a axé son intervention sur la situation du marché pétrolier et la stratégie de riposte à apporter, n’a pas caché ses craintes quant aux impacts négatifs que vont provoquer la crise financière et la récession de l’économie mondiale sur les gisements pétroliers. Cela pourrait considérablement retarder certains projets chers aux compagnies internationales: «Ce qui va provoquer des tensions sur l’offre si la crise dure 3 à 4 ans», a pronostiqué M.Khelil. Celui-ci a toutefois signalé qu’aucun contrat négocié par Sonatrach ne sera remis en cause ni ne fera l’objet de renégociations. «Si cela était le cas on l’aurait su», a-t-il indiqué.
Selon le président de l’Opep, de nouvelles tensions sur le marché pétrolier sont à craindre dans 3 à 4 ans. Il faudra sans doute s’attendre à voir de nouveau le prix du baril flamber, une fois la crise de l’économie mondiale jugulée. En ce qui concerne la création d’une «Opep du gaz», Chakib Khelil a tenu à préciser que «le marché du gaz n’est pas bâti de la même manière, il se négocie sous forme de contrats d’une dizaine d’années et les prix sont fixes. Il faudrait sans doute attendre encore longtemps pour obtenir les mêmes conditions que pour le pétrole. La décision ne peut donc qu’être politique pour le moment».
En résumé, les prix du pétrole sont plombés par une demande en forte baisse, qu’entretient la récession de l’économie mondiale, une équation que l’Opep tente de résoudre et qui ressemble à un casse-tête chinois.

Mohamed TOUATI

EXPRESSION

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Admin

Actualités : SI LA CRISE FINANCIÈRE DURE PLUS DE 3 ANS
L’Algérie devra s’endetter, selon Khelil


L’Algérie pourrait être contrainte, selon le ministre de l’Energie, Chakib Khelil, à revoir son programme d’investissements publics et recourir aux financements extérieurs si la crise financière internationale perdurait plus de 3 ans et les prix du pétrole poursuivaient leur baisse.
Hôte hier du Forum d’ El Moudjahid, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, a indiqué que les recettes d’exportation pour 2008 ont déjà atteint les 77 milliards de dollars. Pour Chakib Khelil, le montant annoncé de 80 milliards de dollars de recettes devrait être atteint à 2% d’écart. Soit, notamment, les 2 milliards de dollars que valent les 71 000 barils par jour que notre pays doit réduire de son quota de production au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), une organisation dont Chakib Khelil préside aux destinées. De fait, le ministre de l’Energie avait affiché son optimisme sur la situation financière nationale, avec un niveau de réserves de change importantes (plus de 130 milliards de dollars) et un prix moyen du Sahara Blend (pétrole algérien) de l’ordre de 108,28 dollars en moyenne pour les 10 premiers mois de 2008. Et en rappelant que le système bancaire national est déconnecté du système international en termes d’actionnariat croisé. Mais aussi que le dollar se renforce et que les prix des biens et services importés par l’Algérie baissent actuellement et lui assurent un pouvoir d’achat conséquent.
Le financement extérieur, une éventualité si…
Néanmoins, dans un contexte de récession annoncée aux Etats-Unis et en Europe pour fin 2008 et l’année 2009 et de forte contraction de la demande pétrolière, si la crise internationale perdure plus de 2 à 3 années l’impact en serait négatif sur l’économie algérienne. En cela que l’Algérie pourrait être contrainte, selon Chakib Khelil, de revoir (ajuster, retarder) son programme d’investissements publics. Un programme que notre pays ne pourrait financer dans les mêmes conditions qu’avant si les prix du pétrole continuent aux niveaux actuels (dans les 60 dollars) ou baissent davantage. Et que les partenaires étrangers soient bloqués par manque de crédits bancaires. D’où la possibilité que notre pays soit contraint de recourir aux financements extérieurs. Toutefois, Chakib Khelil a estimé que cette crise financière ne devrait pas, aux dires des experts, perdurer davantage que 2 ans et d’autant que la tension sur les prix pétroliers et l’offre devrait reprendre à terme.
Vers une autre réduction de production ?
Cela étant, le président de l’Opep n’a pas écarté la possibilité pour le cartel d’une seconde réduction de production après celle de 1,5 million de barils/jour, décidée le 24 octobre dernier par le cartel à Vienne. Une possibilité à l’ordre du jour de la prochaine réunion extraordinaire de l’Opep, prévue le 17 décembre prochain dans la ville algérienne d’Oran. En expliquant cette éventualité par la considération suivante : si la décision de l’Opep est appliquée à 100% sans effet concret sur les cours qui continueraient à baisser. A condition, cependant, d’un consensus au sein du cartel. En tout cas, la situation du marché pétrolier sera, selon Chakib Khelil, à l’ordre du jour d’une réunion «informelle» des ministres de l’Energie des pays arabes membres de l’Opep (Algérie, Koweït, Libye, Qatar, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis et l’Irak). Cette rencontre informelle est annoncée pour le 29 novembre au Caire en marge de la réunion de l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (Opaep). En rappelant que la stratégie de l’Opep reste liée à la stabilité et l’équilibre de l’offre et de la demande, des prix équitables, raisonnables, voire compris dans la fourchette 70 - 90, restant la meilleure option.
Khelil serein quant au prochain appel d’offres
Serein, le ministre de l’Energie l’était également à propos de la participation étrangère au nouvel appel d’offres pour l’attribution de blocs d’hydrocarbures dont l’ouverture des plis est prévue début décembre prochain. Sachant, dira-t-il, que les opérateurs intéressés présenteront des offres même avec des prix de 60 dollars, et que la réalisation des projets ne débutera que dans une année. Tout en précisant que les contrats négociés et lancés dans l’amont pétrolier (exploration et production) ne sont pas concernés par la mesure fixant l’actionnariat de Sonatrach à 51%. Une mesure qui ne concerne que les projets nouveaux et en gestation dans le secteur pétrochimique (production d’aluminium, notamment). Et en précisant que l’attractivité de l’investissement étranger est liée au partage de dividendes au profit de Sonatrach. Tout en n’écartant pas la possibilité pour l’Etat algérien d’accroître sa participation à plus de 30% dans l’actionnariat du complexe sidérurgique d’El-Hadjar ou de recourir à un contrat de gestion privée.
C. B.
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Sidhoum

Sidhoum

Anatomie d’une rébellion.

1.En 62, l’Algérie a opté pour une idéologie ratée importée d’URSS qui a transformé la nation en un peuple d’assistés. (personne n’avait demande l’avis du peuple au début)

2.Pendant 30 ans le peuple a accumulé des biens ensemble parce c’est ainsi le système de la collectivité (c’est comme si nous tous sur ce forum avions décidé d’ouvrir un compte d’épargne commun comme en Norvège)

3.Au bout de 30 ans, la folie des grandeurs et la société utopique s’écroula sous le poids de sa démographie hors de contrôle et de son idéologie morte a sa naissance.

4.Apres 30 ans et après la mort de Boum qui tenait ce zoo ensemble, les picsous qui, pissaient de peur dans leur pantalon devant lui, se sont rués vers la tirelire commune (compte d’épargne) et ont dit au peuple « chacun pour soi, et Dieu pour tous ».

5.Pour distraire le peuple, les picous (avec Chadli a leur tête) lui ont jeté un os (FIS) pendant qu’ils cambriolent en toute quiétude, la tirelire commune.

6.Le peuple a répondu « eh…oh…pas si vite ya khouya on est d’accord, chacun pour soi et Dieu pour tous, mais il va falloir qu’on trouve un moyen de redistribuer nos biens acquis collectivement pendant 30 ans».

7.Les picsous ont sorti leurs mitraillettes lourdes et ont répondu « il n’en est pas question, le compte d’épargne c’est RIEN que pour nous» et c’est la ou kk toucha le ventilateur.

Comme dit le vieux dicton "les bons comptes font des bons amis" et l’Algérie ne sortira jamais de la crise tant que les comptes ne sont pas réglés, aussi simple que ça !

Au bout de 45 ans, elle ne sait pas encore ce qu’elle veut quand elle grandira un jour, si c’est du socialisme "scientifique/machin" ou du capitalisme. Résultat? Elle boite encore avec un régime bâtard socialiste (économie planifiée) déguisé en "capitalisme/marché libre/machin" pour maintenir artificiellement, par cette astuce, toute une nation dans un état de chômage à peine déguisé ou 10% seulement travaillent. L’Etat algérien veut tout faire et être à l’origine et à l’arrivée de tout au point que le citoyen en est réduit à être spectateur dans son propre pays.

l'Algérien aurait été heureux, il n'aurait pas fuit son pays comme c'est le cas aujourd'hui pour ces milliers de cadres, de médecins, qui sont à l'origine d'une émigration massive, vidant de sa substance grise toute la composante intellectuelle d'un pays, le laissant ainsi à la merci d'une classe sociale qui ne peut faire progresser le pays à elle seule. Comme dans toute entreprise, si cette horde d’apprentis sorciers composée de bouhioufs étaient de bons gestionnaires nous ne serions pas la, à nous plaindre du gâchis, de 35 années de conflit avec nos voisins et de la perte de temps en connaissant le potentiel de l’Algérie + Maroc + Tunisie.

Sidhoum

Sidhoum

La bonne gestion des non-khorotos....

$150 milliards divisés par .035 milliards d’Algériens = $4288/personne a peu prés comme la Norvège.

Si l’on considère l’exemple et la bonne gestion de la Norvège qui a aussi des réserves de pétrole considérables et qui a jadis fait la sage décision d’ouvrir un compte d’épargne national (aujourd’hui a $250Billions) et de ne vivre désormais qu’avec le fruit de ses investissements lui permettant le niveau de vie le plus élevé du monde.

En Norvège, chaque citoyen touche 3000 euros par an dès la naissance. En distribuant l’argent au peuple (car c’est précisément a travers ce mécanisme subtil qu'on y arrive), they are EMPOWERING le citoyen a être maître de son destin et a choisir LIBREMENT ses dirigeants en votant avec son porte-monnaie (du maire jusqu’au président) qui réussiront à le convaincre sur la meilleure façon de dépenser ses impôts.

Résultat? Dans ce pays, les gouvernants sont appelés "civil servant" c a d des véritables employés du peuple qui ont peur du peuple. C a d c’est le peuple qui les embauche, ou les renvoie au chômage quand ils échouent.

Dans le Sultanat de Brunei la même chose : 5000 euros par an et par habitant, dès la naissance, et à sa majorité le citoyen touche une somme astronomique, de quoi se payer un logement comptant!!

Voilà des peuples qui peuvent être fiers de leurs dirigeants, et où l'argent de l'état est vraiment l'argent du peuple. C’est pourtant simple a comprendre, la richesse du pays est la richesse du peuple. En Algérie, les milliards de $ rentrent mais personne n'en voit la couleur. Les cancres qui traitent le peuple comme un mineur depuis 62, dépensent et décident TOUT sans consulter le peuple. Ils lui achètent même son miam-miam et lui bâtissent des immeubles affreux selon leur goût de mâglâtes. Tout se décide sans le peuple qui est réduit au stade de spectateur et de mendicité selon l'humeur de leur Sultan burlesque.

Il est triste d’accepter le fiasco de ces bourricots arrivistes qui ont voulu se faire plus gros qu’un bœuf et qui depuis 62, auraient pu ouvrir aussi un compte d’épargne qui contiendra aujourd’hui 3xfois le montant de la Norvège. Puisqu’ils sont des ignares (toujours au pouvoir) qui ne savent rien faire, c’était 100 fois plus facile a faire et plus prudent de laisser d’autres pays plus compétents fructifier ces investissements que de s’embarquer dans des projets Don Quichenottiens qui ont ruiné le pays.

Ils continuent de s’accrocher coûte que coûte au "koursi" depuis un demi-siècle, répétant comme des idiots les mêmes erreurs et ignorants que la définition même de la folie c’est de continuer à faire la même chose pour obtenir le même résultat. C'est des Houbalas!

Sidhoum

Sidhoum

Admin, peut-on débattre sur ce forum un sujet et exprimer une pensée librement sans avoir ce khrââ toxique attaquer nos personnes et jamais contredire nos arguments avec des faits?!?…




Admin

Le jours où ce névrosé captera ce message à ce moment là ses billets ne seront pas effacés.
Pour le moment c'est la museuliére et la laisse

clairefontaine1963

clairefontaine1963

sidhoum débattre avec qui???l'un est l'admirai du soi,vive moi et l'autre jaloux de nous , monsieur qui connais tout ,ils ne sont même pas reconnaissant envers la France ce merveilleux pays qui nous rend tellement de service,tiens une blague concernant ,cette reconnaissance :

"Deux ministres arabes parlent de la bêtise du petit personnel. Il
appelle son valet: Ali za3ma mout wagaf, va donc voir chez moi si j'y suis.! Ali y va et
revient devant les deux ministres. Vous n'étiez pas chez vous,
Excellence! L'autre ministre arabe dit à l'autre: Cet Ali mout wagaf est vraiment
idiot car il aurait pu vérifier la chose par téléphone!

ya dinhoum bjoujhoum mkalkhine fhamtni oula la la ya kho,,,

yaz



clairefontaine1963 a écrit:sidhoum débattre avec qui???l'un est l'admirai du soi,vive moi et l'autre jaloux de nous , monsieur qui connais tout ,ils ne sont même pas reconnaissant envers la France ce merveilleux pays qui nous rend tellement de service,tiens une blague concernant ,cette reconnaissance :

"Deux ministres arabes parlent de la bêtise du petit personnel. Il
appelle son valet: Ali za3ma mout wagaf, va donc voir chez moi si j'y suis.! Ali y va et
revient devant les deux ministres. Vous n'étiez pas chez vous,
Excellence! L'autre ministre arabe dit à l'autre: Cet Ali mout wagaf est vraiment
idiot car il aurait pu vérifier la chose par téléphone!

ya dinhoum bjoujkoum mkalkhine fhamtini oulala la ya kho,,,
..Vous parler de notre pétrole , notre gaz , notre liberté , notre pays etc etc..Et c'est nous les jaloux!?..'Le monde à l'envers'!...Nous avons bien sure et nous un grand pays , avec plein de héros historique , plein de pétrole , plein de gaz ect ect ..Et on vous dit aussi '' ils vaut mieux faires envie et que pitiés!''.. :arrow: :affraid: ..Vive la liberté , vive le pétrole , vive le gaz , Tahia El Djazair.. :cheers:..

yacoub

yacoub

[Algérie] Le baril à 40 dollars, une certitude ?à 50 ça irait très mal ! - Page 2 Fce6d1f78c526348e541ec0bbc6d7224

maghrebin



Admin a écrit:
Actualités : SI LA CRISE FINANCIÈRE DURE PLUS DE 3 ANS
L’Algérie devra s’endetter, selon Khelil


L’Algérie pourrait être contrainte, selon le ministre de l’Energie, Chakib Khelil, à revoir son programme d’investissements publics et recourir aux financements extérieurs si la crise financière internationale perdurait plus de 3 ans et les prix du pétrole poursuivaient leur baisse.
Hôte hier du Forum d’ El Moudjahid, le ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil, a indiqué que les recettes d’exportation pour 2008 ont déjà atteint les 77 milliards de dollars. Pour Chakib Khelil, le montant annoncé de 80 milliards de dollars de recettes devrait être atteint à 2% d’écart. Soit, notamment, les 2 milliards de dollars que valent les 71 000 barils par jour que notre pays doit réduire de son quota de production au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), une organisation dont Chakib Khelil préside aux destinées. De fait, le ministre de l’Energie avait affiché son optimisme sur la situation financière nationale, avec un niveau de réserves de change importantes (plus de 130 milliards de dollars) et un prix moyen du Sahara Blend (pétrole algérien) de l’ordre de 108,28 dollars en moyenne pour les 10 premiers mois de 2008. Et en rappelant que le système bancaire national est déconnecté du système international en termes d’actionnariat croisé. Mais aussi que le dollar se renforce et que les prix des biens et services importés par l’Algérie baissent actuellement et lui assurent un pouvoir d’achat conséquent.
Le financement extérieur, une éventualité si…
Néanmoins, dans un contexte de récession annoncée aux Etats-Unis et en Europe pour fin 2008 et l’année 2009 et de forte contraction de la demande pétrolière, si la crise internationale perdure plus de 2 à 3 années l’impact en serait négatif sur l’économie algérienne. En cela que l’Algérie pourrait être contrainte, selon Chakib Khelil, de revoir (ajuster, retarder) son programme d’investissements publics. Un programme que notre pays ne pourrait financer dans les mêmes conditions qu’avant si les prix du pétrole continuent aux niveaux actuels (dans les 60 dollars) ou baissent davantage. Et que les partenaires étrangers soient bloqués par manque de crédits bancaires. D’où la possibilité que notre pays soit contraint de recourir aux financements extérieurs. Toutefois, Chakib Khelil a estimé que cette crise financière ne devrait pas, aux dires des experts, perdurer davantage que 2 ans et d’autant que la tension sur les prix pétroliers et l’offre devrait reprendre à terme.
Vers une autre réduction de production ?
Cela étant, le président de l’Opep n’a pas écarté la possibilité pour le cartel d’une seconde réduction de production après celle de 1,5 million de barils/jour, décidée le 24 octobre dernier par le cartel à Vienne. Une possibilité à l’ordre du jour de la prochaine réunion extraordinaire de l’Opep, prévue le 17 décembre prochain dans la ville algérienne d’Oran. En expliquant cette éventualité par la considération suivante : si la décision de l’Opep est appliquée à 100% sans effet concret sur les cours qui continueraient à baisser. A condition, cependant, d’un consensus au sein du cartel. En tout cas, la situation du marché pétrolier sera, selon Chakib Khelil, à l’ordre du jour d’une réunion «informelle» des ministres de l’Energie des pays arabes membres de l’Opep (Algérie, Koweït, Libye, Qatar, Arabie Saoudite, Emirats arabes unis et l’Irak). Cette rencontre informelle est annoncée pour le 29 novembre au Caire en marge de la réunion de l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (Opaep). En rappelant que la stratégie de l’Opep reste liée à la stabilité et l’équilibre de l’offre et de la demande, des prix équitables, raisonnables, voire compris dans la fourchette 70 - 90, restant la meilleure option.
Khelil serein quant au prochain appel d’offres
Serein, le ministre de l’Energie l’était également à propos de la participation étrangère au nouvel appel d’offres pour l’attribution de blocs d’hydrocarbures dont l’ouverture des plis est prévue début décembre prochain. Sachant, dira-t-il, que les opérateurs intéressés présenteront des offres même avec des prix de 60 dollars, et que la réalisation des projets ne débutera que dans une année. Tout en précisant que les contrats négociés et lancés dans l’amont pétrolier (exploration et production) ne sont pas concernés par la mesure fixant l’actionnariat de Sonatrach à 51%. Une mesure qui ne concerne que les projets nouveaux et en gestation dans le secteur pétrochimique (production d’aluminium, notamment). Et en précisant que l’attractivité de l’investissement étranger est liée au partage de dividendes au profit de Sonatrach. Tout en n’écartant pas la possibilité pour l’Etat algérien d’accroître sa participation à plus de 30% dans l’actionnariat du complexe sidérurgique d’El-Hadjar ou de recourir à un contrat de gestion privée.
C. B.
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ecoutez on a vecu avec 15 $ le baril ,et plein terrorisme ,on est toujours la ,ne vouc en faites pas pour nous ,on a 7 vies.

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