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L'HUMANISME DE L'ISLAM

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lurchar21
Sidhoum
yaz
yacoub
becharelkhir
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1L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty L'HUMANISME DE L'ISLAM Lun 4 Fév - 18:17

becharelkhir

becharelkhir

L’humanisme dans l’Islam,et le rôle de la révélation
Quel est le rôle de la Révélation ?
On ne peut pas parler de l’homme et de l’humanisme sans se poser cette question: Quelle est en effet l’autonomie de l’homme ? On parle de limites. On dit que la raison est libre, mais qui fixe la limite ? Est-ce uniquement la raison qui s’autorégule ou est-ce qu’il y a une "révélation" qui régule notre pratique rationnelle ? Pour l’Islam, la seconde éventualité demeure la plus vraie, car c’est le Coran qui contient cette Révélation.
Mais faut-il considérer qu’on est enfermé dans les Écritures parce qu’on les cite sans arrêt ? Tout dépend de la façon dont on cite ; est-ce pour s’enfermer ou pour s’orienter ? grande différence. On peut citer un texte en perdant son humanité ou en le valorisant : en perdant mon humanité, c’est que le texte m’ignore ; en valorisant mon humanité, c’est que le texte appelle chez moi une humanité à faire, et non une humanité à nier.
La question, en vérité, n’est pas la fréquence des citations mais le contexte dans lequel elles sont insérées. Si l’on ne comprend pas le type de proximité que les musulmans ont avec le texte, on ne les comprendra pas. Une des choses les plus importantes dans la tradition musulmane est l’acquisition du texte et son assimilation. Il y a des centaines de milliers de gens qui connaissent tout le Coran par cœur : c’est l’aspect de la connaissance du texte, connaissance par le cœur, dans le cœur et pas seulement dans la tête (un enseignant musulman dans une banlieue française s’indignait : ils savent un dixième du Coran et ce sont des délinquants !). Un texte acquis dans le cœur illumine le réel, il n’enferme pas. Toute la question est donc bien de savoir comment on cite.
Cela étant dit quant à la place et au rôle du texte, que dit la Révélation et comment s’exprime-t-elle ?
La Révélation est d’abord une confirmation
On ne peut pas comprendre le rôle de la Révélation selon la tradition musulmane si l’on n’a pas compris tout ce qui a été dit plus haut sur la conception de l’homme. Nous sommes ici à mille lieues de toute la pensée existentialiste, au premier rang de laquelle on peut mettre celle de Kierkegaard. Rien n’est plus étranger à la pensée musulmane que la pensée de Kierkegaard, ne serait-ce que par le statut qu’il donne à la Révélation (celui d’une interpellation surnaturelle adressée à l’homme et qui intervient de l’extérieur, en rupture avec l’ordre de la nature)
Pour la pensée musulmane, la Révélation n’est pas un événement qui sort de l’ordre naturel, mais au contraire le confirme : Lumière sur lumière, dit un verset coranique ; la lumière de la Révélation vient confirmer la lumière du cœur. Il faut s’attacher à une formule tout à fait intéressante de Abu Hâmid al-Ghazali : le message, dans sa lettre, est une révélation extérieure ; la raison est une révélation intérieure. En d’autre termes, mon intelligence m’apporte une révélation qui vient de l’intérieur et qui est confirmée par la Révélation ; je porte en moi une révélation que la Révélation vient confirmer. Cette façon de voir est très importante dans la tradition musulmane.
Montaigne, par exemple, nous parle du "Grand Livre du Monde". Cette idée provient en fait d’une tradition orientale qui est reprise dès le VIIIème siècle dans la tradition musulmane et qui met en évidence l’idée d’un livre révélé (le Coran, qui comprend la Bible hébraïque, la Torah,, les psaumes, L’évangile et qui reconnaît tous les prophètes) et l’idée d’un livre déployé qui est l’Univers. Tout ce qui rappelle Dieu dans l’Univers est un signe ; et tous les versets de la Bible et du Coran sont stipulés comme étant également des signes (c’est le même mot). Le signe du texte écrit renvoie au signe du "texte" créé, c’est-à-dire la création. Il y a tout un jeu de correspondances entre le microcosme et le macrocosme.
La Révélation est donc une "lumière" qui vient confirmer une autre lumière et qui doit stimuler l’intelligence. C’est pourquoi, à maintes reprises, Dieu interpelle dans le Coran ceux qui sont doués d’intelligence. Qu’est-ce que le discernement : c’est voir avec le cœur ce que la raison voit comme élément. Le cœur ajoute la dimension du signe. Tous les mots, dans le Coran, renvoient à cette idée de la confirmation de ce qui nous habite déjà.
La Révélation est ensuite une orientation
La Révélation oriente ce qui nous appelle. Nous cherchons ; elle nous oriente. Par rapport à Dieu il y a des exigences. Par rapport au monde, la Révélation va nous donner des orientations dans quatre domaines (pour simplifier).
- le rapport au Divin
La Révélation oriente dans le rapport que l’on a avec le divin. Raison pour laquelle le terme Islam signifie avant tout soumission à Dieu (qui dépasse d’ailleurs le cadre des seuls musulmans : Abraham était soumis à Dieu). L’Islam se traduit par un acte de foi, et non par la référence à un homme, ni à un peuple, ni à une tradition. Par cet acte lui-même, par l’acte par lequel le cœur reconnaît ce qui l’appelle, l’homme revient à son origine. C’est le chemin vers la Source vive. Lors de la mort d’une personne, nous disons : nous sommes à Dieu,est a Lui que nous retournons. Dans cette première orientation, ce que nous trouvons dans le texte, c’est le rappel du rapport au Divin : comment être avec Dieu ? se connaître pour cheminer vers la Source. Pour devenir musulman, il faut reconnaître qu’il n’y a qu’un Dieu et que le dernier prophète est Son prophète.
Ensuite il nous faut savoir comment être musulman, c’est-à-dire comment revenir à cette Source : Il faut se chercher, retourner à son cœur, s’analyser et faire un bilan de conscience, ce qui est véritablement renvoyer l’homme à lui-même.
Dans la tradition musulmane il n’est pas déclaré que l’homme soit à l’image de Dieu. Dieu est au-delà de tout ce que l’on peut imaginer. Rien ne Lui est semblable et rien ne peut s’approcher de Lui. On peut s’orienter intellectuellement vers la compréhension de Ses qualités mais jamais dans la définition de Son Etre. Ce qui nous rapproche de Dieu c’est une réflexion sur l’étincelle qu’Il a mise en nous, mais jamais pour Le définir, toujours pour nous rapprocher. Le rapport à Dieu n’est jamais un rapport de définition ou de captation intellectuelle, mais un rapport de proximité spirituelle. On doit sentir cette proximité : c’est toute la tradition soufie, mais c’est aussi la tradition orthodoxe.
- le rapport de soi à soi
Il va y avoir ici, systématiquement, une valorisation de la dimension de l’homme, au nom de son innocence, au nom de sa responsabilité, avec l’exigence de son humilité. En permanence on relèvera dans la confiance les qualités que l’homme a, mais dans le souci d’être méfiant. chacun d’entre nous sait que certaines de ses qualités, dans certaines conditions, peuvent devenir des défauts. L’émotion et la sensibilité sont en soi positives. Mais une sensibilité mal placée peut se retourner et devenir un défaut. Une générosité peut devenir un défaut si elle est excessive. C’est là un aspect fondamental de ce que l’on peut appeler l’humanisme musulman : mettre en évidence une valorisation importante de ces qualités, mais avec le souci de cette maîtrise à tous les niveaux. Il nous faut reconnaître que nous sommes avant tout un don de Celui qui nous a créés. La tradition prophétique dit que notre corps ne nous appartient pas et que chaque élément de notre être a des droits sur nous.
C’est la raison pour laquelle l’Islam commence toujours par l’universalité de la responsabilité avant l’universalité du droit. C’est la source d’un débat sur la Déclaration universelle des Droits de l’Homme. On peut reconnaître sa valeur universelle en matière de droits. Mais on peut s’interroger sur sa pertinence à guider les hommes en matière de responsabilité.
L’islam, en effet, nous enseigne que c’est notre responsabilité qui oriente nos droits. Si, en revanche, seul le droit circonscrit la responsabilité, chaque homme peut devenir, au nom de son droit, un être des plus destructeurs, qui légitime tout au nom du droit, ce que l’on a appelé la dictature du droit. Or nous sommes effectivement aujourd’hui dans une société du droit. Mais la vraie question est alors que, si nous avons des droits, quelle est la responsabilité qui habille notre droit ? Un droit "non habillé" de responsabilité est au risque de l’orgueil. Nous avons la responsabilité de la liberté de notre corps. Nous ne pouvons pas faire n’importe quoi de notre corps. C’est là une orientation éthique.
le rapport de soi à sa famille
On ne peut que souligner avec force que le noyau de l’humanisme islamique n’est pas l’individu seulement. L’être humain est un être de sociabilité et sa première sociabilité est la famille. Lorsqu’on dit en occident que l’autonomie de la raison et le primat de l’individu sont deux fondements de la modernité, cela pose un problème en Islam. Il n’y a pas pour l’Islam de primat de l’individu en ce sens qu’il serait dégagé de tout lien d’humanité ; son premier lien d’humanité est le lien avec la famille. Il y a omniprésence de cette préoccupation : un humanisme au cœur même de la première relation sociale qui est celle de la reconnaissance des père et mère. Ce sont des valeurs déterminantes. Le droit de l’individu ne peut jamais faire fi de la responsabilité familiale. Reste à voir comment tout cela peut être géré, car cela peut devenir oppressant. Toute la question est de savoir où est l’équilibre.
le rapport de soi à la société
Nous n’entrerons pas dans tous les détails. Il ne peut y avoir non plus ni science ni économie sans orientation, c’est-à-dire sans éthique. Ce qui gêne aujourd’hui dans tout le débat actuel sur la mondialisation, c’est qu’il faudra bien que l’on exige véritablement du consommateur et de l’ordre économique, d’aller plus loin. Il va falloir s’interroger non seulement sur le primat de l’économique au regard de tout autre type de rapport humain, mais finalement aussi sur l’éthique en économie. Au nom de quoi fait-on ce que l’on fait ? peut-on dégager d’aussi importantes sommes de bénéfices ?
La culture nous interpelle aussi profondément : Y a-t-il, ou non, une éthique en matière culturelle ? Peut-on, au nom de la liberté d’expression, admettre n’importe quelle expression et dire : libre est mon expression et elle peut dépasser tout limite éthique ? Sans doute l’expression artistique a son domaine spécifique. Mais quand une société est questionnée, de façon profonde, sur la liberté d’expression, au niveau de la sexualité par exemple, quand elle est placée en face d’un certain public, un public d’enfants ou d’adolescents notamment, elle ne peut pas systématiser un mode unique d’expression. Nous ne nous cachons pas de poser les vraies questions, quitte à paraître réactionnaires, alors que nous aimerions plutôt nous dire responsables. Quels principes gèrent la production culturelle ? Est ce que ce ne sont que des principes financiers ? Nous sommes tous confrontés aux mêmes problèmes.
Pour terminer, nous dirons que cet humanisme musulman, fondé sur une orientation, aboutit à la plus difficile des notions : en toutes choses, entre l’innocence, la raison et les choix que nous sommes amenés à faire, la position de l’équilibre est déterminante ; ne rien nier de ce que nous sommes, mais savoir nous maîtriser, pour tendre vers ce que nous voulons être. C’est une humanité qui fait face à elle-même, qui se valorise en connaissant les risques mais en exigeant de maîtriser ces risques et de maîtriser les excès.
Telles sont les lignes essentielles de l’humanisme musulman, qui se traduit au travers de la philosophie, au travers de la théologie et aussi au travers des perspectives, et qui recoupe dans ses conclusions, beaucoup de ce que l’on trouve dans les traditions chrétiennes et dans les traditions juives. Mais il est vrai qu’aujourd’hui - et nous y insistons beaucoup - au nom de la conception de l’homme, il est extrêmement difficile, au cœur même de l’Occident, pour quelqu’un de tradition musulmane, d’accepter sans réagir l’affirmation d’une primauté absolue des droits des êtres humains, sans qu’il soit insisté, en rapport précisément avec la Transcendance, sur l’obligation d’une responsabilité active.
D’où les débats et les confrontations intéressantes et possibles entre les deux traditions. Bien a vous

2L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Lun 4 Fév - 20:15

yacoub

yacoub

L'islam est l'école de la haine, de la violence, du mepris des femmes et des non-musulmans.
Arrête de parler de l'humanisme de l'islam, tu fais rire Ben Laden.

D'ailleurs un défi a été lancé à tous les musulmans de demontrer que Mahomey n'etait pas pedophile, assassin, voleur, dérangé mental, terroriste et que depuis 14 siècles il n y a que la peur du sabre qui fait rester tous les rationalistes dans cette "religion".
Pour les rois et les presidents elle est bien commode, elle prêche la soumission aux autorités et au clergé.

3L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Lun 4 Fév - 21:53

becharelkhir

becharelkhir

Je me sens trés content de moi-mème,moi qui croyait que tu ne lisais pas ces vérités qui te font cisaillers les tripes, sale juif.

Tu vois a quel point tu es haineux et venimeux,l'ampleur de ta méchanceté et rancune, suceur du sang que tu es,dévisage-toi
comme ça, enlève ce masque de satin que tu portes, pour démontrer ton vrai laid et stupide visage, pour que tout le monde connaissent bien ton vrai escient et l'immencité de la gravité du danger que tu représente pour l'humanité.
Que Dieu épargne l'humanité de vos méfaits

4L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 5 Fév - 15:55

yacoub

yacoub

becharelkhir a écrit:Je me sens trés content de moi-mème,moi qui croyait que tu ne lisais pas ces vérités qui te font cisaillers les tripes, sale juif.

Tu vois a quel point tu es haineux et venimeux,l'ampleur de ta méchanceté et rancune, suceur du sang que tu es,dévisage-toi
comme ça, enlève ce masque de satin que tu portes, pour démontrer ton vrai laid et stupide visage, pour que tout le monde connaissent bien ton vrai escient et l'immencité de la gravité du danger que tu représente pour l'humanité.
Que Dieu épargne l'humanité de vos méfaits

Merci de me traiter de juif.
Je suis lucide alors que tu es aveuglé par l'endoctrinement que tu subis depuis l'enfance.

5L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 6 Fév - 1:29

becharelkhir

becharelkhir

Puisque tu aime bien ètre traiter comme tel, comtemple bien Mr. "lucide" ce que mon endoctrinement m'a appris de ce que sont tes idoles, et puisque tu es assez lucide
tu dois nous dire ton opinion làdessus,ou bien tu vas nier carémment ces fais comme il est ton habitude ?, à savoir :

Au 4e siècle av. J.C, l’auteur de la Bible juive en l’occurrence le scribe et sacrificateur Esdras (Esdras 9 : 12) donnait cette recommandation aux juifs à l’encontre des non juifs : « Ne donnez donc point vos filles à leurs fils et ne prenez point leurs filles pour vos fils, et n’ayez jamais souci ni de leur prospérité ni de leur bien-être ; ainsi vous deviendrez forts, vous mangerez les meilleures productions du pays, et vous le laisserez pour toujours en héritage à vos fils ».

[sup]Selon le chercheur David Icke (Le plus grand secret, tome 1, éd. Louise Courteau) le Talmud dont la rédaction remonte au 2e siècle, et faisant autorité chez les juifs en matière de juridiction est sans aucun doute le document le plus raciste sur terre, comme le prouvent ces quelques exemples tirés de ce dernier :


- Seuls les juifs sont humains, les non-juifs ne sont pas humains mais du bétail (Kerithut 6b, page 78, Jebhammoth 61)

- Les non-juifs ont été créés pour servir les juifs en tant qu’esclaves (Midrasch Talpioth 225)

- La relation sexuelle avec des non-juifs est comme la relation sexuelle avec des animaux (Kethuboth 3b)

- Les non-juifs doivent être évités encore plus que les cochons malades (Orach Chaiim 57, 6a)

- Le taux de natalité des non juifs doit être réprimé massivement (Zohar 11, 4b)

- Tout comme vous remplacez les vaches et les ânes, vous remplacerez les non juifs (Lore Dea 377, 1)

Tout ceci nous explique mieux le comportement des juifs dans les pays suivants : l’Egypte, l’Allemagne ou la Palestine.

Nous savons que les juifs alias les hébreux dans l’antiquité (habirou pour les égyptiens, hyksos pour les grecs), après quelques infiltrations en Afrique, plus précisément en Egypte vers 2000 av. J.C, envahirent par la suite ce pays. De 1720 à 1580 av. J.C, ils dépossédèrent les Noirs égyptiens de leur terre, mais heureusement ces derniers les chassèrent sous le règne du pharaon Ahmès. C’est le souvenir refoulé de cet épisode que relatent les propres documents juifs « Genèse 12 : 10 à 20, Genèse 47 : 13 à 27 et Exode 12 : 33 à 39 ».

Dans les années 1930, les Blancs allemands
connurent la même mésaventure avec les juifs, ce qui incita malheureusement Adolphe Hitler à trouver sa fameuse « solution finale » au problème juif.
Depuis 1948 date de la création de l’Etat d’Israël à la place de la Palestine qui était pourtant un Etat officiel, c’est au tour des Arabes palestiniens de se voir déposséder de la terre des Cananéens.
Si la haine des juifs à l’égard des non-juifs est une réalité palpable et non une vue de l’esprit, cependant elle n’est rien au regard de leur haine et de leur discrimination envers la race Noire.
En effet tout le malheur du peuple Noir résulte de l’image négative que les leucodermes en ont, mais le plus grave c’est que beaucoup de Noirs accréditent volontairement ou involontairement par leur comportement ces clichés dégradants d’eux-mêmes. Ce qui suit vous démontrera textes à l’appui qu’en rédigeant la Torah les juifs sont à l’origine, et donc les responsables directs de l’image négative du Noir dans l’imaginaire humain. En effet, avant la rédaction de la Torah en 398 av. J.C, sous la direction du scribe et sacrificateur Esdras, c’est en vain que l’on chercherait un seul texte dénigrant le peuple Noir, le monde leucoderme en avait une toute autre image.




[/sup]








6L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 6 Fév - 15:14

yaz



becharelkhir a écrit:Puisque tu aime bien ètre traiter comme tel, comtemple bien Mr. "lucide" ce que mon endoctrinement m'a appris de ce que sont tes idoles, et puisque tu es assez lucide
tu dois nous dire ton opinion làdessus,ou bien tu vas nier carémment ces fais comme il est ton habitude ?, à savoir :

Au 4e siècle av. J.C, l’auteur de la Bible juive en l’occurrence le scribe et sacrificateur Esdras (Esdras 9 : 12) donnait cette recommandation aux juifs à l’encontre des non juifs : « Ne donnez donc point vos filles à leurs fils et ne prenez point leurs filles pour vos fils, et n’ayez jamais souci ni de leur prospérité ni de leur bien-être ; ainsi vous deviendrez forts, vous mangerez les meilleures productions du pays, et vous le laisserez pour toujours en héritage à vos fils ».

[sup]Selon le chercheur David Icke (Le plus grand secret, tome 1, éd. Louise Courteau) le Talmud dont la rédaction remonte au 2e siècle, et faisant autorité chez les juifs en matière de juridiction est sans aucun doute le document le plus raciste sur terre, comme le prouvent ces quelques exemples tirés de ce dernier :


- Seuls les juifs sont humains, les non-juifs ne sont pas humains mais du bétail (Kerithut 6b, page 78, Jebhammoth 61)

- Les non-juifs ont été créés pour servir les juifs en tant qu’esclaves (Midrasch Talpioth 225)

- La relation sexuelle avec des non-juifs est comme la relation sexuelle avec des animaux (Kethuboth 3b)

- Les non-juifs doivent être évités encore plus que les cochons malades (Orach Chaiim 57, 6a)

- Le taux de natalité des non juifs doit être réprimé massivement (Zohar 11, 4b)

- Tout comme vous remplacez les vaches et les ânes, vous remplacerez les non juifs (Lore Dea 377, 1)

Tout ceci nous explique mieux le comportement des juifs dans les pays suivants : l’Egypte, l’Allemagne ou la Palestine.

Nous savons que les juifs alias les hébreux dans l’antiquité (habirou pour les égyptiens, hyksos pour les grecs), après quelques infiltrations en Afrique, plus précisément en Egypte vers 2000 av. J.C, envahirent par la suite ce pays. De 1720 à 1580 av. J.C, ils dépossédèrent les Noirs égyptiens de leur terre, mais heureusement ces derniers les chassèrent sous le règne du pharaon Ahmès. C’est le souvenir refoulé de cet épisode que relatent les propres documents juifs « Genèse 12 : 10 à 20, Genèse 47 : 13 à 27 et Exode 12 : 33 à 39 ».

Dans les années 1930, les Blancs allemands
connurent la même mésaventure avec les juifs, ce qui incita malheureusement Adolphe Hitler à trouver sa fameuse « solution finale » au problème juif.


Depuis 1948 date de la création de l’Etat d’Israël à la place de la Palestine qui était pourtant un Etat officiel, c’est au tour des Arabes palestiniens de se voir déposséder de la terre des Cananéens.


Si la haine des juifs à l’égard des non-juifs est une réalité palpable et non une vue de l’esprit, cependant elle n’est rien au regard de leur haine et de leur discrimination envers la race Noire.


En effet tout le malheur du peuple Noir résulte de l’image négative que les leucodermes en ont, mais le plus grave c’est que beaucoup de Noirs accréditent volontairement ou involontairement par leur comportement ces clichés dégradants d’eux-mêmes. Ce qui suit vous démontrera textes à l’appui qu’en rédigeant la Torah les juifs sont à l’origine, et donc les responsables directs de l’image négative du Noir dans l’imaginaire humain. En effet, avant la rédaction de la Torah en 398 av. J.C, sous la direction du scribe et sacrificateur Esdras, c’est en vain que l’on chercherait un seul texte dénigrant le peuple Noir, le monde leucoderme en avait une toute autre image.





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que dieu te protegent toujours mon voisin Becharelkir pour avoir emit ce post auquel j adherre 100%..et maintenant j espere que l israelien de yacoub là race là plus criminel au monde avec sont condeplice le soit disant americain sidhoum sont aprentie sorcier islamophobe , jeterons l eponge et irons ce faire cuirre un oeuf ailleur ?...mais comme toute les mauvaises herbes , ils irons repousser ailleurs aussi ces terroristes de mecreants ...un algerien..... :arrow:

Sidhoum

Sidhoum

…skout e'skout yal'h’bil, yal ââgoune!…

8L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 6 Fév - 16:19

yaz



Sidhoum a écrit:…skout e'skout yal'h’bil, yal ââgoune!…
lohrr tahté!!..tu ne meritent pas plus de 10 letres de l alphabet..un algerien.... :arrow:

9L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 6 Fév - 18:50

yacoub

yacoub

Les Coranistes : un signe du déclin islamique

Auteur: Mumin Salih – 29 janvier 2008

Les Quranyon sont des musulmans désenchantés et désorientés, mais leur existence reflète un Islam blessé.

Des signes montrent que de nombreux musulmans désertent le courant principal de l’Islam au profit d’une secte islamique peu connue appelée les Quranyon ou "coranistes."
Un observateur du débat religieux au Moyen Orient, que ce soit dans la presse écrite ou sur Internet, ne peut que noter la croissance de cette toute nouvelle secte islamique qui se désigne parfois sous le nom de Nouveaux Ahnaf.
Même la secte islamique éteinte des Mutazilites semble renaître dans certains pays du Moyen Orient.
Ces nouveaux groupes ne sont actuellement ni bien organisés ni influents et ne le seront probablement jamais mais leur multiplication est significative car elle illustre les fissures toujours plus profondes de la structure Islamique.
Les coranistes et la Sunna

Les coranistes basent leur argumentation sur la fausse allégation que le Coran est la parole d’Allah parfaitement préservée et est ipso facto infaillible.
Ils affirment que le Coran est un livre complet ; un musulman n’a donc pas besoin d’autres sources d’informations. En pratique, ils prêchent un islam entièrement différent basé uniquement sur le Coran. Bien qu’ils se présentent comme des réformateurs islamiques et des défenseurs du Coran, les autres musulmans les considèrent tout simplement comme des hérétiques.

Les coranistes connaissent parfaitement l’histoire de Mahomet (Sira) et son exemple (Sunna) mais leur science les amène à une conclusion risible.
En effet, leur raisonnement peut se résumer ainsi : « puisque la vie de Mahomet est scandaleuse et ses hadiths (actes et paroles) pleins d’absurdités, alors ces hadiths doivent forcément être faux ! »
Cela revient à dire : « puisque toutes les preuves accablent le suspect, c’est que les preuves sont fausses ! »
Cette analyse totalement irrationnelle est loin d’être unique aux coranistes mais est au contraire assez généralement répandue parmi les érudits musulmans et reflète l'ampleur des dommages que l'Islam inflige à l’intelligence humaine.

En rejetant la Sunna, les coranistes s’affranchissent de la mission impossible de défendre la conduite de Mahomet.
Ils sont bien conscients que les charges qui pèsent sur lui, comme celles publiées sur ce site, sont indéfendables car basées sur d’authentiques sources islamiques.
En niant les sources islamiques les plus authentiques, les coranistes peuvent répondre à toutes les accusations portées contre Mahomet : « ce ne sont que de vieilles histoires invérifiables, cela pourrait très bien être faux. »
Les coranistes n’en ont peut-être pas conscience mais leur profonde inclination à nier la Sunna est une reconnaissance indirecte de ce que Mahomet est plus un handicap qu’un atout pour l’Islam.

10L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 6 Fév - 18:54

yacoub

yacoub

Les coranistes et le Coran

Le mot arabe Qurani (coraniste) dérive du mot Coran, un groupe de coranistes est appelé Quranyon. Les coranistes sont absolument ravis d’être désignés par un mot qui les relie au Coran. Cela leur donne une certaine protection contre les inévitables accusations d’être des infidèles. Leur association au Coran leur donne un illusoire sentiment de sécurité ; après tout ce n’est pas si facile que ça de qualifier d’infidèles des gens qui croient au Coran.

Il peut sembler bizarre que les coranistes rejettent la Sunna parce qu’ils considèrent qu’elle déshonore l’Islam et Mahomet tout en acceptant sans restriction le Coran.
Un lecteur objectif du Coran y relève autant d’absurdités que dans la Sunna, si pas plus. Alors pourquoi les coranistes ne défendent-ils que le Coran ?

Pour expliquer cette étrange attitude prenons l’exemple fictif d’un voleur confronté à un enregistrement vidéo de mauvaise qualité pris de lui pendant qu’il piquait dans les rayons d’un magasin.
La qualité de la vidéo n’est pas terrible mais est suffisamment claire pour prouver le délit. Le voleur va alors baser sa défense sur la piètre qualité de l’enregistrement, il pourra dire qu’il n’était pas en train de piquer ou qu’il s’agit d’une autre personne.

Le Coran est un livre ambigu rempli de répétitions et de contradictions. Il y a assez d’absurdités dans divers chapitres du Coran pour démontrer son ineptie.
Le rôle de la Sunna est de clarifier et préciser le Coran, accentuant encore son absurdité.
C’est pourquoi les coranistes préfèrent lire le Coran sans la Sunna ; une certaine obscurité est préférable s’ils veulent pouvoir dénaturer le sens d’un verset pour aboutir à une interprétation conforme à leurs vœux.

Dans leurs efforts pour préserver le Coran, les coranistes n’ont pas honte de lancer les arguments les plus incongrus.
Pour exempter le Coran de ses faiblesses en donnant un sens entièrement nouveau aux versets, ils raisonnent comme suit : “Puisque le sens apparent de ce verset est illogique et inacceptable, c’est que ce ne peut pas être le sens voulu par le Coran.” Ils en arrivent à prétendre que le Coran a son propre langage coranique (pas l’arabe !) pour justifier leurs extraordinaires interprétations de ses aberrations !
Cela peut expliquer pourquoi ce courant séduit certains musulmans insatisfaits qui n’ont pas honte de violer les règles et la grammaire de leur langue pour disculper le Coran de ses erreurs.
Ils trouvent en ces interventions cosmétiques un confortable compromis qui leur permet de continuer à croire en l’Islam sans avoir à croire à ses absurdités.

Les musulmans considèrent la Sunna comme un complément et une explication du Coran.
C'est d’ailleurs tout à fait vrai. Cependant, accepter la Sunna laisse peu de marge de manœuvre aux coranistes pour exercer leur art de la distorsion du sens des mots.
Les coranistes ne peuvent pas exercer aisément leurs aptitudes à l’altération sémantique sur les hadiths, en effet ceux ci sont repris dans plusieurs recueils avec un vocabulaire différent, ce qui leur rend impossible d’ergoter sur le sens d’un mot pour falsifier une phrase et lui donner le sens qu’ils souhaitent.


Un Islam limité au Coran

Les coranistes aiment se présenter comme des intellectuels musulmans (bien que ces deux mots soient antinomiques) et des réformateurs islamiques.
Leur détermination à présenter l’Islam comme une religion moderne et civilisée les a contraint à adopter un comportement mythomane pour se convaincre d’accepter le Coran et se convaincre que le reste des musulmans les accepteront.

Les affirmations des coranistes sur le fait que la Sunna manque fiabilité parce qu’elle ne nous est parvenue qu’a travers des récits est un autre argument risible.
Il doit leur avoir échappé que tout ce qui concerne l’Islam, du Coran à l’histoire de Mahomet et sa Sunna, nous est parvenu via les mêmes récits.

Le Coran a été mis par écrit par des humains, conservé par des humains et compilé par des humains.
Les coranistes ne peuvent pas nier le fait que c’est le Calife Othman qui, pour éviter que l’existence de plusieurs versions différentes ne cause des problèmes, ordonna la rédaction d’une version officielle du Coran et ordonna ensuite que toutes les autres copies soient détruites parce qu’elles différaient de sa version. A l’époque des figures importantes de l’Islam, comme Ibn Masoud, avaient été indignées par cet autodafé des autres versions et refusèrent de reconnaître le Coran officiel d’Othman.

Le Coran exige sans arrêt des musulmans qu’ils suivent l’exemple de Mahomet (Sunna). Si les coranistes écartent la Sunna il faudra bien qu’ils répondent à une importante question: comment les musulmans pourraient-ils suivre l’exemple de Mahomet s’ils ne reconnaissent pas cet exemple ?

Les coranistes ne forment pas un groupe bien déterminé et ne s’accordent pas sur des principes clairs et reconnus par tous. Ils s’accuseraient plutôt les uns les autres d’être des infidèles!
Par définition, les coranistes sont des Soumis (musulmans) bien qu’ils soient considérés comme des infidèles par tous les autres.
Le seul point commun des coranistes est probablement leur rejet de la Sunna et leur volonté de justifier à tout prix les passages gênants du Coran.
Cependant, un Islam fondé uniquement sur le Coran donne un résultat si bizarre que l’on n’y reconnaît plus qu’à peine l’Islam.
Il est vrai que le Coran est le livre sacré de l’Islam mais l’essence de cette religion est tirée de la Sunna. Certains détails de l’Islam qui ne sont qu’à peine mentionnés dans le Coran comme la façon de pratiquer la prière sont complètement altérés par les coranistes.
Par exemple, dans le cas de la prière, ils ne reconnaissent que trois prières obligatoires et non cinq et ils la pratiquent différemment de la majorité des musulmans.

Dans les faits, les coranistes font donc des changements fondamentaux dans la doctrine de l’Islam, en d’autres termes ils introduisent la Bidaa (innovation) à grande échelle, ce qui est un péché mortel en Islam.
Cela s’est déjà vu au cours de l’histoire islamique, comme par exemple le mouvement Al-Mutazela qui fut complètement éradiqué sous la dynastie Abbaside.
Les actuels violents conflits entre les différentes sectes islamiques sont un autre rappel de l’inexistence de la tolérance islamique.
Certains coranistes ont déjà été assassinés sous prétexte qu’ils n’étaient que des infidèles se faisant passer pour des musulmans.

La mentalité des coranistes est une autre triste illustration des dommages que l’Islam peut infliger à la raison des hommes.
Ces gens ont remarqué suffisamment de non-sens islamiques pour réaliser que Islam n’est que le culte d’un malade mental et pourtant, au lieu de rejeter l’Islam, ils s’embarquent dans un processus désespéré d’auto hypnose parce que leurs esprits désorientés ne parviennent pas à imaginer qu’il y a une vie en dehors de l’Islam.

Le nombre croissant de coranistes reflète les interventions menées par certains musulmans pour camoufler les fissures toujours plus profondes de l’Islam.
Mais ce ne sont que des interventions cosmétiques et superficielles qui ne pourront pas consolider bien longtemps la structure.
Nous devons aussi garder à l’esprit que tous les coranistes ne croient pas à ce qu’ils disent. Beaucoup de musulmans désillusionnés considèrent ce groupe comme un abri sûr contre l’Islam réel.
Certains coranistes finissent par rejeter le Coran après avoir rejeté la Sunna et poursuivent leur quête de la vérité et de la liberté.

Beaucoup de coranistes ne prétendent l’être que pour continuer à vivre dans les sociétés islamiques sans être considérés comme des hors-la-loi. Pour l’instant l’Islam tolère apparemment leur existence mais cela pourrait ne pas durer longtemps.
Il est probable qu’on ne les laisse actuellement en paix que parce qu’ils sont considérés comme un groupe de musulmans non pratiquants et désaxés qui finiront par revenir à Islam.

11L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 6 Fév - 20:44

lurchar21

lurchar21

La nouvelle generation Maughrebin qui abadonne l'Islam pour le Christianisme.


Entre dits et non-dits L'évangélisation, parlons-en!
par Djamel B.

Qu'est-ce qui pousse les Algériens à se convertir au christianisme? Quelle est l'ampleur réelle de la campagne d'évangélisation? Pourquoi les nombreuses «églises» clandestines fonctionnent en vase clos? La raison de leur sectarisme, leur relation avec les églises étrangères? Que prévoit la loi algérienne? Le prosélytisme est-il toléré? Ces églises sont-elles légales? Certains groupes obéissent-ils à des influences externes? C'est à toutes ces questions et d'autres, qu'a tenté de répondre notre confrère Djaouida Azzoug de la chaîne III, de la radio nationale, à travers un long reportage diffusé, hier, sur les ondes de cette chaîne.

Le travail d'investigation de notre confrère, accompagné de nombreux témoignages d'Algériens convertis et d'interventions d'éminentes personnalités algériennes et étrangères dont les missions ou la fonction gravitent autour du thème traité, a permis d'avoir un large aperçu sur ce qui s'apparente, pour beaucoup d'Algériens, à un phénomène qui tend à prendre de l'ampleur. Dans la première partie de son reportage, la journaliste de la chaîne III, est allé à la rencontre de jeunes Algériens, hommes et femmes convertis au christianisme, à travers les régions de la Kabylie, à Oran et à Constantine.

Premier constat sur le terrain, même si le phénomène semble toucher des gens de couches sociales différentes, il n'y a pas de chiffres disponibles pour connaître le nombre exact des convertis. Cela est directement lié au fait que les «groupes ou communautés de convertis» agissent généralement dans la clandestinité. Les garages, les sous-sols, les villas, etc. font office d'églises. A Draâ Ben-Khedda, Said, la cinquantaine responsable de la communauté chrétienne, assure assumer ses convictions et réfute l'idée que sa «communauté» fait du prosélytisme.

«Nous sommes une église méthodiste, nous n'évangélisons pas». Et d'ajouter: «qu'en chantant les louanges du Christ, les gens sont poussés vers nous par curiosité. Nous avons des églises à Oran, Constantine Annaba, etc. Nous essayons d'inculquer un enseignement chrétien», souligne Saïd qui précise que la communauté chrétienne à Draâ Ben-Khedda compte 500 à 600 personnes. «On ne veut pas s'exposer parce que nous n'avons pas de protection», ajoute-t-il. D'autres témoignages sont recueillis, ceux de femmes converties, à l'image de Djouher l'épouse de Saïd ou de Ouiza récemment convertie. Les deux femmes affirment avoir suivi la voix du Christ par conviction. «C'est mon guérisseur», dira Djouher, alors que Ouiza, boudée par sa famille, déclare avoir eu une vision dans son rêve. «Je suis venue à l'église et on m'a dit qu'il s'agit d'un appel du Christ».

D'autres témoignages sont recueillis auprès de Djamel responsable de «l'assemblée de dieu».

Précisant que leur église s'est implantée, il y a deux ans, Djamel affirme entretenir des contacts avec des prêtres étrangers. «Nous invitons parfois des pasteurs pour partager nos expériences. Nous avons aussi des contacts avec les chrétiens d'Oran avec qui nous échangeons aussi nos expériences. Mais généralement, c'est à travers la lecture de l'Evangile et nos propres témoignages qu'on essaye d'apporter des réponses à ceux qui viennent vers nous», dit Djamel. Aux Ouadhias, l'église la plus ancienne, et qui, selon la journaliste de la chaîne III, compte un nombre important de convertis, est dirigée, actuellement, par des chrétiens nouvellement convertis. Au total, la région compte une vingtaine d'églises nouvellement nées et qui affichent leur indépendance. Leur point commun, les chants et les cantiques.

Les témoignages de Hocine ou de Nadia, parlent surtout de conviction et de notions de partage. Hocine reconnaît, lui aussi, que son église entretient des relations amicales avec des églises étrangères mais nie toute influence de ces dernières sur son église. «Nous partons du principe que la communauté chrétienne des Ouadhias est algérienne et doit être prise en charge par des Algériens».




«Des gens viennent spécialement pour le visa»




Dans d'autres témoignages à Tizi-Ouzou, Rachid indique que les conversions ne sont généralement pas, par conviction. «Des gens viennent spécialement pour le visa». A l'instar des précédents témoins, Rachid aussi confirme les contacts avec des églises de l'étranger. «Nous recevons des dons de l'étranger et de l'intérieur. Mais je tiens à souligner qu'il y a des gens qui donnent beaucoup en Algérie», indique le même témoin qui souligne en passant le manque latent de documentation. « Actuellement les gens achètent des bibles librement et la demande dépasse l'offre. Le témoignage de Fatima, a la particularité de dévoiler le traitement réservé à toute personne convertie, qui décide un jour de quitter ces communautés.

«Le prêtre a voulu m'imposer un mari, et j'ai dû quitter cette communauté. Depuis on ne cesse de me harceler» déclare Fatima.

A Constantine d'autres témoins racontent les raisons de leurs conversion. Visions, rêves, ou quête de la vérité... sont autant de motivations citées par les témoins.

Les Algériens seraient plus intéressés par l'église protestante que par l'église catholique, pour bon nombre de raisons. Contrairement aux conversion vers l'Islam qui sont généralement médiatisées, les conversions vers le catholicisme sont plutôt très discrètes. Cela s'est confirmé, d'ailleurs, à travers les déclarations du directeur des Affaires religieuses de Constantine. «Officiellement je n'ai pas entendu de conversion annoncée au grand jour. Si effectivement cela existe, il faudrait comprendre les raisons», dit le même responsable. C'est à Oran que la journaliste a achevé la première partie de son reportage.

Amina affirme connaître beaucoup d'Oranais qui se sont convertis. «C'est à cause de la misère, la situation sociale qu'ils sont attirés vers le christianisme. C'est pour eux une opportunité pour un visa», assure Amina, elle-même convertie.

A Oran, la journaliste indique que deux églises ont été créées ces dernières années, dont l'une se trouve à Aïn El-Turck et où active une association non agréée. Cette église n'a rien de conventionnel et a fait l'objet d'un rappel à l'ordre.

A l'évêché d'Oran, le père Alphonse a souligné qu'il y a des gens qui veulent devenir chrétien ou catholique pour un visa, mais confondent l'église avec le consulat de France.

Sur la question de savoir si ces groupes sont affiliés au mouvement mondial d'évangélisation, le père Alphonse a indiqué que parfois des gens sont embrigadés. «J'ai su qu'il y a eu des missionnaires étrangers venus en Algérie, et on m'a dit qu'ils inculquaient la haine contre les musulmans et les catholiques» dit le père Alphonse.




«Ce que nous reprochons à ces églises,
c'est le prosélytisme»




Dans la seconde partie du reportage l'ensemble des questions liées au phénomène ont été abordées avec le ministre des Affaires religieuses M. Bouabdallah Ghlamallah, le président du Haut Conseil islamique Cheikh Bouamrane, l'évêque principal de l'église catholique d'Alger Msr Tessier, et le responsable de l'église protestante d'Algérie Young Johnson.

Rappelant que des étrangers qui se sont installés en Algérie ont mis à leur profit la liberté qu'offre la constitution algérienne, le ministre algérien a qualifié les agissements de «ces étrangers» de tentative d'atteinte à l'unité nationale. «Un étranger qui demande à un Algérien de changer de religion, c'est une atteinte à sa dignité», souligne M. Ghlamallah. Cheikh Bouamrane a, pour sa part, insisté sur la nécessité de revenir à l'activité missionnaire d'avant l'indépendance pour mieux comprendre cette campagne. «Avant c'étaient des actions plutôt portées sur le social, mais pas des actions ouvertes à proprement dit, qui font du prosélytisme. Actuellement on a l'impression d'une renaissance du prosélytisme du 19e siècle. Nous ne reprochons à personne la liberté du culte.

Ce que nous reprochons à ces églises, c'est le prosélytisme», déclare M. Bouamrane. Pour sa part, le père Youg Jhonson a rejeté toutes les accusations selon lesquelles l'église protestante encourage l'évangélisation. «Nous n'avons jamais engagé une campagne d'évangélisation, les gens viennent individuellement, après ils cherchent à intégrer les communautés. Je ne pense pas que le fait de ramener la bible en grand nombre puisse pousser les gens à abandonner leur foi. Il y a des évangéliques en Algérie mais cela ne sous-entend pas qu'il y a une mainmise sur les Algériens», souligne le père Young qui précise, en passant, qu'une dizaine d'églises en Kabylie, deux en Oranie et une à Constantine sont rattachées à l'église protestante d'Algérie.

Le père Tessier a, pour sa part, rappelé que la naissance de ces nouveaux groupes n'est pas un phénomène propre à l'Algérie, il s'agit, dira t-il, d'un phénomène né aux USA et qui s'est étendu à d'autres pays. «Il faut le voir sous l 'angle de l'évolution du monde. Je tiens à préciser que les premiers à être marqués par ce phénomène sont les fidèles de l'église catholique».

Le ministre des Affaires religieuses a aussi confirmé le caractère illégal de ces églises «clandestines». «C'est illégal, ces lieux sont créés sans l'aval du ministère. Ces gens méprisent la législation, ils sont hors-la-loi», affirme M. Ghlamallah qui souligne que des étrangers utilisent, aujourd'hui, les Algériens convertis pour le prosélytisme.

Cheikh Bouamrane a affirmé que le mouvement tend à devenir très agressif, précisant qu'il ne s'agit, nullement, de conversions par conviction. «Il n'y a pas de convictions, mais plutôt un intérêt qui s'explique par la misère et le chômage. L'intérêt étant, bien sûr, l'obtention d'un visa et la fuite vers l'étranger», déclare le président du Haut Conseil islamique qui exhorte l'Etat à faire plus d'efforts, car dira t-il, «nous sommes agressés chez nous».

Le même interlocuteur clôturera son intervention, en affirmant que la nouvelle loi qui régit la politique du culte est venue à points nommés. «Nous avons suggéré de traiter le problème par la réciprocité. Il s'agit aussi d'empêcher la clandestinité. Nous ne voulons plus que l'Islam soit agressé chez nous. Ils sont hostiles à cette loi, mais c'est de la légitime défense», dit cheikh Bouamrane. «Il est clair que la société algérienne a subi beaucoup d'épreuves, mais elle a tous les moyens de défendre ses croyances et ses convictions», a conclu notre confrère Djaouida Azzoug.

12L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 16:29

yacoub

yacoub

L'HUMANISME DE L'ISLAM Zawahirign7

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yaz



lurchar21 a écrit:La nouvelle generation Maughrebin qui abadonne l'Islam pour le Christianisme.


Entre dits et non-dits L'évangélisation, parlons-en!
par Djamel B.

Qu'est-ce qui pousse les Algériens à se convertir au christianisme? Quelle est l'ampleur réelle de la campagne d'évangélisation? Pourquoi les nombreuses «églises» clandestines fonctionnent en vase clos? La raison de leur sectarisme, leur relation avec les églises étrangères? Que prévoit la loi algérienne? Le prosélytisme est-il toléré? Ces églises sont-elles légales? Certains groupes obéissent-ils à des influences externes? C'est à toutes ces questions et d'autres, qu'a tenté de répondre notre confrère Djaouida Azzoug de la chaîne III, de la radio nationale, à travers un long reportage diffusé, hier, sur les ondes de cette chaîne.

Le travail d'investigation de notre confrère, accompagné de nombreux témoignages d'Algériens convertis et d'interventions d'éminentes personnalités algériennes et étrangères dont les missions ou la fonction gravitent autour du thème traité, a permis d'avoir un large aperçu sur ce qui s'apparente, pour beaucoup d'Algériens, à un phénomène qui tend à prendre de l'ampleur. Dans la première partie de son reportage, la journaliste de la chaîne III, est allé à la rencontre de jeunes Algériens, hommes et femmes convertis au christianisme, à travers les régions de la Kabylie, à Oran et à Constantine.

Premier constat sur le terrain, même si le phénomène semble toucher des gens de couches sociales différentes, il n'y a pas de chiffres disponibles pour connaître le nombre exact des convertis. Cela est directement lié au fait que les «groupes ou communautés de convertis» agissent généralement dans la clandestinité. Les garages, les sous-sols, les villas, etc. font office d'églises. A Draâ Ben-Khedda, Said, la cinquantaine responsable de la communauté chrétienne, assure assumer ses convictions et réfute l'idée que sa «communauté» fait du prosélytisme.

«Nous sommes une église méthodiste, nous n'évangélisons pas». Et d'ajouter: «qu'en chantant les louanges du Christ, les gens sont poussés vers nous par curiosité. Nous avons des églises à Oran, Constantine Annaba, etc. Nous essayons d'inculquer un enseignement chrétien», souligne Saïd qui précise que la communauté chrétienne à Draâ Ben-Khedda compte 500 à 600 personnes. «On ne veut pas s'exposer parce que nous n'avons pas de protection», ajoute-t-il. D'autres témoignages sont recueillis, ceux de femmes converties, à l'image de Djouher l'épouse de Saïd ou de Ouiza récemment convertie. Les deux femmes affirment avoir suivi la voix du Christ par conviction. «C'est mon guérisseur», dira Djouher, alors que Ouiza, boudée par sa famille, déclare avoir eu une vision dans son rêve. «Je suis venue à l'église et on m'a dit qu'il s'agit d'un appel du Christ».

D'autres témoignages sont recueillis auprès de Djamel responsable de «l'assemblée de dieu».

Précisant que leur église s'est implantée, il y a deux ans, Djamel affirme entretenir des contacts avec des prêtres étrangers. «Nous invitons parfois des pasteurs pour partager nos expériences. Nous avons aussi des contacts avec les chrétiens d'Oran avec qui nous échangeons aussi nos expériences. Mais généralement, c'est à travers la lecture de l'Evangile et nos propres témoignages qu'on essaye d'apporter des réponses à ceux qui viennent vers nous», dit Djamel. Aux Ouadhias, l'église la plus ancienne, et qui, selon la journaliste de la chaîne III, compte un nombre important de convertis, est dirigée, actuellement, par des chrétiens nouvellement convertis. Au total, la région compte une vingtaine d'églises nouvellement nées et qui affichent leur indépendance. Leur point commun, les chants et les cantiques.

Les témoignages de Hocine ou de Nadia, parlent surtout de conviction et de notions de partage. Hocine reconnaît, lui aussi, que son église entretient des relations amicales avec des églises étrangères mais nie toute influence de ces dernières sur son église. «Nous partons du principe que la communauté chrétienne des Ouadhias est algérienne et doit être prise en charge par des Algériens».




«Des gens viennent spécialement pour le visa»




Dans d'autres témoignages à Tizi-Ouzou, Rachid indique que les conversions ne sont généralement pas, par conviction. «Des gens viennent spécialement pour le visa». A l'instar des précédents témoins, Rachid aussi confirme les contacts avec des églises de l'étranger. «Nous recevons des dons de l'étranger et de l'intérieur. Mais je tiens à souligner qu'il y a des gens qui donnent beaucoup en Algérie», indique le même témoin qui souligne en passant le manque latent de documentation. « Actuellement les gens achètent des bibles librement et la demande dépasse l'offre. Le témoignage de Fatima, a la particularité de dévoiler le traitement réservé à toute personne convertie, qui décide un jour de quitter ces communautés.

«Le prêtre a voulu m'imposer un mari, et j'ai dû quitter cette communauté. Depuis on ne cesse de me harceler» déclare Fatima.

A Constantine d'autres témoins racontent les raisons de leurs conversion. Visions, rêves, ou quête de la vérité... sont autant de motivations citées par les témoins.

Les Algériens seraient plus intéressés par l'église protestante que par l'église catholique, pour bon nombre de raisons. Contrairement aux conversion vers l'Islam qui sont généralement médiatisées, les conversions vers le catholicisme sont plutôt très discrètes. Cela s'est confirmé, d'ailleurs, à travers les déclarations du directeur des Affaires religieuses de Constantine. «Officiellement je n'ai pas entendu de conversion annoncée au grand jour. Si effectivement cela existe, il faudrait comprendre les raisons», dit le même responsable. C'est à Oran que la journaliste a achevé la première partie de son reportage.

Amina affirme connaître beaucoup d'Oranais qui se sont convertis. «C'est à cause de la misère, la situation sociale qu'ils sont attirés vers le christianisme. C'est pour eux une opportunité pour un visa», assure Amina, elle-même convertie.

A Oran, la journaliste indique que deux églises ont été créées ces dernières années, dont l'une se trouve à Aïn El-Turck et où active une association non agréée. Cette église n'a rien de conventionnel et a fait l'objet d'un rappel à l'ordre.

A l'évêché d'Oran, le père Alphonse a souligné qu'il y a des gens qui veulent devenir chrétien ou catholique pour un visa, mais confondent l'église avec le consulat de France.

Sur la question de savoir si ces groupes sont affiliés au mouvement mondial d'évangélisation, le père Alphonse a indiqué que parfois des gens sont embrigadés. «J'ai su qu'il y a eu des missionnaires étrangers venus en Algérie, et on m'a dit qu'ils inculquaient la haine contre les musulmans et les catholiques» dit le père Alphonse.




«Ce que nous reprochons à ces églises,
c'est le prosélytisme»




Dans la seconde partie du reportage l'ensemble des questions liées au phénomène ont été abordées avec le ministre des Affaires religieuses M. Bouabdallah Ghlamallah, le président du Haut Conseil islamique Cheikh Bouamrane, l'évêque principal de l'église catholique d'Alger Msr Tessier, et le responsable de l'église protestante d'Algérie Young Johnson.

Rappelant que des étrangers qui se sont installés en Algérie ont mis à leur profit la liberté qu'offre la constitution algérienne, le ministre algérien a qualifié les agissements de «ces étrangers» de tentative d'atteinte à l'unité nationale. «Un étranger qui demande à un Algérien de changer de religion, c'est une atteinte à sa dignité», souligne M. Ghlamallah. Cheikh Bouamrane a, pour sa part, insisté sur la nécessité de revenir à l'activité missionnaire d'avant l'indépendance pour mieux comprendre cette campagne. «Avant c'étaient des actions plutôt portées sur le social, mais pas des actions ouvertes à proprement dit, qui font du prosélytisme. Actuellement on a l'impression d'une renaissance du prosélytisme du 19e siècle. Nous ne reprochons à personne la liberté du culte.

Ce que nous reprochons à ces églises, c'est le prosélytisme», déclare M. Bouamrane. Pour sa part, le père Youg Jhonson a rejeté toutes les accusations selon lesquelles l'église protestante encourage l'évangélisation. «Nous n'avons jamais engagé une campagne d'évangélisation, les gens viennent individuellement, après ils cherchent à intégrer les communautés. Je ne pense pas que le fait de ramener la bible en grand nombre puisse pousser les gens à abandonner leur foi. Il y a des évangéliques en Algérie mais cela ne sous-entend pas qu'il y a une mainmise sur les Algériens», souligne le père Young qui précise, en passant, qu'une dizaine d'églises en Kabylie, deux en Oranie et une à Constantine sont rattachées à l'église protestante d'Algérie.

Le père Tessier a, pour sa part, rappelé que la naissance de ces nouveaux groupes n'est pas un phénomène propre à l'Algérie, il s'agit, dira t-il, d'un phénomène né aux USA et qui s'est étendu à d'autres pays. «Il faut le voir sous l 'angle de l'évolution du monde. Je tiens à préciser que les premiers à être marqués par ce phénomène sont les fidèles de l'église catholique».

Le ministre des Affaires religieuses a aussi confirmé le caractère illégal de ces églises «clandestines». «C'est illégal, ces lieux sont créés sans l'aval du ministère. Ces gens méprisent la législation, ils sont hors-la-loi», affirme M. Ghlamallah qui souligne que des étrangers utilisent, aujourd'hui, les Algériens convertis pour le prosélytisme.

Cheikh Bouamrane a affirmé que le mouvement tend à devenir très agressif, précisant qu'il ne s'agit, nullement, de conversions par conviction. «Il n'y a pas de convictions, mais plutôt un intérêt qui s'explique par la misère et le chômage. L'intérêt étant, bien sûr, l'obtention d'un visa et la fuite vers l'étranger», déclare le président du Haut Conseil islamique qui exhorte l'Etat à faire plus d'efforts, car dira t-il, «nous sommes agressés chez nous».

Le même interlocuteur clôturera son intervention, en affirmant que la nouvelle loi qui régit la politique du culte est venue à points nommés. «Nous avons suggéré de traiter le problème par la réciprocité. Il s'agit aussi d'empêcher la clandestinité. Nous ne voulons plus que l'Islam soit agressé chez nous. Ils sont hostiles à cette loi, mais c'est de la légitime défense», dit cheikh Bouamrane. «Il est clair que la société algérienne a subi beaucoup d'épreuves, mais elle a tous les moyens de défendre ses croyances et ses convictions», a conclu notre confrère Djaouida Azzoug.
mr Luchar21 , pourquoi tu n avouerais pas que tu es toi aussi un chretiens , au lieu de jouer avec les mots pour que ? mes frères et voisins arabes qui sont MUSULMANS avant tout aussi ?..:arrow: :affraid:

14L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 17:21

yacoub

yacoub

Mr Yaz, avoue que tu n'es pas musulman ?:lol:

15L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 17:27

yacoub

yacoub

Des universités collaborent à l’apartheid des femmes pour des pétrodollars


lundi 3 mars 2008, par Annie Lessard, Marc Lebuis


Les universités nord-américaines sont des foyers de militantisme « pro-diversité ». Des carrières peuvent se défaire pour un commentaire anodin qui aurait heurté les sensibilités d’un étudiant. Mais voilà que tous ces beaux principes sont jetés par les fenêtres quand se présente une occasion en or « noir » : un lucratif partenariat avec une université en Arabie saoudite. « Women (maybe Jews also) need not apply »...

The Chronicle of Higher Education rapporte que deux universités de Californie s’apprêtent à signer des ententes avec l’Université du roi Abdallah qui doit ouvrir l’année prochaine en Arabie saoudite. Seuls des hommes pourraient s’y inscrire et y enseigner. On excluerait aussi certains « autres », sans plus de détails. On peut penser que les professeurs juifs ne seront pas les bienvenus sur ce campus.

Les universités occidentales sont aussi des foyers de militantisme islamique ségrégationniste et suprématiste, sous l’impulsion du Muslim Student Association (MSA), une organisation internationale présente au Canada. Partout, le MSA prône la ségrégation sur les campus, tant dans les salles de prières que dans les aires récréatives et sportives (avec burka recouvrant les fenêtres durant les heures réservées aux femmes). On a aussi demandé que l’alcool et la musique profane soient bannis d’une cantine située sur un campus de l’Université de Toronto. En Australie, le MSA a récemment demandé que l’horaire des cours soit réaménagé en fonction des heures de prières, et la ségrégation des sexes dans les cantines et les aires récréatives. Il semble que le mouvement naturel du multiculturalisme concocté dans les laboratoires des institutions de haut savoir mène tout droit vers l’exaltation de la ségrégation « politiquement correcte », la promotion de la vertu et l’éradication du vice.

Le bon côté de l’initiative du roi Abdallah d’Arabie saoudite est qu’elle pourrait connaître un vif succès et attirer éventuellement les étudiants musulmans du monde entier - sans compter les nombreux universitaires qui éprouvent une haine morbide pour la culture occidentale - leur offrant un débouché plus conforme à leurs penchants intellectuels et moraux (grand bien leur en fasse et que la paix soit sur eux) ...laissant le champ libre aux impies et mécréants en Occident.

L'HUMANISME DE L'ISLAM MSA_Segregation-81644

Berkeley Is Negotiating Deal With Saudi University, par Jennifer Ruark, The Chronicle of Higher Education, le 1er mars 2008

L’Université de Californie à Berkeley travaille sur un partenariat avec l’université des sciences et technologies King Abdallah de l’Arabie saoudite, rapporte aujourd’hui le Contra Costa Times.

En vertu de l’arrangement, qui selon le Times pourrait être finalisé dès mardi, les membres du corps professoral de Berkeley collaboreraient à la recherche et aideraient l’université saoudienne à embaucher des professeurs.

Certains membres du corps professoral à Berkeley sont inquiets au sujet de l’entente, étant préoccupés par le fait que l’université de 10 milliards de dollars pratiquerait la discrimination envers les femmes et d’autres personnes, et limiterait la liberté académique.

Leurs inquiétudes ont trouvé écho auprès des critiques d’une autre entente en négociation, entre l’Université polytechnique de l’État de Californie à San Luis Obisco et l’Arabie saoudite pour démarrer un programme de génie à l’University College de Jubail. Selon un rapport (abonnement requis) publié dans le Los Angeles Times, Cal Poly recevrait 5,9 millions de dollars sur cinq ans pour créer un programme d’études d’ingénierie, construire des laboratoires et former des professeurs, mais seuls les hommes seraient admissibles à s’inscrire aux cours d’ingénierie ou à enseigner à l’école.

À Berkeley, selon ce que rapporte le Contra Costa Times, un comité du Sénat académique a voté en faveur de l’accord avec l’Université King Abdallah.

L’ouverture de l’université, appelée KAUST, est prévue pour septembre 2009. En janvier, l’Université a annoncé la nomination de son premier président, Choon Fong Shih, qui a déclaré au journal The Chronicle que « KAUST fonctionnera selon les normes mondiales, et il y aura une marge suffisante sur notre campus pour développer des politiques et des règles et réglementations compatibles avec une institution mondiale de recherche universitaire ».

Il a également exprimé sa confiance que l’argent pourrait aider à attirer des chercheurs qui ne peuvent pas trouver de financement ailleurs.

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lurchar21

lurchar21

yaz a écrit:
lurchar21 a écrit:La nouvelle generation Maughrebin qui abadonne l'Islam pour le Christianisme.


Entre dits et non-dits L'évangélisation, parlons-en!
par Djamel B.

Qu'est-ce qui pousse les Algériens à se convertir au christianisme? Quelle est l'ampleur réelle de la campagne d'évangélisation? Pourquoi les nombreuses «églises» clandestines fonctionnent en vase clos? La raison de leur sectarisme, leur relation avec les églises étrangères? Que prévoit la loi algérienne? Le prosélytisme est-il toléré? Ces églises sont-elles légales? Certains groupes obéissent-ils à des influences externes? C'est à toutes ces questions et d'autres, qu'a tenté de répondre notre confrère Djaouida Azzoug de la chaîne III, de la radio nationale, à travers un long reportage diffusé, hier, sur les ondes de cette chaîne.

Le travail d'investigation de notre confrère, accompagné de nombreux témoignages d'Algériens convertis et d'interventions d'éminentes personnalités algériennes et étrangères dont les missions ou la fonction gravitent autour du thème traité, a permis d'avoir un large aperçu sur ce qui s'apparente, pour beaucoup d'Algériens, à un phénomène qui tend à prendre de l'ampleur. Dans la première partie de son reportage, la journaliste de la chaîne III, est allé à la rencontre de jeunes Algériens, hommes et femmes convertis au christianisme, à travers les régions de la Kabylie, à Oran et à Constantine.

Premier constat sur le terrain, même si le phénomène semble toucher des gens de couches sociales différentes, il n'y a pas de chiffres disponibles pour connaître le nombre exact des convertis. Cela est directement lié au fait que les «groupes ou communautés de convertis» agissent généralement dans la clandestinité. Les garages, les sous-sols, les villas, etc. font office d'églises. A Draâ Ben-Khedda, Said, la cinquantaine responsable de la communauté chrétienne, assure assumer ses convictions et réfute l'idée que sa «communauté» fait du prosélytisme.

«Nous sommes une église méthodiste, nous n'évangélisons pas». Et d'ajouter: «qu'en chantant les louanges du Christ, les gens sont poussés vers nous par curiosité. Nous avons des églises à Oran, Constantine Annaba, etc. Nous essayons d'inculquer un enseignement chrétien», souligne Saïd qui précise que la communauté chrétienne à Draâ Ben-Khedda compte 500 à 600 personnes. «On ne veut pas s'exposer parce que nous n'avons pas de protection», ajoute-t-il. D'autres témoignages sont recueillis, ceux de femmes converties, à l'image de Djouher l'épouse de Saïd ou de Ouiza récemment convertie. Les deux femmes affirment avoir suivi la voix du Christ par conviction. «C'est mon guérisseur», dira Djouher, alors que Ouiza, boudée par sa famille, déclare avoir eu une vision dans son rêve. «Je suis venue à l'église et on m'a dit qu'il s'agit d'un appel du Christ».

D'autres témoignages sont recueillis auprès de Djamel responsable de «l'assemblée de dieu».

Précisant que leur église s'est implantée, il y a deux ans, Djamel affirme entretenir des contacts avec des prêtres étrangers. «Nous invitons parfois des pasteurs pour partager nos expériences. Nous avons aussi des contacts avec les chrétiens d'Oran avec qui nous échangeons aussi nos expériences. Mais généralement, c'est à travers la lecture de l'Evangile et nos propres témoignages qu'on essaye d'apporter des réponses à ceux qui viennent vers nous», dit Djamel. Aux Ouadhias, l'église la plus ancienne, et qui, selon la journaliste de la chaîne III, compte un nombre important de convertis, est dirigée, actuellement, par des chrétiens nouvellement convertis. Au total, la région compte une vingtaine d'églises nouvellement nées et qui affichent leur indépendance. Leur point commun, les chants et les cantiques.

Les témoignages de Hocine ou de Nadia, parlent surtout de conviction et de notions de partage. Hocine reconnaît, lui aussi, que son église entretient des relations amicales avec des églises étrangères mais nie toute influence de ces dernières sur son église. «Nous partons du principe que la communauté chrétienne des Ouadhias est algérienne et doit être prise en charge par des Algériens».




«Des gens viennent spécialement pour le visa»




Dans d'autres témoignages à Tizi-Ouzou, Rachid indique que les conversions ne sont généralement pas, par conviction. «Des gens viennent spécialement pour le visa». A l'instar des précédents témoins, Rachid aussi confirme les contacts avec des églises de l'étranger. «Nous recevons des dons de l'étranger et de l'intérieur. Mais je tiens à souligner qu'il y a des gens qui donnent beaucoup en Algérie», indique le même témoin qui souligne en passant le manque latent de documentation. « Actuellement les gens achètent des bibles librement et la demande dépasse l'offre. Le témoignage de Fatima, a la particularité de dévoiler le traitement réservé à toute personne convertie, qui décide un jour de quitter ces communautés.

«Le prêtre a voulu m'imposer un mari, et j'ai dû quitter cette communauté. Depuis on ne cesse de me harceler» déclare Fatima.

A Constantine d'autres témoins racontent les raisons de leurs conversion. Visions, rêves, ou quête de la vérité... sont autant de motivations citées par les témoins.

Les Algériens seraient plus intéressés par l'église protestante que par l'église catholique, pour bon nombre de raisons. Contrairement aux conversion vers l'Islam qui sont généralement médiatisées, les conversions vers le catholicisme sont plutôt très discrètes. Cela s'est confirmé, d'ailleurs, à travers les déclarations du directeur des Affaires religieuses de Constantine. «Officiellement je n'ai pas entendu de conversion annoncée au grand jour. Si effectivement cela existe, il faudrait comprendre les raisons», dit le même responsable. C'est à Oran que la journaliste a achevé la première partie de son reportage.

Amina affirme connaître beaucoup d'Oranais qui se sont convertis. «C'est à cause de la misère, la situation sociale qu'ils sont attirés vers le christianisme. C'est pour eux une opportunité pour un visa», assure Amina, elle-même convertie.

A Oran, la journaliste indique que deux églises ont été créées ces dernières années, dont l'une se trouve à Aïn El-Turck et où active une association non agréée. Cette église n'a rien de conventionnel et a fait l'objet d'un rappel à l'ordre.

A l'évêché d'Oran, le père Alphonse a souligné qu'il y a des gens qui veulent devenir chrétien ou catholique pour un visa, mais confondent l'église avec le consulat de France.

Sur la question de savoir si ces groupes sont affiliés au mouvement mondial d'évangélisation, le père Alphonse a indiqué que parfois des gens sont embrigadés. «J'ai su qu'il y a eu des missionnaires étrangers venus en Algérie, et on m'a dit qu'ils inculquaient la haine contre les musulmans et les catholiques» dit le père Alphonse.




«Ce que nous reprochons à ces églises,
c'est le prosélytisme»




Dans la seconde partie du reportage l'ensemble des questions liées au phénomène ont été abordées avec le ministre des Affaires religieuses M. Bouabdallah Ghlamallah, le président du Haut Conseil islamique Cheikh Bouamrane, l'évêque principal de l'église catholique d'Alger Msr Tessier, et le responsable de l'église protestante d'Algérie Young Johnson.

Rappelant que des étrangers qui se sont installés en Algérie ont mis à leur profit la liberté qu'offre la constitution algérienne, le ministre algérien a qualifié les agissements de «ces étrangers» de tentative d'atteinte à l'unité nationale. «Un étranger qui demande à un Algérien de changer de religion, c'est une atteinte à sa dignité», souligne M. Ghlamallah. Cheikh Bouamrane a, pour sa part, insisté sur la nécessité de revenir à l'activité missionnaire d'avant l'indépendance pour mieux comprendre cette campagne. «Avant c'étaient des actions plutôt portées sur le social, mais pas des actions ouvertes à proprement dit, qui font du prosélytisme. Actuellement on a l'impression d'une renaissance du prosélytisme du 19e siècle. Nous ne reprochons à personne la liberté du culte.

Ce que nous reprochons à ces églises, c'est le prosélytisme», déclare M. Bouamrane. Pour sa part, le père Youg Jhonson a rejeté toutes les accusations selon lesquelles l'église protestante encourage l'évangélisation. «Nous n'avons jamais engagé une campagne d'évangélisation, les gens viennent individuellement, après ils cherchent à intégrer les communautés. Je ne pense pas que le fait de ramener la bible en grand nombre puisse pousser les gens à abandonner leur foi. Il y a des évangéliques en Algérie mais cela ne sous-entend pas qu'il y a une mainmise sur les Algériens», souligne le père Young qui précise, en passant, qu'une dizaine d'églises en Kabylie, deux en Oranie et une à Constantine sont rattachées à l'église protestante d'Algérie.

Le père Tessier a, pour sa part, rappelé que la naissance de ces nouveaux groupes n'est pas un phénomène propre à l'Algérie, il s'agit, dira t-il, d'un phénomène né aux USA et qui s'est étendu à d'autres pays. «Il faut le voir sous l 'angle de l'évolution du monde. Je tiens à préciser que les premiers à être marqués par ce phénomène sont les fidèles de l'église catholique».

Le ministre des Affaires religieuses a aussi confirmé le caractère illégal de ces églises «clandestines». «C'est illégal, ces lieux sont créés sans l'aval du ministère. Ces gens méprisent la législation, ils sont hors-la-loi», affirme M. Ghlamallah qui souligne que des étrangers utilisent, aujourd'hui, les Algériens convertis pour le prosélytisme.

Cheikh Bouamrane a affirmé que le mouvement tend à devenir très agressif, précisant qu'il ne s'agit, nullement, de conversions par conviction. «Il n'y a pas de convictions, mais plutôt un intérêt qui s'explique par la misère et le chômage. L'intérêt étant, bien sûr, l'obtention d'un visa et la fuite vers l'étranger», déclare le président du Haut Conseil islamique qui exhorte l'Etat à faire plus d'efforts, car dira t-il, «nous sommes agressés chez nous».

Le même interlocuteur clôturera son intervention, en affirmant que la nouvelle loi qui régit la politique du culte est venue à points nommés. «Nous avons suggéré de traiter le problème par la réciprocité. Il s'agit aussi d'empêcher la clandestinité. Nous ne voulons plus que l'Islam soit agressé chez nous. Ils sont hostiles à cette loi, mais c'est de la légitime défense», dit cheikh Bouamrane. «Il est clair que la société algérienne a subi beaucoup d'épreuves, mais elle a tous les moyens de défendre ses croyances et ses convictions», a conclu notre confrère Djaouida Azzoug.
mr Luchar21 , pourquoi tu n avouerais pas que tu es toi aussi un chretiens , au lieu de jouer avec les mots pour que ? mes frères et voisins arabes qui sont MUSULMANS avant tout aussi ?..:arrow: :affraid:

C'est des articles qui paraient sur les journaux Nationaux Algeriens. Aussi ce sont des Algeriens comme toi qui se convertient, et parlent des raisons qui les poussent a le faire.
Parce que j'ai poste cet article tu m'accuses d'etre un Chretien , moi aussi je peux t'accuser d'etre la voie des extemistes comme Alkaida ,taleban ou n'importe qu'elle autre extremiste organisation.
Si un jour je decide de me convertir au christianisme ou autres , je le ferais avec fierete et je m'enfouterais de ce que pensent les autres ou toi meme. Personnellement je m'enfoue de ce que font les gens de leur croyance. Ils peuvent croirent meme a Mickey Mouse ca m'est egale.
Ce qui nous faut une loi moderne avec justice qu'on respecte tous , le reste c'est a l'individuel et decision personnelle. Ouwa Naby 2alih Elsalem.

17L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 18:09

yaz



lurchar21 a écrit:
yaz a écrit:
lurchar21 a écrit:La nouvelle generation Maughrebin qui abadonne l'Islam pour le Christianisme.


Entre dits et non-dits L'évangélisation, parlons-en!
par Djamel B.

Qu'est-ce qui pousse les Algériens à se convertir au christianisme? Quelle est l'ampleur réelle de la campagne d'évangélisation? Pourquoi les nombreuses «églises» clandestines fonctionnent en vase clos? La raison de leur sectarisme, leur relation avec les églises étrangères? Que prévoit la loi algérienne? Le prosélytisme est-il toléré? Ces églises sont-elles légales? Certains groupes obéissent-ils à des influences externes? C'est à toutes ces questions et d'autres, qu'a tenté de répondre notre confrère Djaouida Azzoug de la chaîne III, de la radio nationale, à travers un long reportage diffusé, hier, sur les ondes de cette chaîne.

Le travail d'investigation de notre confrère, accompagné de nombreux témoignages d'Algériens convertis et d'interventions d'éminentes personnalités algériennes et étrangères dont les missions ou la fonction gravitent autour du thème traité, a permis d'avoir un large aperçu sur ce qui s'apparente, pour beaucoup d'Algériens, à un phénomène qui tend à prendre de l'ampleur. Dans la première partie de son reportage, la journaliste de la chaîne III, est allé à la rencontre de jeunes Algériens, hommes et femmes convertis au christianisme, à travers les régions de la Kabylie, à Oran et à Constantine.

Premier constat sur le terrain, même si le phénomène semble toucher des gens de couches sociales différentes, il n'y a pas de chiffres disponibles pour connaître le nombre exact des convertis. Cela est directement lié au fait que les «groupes ou communautés de convertis» agissent généralement dans la clandestinité. Les garages, les sous-sols, les villas, etc. font office d'églises. A Draâ Ben-Khedda, Said, la cinquantaine responsable de la communauté chrétienne, assure assumer ses convictions et réfute l'idée que sa «communauté» fait du prosélytisme.

«Nous sommes une église méthodiste, nous n'évangélisons pas». Et d'ajouter: «qu'en chantant les louanges du Christ, les gens sont poussés vers nous par curiosité. Nous avons des églises à Oran, Constantine Annaba, etc. Nous essayons d'inculquer un enseignement chrétien», souligne Saïd qui précise que la communauté chrétienne à Draâ Ben-Khedda compte 500 à 600 personnes. «On ne veut pas s'exposer parce que nous n'avons pas de protection», ajoute-t-il. D'autres témoignages sont recueillis, ceux de femmes converties, à l'image de Djouher l'épouse de Saïd ou de Ouiza récemment convertie. Les deux femmes affirment avoir suivi la voix du Christ par conviction. «C'est mon guérisseur», dira Djouher, alors que Ouiza, boudée par sa famille, déclare avoir eu une vision dans son rêve. «Je suis venue à l'église et on m'a dit qu'il s'agit d'un appel du Christ».

D'autres témoignages sont recueillis auprès de Djamel responsable de «l'assemblée de dieu».

Précisant que leur église s'est implantée, il y a deux ans, Djamel affirme entretenir des contacts avec des prêtres étrangers. «Nous invitons parfois des pasteurs pour partager nos expériences. Nous avons aussi des contacts avec les chrétiens d'Oran avec qui nous échangeons aussi nos expériences. Mais généralement, c'est à travers la lecture de l'Evangile et nos propres témoignages qu'on essaye d'apporter des réponses à ceux qui viennent vers nous», dit Djamel. Aux Ouadhias, l'église la plus ancienne, et qui, selon la journaliste de la chaîne III, compte un nombre important de convertis, est dirigée, actuellement, par des chrétiens nouvellement convertis. Au total, la région compte une vingtaine d'églises nouvellement nées et qui affichent leur indépendance. Leur point commun, les chants et les cantiques.

Les témoignages de Hocine ou de Nadia, parlent surtout de conviction et de notions de partage. Hocine reconnaît, lui aussi, que son église entretient des relations amicales avec des églises étrangères mais nie toute influence de ces dernières sur son église. «Nous partons du principe que la communauté chrétienne des Ouadhias est algérienne et doit être prise en charge par des Algériens».




«Des gens viennent spécialement pour le visa»




Dans d'autres témoignages à Tizi-Ouzou, Rachid indique que les conversions ne sont généralement pas, par conviction. «Des gens viennent spécialement pour le visa». A l'instar des précédents témoins, Rachid aussi confirme les contacts avec des églises de l'étranger. «Nous recevons des dons de l'étranger et de l'intérieur. Mais je tiens à souligner qu'il y a des gens qui donnent beaucoup en Algérie», indique le même témoin qui souligne en passant le manque latent de documentation. « Actuellement les gens achètent des bibles librement et la demande dépasse l'offre. Le témoignage de Fatima, a la particularité de dévoiler le traitement réservé à toute personne convertie, qui décide un jour de quitter ces communautés.

«Le prêtre a voulu m'imposer un mari, et j'ai dû quitter cette communauté. Depuis on ne cesse de me harceler» déclare Fatima.

A Constantine d'autres témoins racontent les raisons de leurs conversion. Visions, rêves, ou quête de la vérité... sont autant de motivations citées par les témoins.

Les Algériens seraient plus intéressés par l'église protestante que par l'église catholique, pour bon nombre de raisons. Contrairement aux conversion vers l'Islam qui sont généralement médiatisées, les conversions vers le catholicisme sont plutôt très discrètes. Cela s'est confirmé, d'ailleurs, à travers les déclarations du directeur des Affaires religieuses de Constantine. «Officiellement je n'ai pas entendu de conversion annoncée au grand jour. Si effectivement cela existe, il faudrait comprendre les raisons», dit le même responsable. C'est à Oran que la journaliste a achevé la première partie de son reportage.

Amina affirme connaître beaucoup d'Oranais qui se sont convertis. «C'est à cause de la misère, la situation sociale qu'ils sont attirés vers le christianisme. C'est pour eux une opportunité pour un visa», assure Amina, elle-même convertie.

A Oran, la journaliste indique que deux églises ont été créées ces dernières années, dont l'une se trouve à Aïn El-Turck et où active une association non agréée. Cette église n'a rien de conventionnel et a fait l'objet d'un rappel à l'ordre.

A l'évêché d'Oran, le père Alphonse a souligné qu'il y a des gens qui veulent devenir chrétien ou catholique pour un visa, mais confondent l'église avec le consulat de France.

Sur la question de savoir si ces groupes sont affiliés au mouvement mondial d'évangélisation, le père Alphonse a indiqué que parfois des gens sont embrigadés. «J'ai su qu'il y a eu des missionnaires étrangers venus en Algérie, et on m'a dit qu'ils inculquaient la haine contre les musulmans et les catholiques» dit le père Alphonse.




«Ce que nous reprochons à ces églises,
c'est le prosélytisme»




Dans la seconde partie du reportage l'ensemble des questions liées au phénomène ont été abordées avec le ministre des Affaires religieuses M. Bouabdallah Ghlamallah, le président du Haut Conseil islamique Cheikh Bouamrane, l'évêque principal de l'église catholique d'Alger Msr Tessier, et le responsable de l'église protestante d'Algérie Young Johnson.

Rappelant que des étrangers qui se sont installés en Algérie ont mis à leur profit la liberté qu'offre la constitution algérienne, le ministre algérien a qualifié les agissements de «ces étrangers» de tentative d'atteinte à l'unité nationale. «Un étranger qui demande à un Algérien de changer de religion, c'est une atteinte à sa dignité», souligne M. Ghlamallah. Cheikh Bouamrane a, pour sa part, insisté sur la nécessité de revenir à l'activité missionnaire d'avant l'indépendance pour mieux comprendre cette campagne. «Avant c'étaient des actions plutôt portées sur le social, mais pas des actions ouvertes à proprement dit, qui font du prosélytisme. Actuellement on a l'impression d'une renaissance du prosélytisme du 19e siècle. Nous ne reprochons à personne la liberté du culte.

Ce que nous reprochons à ces églises, c'est le prosélytisme», déclare M. Bouamrane. Pour sa part, le père Youg Jhonson a rejeté toutes les accusations selon lesquelles l'église protestante encourage l'évangélisation. «Nous n'avons jamais engagé une campagne d'évangélisation, les gens viennent individuellement, après ils cherchent à intégrer les communautés. Je ne pense pas que le fait de ramener la bible en grand nombre puisse pousser les gens à abandonner leur foi. Il y a des évangéliques en Algérie mais cela ne sous-entend pas qu'il y a une mainmise sur les Algériens», souligne le père Young qui précise, en passant, qu'une dizaine d'églises en Kabylie, deux en Oranie et une à Constantine sont rattachées à l'église protestante d'Algérie.

Le père Tessier a, pour sa part, rappelé que la naissance de ces nouveaux groupes n'est pas un phénomène propre à l'Algérie, il s'agit, dira t-il, d'un phénomène né aux USA et qui s'est étendu à d'autres pays. «Il faut le voir sous l 'angle de l'évolution du monde. Je tiens à préciser que les premiers à être marqués par ce phénomène sont les fidèles de l'église catholique».

Le ministre des Affaires religieuses a aussi confirmé le caractère illégal de ces églises «clandestines». «C'est illégal, ces lieux sont créés sans l'aval du ministère. Ces gens méprisent la législation, ils sont hors-la-loi», affirme M. Ghlamallah qui souligne que des étrangers utilisent, aujourd'hui, les Algériens convertis pour le prosélytisme.

Cheikh Bouamrane a affirmé que le mouvement tend à devenir très agressif, précisant qu'il ne s'agit, nullement, de conversions par conviction. «Il n'y a pas de convictions, mais plutôt un intérêt qui s'explique par la misère et le chômage. L'intérêt étant, bien sûr, l'obtention d'un visa et la fuite vers l'étranger», déclare le président du Haut Conseil islamique qui exhorte l'Etat à faire plus d'efforts, car dira t-il, «nous sommes agressés chez nous».

Le même interlocuteur clôturera son intervention, en affirmant que la nouvelle loi qui régit la politique du culte est venue à points nommés. «Nous avons suggéré de traiter le problème par la réciprocité. Il s'agit aussi d'empêcher la clandestinité. Nous ne voulons plus que l'Islam soit agressé chez nous. Ils sont hostiles à cette loi, mais c'est de la légitime défense», dit cheikh Bouamrane. «Il est clair que la société algérienne a subi beaucoup d'épreuves, mais elle a tous les moyens de défendre ses croyances et ses convictions», a conclu notre confrère Djaouida Azzoug.
mr Luchar21 , pourquoi tu n avouerais pas que tu es toi aussi un chretiens , au lieu de jouer avec les mots pour que ? mes frères et voisins arabes qui sont MUSULMANS avant tout aussi ?..:arrow: :affraid:

C'est des articles qui paraient sur les journaux Nationaux Algeriens. Aussi ce sont des Algeriens comme toi qui se convertient, et parlent des raisons qui les poussent a le faire.
Parce que j'ai poste cet article tu m'accuses d'etre un Chretien , moi aussi je peux t'accuser d'etre la voie des extemistes comme Alkaida ,taleban ou n'importe qu'elle autre extremiste organisation.
Si un jour je decide de me convertir au christianisme ou autres , je le ferais avec fierete et je m'enfouterais de ce que pensent les autres ou toi meme. Personnellement je m'enfoue de ce que font les gens de leur croyance. Ils peuvent croirent meme a Mickey Mouse ca m'est egale.
Ce qui nous faut une loi moderne avec justice qu'on respecte tous , le reste c'est a l'individuel et decision personnelle. Ouwa Naby 2alih Elsalem.
Algeriens comme moi , là tu fait de l amalgames Luchar21.bref..par aussi sur le principe et aussi de mon points de vue que il ya jamais de fumés sans feu..ou es ton interets aussi de poster de tel ?à part etre comme mon soit disant compatriote yacoub l islamophobe ?..tu pesent pas que l objectif de ce blog est largement à coté de se qu il devrait contribuer?..:arrow: :lol!:

18L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 18:12

yacoub

yacoub

Une musulmane devenue chrétienne parle du hijab


vendredi 4 janvier 2008, par Annie Lessard



« Le port du hijab ne protège pas nécessairement la femme musulmane ni ne garantit sa dignité. Quand je portais le hijab, je pensais que c’était plutôt cool. Je me sentais protégée, modeste et féminine. Je ne le porte plus car je suis devenue chrétienne et j’ai vu avec plus de clarté l’aspect négatif des attitudes à l’égard des femmes musulmanes. Le fanatisme sur la modestie n’a pas favorisé l’émergence de sociétés qui respectent les femmes comme des êtres humains plutôt que des objets sexuels. En fait, c’est le contraire qui est vrai »

Traduction du témoignage de Shamim Hung, doctorante au Institue of Philosophic Studies de l’Université de Dallas au Texas.

Le port du hijab ne protège pas nécessairement les femmes musulmanes ni ne garantit leur dignité.

Voilà pourquoi je suis surprise d’apprendre qu’un certain nombre de femmes occidentales se tournent vers l’islam et n’adoptent pas seulement le hijab, qui couvre la tête et des épaules, mais même le niqab qui couvre tout le corps, sauf pour les mains et le visage, ou la burka qui ne laisse que les mains exposées. « J’ai trouvé que le porter m’émancipait. J’adore ça. C’est une affirmation : Je suis une musulmane, et ce sont mes convictions », dit une Australienne convertie.

Il n’y a rien de mal à déclarer hardiment et librement sa foi en portant un hijab. De ce point de vue, c’est une habitude comme pour les moniales chrétiennes - un signe extérieur de pureté.

Mais les vêtements portés par les musulmanes symbolisent quelque chose de plus qu’un mode de vie décent. Ils sont aussi censés protéger les hommes des femmes - vues comme des êtres viles.

L’islam voit la femme comme un « awra », un mot défini par l’Encyclopédie de l’Islam comme « pudenda » ou organes génitaux féminins.

Tous les chercheurs et collectionneurs de hadith, ou dires du prophète, soutiennent cela. Imam Hanbal considère même que les mains et le visage de la femme sont « awra ». Ash-Shaafi’ee soutient que montrer les pieds de la femme est « awra » et qu’ils devraient donc être couverts. Selon al-Tirmidhi, le prophète a eu la conversation suivante avec sa femme : « Celui qui fait traîner (par terre) son habit par ostentation, Allah ne le regardera pas le jour de la Résurrection. » Donc Umm Salmah a demandé : « Que doit faire la femme des bouts de sa robe ? » Il a répondu : « Qu’elle les descende d’un empan ! ». Elle dit : « Mais elle risque de dévoiler ses pieds ». Il dit : « Qu’elle les descende d’une coudée, mais pas plus ».

Bien que toutes les sociétés musulmanes ne traitent pas les femmes avec ce genre de mépris, la méfiance est au cœur de l’islam.

Mahomet était jaloux de ses épouses et n’avait pas confiance en elles parce que lui-même ne pouvait pas quitter des yeux les autres femmes. Il a dit : « Je suis en effet un homme jaloux, et aucun n’est exempt de la jalousie, sauf celui dont le coeur est dégénéré. La seule façon d’éviter la jalousie est d’empêcher tout homme d’entrer chez la femme et d’empêcher la femme d’aller au marché. ».

Il a donc forcé ses femmes à vivre dans la purdah, ou la réclusion. « Épouses du Prophète, vous n’êtes pas comme les autres femmes. Donc si vous craignez Dieu, ne soyez pas trop complaisantes dans votre discours, de peur que les cœurs lubriques ne vous conduisent à la luxure. Discutez avec les gens de façon claire et avec des mots simples. Demeurez toujours dans votre maison et n’affichez plus vos plus beaux atours comme les femmes avaient l’habitude de faire à l’époque de l’ignorance. » Selon un autre savant, al-Bukhari, le hijab n’était pas prévu pour les femmes esclaves, mais uniquement pour les épouses. Mais le hijab ne fournit pas la sécurité même dans la maison. Il n’empêche pas les maris de les battre. Mahomet a permis de battre les épouses, et lui-même les rouait de coups, y compris Aisha, son épouse de neuf ans.

Selon le célèbre théologien islamique, mystique et maître du 12ème siècle, l’Imam Abu Hamid Ghazali, les femmes ne doivent pas sortir à moins qu’il n’y ait une urgence.

Dans son livre, Étiquette du mariage, il suggère qu’ « elle devrait mettre de vieux vêtements et prendre des rues et ruelles désertes, éviter les marchés, et s’assurer qu’un étranger n’entende pas sa voix, ses pas, ne sente son odeur ou ne la reconnaisse. »

Les hommes musulmans ne font pas confiance aux femmes, et c’est pourquoi la conduite automobile ou les déplacements non accompagnés sont interdits aux femmes en Arabie saoudite et dans d’autres pays musulmans. Mon ex-mari, un musulman, ne me permettait pas d’ouvrir les rideaux, même dans la maison. Je n’étais même pas autorisée à aller faire la lessive seule.

À cause de ces croyances au sujet des femmes, la polygamie et le concubinage sont devenus des institutions dans le monde musulman. L’esclavage sexuel était un phénomène fréquent, même chez les couches plus basses de la société, en particulier durant les périodes de grandes conquêtes islamiques.

Mahomet lui-même n’était pas dépourvu d’immoralité sexuelle. Il attaquait les caravanes qui passaient dans Yadrib (Medine), et distribuait le butin, qui comprenait des femmes, parmi ses disciples. Il y a une vision tordue et auto-contradictoire de la modestie dans l’islam.

Outre le fait que les hommes musulmans peuvent avoir quatre épouses à la fois, ils sont aussi autorisés à avoir des concubines, selon le Coran. Hasan, le petit-fils de Mahomet, avait deux cent épouses et les remplaçait quatre à la fois. Les femmes musulmanes ne sont pas seulement obligées de s’y habituer. Elles souffrent et sont jalouses des autres femmes dans la vie de leur mari. Même les épouses du prophète étaient jalouses les unes des autres.

Winston Churchill a écrit sur les conséquences des attitudes à l’égard des femmes musulmanes dans son livre The River War (1899) : « Un sensualisme dégradant prive cette vie de sa grâce et de son raffinement, et la prochaine de sa dignité et de la sainteté. Le fait que, dans la loi mahométane, chaque femme doit appartenir à l’homme comme sa propriété absolue - soit comme enfant, épouse ou concubine - doit retarder l’extinction définitive de l’esclavage jusqu’à ce que la foi musulmane cesse d’être un grand pouvoir parmi les hommes ».

Mais curieusement, le fanatisme sur la modestie n’a pas favorisé l’émergence de sociétés qui respectent les femmes comme des êtres humains plutôt que des objets sexuels.

En fait, c’est le contraire qui est vrai. Quand j’étais jeune, au Pakistan, j’ai rencontré beaucoup de harcèlement sexuel. Il n’y avait pas de recours. Ma mère me disait juste d’être tranquille et de continuer à marcher, sinon les hommes se regrouperaient et me dévisageraient de la manière la plus humiliante.

Depuis que je suis venue aux États-Unis il y a 20 ans, je n’ai pas porté le hijab, et je n’ai personnellement jamais eu de mauvaises expériences.



Bien que les États-Unis soient loin d’être un couvent, je me sens plus libre et plus détendue parmi les chrétiens ici que je ne l’ai jamais été avec des musulmans, que ce soit au Pakistan ou aux États-Unis. Malgré tous leurs défauts les États-Unis ont encore une attitude fondamentalement chrétienne envers les femmes.

Les femmes sont vues comme différentes mais égales et sont traitées avec respect et dignité. Certes, la laïcité dans tous les pays occidentaux est en train de changer nos attitudes. La beauté physique est valorisée plus que la beauté morale intérieure ; la pornographie est partout, le sexe hors mariage est en train de devenir la norme. L’avortement, le divorce, et le nombre croissant d’enfants grandissent dans des foyers monoparentaux sont de tristes réalités de la vie quotidienne. Mais au moins, dans le pire des cas, quand la passion éclate et que les idéaux de respect et de dignité s’effritent, la femme n’est pas automatiquement considérée comme la partie coupable. Ce n’est pas nécessairement vrai dans les cultures musulmanes. Au Pakistan, où la charia est la loi du pays, si une femme allègue un viol, elle est tenue de produire 4 témoins masculins de l’acte, ce qui est pratiquement impossible.

Ce que je crois, c’est que le respect des femmes n’est possible que lorsque les hommes reconnaissent que les femmes sont des enfants de dieu avec les mêmes droits et la même dignité. La solution des musulmans aux inévitable tensions sexuelles de la vie sociale est la ségrégation, ou selon le Coran, le hijab, un rideau qui sépare les femmes de la compagnie des hommes. Il peut s’agir d’un vêtement comme la burqa ou d’une pièce séparée de la maison. Mais cela ne fait pas grand chose pour changer le coeur des hommes afin qu’ils traitent les femmes comme des personnes et non comme des objets sexuels.


Alors se cacher derrière un voile ne fait pas grand chose pour favoriser la modestie. C’est comme un pigeon fermant les yeux à l’approche d’un chat.





Alors se cacher derrière un voile ne fait pas grand chose pour favoriser la modestie. C’est comme un pigeon fermant les yeux à l’approche d’un chat. Ce que je crains, c’est qu’un certain nombre de femmes occidentales, ulcérées par leur expérience dans un culture laïque imbibée de sexe, se tournent vers l’islam afin de vivre une vie décente et modeste. Elles feront une terrible erreur. Recouverte de leur burqa, elles ne seront peut-être pas accostées dans la rue par des voyous mal élevés, mais elles feront partie d’un monde de soumission et d’oppression. La véritable solution à leur exaspération est de retourner à leurs racines chrétiennes, dans lesquelles la moralité, la miséricorde et l’amour coulent d’un cœur purifié.

Source : A modest proposal, par Shamim Hung, MercatorNet, le 10 novembre 2007. Shamim Hung est doctorante au Institue of Philosophic Studies de l’Université de Dallas au Texas. http://www.mercatornet.com/articles/a_modest_proposal

19L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty interdire le Coran… Mar 4 Mar - 18:42

Sidhoum

Sidhoum

Y a rien a dire…Il est grand temps de pisser sur le Coran (et l’interdire)…

20L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 19:09

yaz



Sidhoum a écrit:Y a rien a dire…Il est grand temps de pisser sur le Coran (et l’interdire)…
regarde biens et lis biens LUCHAR21 ou se trouvent la fourberie d ou je voulais en venir..cette race de chiens un seul mots ou posts de ma pars diplomatiquement respectable et les voilà ..provocations que dieu est temoin si cette ? serais devant moi je te jure Luchar21 que un chargeur de Klachnikov n aurais pas suffit pour que 2 minutes apres il etais comme une merde que pars ? j aurais marcher deçus...:arrow: :affraid:

21L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 19:33

lurchar21

lurchar21

Monsieur yaz, d'Abord je voudrais que tu saches que mes concernes et interets sont dans notre cause<> .
Tu esquives de parler et repondre a ce que ce forum est intentionnellement creer. Si vous etes decent et honnete dites nous sur ce forum en tant qu'Algerien . Condamnez vous le regime Algerien d'avoir deracine et d'avoir inflige cette terrible souffrance aux marocains musulmans d'Algerie? Sinon dites nous juste la verite . supportez -vous votre regime, pour cet acte de lachete?
Je vous conseille de poster sur une rubrique reserve aux religions si vous voulez parler de religion. Car la plus part de nous les rapatries preferent parler de l'injustice subit.
Je vous donne un example : Le rapatrie d'Algerie qui habite dans l'hotel au maroc , n'a pas besoin de parler de religion . Il fait appele a la justice et un toit sur sa tete comme le font des milliers de victimes du regime de ton pays. Cordialement .Lurcher

22L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 19:44

yaz



ecoute moi biens Luchar21 , j ais etais et je suis encore l uns des premiers Algeriens Algeriens à vouloir comprendre les doleances des Marocains d Algerie sur ce blog meme en toute NIA envers mon pays l Algerie..mais faires celà aux depend de ma religion de paix l ISLAM et mon pays l Algerie , qui est diffamé et bafouer par qui vous savez ?..négatif mr Luchar21..il ne faut surtout pas mr Luchar21 vous donnez le bons role aussi , j ais etais le premier à convier l islamophobe et sont aprentie de rester sur un seul topik de ce blog Marocains d Algerie , mais ne fesant qua leurs haines je me suis resolut à les reduire partout ou ils irais se pendre pour , avoir le plaisir de les voires reduire à?..je suis encore diplomate et ne me pousser pas à bout SVP...:arrow: :!:

23L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 20:06

yacoub

yacoub

Cher Yaz, jamais l'islam ne peut être traité de religion de paix.

J'ai cité des sourates du coran où je remplaçais le mot "mécréant" par musulman et tu as jugé que c'etait insupportable.

L'islam est une machine de guerre qui va détruire toute l'humanité.

24L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mar 4 Mar - 21:39

yaz



tu ne comprend riens à riens yacoub l islamophobe..tes posts qui depasent 3 lignes , je m en fait FIS..je t accorderais pas plus de 0.45 minute par post et ton restent seras comme toujours obliqueter..:arrow: :affraid:

25L'HUMANISME DE L'ISLAM Empty Re: L'HUMANISME DE L'ISLAM Mer 5 Mar - 14:18

yacoub

yacoub

yaz a écrit:tu ne comprend riens à riens yacoub l islamophobe..tes posts qui depasent 3 lignes , je m en fait FIS..je t accorderais pas plus de 0.45 minute par post et ton restent seras comme toujours obliqueter..

Cher Yaz, essaye d'argumenter prouve-nous que l'islam est une religion de paix, que les Arabes sortis de l'Arabie n'ont conquis l'Egypte, la Syrie, l'Irak, l'Iran qu'en récitant simplement le coran.:twisted:

Max Weber, dans les quelques pages qu'il consacre à l'islam dans "économie et société", dit "c'est le guerrier et non pas l'homme de lettres qui représente l'idéal de la religiosité en islam".

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